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Nous avons réuni 34 tests du Red Dead Redemption. Les experts notent Red Dead Redemption 9.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Red Dead Redemption et d'autres Jeux Playstation 3.
L'histoire de la série est un peu particulière puisque le premier épisode baptisé aurait du sortir sous la bannière Capcom, mais la firme a laissé tomber le projet en plein développement. C'est ainsi Rockstar Games qui a réussi a attraper la bête avant qu'elle se fracasse, tête en avant, dans les abysses des projets oubliés. est donc paru sur et en 2004 et ce n'était pas du tout un jeu à monde ouvert, comme pouvait l'être la série , mais un simple jeu d'action où il fallait enchaîner les niveaux. Dix ans plus tard, entre dans l'arène avec beaucoup de promesses et un changement de cap pour tenter de franchir avec succès le passage aux consoles haute définition. A l'heure où les westerns ne sont plus à la mode, ce jeu réussira-t-il à s'accaparer totalement les joueurs ?Début du XXème siècle, John Marston est désormais un homme rangé, coulant des jours de rêves dans son ranch en compagnie de sa femme et de son fils. Mais à l'heure où le gouvernement fédéral souhaite faire respecter la loi à tout prix, les choses changent radicalement. Sa femme et son fils sont enlevés par ce dernier et ils ne seront rendus qu'à une condition : retrouver mort ou vif ses anciens compagnons d'armes et ce sera bien entendu à vous que cette tâche sera confiée.
Personne n'est parfait! Et surtout pas John Marston. Il y a quelques années ce gringo faisait partie d'une des pire bande d'outlaws ayant jamais mis à sac le jeune territoire d'Amérique. Mais laissé pour mort après une embrouille avec ses anciens acolytes il avait soudain prit conscience que tout ça, risquer sa peau pour braquer des banques, avoir sa trombine mise à prix pour une poignée de billets après une altercation dans un bar, ça n'en valait pas la peine. Alors il s'est rangé des voitures. Il a pris femme et ensemble ils ont eu un fils. Bref une petite famille américaine qui trouve son bonheur dans la culture de son champ et le bénéfice des produits de sa ferme. Mais le rêve américain ne dure pas pour les types comme John Marston. Leur passé et leurs fautes les rattrapent inévitablement. En cette année 1911 où la civilisation moderne se fait de plus en plus présente et où le pouvoir du gouvernement fédéral prend de plus en plus d'assise, il n'y a plus de place pour les coyotes qui imposaient leur loi en faisant parler la poudre. Mais avant de disparaître dans l'histoire Marston peut encore servir, même contre son gré. Alors le gouvernement fait enlever sa femme et son fils et il ne les reverra qu'à la condition de retrouver et de capturer (ou de liquider) ses anciens frères de gang.
En juin 2004, la PS2 accueillait un projet enthousiasmant, mais qui faillit pourtant ne jamais voir le jour. Abandonné par Capcom et rattrapé au vol par Rockstar San Diego, Red Dead Revolver, comme la plupart des jeux à la genèse difficile, souffrit de quelques défauts, notamment techniques. Six ans après, le studio nous propose une seconde transposition dans le Far West de son célèbre GTA. Au fil des médias présentés, Red Dead Redemption n’a cessé d’attiser notre curiosité pour être l'un des titres les plus attendus de cette première moitié de l’année 2010. Essai transformé ou déception à l’arrivée ? Poussez la porte du saloon avec nous pour en découvrir la réponse ! John Marston n’a pas eu une vie facile… Tel le Roger Gicquel du Far West, quand un cheval mord la poussière du désert, c’est sur les bottes de John. Il le porte sur son visage, buriné, griffé, marqué par les nombreuses turpitudes de son passé que nous imaginons aisément troublé et qui le rattrape malgré lui. Bien sûr, nous ne vous révèlerons pas tous les détails de la trame principale, pleine de surprises. Sachez simplement que le personnage dont vous prendrez en main le destin le temps de parcourir Red Dead Redemption doit se lancer, contre son gré, dans une chasse à l’homme à travers la large zone proposée par le jeu, pour retrouver les membres de son ex-gang.
A chaque fois que Rockstar Games a tenté de s’éloigner de l’univers de GTA, ce fut une réussite. l’exemple Bully en est par exemple la preuve irréfutable. Loin de l’ambiance scolaire, le dernier jeu du studio tente cette fois une percée dans l’univers du western-spaghetti. Peut-on imaginer une seule seconde qu’ils aient fait fausse route ? Impossible de le nier : la machine Rockstar Games est réglée comme une montre Suisse. La preuve : Red Dead Redemption, “suite” d’un Red Dead Revolver (sortir sur PS2 et Xbox il y a quelques temps maintenant) encourageant, a cette fois eu droit de se voir insuffler le squelette d’un GTA version 2010, sur lequel on aurait peaufiné les mécanismes, et troqué son univers urbain contre celui de l’Ouest Sauvage, qui passionna tant de réalisateurs il y a quelques dizaines d’années maintenant. Car Red Dead Redemption est avant tout un western-spaghetti en bonne et due forme, marqué par une histoire n’hésitant jamais à traiter de sujets épineux via des analogies toujours bien trouvées, mais aussi par, et c’était à prévoir, une pléthore de personnes haut en couleurs (comment pourrait-il en être autrement, avec le talent d’écriture dont disposent les gus de Rockstar), à commencer par notre héros, John Marston, un écorché de la vie qui devra le temps de la trame principale se ranger du côté de la loi (pas complètement, heureusement pour nous...), et qui passera finalement son temps à se faire trimballer par des personnages annexes, réclamant toujours un (petit) coup de main avant d’aider notre héros dans sa quête.
Célèbre pour avoir oeuvré sur la série Grand Theft Auto, le studio Rockstar se compose de plusieurs entités dont la plus connue reste Rockstar North pour cette désormais mythique série. Mais une autre talentueuse équipe basée à San Diego revendique sa part de popularité de la plus belle des manières en nous livrant aujourd'hui un Red Dead Redemption d'anthologie. Retenez bien ces initiales puisque RDR deviendra bientôt aussi culte que GTA !Suite de Red Dead Revolver dont nous gardons surtout le souvenir d'un développement chaotique, Redemption nous place une nouvelle fois dans les santiagues de John Marston, un ancien hors-la-loi qui oscille toujours entre les deux côtés de la barrière. Les premières minutes jouent la carte du mystère : durant un générique digne d'une production hollywoodienne, nous assistons au départ forcé de notre héros, encadré par deux hommes de loi, dans un train direction le grand ouest américain. Une fois sur place, devant un repaire de voyous, John joue les négociateurs auprès de ses anciens frères d'armes qui ne l'entendent pas de cette oreille et lui tirent dessus, le laissant pour mort. A votre réveil, vous voyez le monde avec un regard neuf, sauvé de justesse par des fermiers.
Après un Red Dead Revolver au développement houleux (changement de studio...) mais finalement plutôt réussi, voici venir sa suite : Red Dead Redemption. Cette fois, le joueur incarne John Marston, un ancien bandit repenti qui part sur les traces de ses anciens compagnons entre le sud des Etats-Unis et le nord du Mexique. Nous voilà donc propulsés en 1911, date à laquelle l’industrialisation et la civilisation gagne chaque jour du terrain sur les étendues sauvages de l’Ouest américain. Une époque touche à sa fin, les cow-boys et leur univers se modernisent et disparaissent lentement. A l’image du héros, John Marston, bandit de grand chemin au sein d’un gang sans foi ni loi aujourd’hui reconverti en honnête fermier. Il coule des jours paisibles avec sa femme et son fils. Malheureusement, son passé va le rattraper et revenir violemment sur le devant de la scène. Des agents fédéraux du gouvernement américain frappent à sa porte et le menacent d’emblée. Ils enlèvent sa famille et le somment de retrouver les anciens membres de son gang, sinon il ne les reverra pas vivants. Il renfile donc son costard de cow-boy, raccroche ses éperons à ses santiags, rattache son six coups à son ceinturon et reprend les routes poussiéreuses de l’état sur son fidèle destrier.
Après 6 années de développement, ce GTA-Like est l?un des hits de l?année 2010 prêt à conquérir de nombreux joueurs. Nous sommes ici bien loin de Liberty City ou même de du XXIe siècle puisque Red Dead vous fait voyager dans le temps pour vous retrouverez au Farwest en pleine révolution Américano-Mexicaine. « I AM JOHN MARSTON » un Cow boy ex Truand assez charismatique au visage balafré. Il faisait partie d?un gang mais celui ci l?on laissé pour mort après qu?il se soit fait tiré dessus. Mister Marston, a le profil typique d?un Cow boy de western, cheveu mi-long, mal rasé, tête de tueur, armé et toujours prêt à dégainer lorsqu?il y a danger. Il quitte donc sa bande pour diverses raisons et décide de se cesser toutes activités malfaisantes. Cependant, John Marston n?a qu?un seul objectif : se venger de l?abandon qu?il a subit en éliminant tous les membres de son ancien clan. Chez Rockstar on est toujours très fort pour créer une vraie histoire avec des héros sublime et retravaillé. Vous en apprendrez davantage sur l?histoire en jouant au jeu. Il serait dommage de gâcher l?intrigue du titre. Read Dead Redemption nous offre d?énormes possibilités à commencer par l?espace proposé par le jeu. Vos déplacements se feront en cheval où vous serez sur une Map gigantesque constitué de quelques habitations et un désert.
Depuis des années, les équipes de Rockstar Games se cherchent entre deux Grand Theft Auto. D'un Bully insolent à un Manhunt sanglant, aucune licence du studio n'a réussi à égaler l'aura de sa série phare. Mais avec Red Dead Redemption, l'heure est cette fois au grand Ouest américain, celui des années 1910 où le mot cowboy signifiait encore quelque chose et où les problèmes d'honneur se réglaient dans la rue à coups de révolver. Dépaysement garanti. L'Amérique, terrain de jeu privilégié de Rockstar Games depuis des années, est une fois de plus au c?ur de cette nouvelle production. À deux exceptions notables cela dit : le Mexique a également son mot à dire et l'histoire prend place au début du siècle dernier. Or le changement d'époque fait tout dans le cas de Red Dead Redemption. Les gratte-ciels de Liberty City laissent leur place à un désert s'étalant sur des kilomètres, tandis que le mythe du cow-boy tourne à plein régime. Le joueur entre ici dans les bottes de John Marston, un écorché vif que la vie n'a pas gâté. Ancien hors-la-loi, il doit désormais payer pour ses crimes passés en démantelant ce qui reste de son ancienne bande.
Personne, à part Activision et son très décevant Gun, ne s'est encore risqué à proposer un monde ouvert au pays des cow-boys. Oui, celui du french cancan et des duels au colt, des rixes musclées entre les lourdauds éméchés du saloon et des balades au clair de lune à dos de canasson. C'est donc tout naturellement que Rockstar, auréolé du succès planétaire de GTA IV et détenteur de la sympathique licence Red Dead (chopée chez Capcom), s'attelle à cette tâche aussi redoutée qu'aguicheuse. Alors, Red Dead Redemption vaut-il les quelques pesos qu'il vous faudra débourser pour l'acquérir ? Quand John Marston arrive à Armadillo, c'est pour un dernier tour de piste. Cet ancien hors-la-loi, coincé par les autorités fédérales qui tiennent ce qu'il a de plus cher, est en effet chargé d'éliminer ses anciens compagnons d'arme. De l'état de New Austin en passant par la contrée mexicaine de Nuevo Paradiso pour finir par les montagnes forestières de West Elizabeth, John va devoir se plier en quatre pour satisfaire quiconque pourra l'aider dans sa tâche : en finir au plus vite avec son passé pour se tourner vers l'avenir et la vie d'humble fermier dont il rêve depuis toujours. Cette rédemption ne sera, vous vous en doutez, pas si simple à obtenir pour lui.
Qui eût cru qu'on pouvait faire un désert aussi rempli de vie ? C'est pourtant ce que Rockstar est parvenu à faire avec son dernier né : un monde aussi crédible que passionnant, plus ciselé et habité encore que celui de Grand Theft Auto IV, auquel Red Dead Redemption emprunte bien sûr beaucoup pour ne pas dire tout. Mais par dessus, des couches entières de gameplay sont venues enrichir la formule bac à sable magique, qui trouve ici, peut-être, sa meilleure incarnation à ce jour...Les versions étant similaires, les tests le sont également. Dans le train qui le conduit à Armadillo à New Austin, juste au nord de la frontière mexicaine, John Marston écoute d'une oreille distraite la discussion de deux vieilles dames. L'une d'elles, une certaine Madame Bush, n'est pas peu fière de la réussite de sa famille et des terres confisquées aux natifs qui, en contrepartie, "ont gagné leur ticket pour le Paradis". Le sujet glisse rapidement sur les élections du gouverneur, et si "l'argent ne peut pas acheter certaines choses", déclare l'interlocutrice de Mme Bush, cette dernière s'empresse de répondre "que les voix des électeurs n'en font pas partie". Et aussitôt, on retrouve le ton subversif de Rockstar qui ne s'empêche pas des parallèles savoureux avec l'histoire contemporaine...
De GTA III à GTA IV, Rockstar est incontestablement devenu un studio immensément respectable. Rois du «jeu bac à sable» intelligemment scénarisé, ils ont prouvé, notamment avec les récents Lost and Damned et The Ballad of Gay Tony, leur capacité à nous offrir des scénarios brillants, sans renier le côté ludique. Bref, les développeurs ont atteint tranquillement une sorte de quasi-perfection en la matière. On pouvait se demander, dès lors, si Red Dead Redemption allait se contenter d’être une simple transposition de GTA au Far West. Le tour de force est d’autant plus grand, puisque leur nouveau bébé est bien plus que cela. Il est . Les lignes qui vont suivre risquent donc de voir revenir des adjectifs comme «magnifique», «palpitant» et autres «extraordinaire» assez souvent, vous êtes prévenus. Et le multijoueur?Vous vous demandez sûrement ce qu’il en est de la partie multjoueur, très prometteuse. Les serveurs de jeu n’étant pas ouverts lors du test, nous n’avons pas pu étudier correctement cet aspect. Mais comptez sur nous pour vous donner un avis, après quelques parties en ligne et bastos échangées entre cow-boys. Stay tuned.
Avec déjà trois titres à son actif, Grand Theft Auto a maintenant bien roulé sa bosse sur les consoles HD, et il était temps pour Rockstar de changer de registre, au moins sur la forme. Avec Red Dead Redemption, le studio délaisse le monde des gangsters modernes pour nous proposer de l'action/aventure à la sauce western. Mais si Red Dead Revolver n'avait touché qu'une petite portion de joueurs en son temps, il se pourrait bien que, cette fois, le jeu de Rockstar San Diego dépasse son illustre modèle. Gros plan sur une oeuvre que Buffalo Bill lui-même n'aurait pas renié. Rockstar est fort quand il s'agit de raconter une histoire. Cela, tout le monde le sait. Et pourtant, l'aventure que représente Red Dead Redemption va peut-être encore plus loin que ce qu'ont pu réaliser les talentueuses divisions du studio par le passé, notamment à travers les différents épisodes de GTA. D'abord grâce au contexte. Ici, on est au début du siècle dernier, dans l'Amérique des cow-boys, des shérifs, et du racisme ordinaire. Les premières voitures sont encore un luxe réservé aux gens de la ville, et les principales activités ludiques restent les jeux de cartes ou le bras de fer.
Il aura fallu six années à Rockstar pour déterrer la licence Red Dead et imaginer une suite spirituelle à l'épisode Revolver. Spirituelle seulement car Redemption, en dehors d'un dessin très proche de son aîné, n'a pas grand-chose à voir avec le jeu d'action qui était sorti sur PS2. Plus ambitieux, plus riche, plus vaste et plus mûr, ce GTA-Like se présente comme l'une des plus grosses productions de l'année 2010, en mesure de conquérir le coeur de ceux qui ont aimé les aventures d'un certain Nico Bellic. Pour réussir cette mission, Red Dead Redemption nous transporte un bon siècle en arrière, à la frontière américano-mexicaine, en pleine "Revolución". Vous êtes John Marston, un cow-boy aux traits abîmés par les cicatrices symboles de son passé de truand. En plein Ouest américain, notre héros va prendre part à une véritable chasse à l'homme à son insu. Sa femme et son fils lui ont été enlevés, le temps que John remplisse la part du contrat qui le lie aux autorités pourries de Blackwater. En effet, laissé pour mort par ses anciens acolytes, Marston n'a qu'un objectif : retrouver chaque membre de la bande et faire d'une pierre deux coups en se vengeant de l'abandon dont il a été victime et en éliminant ceux auxquels les shérifs du conté n'osent même pas se frotter.
Après s'être ouvert à nous en solo, le très attendu Red Dead Redemption devait nous révéler certains de ses modes multijoueurs. Rendez-vous était donc pris pour l'occasion chez Rockstar, du côté de Londres. Lors des précédentes présentations de Red Dead Redemption, nous avions bien senti que la formule réduisant ce jeu à un "GTA au Far West" avait bien du mal à être acceptée par les représentants de Rockstar. Mais quoi de plus normal quand on est partie prenante dans la création d'une oeuvre quelle qu'elle soit (jeu, film, livre...) de ne pas apprécier de la voir résumée en trois mots par un journaliste sans doute tout fier d'avoir trouvé une bonne accroche ? Non seulement c'est compréhensible mais c'est aussi parfaitement légitime. Donc nous sommes d'accord : Red Dead Redemption n'est pas qu'un GTA avec des cow-boys. Et pourtant, avant même que ne commence la session de jeu sur les modes multijoueurs de Red Dead Redemption, l'un des membres de l'équipe londonienne de Rockstar a cité le multi de GTAIV comme étant "la référence immédiate" ayant servi au développement de ce nouveau titre. Et comme vous allez pouvoir le constater, c'est on ne peut plus juste. Le premier des modes en multi n'en est pas un à proprement parler.
Au fil des présentations, les avis se succèdent et se précisent au sujet de Red Dead Redemption. De l'avis général de la rédaction, Rockstar nous offrira fin mai un grand moment de Jeu Vidéo. de midi. Mais John Marston n'est pas le seul cowboy à l'Ouest du Pécos et il nous restait encore à tester la partie multijoueur du jeu pour parachever le tour du propriétaire. C'est chose faite après un aller-retour express dans les locaux londoniens ultra-protégés de Rockstar. 5 heures de multi, 4 modes de jeu et 1 conclusion : «Oui mon bon monsieur, ça va déboiter». En ce début de session à plusieurs, le premier contact avec le jeu s'est fait au travers du «Free Roam mode», une trouvaille censée remplacée le Lobby. Exit donc les tristes fenêtres de chat en attendant de choisir un mode de jeu. Dans Red Dead, tous les participants se retrouvent directement propulsés sur la carte, telle -ou presque- qu'on peut la parcourir en solo. Villes, animaux, êtres humains, rien ne manque au tableau de ce monde virtuel, et surtout pas le délicieux pressentiment que les coups de feu peuvent pleuvoir à chaque instant. Car on a beau se la jouer cowboy romantique à contempler le décor pendant de longues minutes, où les 16 joueurs pourront évoluer librement.
Gamekult
Ajouté le : 04/2010
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Nous vous avons déjà parlé de Red Dead Redemption, le jeu d'action de Rockstar que l'on pourrait comparer en grossissant le trait à un "Grand Theft Auto au Far West". Cette fois, le développeur nous a conviés à découvrir le mode multi de son titre prometteur, au sein même de ses locaux londoniens. L'occasion de partager nos nouvelles impressions. On le sait, Rockstar est depuis longtemps passé maître dans l'art de raconter des histoires, mais l'éditeur compte bien faire de Red Dead Redemption un titre également convoité pour sa partie multi, un critère souvent décisif quant à la durée de vie d'un jeu. Et pour nous montrer le soin apporté à cet aspect, le développeur a mis les petits plats dans les grands en nous conviant à une longue session manette en main spécialement dédiée aux défis à relever à plusieurs, qu'il s'agisse de coopération dans les missions, ou d'affrontements mettant les joueurs en compétition. Autant être franc, même si tout n'a pas été encore dévoilé, le multi de Red Dead Redemption s'annonce certes plutôt classique sur le papier, mais aussi très complet. On y trouvera ainsi du deathmatch seul ou en équipe, un capture the flag maquillé, et des modes un peu plus originaux.
Encore un aperçu de Red Dead Redemption ? Effectivement mais nous avons d'ores et déjà deux bonnes nouvelles. D'abord ce ne sera pas le dernier d'ici la sortie du jeu prévue pour avril 2010. Ensuite, nous avons enfin pu prendre une manette en mains et faire bouger John Marston de nos petits doigts empressés. Allez, en selle ! Petit rappel des faits : Red Dead Redemption est un shoot à la troisième personne se déroulant dans une ambiance western et dans lequel Rockstar recycle les recettes qui ont fait le succès justifié de GTA. Niveau scénario, on dirigera John Marston, un malfrat repenti qui va devoir ressortir son artillerie pour retrouver ses anciens complices. Il y est forcé par un mystérieux organisme d'état baptisé "Le Bureau" et certainement ancêtre du FBI qui a enlevé sa petite famille pour l'obliger à obéir. On se demande bien contre qui notre héros va se battre à la fin de sa quête... Lors de cette nouvelle vision organisée par Rockstar dans un hôtel parisien, un vrai choc nous attendait. En effet, le rendu graphique de Red Dead Redemption s'est grandement amélioré depuis la dernière fois que nous l'avions vu. Les couleurs sont moins criardes ce qui confère un certain réalisme à l'ensemble.
Red Dead Redemption est une nouvelle production Rockstar faisant indirectement suite à Red Dead Revolver. Ce dernier a été partiellement développé par Capcom avant d’être repris par Rockstar. Mais le titre ne convenait pas aux standards de la firme californienne qui compte bien rectifier le titre en cette année 2010 pleines de surprises. Le titre se déroule au début du vingtième siècle, peu avant la révolution mexicaine de 1910. On aura l’honneur d’incarner John Marston un ancien hors-la-loi rattrapé malheureusement par son passé. Son passé de brigand le forcera à poursuivre ses anciens frères d’armes afin, par la suite, de les livrer à la justice. A vrai dire, ce dernier n’a guère le choix. Si John ne remplit pas sa difficile mission, sa famille en paiera le prix. Durant cette session, trois différentes missions nous ont été présentées. La première consistait ni plus ni moins en un assaut frontal d’un fort, un assaut mettant parfaitement en avant la dynamique de jeu. Se mettre à couvert, ajuster un ennemi ou encore l’attaquer au corps à corps est désormais un jeu d’enfant, ça change…
Toujours au taquet, c’est avec bonheur que nous nous sommes rendu la semaine dernière à une présentation « hands on » de Red Dead Redemption. Trois fois youpie car il faut bien avouer qu’on ne voulait qu’une chose depuis la dernière preview hélas non jouable : se retrouver au plus vite dans les santiags de John Marston. John Marston n'est pas là pour rigolerAprès un petit trailer très cinématographique qui nous aura permis d’apercevoir une variété d’environnements visuellement superbes, ce fut donc l’occasion d’un apprendre un peu plus sur ce titre impressionnant tout en ayant la chance de pouvoir faire parler la poudre au long de 2 missions particulièrement explosives. Dans la première Marston partait filer un coup de main à l’armée régulière pour prendre d’assaut un repaire de bandidos situé en haut d’un canyon qu’il fallait remonter en se frayant un chemin à coups de colt et de carabine. Les commandes répondaient au quart de tour et enchainer les actions se faisaient de façon très naturelle, que ce soit pour viser, avancer accroupi ou se mettre rapidement à couvert dans le plus pur style cover base (avec bien entendu la possibilité de tirer à l'aveugle).
C'est une séquence typiquement Rockstar et Red Dead Redemption. Le calme nocturne est déchiré par les cris d'une prostituée qui sort en trombe d'un saloon, poursuivie par un homme qui l'agresse dans la rue. Je me précipite à son secours, mais comme j'en suis toujours à me familiariser avec les contrôles, je ne réussis qu'à la frapper au visage tandis qu'elle se tord de douleur sur le sol. L'homme s'enfuit à l'intérieur du saloon tandis que la fille se remet sur ses pieds en titubant et prend la poudre d'escampette à son tour. Je poursuis son agresseur et je dégaine mon revolver, car il s'est recroquevillé derrière le bar et tire à l'aveuglette. Quelques instants plus tard, je l'ai clairement en ligne de mire par la porte arrière restée ouverte et je lui tire dessus. La balle traverse sa poitrine et, passant par l'encadrement de la porte d'entrée, va se perdre dans la rue pour atterrir 20 m plus loin dans l'estomac d'une jeune fille qui tombe sur les genoux avec un cri à glacer le sang. C'est précisément la fille que j'avais essayée de sauver. C'est moche mais tout le monde autour de moi est plié en quatre. C'est une de ces séquences d'action d'une grande intensité, aussi soudaines qu'inattendues et teintées d'un humour noir absurde, qui sont devenues la marque de fabrique des jeux en monde ouvert de Rockstar.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 01/2010
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Sous le soleil éblouissant du Grand Ouest américain, le pimpant John Marston apparait comme le héros charismatique du futur hit signé Rockstar. Une nouvelle aventure qui prend la direction d'une quête épique au sein d'un univers colossal qui nous a déjà conquis. Quelques mois avant sa sortie, l'éditeur américain nous a offert un moment d'évasion : tester pour la première fois Red Dead Redemption. Visionner avec admiration les grandes chevauchées au coeur du Far West virtuel de Rockstar nous avait forcément laissés sur un sentiment de frustration lors des deux dernières présentations. Alors, être en mesure de pouvoir enfin se balader dans cet univers à la fois gigantesque et immersif représente pour nous une sorte de délivrance, comme-ci ce sentiment de liberté tant convoité allait très prochainement devenir une réalité. Et si l'on ne reviendra pas sur les bases du jeu, Rockstar a tout de même profité de cette mise en bouche pour revenir des éléments clés du scénario. On en sait désormais davantage sur le passé et les motivations de John Marston, le héros fringant du jeu. Autrefois bandit de grand chemin, John Marston et toute sa bande étaient craints comme la peste. Mais après un braquage de banque qui tourne mal, le groupe se dissout aux quatre coins du continent.
Les méthodes ultra rodées de Rockstar Games, on commence à les connaître. Après deux simples visites de courtoisie, on savait que Red Dead Redemption, la prochaine bombe de l'éditeur américain, allait de nouveau nous rencarder avec la volonté de se laisser approcher d'un peu plus près. Les très bonnes impressions laissées par le soft à Laurely et Florian, alors qu'il n'avait le droit que de le caresser avec les yeux, se concrétisent-elles manette en mains ? Réponse dans les lignes qui suivent.C'est une évidence, mais on précise quand même notre pensée pour les deux du fond qui ont un peu de mal : Red Dead Redemption envoie du lourd. Avant d'affirmer qu'il envoie du très lourd, nous attendrons d'avoir une version test, mais par rapport à la démo que nous avons pu essayer, le jeu de Rockstar San Diego est totalement parti pour réconcilier conquête de l'Ouest et jeu vidéo. Il faut dire que les développeurs ont fait parler leur expérience en adaptant admirablement, pour le moment du moins, la formule archi-éculée de GTA à cet univers encore trop peu et mal représenté dans notre industrie. La présence d'un gars du calibre de John Marston dans le rôle principal confirme l'amour que porte les frères Houser aux héros ambivalents, aux héros marqués par leur vécu.
Spécialité maison, les jeux bac à sable ont fait de Rockstar une firme mondialement connue, une firme à succès. Cela fait depuis un bon bout de temps que le studio new-yorkais s’est engagé dans cette voie, la tendance qui n’est pas prête de s’arrêter. Comme prévu, Red Dead Redemption suit les traces d’un Grand Theft Auto IV à la sauce Western. La liberté d’action, le réalisme des environnements et les animations parfaitement décrites d’un GTA IV se retrouvent sans surprise au cœur de Red Dead Redemption. Mais le jeu va au-delà d’un simple copier-coller, les gratte-ciels laissent place à de vastes étendues désertiques et les quatre roues à de puissants chevaux aux caractéristiques différentes. La version que nous avons pu découvrir datait alors de quelques semaines. Elle nous aura tout de même permis de découvrir le concept général qui promet de longues heures de jeu. On y incarnera John Marston, un ancien hors-la-loi parti à la recherche de ses anciens frères d’armes. Il aura la lourde responsabilité de les traquer et les livrer, si possible vivants, à la justice. Cette quête nous poussera à explorer successivement trois grands territoires pleins de dangers et de rencontres aléatoires.
En parallèle de la récurrente et juteuse, mais néanmoins qualitative, licence , Rockstar s'essaie à des genres nouveaux. Enfin pas si nouveaux que ça, puisqu'il s'agit souvent de jeux à mondes ouverts. Ici encore, la résurrection de la licence , rachetée à Capcom, se fera par la voie de la liberté, ses ambitieux développeurs souhaitant "redéfinir le jeu à monde ouvert", tout en proposant "la carte la plus grande jamais créée" dans un jeu du genre. Vous pouvez ressortir chapeau, chemise, bottes et éperons et venir à la rencontre des grands espaces dans les Etats-Unis du début du 20ème siècle, tandis que nous vous narrons nos impressions après une heure de démo commentée.La période western/cowboys et conquête de l'Ouest touche à sa fin. La technologie commence à rattraper les garçons de vaches et les desperados, qui vivent donc leurs derniers moments de gloire. Vous incarnez John Marston, bandit plus ou moins repenti, dont la mission de fond consistera à retrouver les anciens membres de sa bande pour une raison encore quelque peu obscure. Vos pérégrinations vous mèneront sur trois immenses territoires, dont un à la frontière du Mexique et qu'il nous a été possible de voir : Nuevo Paraiso. Il est possible de traverser toutes ces zones sans le moindre temps de chargement et est a priori accessible tout ce qui est visible.
PlayLipse
Ajouté le : 12/2009
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La semaine dernière, la rédaction de PlayLipse s'est rendue dans un grand hôtel parisien pour découvrir une version preview de Red Dead Redemption. Nous avons ainsi pu passer une bonne séance en plein Far West, dans la peau de John Marston, dans le but d'avoir un bel avant-goût de ce GTA-like à la sauce western. Voici nos impressions à chaud (ou presque)… A l'aube du XXème siècle, le scénario plonge le joueur dans un monde ouvert gigantesque composé de trois villes de l'ouest sauvage (deux villes américaines et une ville mexicaine - Nuevo Paraiso -). Il devient alors un ex-renégat qui souhaite se venger de son ancien gang. Les développeurs se sont donc lancés dans la reproduction d'un monde ouvert et d’un contexte historique complexe où la faune et la flore prennent une place prépondérante. Par conséquent, le jeu regorge d'animaux sauvages qui tentent de manger votre monture (et vous par la même occasion). Vous devez même faire face à des adeptes du horse-jacking qui tentent de vous désarçonner de votre cheval pour le voler. Vous êtes donc dans l'obligation de vous défendre par tous les moyens pour tenter de survivre dans ce monde périlleux.
Rockstar caressait doucement l'espoir un jour de créer un jeu se passant dans le Farwest. C'est bientôt chose faite avec Red Dead Redemption qui devrait voir le jour fin Avril dans nos chères contrées. Mais quel est le principe du jeu, un GTA avec des Cowboys ? Pour le savoir nous avons assisté il y a une semaine environ à une présentation gameplay du jeu nous présentant brièvement la majeure partie de ses possibilités. John Marston sera votre hôte durant tout le jeu. Cet ancien hors-la-loi devra (pour une raison encore assez obscure) retrouver des anciens membres de son clan de bandits. Quoiqu'il en soit il aura l'occasion de se balader dans un territoire divisé en 3 grandes régions dans un lointain Mexique. L'une des spécialités de Rockstar est la création d'univers ouverts avec de nombreuses interactions possibles. Red Dead ne devrait pas faillir et proposerait même une expérience encore plus riche qu'avec un simple GTA. Honneur et notoriété seront deux aspects importants à gérer. Selon votre comportement et vos actions ces deux derniers pourront augmenter ou baisser, vous privant alors éventuellement d'avantages par la suite.
Petits veinards que nous sommes c’est dans un grand hôtel parisien que Rockstar Games nous a récemment convié à assister à une première démo "hands off" de leur prochain gros titre, Red Dead Redemption, autour d’une bonne tasse de café chaud vu l’heure matinale (10h30 pour nous autres, ça fait quand même relativement tôt !), et Mama Mia, le moins que l’on puisse dire c’est qu’on a pris une méchante claque, de celles qui ne vous font vraiment pas regretter de vous être levé dès potron-minet ! L'ouest, le vrai!Dès les premières minutes de jeu, présentant « le héros » John Marston agenouillé devant un feu de camp avec son cheval en arrière plan, l’intérêt dans la pièce est monté de 10 crans ! C’est bien simple, on avait l’impression de se trouver devant un film. Une incroyable modélisation du personnage, de son canasson et des décors qui donnent immédiatement envie de chopper le pad des mains du présentateur pour découvrir le jeu par nous même et parcourir les grands espaces. Pour situer rapidement le contexte de ce nouvel opus qui succède directement à Red Dead Revolver (2004, sur PS2 et Xboite) et qui prend place à la fin de l’âge d’or du western alors que l’Amérique commence doucement à s’industrialiser, John Marston, le personnage principal du précédent épisode, se voit obligé de faire face à ses anciens acolytes et devra donc les combattre.
Dès qu'on évoque Rockstar, on a en tête les jungles urbaines qu'ils nous ont fait parcourir en long, en large et en travers dans les différents GTA. Changement de décor avec Red Dead Redemption, puisque cet éditeur va nous envoyer vers les grands espaces de l'Ouest américain au temps des cowboys. Changement de décor, d'accord, mais pas forcément changement de propos comme nous avons pu le constater lors d'une récente présentation de ce projet. Niveau scénario, Red Dead Redemption nous racontera l'épopée de John Marston, un hors-la-loi qui profite de sa retraite mais qui devra remettre le pied à l'étrier pour retrouver ses anciens complices. Les détails sont encore très vagues mais il semblerait que le héros soit obligé de mettre la main sur ses compagnons de débauche pour le compte d'une agence gouvernementale. Mais, au fond, ce n'est pas le plus important. L'élément essentiel de cette présentation, ce fut sans doute notre tête quand nous nous sommes retrouvés face au décor et que, quelques fractions de seconde plus tard, nous avons appréhendé son étendue, et que l'on pourra partir dans n'importe quelle direction pour chevaucher durant des kilomètres, monter au sommet de toutes les dépressions visibles, etc.
La traversée du désert se poursuit pour les amateurs de westerns virtuels. Sur PC comme sur les machines de salon, les titres mettant à l'honneur l'univers cher à John Ford, Sergio Leone ou Clint Eastwood sont aussi rares que les points d'eau dans la Vallée de la Mort. Rapidement venus à bout de Call of Juarez : Bound in Blood, FPS multiplateforme paru l'été dernier, les cowboys d'appartement rongent depuis leur lasso. Le salut viendra peut-être de Rockstar qui, plus de cinq ans après Red Dead Revolver, remet en selle son GTA-like aux temps des pionniers.Ancien hors-la-loi, John Marston coule aujourd'hui des jours heureux loin de l'agitation perverse des campements nés de la ruée vers l'or, et surtout à bonne distance de ses anciens associés, gueules cassées patibulaires et psychotiques. Hélas, et comme le savent si bien bon nombre de héros, le passé est chose autrement plus difficile à enterrer qu'une cassette pleine d'or dans la grande prairie. Pour les besoins de la nouvelle production de Rockstar San Diego, l'ami John va donc être amené à ressortir son attirail de pistolero.Une winchester, un six-coups, un lasso et un canasson, il n'en faut guère plus à notre parvenu pour redevenir la terreur de l'Ouest qu'il fut en des temps lointains.
Gamekult
Ajouté le : 12/2009
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Croisé pour la première fois en début d'année et instantanément placé en bonne position sur notre radar des futurs hits potentiels de 2010, Red Dead Redemption vient réchauffer notre mois de décembre grâce à une seconde présentation. Si celle-ci n'était hélas toujours pas jouable, elle nous a tout de même permis de retrouver le futur bébé de Rockstar Games en grande forme et de jeter un oeil sur un bon paquet de petits détails inédits. Toujours pas jouable pour cette seconde présentation, Red Dead Redemption abandonnait les grandes étendues de l'Ouest américain pour s'exiler un peu plus au sud : on découvrait cette fois-ci la partie mexicaine du futur titre de Rockstar Games. Toujours en compagnie du taciturne et extrêmement classe John Marston, on se retrouvait en plein milieu d'une guerre civile opposant l'armée gouvernementale à un groupuscule de rebelles bien remontés. On ne surprendra évidemment personne en annonçant que ce conflit sera l'occasion pour notre héros de trouver de nouveaux employeurs, même s'il reste dans l'absolu en quête de ses anciens partenaires de crime pour le compte du Bureau, le F.B.I. de l'époque.
Rockstar nous avait conviés la semaine dernière dans un luxueux hôtel parisien pour nous offrir un premier aperçu de ce qui nous attend dans Red Dead Redemption, leur nouveau titre qui arrivera sur consoles fin avril 2010. En selle. L'action de Red Dead Redemption se déroule dans une ambiance Far West à la fin du XIXe siècle. L'univers, visiblement assez gigantesque et décrit comme étant le plus vaste jamais conçu pour un jeu Rockstar, sera donc majoritairement rural et découpé en trois zones : deux en territoire bien américain et une à la frontière du Mexique. C'est d'ailleurs dans cette zone que nous avons pu découvrir John Marston, le héros de l'aventure, ancien hors-la-loi rentré dans le rang qui va devoir ressortir les Colts du placard pour se lancer à la poursuite de ses anciens camarades truands. Un pitch tout à fait classique qu'on a l'impression d'avoir lu cent fois mais on fait confiance à Rockstar pour accoucher d'une de ces histoires riches en fortes têtes et en bons mots dont ils ont le secret. La présentation débutait autour du feu de camp, qui bien que dénué de toute trace de Denis Brogniart, sera l'un des endroits clefs du jeu.
GamePro.fr
Ajouté le : 05/2009
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Première présentation de Red Dead Redemption, le GTA à la sauce western, et suite de Red Dead Revolver, dont il n'a de commun que le début de son titre. C'est à Londres, dans le sympathique QG britannique de Rockstar, que nous avons été invités à poser la première fois nos yeux sur Red Dead Redemption, suite du très bon Red Dead Revolver (PS2/Xbox, 2004). Un titre fort prometteur, dont nous avons pu découvrir une démo, malheureusement non jouable, de ce GTA à la sauce western. Cet épisode marque clairement sa transition avec le premier volet, dont l’action se situait plutôt au début du XIXe siècle. Ici, l’intrigue se situe fin du XIX, en plein mythe de l’ouest sauvage. Le principal protagoniste de l’histoire, John Marston, est un ancien hors-la-loi reprenant du service, dans un milieu totalement ouvert, bien loin du côté stratifié du précédent épisode. Les développeurs, pour faire de leur bébé un jeu profondément immersif, se sont eux-mêmes immergés dans une ambiance western, regardant des dizaines de films, quitte parfois à saturer, eux, ou leurs compagnes …
En termes de journalisme, la partie de l'article que vous êtes en train de lire et dont la fonction est de servir d'introduction au "gros du texte" s'appelle un chapeau. En l'occurrence, on serait tenté de préciser qu'il s'agit d'un Stetson, chapeau de cow-boy par excellence... On le sait, le cinéma et le jeu vidéo entretiennent des relations qu'on pourrait qualifier d'intimes. Nous en avons eu une nouvelle preuve lors de la présentation de Red Dead Redemption qui a débuté par la projection d'un montage rassemblant, comme nous l'ont précisé les représentants de l'éditeur Rockstar, des extraits des westerns qui ont inspiré l'ambiance de ce jeu. Au programme, du Sergio Leone, du Sergio Leone et encore du Sergio Leone. Seule exception à ce défilé un rien monomaniaque, la présence de Sam Peckinpah. Mais comme il s'agissait de "La Horde Sauvage", on peut dire qu'on restait dans le même ordre d'idée...
Gamekult
Ajouté le : 05/2009
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Récupéré à la dernière minute chez Rockstar Games après son abandon par Capcom, Red Dead Revolver était un sympathique jeu d'action de la génération précédente de consoles, qui avait en plus l'intérêt de nous inviter dans le milieu finalement assez peu exploité du Western Spaghetti. L'annonce d'une suite baptisée Red Dead Redemption pour nos consoles HD est donc une sympathique surprise, d'autant plus que Rockstar est maintenant impliqué d'entrée de jeu sur le développement avec l'ambition d'en faire "un titre 100% Rockstar". Il n'en fallait pas plus pour éveiller notre intérêt, et ça tombe plutôt bien, puisque l'on a pu découvrir une première version - hélas non jouable - du jeu dans les locaux londoniens de l'éditeur. Pour mieux retranscrire leur volonté de s'approprier une franchise qui appartenait initialement à un autre éditeur, Rockstar a décidé de se dissocier complètement de Red Dead Revolver d'un point de vue scénaristique et contextuel.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Red Dead Redemption. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Red Dead Redemption.