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Nous avons réuni 13 tests du Assassin's Creed 3 : Liberation. Les experts notent Assassin's Creed 3 : Liberation 7.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Assassin's Creed 3 : Liberation et d'autres Jeux PS Vita.
Alors qu'Assassin's Creed 3 vient de débouler sur nos consoles, Ubi Sofia nous sert un épisode inédit à la PSVita. Les portages de la licence sur consoles mobiles n'ont jamais été très brillants. Cet épisode arrivera-t-il à sortir son épingle du jeu ? La Nouvelle Orléans est maginifique Saligauds de Templiers ! Adieu l'Italie de la Renaissance et Ezio, bienvenue aux Etats-Unis du XVIII ème siècle ! Vous le savez, Assassin's Creed 3 vous plonge au cœur de la guerre d'indépendance américaine. Assassin's Creed Libération, lui, prend le contexte sous un autre angle. Episode totalement indépendant de son alter ego console, il vous place dans la peau d'Aveline de Grandpré, noble française de la Nouvelle Orléans dans les années 1760. Fille d'un riche commerçant et d'une esclave, Aveline est une assassine à ses heures perdues, et elle devra se battre pour bouter les espagnols hors de sa ville. Comme d'habitude dans la série, la petite histoire est racontée par le biais de la grande Histoire. Ici, c'est le traité de Fontainebleau qui est détourné. L'accord secret signé par Louis XV avec les espagnols est en effet l'œuvre de ces saligauds de templiers. Il vous faudra prendre les armes pour expulser les templiers mangeurs de paëlla.
Assassin's Creed s'exporte mal sur consoles portables, c'est un fait. Jusqu'ici, seuls les épisodes Bloodlines (PSP) et Discovery (DS) ont tenté l'expérience avec des résultats plus que mitigés. Avec l'arrivée d'un troisième arc narratif dans la série, Ubisoft retente le coup et c'est sur PS Vita que ça se passe. Mais exceptionnellement, Assassin's Creed 3 Liberation ne se contente pas d'imposer un cadre spatio-temporel inédit : il introduit également un nouveau héros. Ou plutôt, une nouvelle héroïne.Cela faisait longtemps que l'idée d'une "Assassine" était évoquée par la presse, mais les développeurs n'avaient jamais réellement exploré cette piste jusqu'à présent. Cet épisode portable était donc vraisemblablement l'occasion rêvée pour Ubisoft Sofia et Ubisoft Montréal d'essayer cette nouvelle formule, plutôt que de simplement proposer une aventure différente avec Connor, le héros d'Assassin's Creed 3. Nous voilà donc plongés dans les années 1760 en Louisiane, propriété française en terre américaine, avant de passer aux mains des Espagnols. La Guerre d'Indépendance entre l'Angleterre et ses treize colonies du Nouveau Monde est donc loin.
Tandis que Connor émerveille son monde sur consoles HD dans un Assassin's Creed III spectaculaire, la PS Vita s'offre d'ores et déjà un spin-off qui ne cache pas son ambition de transposer aussi fidèlement que possible la série sur portable. Voilà une belle gageure qu'Ubisoft Sofia s'est attelé à soutenir et qui nous enthousiasmait franchement sur le papier. Mais cette version portable a-t-elle vraiment tout d'une grande ? Aveline Renaud Cap au sud pour ce spin-off qui délaisse les forêts enneigées du nord-est américain pour l'atmosphère brûlante de La Nouvelle-Orléans et le moite bayou qui l'entoure. Grâce à la même pirouette scénaristique qui justifie le mode multi d'Assassin's Creed III, Liberation s'affranchit de la lignée de Desmond Miles tout en nous proposant pour la première fois dans la série d'incarner une assassine. Nous voici donc dans les bottines d'Aveline de Grandpré, une jeune métisse de La Nouvelle-Orléans fille d'un notable français et d'une esclave affranchie. Pleine de fougue et justicière dans l'âme, elle appartient bien sûr à l'ordre des Assassins et tente ainsi de défendre les opprimés qui ne manquent hélas pas dans cette période trouble pour la Louisiane.
Annoncé lors de la gamescom 2011, l'épisode d'Assassin's Creed exclusif à la PlayStation Vita voit enfin le jour sur une plateforme qui peine à trouver des acquéreurs. La faute sans doute à un catalogue jugé peu attractif par les joueurs, chose qui pourrait bien changer avec Assassin's Creed III Liberation. Pensé exclusivement pour la portable de Sony et introduisant, sans jeu de mot salace, la douce mais aussi sulfureuse Aveline, cet épisode inédit a de beaux arguments à faire valoir. Assassin's Creed III Liberation met donc en scène un tout nouveau personnage, Aveline de Grandpré. Cette Lady Liberty est née en Louisiane Française, à La Nouvelle-Orléans plus précisément, d'un papa colon et d'une mère ancienne esclave noire affranchie. Quelques années après sa naissance, Aveline voit sa génitrice disparaître au détour d'une ruelle. Elle tombe ensuite dans le camp des assassins et va lutter contre l'esclavagisme ainsi que contre les templiers qui cherchent à aider les Espagnols à prendre le contrôle de cette zone. Le scénario va donc suivre une trame temporelle parallèle à celle d'Assassin's Creed III et amènera d'ailleurs, le temps d'une mission, à croiser la route de Connor. Cependant, c'est à peu près tout ce que l'on peut dire sur l'histoire puisque rien de plus ne nous est dévoilé. Comment Aveline a-t-elle rejoint le camp des assassins ?
Assassin's Creed III sur consoles de salon n'est pas le seul à nous permettre d'explorer un nouveau continent et une nouvelle époque. En effet, Ubisoft nous propose également une aventure inédite sur Vita qui nous envoie aussi aux Etats-Unis, au cœur du 18ème siècle. Et pour la première fois de la série, nous n'incarnons plus un homme, mais une femme... C'est le studio bulgare Ubisoft Sofia qui est aux commandes de cette version portable nommée Assassin's Creed III : Liberation, prenant pour la première fois la forme d'un véritable Assassin's Creed, et non pas d'une version simplifiée, comme ce qui avait déjà pu fleurir sur PSP et DS. On nous promet donc de la liberté, de la fluidité dans les déplacements, et surtout une histoire tout aussi ambitieuse que celles qui avaient fait le succès des précédents épisodes de la saga. En tout cas, dès le lancement du jeu, on comprend que les développeurs justifient l'existence de ce volet légèrement séparé (et n'ayant rien à voir avec les aventures de Desmond) en partant du principe qu'Abstergo (entreprise fondée par les templiers et ayant créé l'Animus) fournit simplement un divertissement à ses clients par le biais de l'Animus, cette machine donnant la possibilité d'incarner un assassin d'un autre temps.
Après l'excellent Assassin's Creed III, voici venue l'heure du test pour son petit frère, ou plutôt sa petite sœur avec Assassin's Creed III : Liberation. Pour la première fois dans la série, le joueur contrôle une femme qui sait jouer de ses atouts féminins pour parvenir à ses fins. L'ombre du mauvais épisode PSP plane sur cette version PS Vita. Cet opus à part entière s'en sort-il mieux que son aîné portable ? Eléments de réponse pas plus tard que maintenant. Notre héroïne répond au doux nom d'Aveline Grand-Pré. Elle est la fille d'un aristocrate respecté à la Nouvelle Orléans et d'une esclave africaine qui a malheureusement disparu mystérieusement. Notre belle égérie est le disciple d'un certain Agaté, un assassin mystique vivant dans le bayou de San Danjé. A eux deux, ils se sont donnés pour mission de libérer les esclaves du joug de leurs impitoyables maîtres, de faire la lumière sur des disparitions étranges de plus en plus fréquentes et, bien entendu, de suivre le credo de la Confrérie des Assassins. Les Templiers ne semblent pas être le principal problème d'Aveline mais ne jouent-ils pas un rôle dans les événements inquiétants qui frappent la région ?
Entre les multiples épisodes couvrant les vies d'Altaïr, Ezio et Connor, nos PC et la dernière génération de consoles de salon ont connu tellement d'itérations de la saga Assassin's Creed que les doigts d'une main ne suffiront bientôt plus à les compter. Mais pendant ce temps, nos consoles portables se morfondent. Délaissées ou gratifiées de versions plus ou moins réussies mais toujours moins intéressantes que les originaux, elles attendaient leur heure et sans doute, une technologie suffisamment puissante, pour se lancer dans la guerre séculaire qui oppose Assassins et Templiers. Hourra, la révolution tant attendue est là ! Grâce à la puissance de la dernière nomade de Sony, Assassin's Creed peut enfin s'inviter dans votre poche. Pour fêter ça, et pour la première fois, ce n'est pas la déclinaison d'un jeu existant que nous propose Ubisoft, mais bien un titre à part, fort d'une nouvelle héroïne. Triple personnalité Voici donc Aveline, une métisse américaine du XVIIIème siècle, fille d'esclave qui a grandi dans les quartiers chics de la Nouvelle-Orléans. Aristocrate le jour, elle troque la nuit ses beaux atours contre l'uniforme classieux des assassins, afin de satisfaire sa soif de justice.
L'annonce d'Assassin's Creed III : Liberation a fait grand bruit. D'abord parce qu'Ubisoft a clairement affiché son ambition de proposer un titre à la hauteur de la série sur une console portable, et ensuite parce que c'est l'occasion pour Sony de disposer d'une vitrine technologique et ludique de premier rang pour sa Vita (mis à part le sublime Uncharted Golden Abyss). Bien entendu l'arrivée d'une franchise aussi prestigieuse que celle d'AC sur la portable est aussi une aubaine pour faire repartir les ventes encore aujourd'hui décevantes d'une machine en manque de titres prestigieux. Alors Aveline, la nouvelle héroïne proposée, est-elle à la hauteur de ses ancêtres et fait-elle honneur à sa lignée ou est-elle à ranger aux côtés des décevants spin-off DS, iOS et PSP ? La vérité est à portée de main...Développé par Ubisoft Bulgarie sous la houlette de Montréal, ACIII Liberation a trois aspects majeurs à mettre en avant. En premier lieu il se veut comme un épisode complet, et parfaitement intégré à l'histoire de la saga, avec son monde ouvert, son sentiment de liberté et son caractère. Ensuite il propose une héroïne et non pas un héros, comme le veut la coutume, et enfin il est le premier opus qui développe un peu plus la perspective des Templiers dans leur combat contre les Assasisins.
Après deux épisodes DS et une version PSP dispensables, Ubisoft avait des choses à se faire pardonner par les joueurs nomades concernant sa série Assassin's Creed. La puissance de la PS Vita, couplée à la sortie du troisième opus sur consoles HD, lui donne l'occasion parfaite de prouver que sa licence peut se transporter sans perdre toute sa faveur : la mission est plus que réussie avec Assassin's Creed 3 : Liberation. Libertation nous emmène à la Nouvelle-Orléans, où négriers et templiers œuvrent en coulisse pour pérenniser leurs sombres activités. Pas d'Animus ni de Desmond Miles mais Aveline de Grandpré, fille d'un notable français et d'une esclave affranchie, mais surtout assassin de son état. La première femme assassin de la série est là pour éradiquer les têtes pensantes du réseau franco-espagnol, qui ferre les uns et terrorise les autres. Nous la suivrons, au prix de longues ellipses un peu abruptement amenées, de 1759 à 1777, lorsque la Louisiane fut cédée par la France à l'Espagne avec le traité de Fontainebleau. Comme d'habitude avec Assassin's Creed, les évènements historiques servent de structure à l'intrigue fictive, pour un résultat toujours aussi crédible.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 09/2012
Plus accessible...
Assassin's Creed sur consoles portables, c'est actuellement loin d'être une réussite. Il faut dire que les épisodes Bloodlines, Altair's Chronicles ou encore Discovery ont beaucoup souffert des comparaisons avec les titres sortis sur consoles de salon et PC : techniquement pauvres, moins riches, plus courts... De quoi y voir une utilisation purement mercantile de la licence, destinée à arracher aux fans quelques deniers supplémentaires pour des morceaux de narration en plus. Avec Assassin's Creed 3 Liberation, Ubisoft veut clairement prouver qu'il est capable de produire un jeu nomade beau, riche, et captivant pendant des heures grâce aux ressources de la PS Vita. Autre révolution dans l'histoire de la série : pour la première fois dans un Assassin's Creed, le joueur incarne une femme. Liberation ne se déroule pas dans la mémoire génétique de Desmond. ? l'instar du mode multijoueurs d'Assassin's Creed 3, il s'agit en fait d'une version civile de l'Animus commercialisée par Abstergo Entertainment. La principale interrogation concerne l'intérêt que peuvent avoir les templiers à diffuser publiquement la mémoire enregistrée d'une assassine.
A l'instar des Lollipop Chainsaw, Tomb Raider et Bayonetta, Assassin's Creed 3 Liberation surfe sur cette vague de jeux starisant une héroïne qui n'a rien, mais alors rien à envier à ses homologues du sexe opposé. Mais qui est donc cette mystérieuse assassine ? Aveline de Grandpré, c'est son nom, est un Assassin – Assassine serait-on tenté de dire ! – évoluant dans la Nouvelle-Orléans des années 1760, colonie française désormais contrôlée par les Espagnols grâce à un tout petit coup de pouce des Templiers. Son but, vous l'aurez compris, consiste évidemment à débarrasser sa patrie de l'ennemi héréditaire. Du classique de chez classique pour un Assassin's Creed, en somme ? Fouet, sarbacane, machette : Aveline a développé un goût prononcé pour l'armement tribal A priori oui. Mais réduire Liberation à une simple déclinaison portable de la légende des Assassins est un raccourci qu'on ne se risquera pas à emprunter. Car, Vita en main, l'expérience s'annonce bien plus concluante que les malheureux segments parus sur DS et PSP. Déjà, on note que le jeu semble avoir adapté avec succès le moteur graphique des Assassin's des consoles de salon, pour un rendu graphique globalement satisfaisant : les nuances de couleur flattent la rétine, la plèbe foisonne dans les rues...
Invités par Ubisoft à essayer Assassin's Creed III, la version PS Vita traînait dans un coin, esseulée... Nous aurions eu tort de la bouder au profit de sa grande sœur, car elle a tout d'une grande, justement, comme une petite partie nous l'a rapidement démontré. En plus des principaux chapitres destinés aux machines de salon et PC, la saga Assassin's Creed s'est déjà déclinée en plusieurs épisodes "secondaires" parus sur consoles portables. Citons notamment Altaïr's Chronicles et Discovery sur DS et Bloodlines sur PSP. Si tout n'était pas à jeter dans ces versions, elles étaient pour le moins perfectibles... Puisque Lost Legacy, l'épisode 3DS un temps prévu, a finalement été annulé (ou plutôt recyclé dans Revelations, vous suivez toujours ?), c'est donc à Liberation, développé pour PS Vita, qu'il revient de redorer le blason de la série sur consoles portables. Et croyez-nous, c'est plutôt bien parti, cette session d'essai nous ayant laissé une très bonne impression. Mais commençons par le commencement. S'il exploite bien le même contexte historique qu'Assassin's Creed III, à savoir la révolution américaine, cet opus Vita nous fait incarner un autre personnage.
La gamescom fut l'occasion d'en apprendre un petit peu plus sur Assassin's Creed III : Liberation sur PlayStation Vita, un épisode qui aimerait bien jouer dans la cour de son homologue PS3. Mais les prouesses d'Aveline seront-elles suffisantes ? C'est via une démonstration plutôt concrète que nous avons pu nous faire une idée sur la question. Le principe était simple : faire une même mission avec trois personnages différents. Oui, car notre chère Aveline est capable de se déguiser pour afficher une autre identité, lui donnant accès à de nouvelles techniques ou capacités. En voilà de la belle fourberie ! Lors du premier essai, Aveline ne porte pas de déguisement et doit donc se faufiler sans se faire remarquer, ce qui est plus facile en passant par les toits. Après avoir éliminé quelques gardes avec un fouet (qui sert aussi lors des phases d'exploration) ou encore avec des fléchettes empoisonnées, la cible (qui détient des documents importants) est déjà en vue en contrebas. Grâce au système de ciblage, Aveline lui saute directement dessus pour l'occire aussi sec.
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