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Nous avons réuni 10 tests du Pandora's Tower. Les experts notent Pandora's Tower 7.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Pandora's Tower et d'autres Jeux Wii.
Alors que la Wii U commence fortement à la pousser vers la porte de sortie, la Nintendo Wii fait ses adieux de la plus belle des manières avec un baroud d'honneur assez phénoménal. Aidé par l'Opération Rainfall, ce site/Pétition qui a réussi à assurer la localisation de trois grands jeux de la console (Xenoblade Chronicles, The Last Story et Pandora's Tower) destinés à rester dans les frontières japonaise, Pandora's Tower est enfin sorti et disponible à la vente. On connait Ganbarion pour ses adaptations du manga One Piece ou pour les deux fabuleux Jump Super/Ultimate Stars. On peut désormais leur attacher la création d'un des meilleurs jeux d'aventure de la Nintendo Wii. Le scénario de Pandor'as Tower tourne autour d'une histoire d'amour. L'histoire d'Aeron, le héros de l'aventure et d'Elena, la femme dont il est profondément amoureux. Les deux tourtereaux aimeraient bien vivre le parfait amour, mais ils sont obligés de fuir l'armée de l'empire d'Elyria suite à la malédiction qui a frappé Elena et qui la transforme peu à peu en un monstre difforme et sanguinaire.
Prenant exemple sur un certain petit moustachu, c'est bien une princesse qu'Aeron, le héros du jeu, va devoir sauver dans Pandora's Tower. Prénommée Elena, cette dernière a eu la malchance d'être frappée du sceau du démon et prend petit à petit la forme d'une entité faisant passer Eva Joly pour un canon de beauté (sic). Votre mission, si vous l'acceptez, est de pénétrer dans une tour comprenant de multiples étages et boss, afin de récupérer le cœur des gardiens de ces lieux (seul remède pour que la miss retrouve sa forme humaine). Dis comme ça, cela paraît simple mais les petits gars de Ganbarion (les Jump Super Stars et One Piece, c'est eux) sont de grands farceurs et . Une sorte de Zelda en plus gore, quoi ! Après une première escapade au sein du bâtiment, qui fait office de tutorial, vous êtes amené à une maisonnette servant de hub. C'est à partir de cet endroit que vous pourrez gérer votre équipement et vérifier à la fois l'espérance de vie de la jeune femme (qui s'étiole inexorablement) ainsi que la force du lien qui vous unit. En effet, au cours de vos pérégrinations, il est indispensable de récupérer des objets à échanger pour faire plaisir à la belle aux bras violets.
Avec sa chevelure argentée et sa taille de guêpe, Elena aurait dû se méfier : elle a le physique parfait pour une héroïne de JRPG. La voilà donc frappée d'une malédiction qui la transforme petit à petit en monstre gluant. Son jeune amant Aeron veut la sauver, mais pour ça, une seule solution : suivre les indications de la vieille Mavda. Il doit donc se rendre à la Brèche, explorer les Tours en ruines, y tuer les Maîtres, gigantesques monstres qui y résident, et apporter leurs cœurs encore fumants à sa belle pour qu'elle les dévore. Pandora's Tower, c'est avant tout l'histoire de trois personnages bien différents, mais au character design réussi. En premier lieu Mavda, vieille sorcière fripée qu'on croirait sortie d'un Miyazaki avec son indescriptible chapeau et l'énorme squelette vaguement vivant qu'elle trimballe sur son dos. Avec ses petits rires mesquins et son avidité à vous voir terrasser les Maîtres, vous passerez votre temps à vous demander si elle est vraiment là pour vous aider… Certes, à côté, notre héros blondinet muet et notre héroïne geignarde font dans un premier temps pâle figure.
On ne le dira jamais assez : pour son premier titre original, Ganbarion frappe fort ! Explorer des tours pour sauver une demoiselle n'aura jamais été aussi grisant, même s'il faut l'avouer, le concept de base laissait entrevoir un jeu très répétitif... Il n'en est rien finalement, la direction artistique, le level design, le background crée pour l'occasion ainsi que la relation Aeron-Elena donnant naissance à une aventure très fun et accessible dans les tours, dérangeante voir même choquante pour peu que vous arriviez très en retard à l'Observatoire. Un partenariat qui surprend d'ailleurs, Nintendo n'ayant pas pour habitude de proposer des jeux aussi " dark " : les fans de The Last Story se rappelleront du différend entre Big N et Mistwalker vis-à-vis du scénario jugé trop sombre... Une nouvelle licence qu'on aimerait bien revoir un jour... Sur Wii U peut-être ? En attendant, ne passez pas à côté de cette exclusivité, vous pourriez le regretter ! Premier titre original pour Ganbarion ! Un gouffre, des tours, une demoiselle... Êtes-vous prêt à mettre fin à la malédiction ? Après un été sous le signe de Xenoblade Chronicles et un début d'année consacré à la dernière histoire d'Hironobu Sakaguchi, disponible depuis la fin février en Europe, Nintendo nous sert un troisième jeu venant gonfler son catalogue RPG : Pandora's Tower.
Certains en parlent déjà au passé, pourtant la Wii recèle de quelques jeux surprises auxquels on ne pouvait que rêver. Après Xenoblade Chronicles ou The Last Story, le moment est venu d'accueillir un certain Pandora's Tower qui n'a malheureusement pas brillé au pays du soleil levant. Penchons-nous donc sur le troisième acte du show d'adieu de la console de salon de Nintendo. Pandora's Tower conte l'histoire d'amour d'Elena et de son dévoué soldat Aeron. Suite au réveil d'une malédiction touchant la demoiselle en pleine festivité, le couple est pris en chasse par l'armée et doit fuir loin de son peuple. Aidés par une obscure marchande ambulante dénommée Mavda, les tourtereaux prennent position dans un observatoire désaffecté de l'armée qui sert de hub central. Pourquoi cet endroit ? Car cette position surplombe treize tours (qui prendront la forme de donjons), dans lesquelles va devoir s'engouffrer Aeron afin de sauver sa chère et tendre. Exposé ainsi, le pitch paraît peu inspiré, mais le coeur du scénario se diffuse subtilement entre les lignes. La malédiction, effleurée ci-dessus, transforme inéluctablement la belle Elena en un monstre difforme et gluant.
Par contre, si la personne me tenant à coeur souffrait d'une malédiction qui la métamorphose en une sorte de mutant titubant et que la seule façon de la sauver est d'assassiner 13 créatures cauchemardesques vivant tout au sommet d'une tour colossale - sans compter qu'il faudrait faire des allers-retours avec des morceaux de viande cramoisie - je serais tenté de lâcher l'affaire. Chaque fois qu'Elena se morfale un morceau de la Chair du Maître, la malédiction lui provoque un flash-back. Mais Pandora's Tower ne propose pas une telle option. Quand cette malédiction tombe sur Elena - une jeune fille de la nation d'Elyria - le fringant Aeron agit honorablement en portant son regard sur la première tour. Ce qui suit est une histoire d'amour mièvre, mais pourtant étonnamment sinistre, qui se mêle à une aventure superbement réalisée. Elle utilise un combat en temps réel agréable, des contrôles de mouvements délicatement implémentés, des environnements de plus en plus difficiles et même une simulation de drague pour faire le lien entre un RPG d'action comme Dark Souls et un hack-and-slash comme Onimusha - tout en conservant une identité originale. Le monde que vous avez pour mission d'explorer dans Pandora's Tower est relativement petit et ne comporte que peu de distraction.
Avec un concept qui rappellera à tout le monde le magnifique Shadow Of The Colossus, voilà comment l'on peut résumer Pandora's Tower : minimaliste, poétique et profond. Mais avant de s'emballer et après la petite amertume laissée par The Last Story (affaire de goût soit dit en passant), Pandora's Tower se devait de faire ses preuves pour clore ce triptyque… peut-on dire que le pari est réussi ? Ce qui saute d'emblée au visage, c'est d'abord le game design. Attention, vous n'allez pas avoir les yeux meurtris par l'horreur des textures… c'est d'ailleurs tout le contraire. Si Icare s'est brûlé les ailes d'avoir trop approché le soleil, ici c'est parce que vous aurez eu l'audace de poser vos mirettes sur ce chef-d'œuvre qu'il vous faudra porter des lunettes fumées pendant quelques jours. Pandora's Tower est un vrai bijou (sur Wii donc, on retrouvera toujours quelques flous). Les cinématiques principales sont fluides, agréables à regarder et très bien animées (à vrai dire, dignes d'un Final Fantasy, dont elles se rapprochent beaucoup dans le style). Des petites cinématiques-souvenirs en forme de parchemins que l'on déroule ajoutent au charme typique du jeu. Les décors sont à couper le souffle, les détails que l'on retrouve vous ancrent complètement dans le jeu.
Misère ! Attendu avec passion par des wagons de joueurs, l'écume au bord des lèvres, Pandora's Tower sort finalement en France dans un inquiétant anonymat. Un mutisme qui n'est jamais bon signe, surtout quand le jeu est édité par Nintendo lui-même, une boîte qui a les moyens de se faire entendre. Alors ? Navrante déception ou perle cachée ? Aviez-vous entendu parler de l'Operation Rainfall ? Il s'agissait d'une pétition aux Etats-Unis pour s'assurer de la sortie occidentale de trois jeux Wii : Xenoblade Chronicles, The Last Story et Pandora's Tower. Trois RPG (ou genres apparentés) extrêmement prometteurs qui ouvraient un bel horizon pour la fin de vie de la console Nintendo. Aujourd'hui, nous avons pu voir que la prédiction des gamers fut bonne tant les deux premiers jeux cités ont su charmer le public, disposant chacun d'un charme indéniable, d'un gameplay travaillé et d'un univers intense. Mais quand il s'agit de jauger le petit dernier, développé par le studio Ganbarion (One Piece, Jump Super Stars), il faut bien se rendre à l'évidence : on ne sait pas grand-chose de Pandora's Tower. Maintenant que nous avons la bête entre nos doigts, levons le voile sur ce mystère.
Seul Nintendo peut se permettre de faire de l'esbroufe en sortant de nulle part un jeu purement gamer, dissimulé par les irritantes breloques estampillées "tout-public". C'est uniquement en s'y aventurant patiemment qu'on se rend compte que Pandora's Tower essaye de renouveler le genre. Modestement, méthodiquement, mais sans pitié.De toutes les épreuves de la vie, une des plus difficilement supportables est de voir un proche s'abandonner à la douleur avant de mourir. La peine, la souffrance, le désarroi et finalement la colère, des sentiments qu'on doit finalement assimiler, comme un processus douloureux. Cette dégénérescence atroce, c'est l'ambitieux sujet de Pandora's Tower, un action-RPG comme on n'en fait plus. Pandora's Tower est une claque cinglante adressée à toutes les idées reçues sur les productions Nintendo qui oublient le sérieux et le pragmatisme, camouflés derrière des jeux limpides. Mais de la mort irrévocable dans Fire Emblem à la critique sociale dans la série des Mother, rarement l'éditeur était allé aussi loin dans son approche de la mélancolie de la souffrance. Il est intéressant de voir comment Nintendo a complètement inversé les codes de la demoiselle en détresse, le canevas habituel de l'aventure épique type du jeu vidéo.
C'est dans ses derniers sursauts que la Wii nous délivre des perles originales et inventives. Après Xenoblade et The Last Story, Nintendo nous offre le dernier souffle de sa console de salon, Pandora's Tower. Peu initié à aborder un tel univers, c'est le studio Ganbarion qui est en charge du développement. Plus habitué à la série des One Piece, ce studio est-t-il vraiment capable de laisser une image positive et mature de la blanche console ? Pas de chichi, au travers d'un scénario sombre et parfois gore, Pandora's Tower nous entraine directement au cœur de l'aventure. A la suite d'une malédiction la transformant irrémédiablement en monstre, la jeune Elena se retrouve obligée de fuir l'armée. Epaulée par son ami Aaron et guidés par une étrange vielle dame nommée Vestra, la petit équipe se dirige jusqu'à la brèche. C'est en ces lieux que Vestra annonce aux jeunes amoureux le remède qui sauvera Elena, la chair de monstre. Celle du petit bestiaire ne faisant que retarder l'inévitable, seule la chair des douze maitres est capable d'inverser le sort. Pour sauver sa belle, Aaron n'a d'autres choix que de partir à l'assaut des treize tours dans lesquels sont enfermés les grands maitres.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Pandora's Tower. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Pandora's Tower.