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Nous avons réuni 9 tests du Pro Evolution Soccer 2010. Les experts notent Pro Evolution Soccer 2010 6.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Pro Evolution Soccer 2010 et d'autres Jeux Xbox 360.
Toujours à la traine derrière un FIFA qui enchaîne les prestations de haut niveau depuis maintenant trois ans, l'ancienne gloire de Konami tente cette année encore de reconquérir le ballon d'or virtuel. Nouveaux ajustements côté gameplay, nouvelles licences, modes inédits... la liste des promesses de ce Pro Evolution Soccer 2011 est longue comme le bras de Thierry Henry. Mais la victoire, elle, est loin d'être acquise. L'arrivée dans les menus de Pro Evolution Soccer 2011 met en lumière une cruelle vérité pour les fans : la série se cherche depuis des années. Oubliées, les couleurs bigarrées de la saison 2009, par la fenêtre, le rose flashy de 2010. Les menus sont désormais beaucoup plus sobres (voire plus pratiques) tout en gardant une certaine classe avec un mélange de noir et de couleurs. Bien sûr, les menus dans un jeu de foot sont au moins aussi importants que le quatrième arbitre lors d'un match, mais le constat est là. D'autant plus que c'est une grande partie de l'habillage qui a été revu, que ce soit entre les matchs avec du drag-and-drop pour les compositions ou en pleine partie. Les développeurs ont joué la carte de l'épuration et les jauges de puissance/fatigue viennent désormais se mettre au-dessus de la tête de joueur.
Qu'il est loin le temps où la série Pro Evolution Soccer dominait tout sur son passage, comme le faisait l'Olympique Lyonnais en Ligue 1 pendant sept années. Qu'elle est loin la période où PES n'avait aucun concurrent digne de ce nom sur le terrain et se balader en effectuant des actions à une touche de balle, comme à l'entrainement. Mais à l'image de l'ogre lyonnais, la donne a changé depuis l'apparition des consoles next gen et Bordeaux, un retournement de situation a eu lieu, FIFA et les Girondins ayant décidé de prendre le jeu à leur rythme, laissant l'ex-roi PES (et Lyon) sur la touche. Konami nous l'a promis, la version 2010 est là pour remettre tout le monde d'accord et pour se faire pardonner les erreurs des volets 2008 et 2009. Alors, simple mythe ou réalité ? La première chose qui saute immédiatement aux yeux au lancement du jeu, c'est le mauvais choix des menus. Non pas qu'ils soient moches, bien au contraire, mais l'ergonomie de ceux-ci est particulièrement douteuse et il n'est pas si aisé de s'y retrouver, surtout vu la multitude de modes de jeu.
Tous les ans c’est la même routine. D’abord le jeu d’EA Sports, puis celui de Konami. Dominé pendant des années par son concurrent, le match qui oppose les deux ténors du ballon rond est depuis peu le théâtre d’une suprématie américaine, l’apprenti ayant supplanté le maître à force de travail et d’écoute de sa communauté. Konami l’a d’ailleurs bien compris et ne la joue plus de façon arrogante. L’heure est à la remise en question. Lassé de voir son concurrent amasser de plus en plus de millions d’euros, le géant nippon nous promet monts et merveilles pour cette année. Alors, véritable exploit individuel ou tentative honteuse de simulation ? Symptôme d’une série qui se cherche, Pro Evolution Soccer 2010 accueille les joueurs par une énième refonte de ses menus quand FIFA a trouvé sa formule depuis maintenant cinq ans. On apprécie néanmoins le gros effort réalisé pour que les temps de chargement soient les moins importants possibles, d’autant que la lisibilité est souvent meilleure qu’avec le trip sous acide de l’année dernière. Le cœur du jeu, la Ligue des Masters, subit elle aussi un réaménagement de ses menus mais nécessite toutefois un certain temps d’adaptation ; la mode est aux changements plus esthétiques que pratiques malheureusement.
Mis à mal par FIFA depuis maintenant deux ou trois saisons, la série des Pro Evolution Soccer tente avec cette cuvée 2010 de reprendre du terrain sur son concurrent direct. Un épisode que les développeurs de chez Konami qualifient enfin de « véritablement next-gen », pour le plus grand plaisir de tous les joueurs. Car malgré l’excellence du titre d’EA Sports, il faut reconnaître que la majorité des joueurs est nostalgique de la belle époque où PES était synonyme de référence en matière de simulation footballistique. Ont-ils tort de vivre toujours, du moins en partie, dans le passé ? Ou ont-ils raison de croire à un retour en grâce de celui que personne n’osait critiquer il y à peine trois ans de cela ? XboxFrance tente de répondre au mieux à ces questions au travers d’un test que l’on espère aussi complet que possible. Chaussez les crampons, on entre sur le terrain. La saison dernière, FIFA 09 a littéralement écrasé Pro Evolution Soccer 2009, c’est indéniable. Alors que vous avez pu découvrir en parcourant notre test complet de FIFA 10 que les développeurs de chez EA Sports ont une nouvelle fois fourni un travail impressionnant pour faire de leur soft une véritable machine de compétitions, Konami annonce pour sa part à qui veut bien l’entendre que Pro Evolution Soccer 2010 sera indéniablement l’épisode du changement, de l’évolution, et d’un retour au premier plan pour la célèbre licence.
Victime des coups de boutoir d'un FIFA revigoré, Pro Evolution Soccer entre dans l'arène du football virtuel sous une pression monumentale. Malmenée mais pas K.-O., la bête blessée entendait bien prouver avec Pro Evolution Soccer 2010 qu'elle ne rendra pas les armes, et qu'un simple déclic pourrait même la voir renouer avec son illustre passé. La contre-offensive est-elle vraiment pour cette année ? "La Nouvelle Génération, enfin !", tel était le slogan placardé sur les murs du stand Pro Evolution Soccer au dernier Tokyo Game Show. Comme une prise de conscience, un cri du coeur, la promesse de voir enfin l'illustre série repartir du bon pied, mettant fin à une à deux saisons d'errance. Visuellement, c'est clair, Pro Evolution Soccer 2010 fait honneur à la puissance des deux machines. C'est même tout simplement le plus beau jeu de foot jamais conçu. Les visages des stars y sont peaufinés et ciselés à l'extrême. Beaucoup moins lisses et artificiels, les faciès des joueurs laissent admirer le grain de leur peau, l'inclinaison de leurs rides et pour certains leurs attitudes. Il faut voir Carles Puyol encourager les siens ou Gourcuff virevolter sur la pelouse pour comprendre qu'un nouveau cap a été franchi cette saison.
Lancée en pleine opération rachat, la série PES souhaite passer la seconde et retrouver le statut de référence sur consoles HD. Alors qu'elle n'est plus considérée que comme simple alternative à FIFA, la simulation de Konami a été retravaillée en profondeur afin de reconquérir le cœur des connaisseurs du ballon rond. Touché par les critiques en 2007 et 2008, à la fois de la presse spécialisée et des joueurs, Konami a fait de cet opus 2010 celui du changement, de l'évolution, en attendant la révolution. Conscient des tares de ses deux premiers opus HD, le développeur nippon s'est (enfin) mis au travail pour faire progresser l'expérience à tous les niveaux. Sans pour autant se détourner d'une ligne de conduite semble-t-il destinée à ne jamais être totalement remise en question, Konami a donc sérieusement bossé sur l'équilibre de son jeu de foot, tout en concédant de nouveaux efforts. On pense notamment à la plastique de PES 2010, nettement supérieure à celle de ses aînés, enfin digne de machines HD, ou encore à la bande-son, dont l'impact se fait réellement ressentir sur l'ambiance d'un match.
Pour un jeu de football qui auparavant misait tout sur le terrain, il est surprenant de découvrir que les changements les plus importants de PES 2010 se trouvent dans les menus. Tout du moins, ça le serait si nous ne vivions pas aujourd'hui dans un monde où les chiens et les chats jouent ensemble, ou les jeux FIFA sont reconnus comme simulations de football et où Robinho a perdu sa place de titulaire au profit de Craig Bellamy. À côté de cela, le « Style d'Equipe », les « Cartes Joueurs », et un changement dans la façon de présenter les compétences des joueurs sur l'écran d'équipe paraissent à peu près aussi excitants que la coupe de cheveux de Wayne Rooney. Cela dit, ils déflorent énormément la magie de PES. Auparavant, pour tirer le meilleur parti des 11 joueurs, il fallait étudier une multitude de statistiques et être capable de déchiffrer en un coup d'oeil les cinq classes de compétences. Retirer ces cinq classes pour mettre des chiffres à la place peut paraître une régression (et il serait bien de pouvoir revenir à ce système grâce à une option supplémentaire), mais cela signifie que vous pouvez détecter immédiatement des erreurs tactiques et des joueurs hors position en une demi-seconde tout en surveillant l'équipe tout entière.
Gamekult
Ajouté le : 08/2009
Plus accessible...
"Alors, il est comment ?". Immuable rituel du mois d'août, quand les versions preview du nouveau PES tombent enfin sur le bureau, pour venir égayer de mornes après-midi à cuire sur son siège (ou à grelotter quand le clim se décide à marcher). La réponse peut changer du tout au tout en fonction du score mais, à tête reposée, on penchera pour un timide "en progrès". Une chose est sûre, Konami n'a pas ménagé ses efforts pour canaliser en surface un jeu qui ne savait plus trop sur quel pied danser. Mais cela ne signifie pas, au vu de cette preview, que les cris de haine seront étouffés. En faisant le pari d'une inertie effarante et d'une physique de balle pointilleuse pour éviter que les parties ne finissent en slalom de défense, Konami risque cette année de frustrer les joueurs habitués aux contrôles faciles et aux démarrages canon. Soyons clair : les contrôles ont rarement été aussi capricieux que sur cette preview, toutes versions confondues, et enchaîner plus de quatre passes précises réclame encore plus d'application que par le passé. C'est possible, mais les joueurs aiment prendre tout leur temps pour ajuster un bête plat du pied ou une frappe évidente ; dans ces conditions, négocier une ouverture ou un centre relève de la folie pure, et on a finalement encore une fois tendance à privilégier la course au détriment de la construction.
Le contraste entre les premières présentations des versions de cette année de FIFA et PES n'aurait pas pu être plus violent. Le premier a été présenté en grande pompe, diaporamas à l'appui et avec la présence de Peter Moore à l'Emirates Stadium à Londres; tandis que Konami, qui s'était rabattu dans une pièce d'un hôtel chic du centre de la capitale britannique, s'est contenté de configurer le jeu sur quelques écrans et nous a laissé nous asseoir pour y jouer. L'approche décontractée de l'éditeur japonais est rafraîchissante, quoiqu'un peu déstabilisante. Après tout, c'est indéniablement l'approche décontractée de Seabass et de son équipe qui est à l'origine de l'évolution balbutiante de cette énorme légende du football sur cette génération de consoles, tandis que FIFA s'est substantiellement amélioré. Il y a cependant beaucoup de choses à dire sur le fait d'être juste mis en face du jeu et de se voir donner le temps de l'expérimenter simplement et en toute décontraction – un mot récurrent – sans se voir infliger le pensum indigeste d'une présentation en sept points importants.
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