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Nous avons réuni 7 tests du Prince of Persia. Les experts notent Prince of Persia 7.6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Prince of Persia et d'autres Jeux Xbox 360.
Trois ans, quasiment jour pour jour après la sortie de Prince Of Persia : Les Deux Royaumes sur les machines de l'époque (Gamecube, Playstation 2, Xbox, PC, et Gameboy Advance), le Prince de Perse fait son grand retour dans le monde du jeu vidéo. Aujourd'hui, la donne a changé, et l'ère de la haute définition nous permet d'envisager une autre approche de l'univers des « Mille et Une Nuits ». En route pour une nouvelle aventure haute en couleurs en compagnie d'un Prince toujours aussi à l'aise lorsqu'il s'agit d'effectuer quelques cabrioles, avec Prince Of Persia sur Playstation 3 et Xbox 360. Pensant couler des jours heureux à dépenser tout l'or amassé lors de ses nombreux voyages, le Prince de Perse n'imaginait pas une seconde que sa rencontre avec Elika (fille du Roi des Ahuras, un peuple gardien de l'Arbre de Vie) allait changer à jamais sa vie. Ensemble, ils vont maintenant se lancer dans une aventure qui va les mener aux quatre coins du royaume.
Revenons quelques mois en arrière, au moment de l’officialisation d’un nouvel opus de la saga Prince of Persia, développé pour le PC et les consoles new-gen. L’annonce d’un tel jeu avait de prime abord surpris, tant la trilogie persane précédente restait encore dans toutes les mémoires. Puis elle nous avait intrigués, grâce à sa réalisation en cel-shading et à son gameplay présumé (trop ?) « casual ». A l’heure du verdict, c’est avec un mélange de craintes et d’excitation que l’on retrouve l’athlétique Prince de Perse… ainsi que sa charmante compagne. « Farah… Farah... ». C’est hurlant à pleins poumons au cœur d’une tempête de sable que l’on découvre le Prince nouvelle génération. Sandales aux pieds, vêtu de haillons, le raffiné héros des Sables du Temps aurait-il poursuivi sa déchéance au point de finir comme un mendiant ? Pas du tout ! Pour la bonne et simple raison que ce Prince-là n’a rien à voir avec le héros de la précédente trilogie.
Décidément, chez Ubisoft Montréal on aime le Moyen-Orient et tout ce qui touche de près ou de loin à cet univers mystique et exaltant. En effet, quelques mois après avoir fait le bonheur de millions de paires d'yeux et de nombreux joueurs avec leur sublime Assassin's Creed décliné sur pas moins de quatre supports différents, ils nous refont le coup du voyage aux confins d'un monde ancien et à la culture empreinte de contes ou légendes persanophones. Et cette fois-ci, ce n'est pas Altaïr que nous dirigerons mais son cousin éloigné le Prince de Perse. Toutefois, le prince n'est pas un petit nouveau, loin s'en faut. C'est même un des premiers personnages ayant incarné le jeu vidéo avec autant de charisme. On se souvient, pour les dinosaures du pad, de ses premiers mouvements d'une fluidité absolue sur Amiga il y a de cela près de vingt longues années... en 1989 si notre mémoire ne nous fait pas trop défaut. Et pour rompre avec la dernière trilogie commencée par "Les sables du temps", les développeurs ont avant tout axé l'action sur la plateforme et un esprit graphique unique à ce jour.
Revenue avec brio sur le devant de la scène avec Les Sables du Temps, la série Prince of Persia s'était ensuite un peu fourvoyée avec L'Ame du Guerrier et Les Deux Royaumes, des suites certes toujours efficaces mais aussi beaucoup moins marquantes. Trois ans plus tard, Ubisoft Montréal accouche d'un nouveau bébé à la personnalité vraiment différente de la trilogie précédente, malgré des similitudes sur le plan des compétences. Sobrement intitulé Prince of Persia, cet opus renoue-t-il avec les lumières envoûtantes des 1.001 Nuits ou restera-t-il dans les ténèbres et l'oubli ? Perdu en plein désert au milieu d'une tempête de sable, le héros de Prince of Persia n'a pas d'objectif précis au début de l'aventure, si ce n'est retrouver son âne Farah, disparu avec la quasi-totalité de ses possessions. La perspective d'une grande aventure épique ayant pour seul but la quête d'un équidé n'étant pas follement attirante pour le commun des mortels, les scénaristes d'Ubisoft ont littéralement mis une donzelle en fuite dans les bras du vagabond, pas mécontent de ce coup du sort.
Bien que les origines de la saga Prince of Persia remontent maintenant à près de deux décennies, l'histoire qui nous est relatée au fil des épisodes ne concerne pas un seul et unique prince. Loin des préoccupations torturées du prince des Sables du Temps, le personnage central du nouveau Prince of Persia nous entraîne à la découverte de sa propre légende, pour un voyage à la fois poétique, esthétique et artistique. Le contexte de ce nouveau Prince of Persia est donc volontairement ancré dans un univers flambant neuf, dépourvu de toute relation avec la trilogie des Sables du Temps. Errant sur une terre enracinée dans la mythologie Perse, celui qui nous apparaît comme étant le nouveau "prince" est le témoin d'un acte irréversible qui marque la renaissance d'Ahriman, le seigneur du mal et de la destruction. Tout comme notre héros, le joueur assiste impuissant à la destruction de l'Arbre de Vie et à la libération de la Corruption, matérialisée par une substance noire qui se déverse aux quatre coins du royaume, contaminant à la fois la terre et les êtres qui la peuplent.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 11/2008
Plus accessible...
Après avoir ressuscité la franchise sur PlayStation 2 avec Les Sables du Temps et confirmé son succès malgré deux suites moins acclamées, Ubisoft s'apprête à installer la licence Prince Of Persia sur la génération de consoles actuelles, sans oublier le PC bien entendu. Nouvelles plateformes et donc nouveau style pour un prince de Perse déguenillé façon vieux baroudeur. Mais le changement le plus significatif est sans conteste l'apparition d'un nouveau personnage en soutien, la princesse Elika. D'une agilité surnaturelle, la belle viendra rattraper les erreur du joueur en le sauvant systématiquement du trépas. Et là, on prend peur ... Avec ses faux airs d'Ico cell-chiadé, Prince Of Persia a tout de suite capté l'attention des joueurs. Une direction artistique originale et cohérente servie par un design de caractère l'ont imposé comme une grande réussite esthétique en devenir.
Gamekult
Ajouté le : 07/2008
Plus accessible...
Il est dit que les plus grandes licences sont celles qui savent éprouver leurs fondations aux exigences sans cesse renouvelées de la modernité. Laissée pour morte durant de longues années par son éditeur Ubisoft, la licence Prince of Persia avait ainsi réussi un come back comme on en voit peu dans le jeu vidéo : c'était en 2003 avec Les Sables du Temps, qui avait eu pour le coup la bonne idée de ne pas se contenter de revisiter l'univers de PoP en 3D, et avait dépéché pour l'occasion toute une garnison d'excellentes trouvailles de design. Quelques suites et portages plus tard, l'histoire est donc sur le point de se répéter : profitant des nouveaux supports de référence que sont la Xbox 360 et la PS3, Ubisoft va offrir à son Prince une énième virée sur consoles. Simplement baptisée Prince of Persia, comme pour s'affirmer dans une position d'épisode fondateur, cette nouvelle production s'est livrée à notre regard critique lors de l'E3.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Prince of Persia. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Prince of Persia.