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Nous avons réuni 11 tests du No More Heroes 2 : Desperate Struggle. Les experts notent No More Heroes 2 : Desperate Struggle 7.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du No More Heroes 2 : Desperate Struggle et d'autres Jeux Wii.
En 2008, un OVNI déjanté débarquait sur Wii et uniquement sur celle-ci. Un jeu complètement barré, sanglant à souhait, d'une violence jouissive et rempli de références au sexe et au monde nippon. Les hardcore gamers qui possédaient une Wii furent ravis de le découvrir ! La Wii n'allait plus se trouver orpheline au niveau des serious games. Le titre de ce jeu ? No More Heroes. Depuis fin mai 2010, No More Heroes 2 : Desperate Struggle tente de prolonger l'expérience. Alors réussite ou échec ? Réponse tout de suite dans notre test complet.Un petit rappel s'impose pour ceux qui ne connaissent pas la licence. Travis Touchdown est un otaku (une personne qui consacre la quasi totalité de son temps à une activité d'intérieur obsessionnelle) qui a, un beau jour, acquis un sabre laser sur i-baie. Alors accro aux fringues, aux magazines de catch et à une certaine série animée de magical girl, il entreprend de devenir le numéro 1 des assassins de Santa Destroy et exterminera tout sur son passage. Un tueur stylé et aux répliques bien senties est né.Mais voilà, deux années se sont écoulées et Travis Touchdown n'est plus le « number one » des assassins de Santa Destroy. Nombreux sont ceux qui ont voulu prendre sa place et celui qui est sur la première marche du podium est le patron d'une certaine chaîne de pizzerias.
Preuve que le jeu vidéo n’a pas encore atteint la maturité des autres médias culturels, on ne recense que très peu de véritables auteurs dans notre milieu. Il y a bien Cage, Ueda, Schafer ou encore Kojima dans cette catégorie de réalisateurs qui ont su imposer au fil du temps un style et une griffe à leurs différentes œuvres. Et il y a Suda 51. Le Japonais, fondateur du studio Grasshopper Manufacture, imagine des titres identifiables au premier coup d’œil, notamment grâce à ses délires visuels et à ses thématiques récurrentes. Avec No More Heroes en 2008, Suda avait créé une ville californienne fictive (Santa Destroy) où des tueurs invraisemblables se livraient des combats farfelus pour obtenir le titre de meilleur assassin du coin. On suivait le parcours de l’un d’entre eux, Travis Touchdown, un garçon qui était à la fois otaku, geek et obsédé sexuel par dessus le marché. Trois ans après ses premières aventures, Travis décide de reprendre du service dans No More Heroes 2 : Desperate Struggle. Et il entend bien reconquérir le titre qu’il avait laissé vaquant à la fin du premier épisode. Cette fois-ci, ce ne sont pas 10 mais 50 assassins qui lui barrent la route. Armé de ses sabres lasers, de sa moto futuriste et de sa coiffure hérissée impeccable, le héros pervers est prêt à relever le défi.
No More Heroes 2 fait partie de ces productions sans concessions, l'apanage des créations du talentueux Suda "51" Goichi. Rare titre à offrir au sage catalogue de la Wii, sa dose d'humour barré et de violence survoltée, ce second épisode annonce le retour aux affaires de Travis Touchdown, le "roi assassin sans couronne" qui avait régalé par sa débauche d'énergie dans le premier épisode. On annonce du tigre, des Suplex, des sabres laser et des filles dénudées. Que demande le peuple ? Des têtes vont tomber et notre avis aussi.Je ne vais pas vous la faire à l'envers à la manière d'un vieux German Suplex du fourbe. Je n'avais pas joué au premier No More Heroes et les premières minutes passées dans ce second volet m'ont conforté dans mon erreur. Cependant, tel que le ferait un journaliste de haut-vol comme Robert Namias, j'ai glané la substantifique moelle de l'intrigue du premier épisode afin d'aborder au mieux les nouvelles aventures de Travis Touchdown. Promu roi des assassins en ayant zigouillé tous ces concurrents létaux, Travis s'engage de nouveau dans la compétition de l'UAA, convaincu par le décolleté appétissant de la plantureuse Sylvia et par le meurtre sanglant de son grand ami Bishop.
Malgré des graphismes qu'on aurait pu accuser de terrorisme tellement le clipping et l'aliasing attentaient à notre rétine, la galerie de personnages tous plus barrés les uns que les autres de No More Heroes avait fait pencher la balance en sa faveur. Le créateur de cette bombe vidéoludique, Suda 51, n'est cependant plus que producteur sur ce second opus sous-titré "Desperate Struggle" (Lutte Désespérée dans la langue de Patrick Chirac). Est-ce un mal, perd-on fatalement en identité ? Nous vous répondrons en toute quiétude que non, au contraire. Bien que l'effet de surprise soit effectivement passé, la recette du premier volet a été intelligemment bonifiée, et certains points critiquables et critiqués de No More Heroes ne le sont plus... totalement. L'expérience du premier épisode avait été légèrement tronquée pour l'Europe, notre version interdisant aux ennemis de disparaître autrement que dans une gerbe de pixels. Les amateurs de giclées d'hémoglobine seront aux anges (ou aux démons dans ce cas), No More Heroes 2 nous arrive dans une mouture absolument pas censurée. Et ça ne vaut pas uniquement pour la présence de sang lors des décapitations de vos adversaires.
Il y a un peu plus de deux ans, la Wii accueillait No More Heroes, un OVNI sorti tout droit de l'imagination fertile de Suda51, le créateur entre autres de Killer7. Grâce à son talent et à son bagout unique, notre homme a su imposer le personnage de Travis Touchdown, certainement l'un des héros de jeu vidéo les plus charismatiques de ces dernières années. Après s'être imposé comme le number one killer de Santa Destroy, le voilà de retour pour remettre sa couronne en jeu, mais surtout venger la mort de son meilleur ami. Et cette fois-ci, ça va pisser le sang !Car si comme nous, vous avez découvert les premiers pas de Travis Touchdown en version PAL française, alors vous avez certainement été amputé de la violence graphique qu'offrait le premier No More Heroes. Des pièces d'or et un nuage de cendres en lieu et place d'une bonne giclée d'hémoglobine à chaque exécution, voilà le genre de frustration avec laquelle il fallait composer en 2008. Fort heureusement, le temps ont changé, le PEGI aussi et c'est grâce à ce beau macaron 18+ qui figure sur la jaquette du jeu qu'on va enfin pouvoir se délecter de toute la violence qui peut se dégager de cette suite baptisée No More Heroes 2 : Desperate Struggle.
No More Heroes 2 est problématique. Quelle est sa raison d'être ? A quel public s'adresse-t-il ? Conceptuellement et scénaristiquement, il est la suite inutile d'un jeu exceptionnel qui se suffit à lui-même. Multipliant les niveaux de lectures et les mises en abyme, déclaration de haine et d'amour aux joueurs et au jeu vidéo dans son ensemble, le premier NMH est un pur produit de Suda 51 (Killer7, Flower Sun and Rain) : une oeuvre délirante, déstabilisante, bourrée de contraintes et de frustrations intelligentes, gorgée d'idées ingénieuses. Cette suite, fortement ancrée dans les bases de son ainé, semble n'avoir retenu que l'option « déjantée ». Comme si Suda (ici « seulement » réalisateur exécutif) s'enlisait dans une auto-caricature déplacée. Certes, le jeu est souvent très drôle, et habité par un sens de l'absurde qui fait plaisir : en dépit du ton plus sérieux, rien n'a de sens dans cette histoire de vengeance. Mais ceux qui ont vu dans le premier bien plus qu'un jeu fun seront déçus. Les néophytes, eux, seront largués face à une avalanche d'autoréférences et de private jokes, et mis à l'écart par un tutorial mal pensé. Reste alors ceux qui ont apprécié le premier pour ce qu'il est avant tout : un beat'em all un peu bancal, pas toujours bien rythmé, mais vraiment amusant, violent, défoulant et riche en scènes et dialogues cultes.
Perdre un ami, c'est dur. Mais ça devient un drame quand le pote en question est votre fournisseur de cassettes pornos. Vengeance ! C'est avec la rage de celui qui a été privé de connexion internet pendant 2 jours que Travis Touchdown décide de redevenir le tueur numéro un. Plus de négociation possible, fini les héros ! En prime, la bombe sexuelle Sylvia, mix improbable de Megan Fox et de Scarlett Johansson, vous promet aussi quelques récompenses en nature si vous atteignez à nouveau le sommet. Qu'on se le dise, Travis est plus motivé qu'un Nicky Larson en rut ! Difficile pour un héros de reprendre le combat quand on occupe la position de favori. En général, Rocky se prenait une dérouillée, partait s'entrainer sur un montage musical puis gagnait à la fin. Les séries de jeux vidéo font généralement comme les films d'action de l'été. La suite se doit d'exploser encore plus. On nous promet le double d'ennemis et des hectolitres de sang à l'écran. Mais No More Heroes premier du nom était un jeu réellement punk qui s'affranchissait de certaines règles en partant dans tous les sens. C'était déjanté, à tel point que sa fin n'en était pas une. Queue de poisson finale, « crachat à la gueule », appelons-le comme on le voudra.
Expérience fascinante et jubilatoire, No More Heroes avait consacré une fois pour toutes le talent d'un créateur, Goichi Suda, dont on attend désormais chaque nouveau projet avec impatience. Son (relatif) succès commercial en Occident lui vaut aujourd'hui d'accueillir une suite - une première pour un jeu Grasshopper. Il s'agit pourtant d'un exercice périlleux concernant une oeuvre aussi inventive et décalée. Travis Touchdown en ressort-il indemne ? Complexes et peu accessibles, les productions estampillées Suda 51 tiennent en général davantage de l'oeuvre-culte que du chef-d'oeuvre. Sorti il y a deux ans, No More Heroes avait fait exception à la règle. Si cette odyssée meurtrière déjantée, au style visuel unique et à l'inventivité permanente, brassait les thématiques chères au créateur japonais, elle bénéficiait aussi d'un gameplay jouissif qui l'ouvrait à un plus large public. Le système de combat dynamique avait même le mérite d'exploiter de façon concluante la jouabilité de la Wii. Le bilan n'était pourtant pas parfait : les joueurs laissés sur le carreau ont invoqué l'aspect technique perfectible, les problèmes de caméra ou les chutes de rythme imputables aux phases « à la GTA ».
Trublion polisson lâché en 2008 au milieu du catalogue relativement policé de la Wii, No More Heroes avait su créer la surprise et faire oublier ses carences techniques en imposant un style tranché, une énergie débordante et un sens de l'humour très prononcé. Deux ans plus tard, Travis Touchdown replonge dans l'arène des assassins de Santa Destroy pour Desperate Struggle, une suite directe de ses primes aventures, placée sous le signe de l'excès et de la vengeance. Quand le Roi sans couronne repart à la conquête de son trône, les têtes tombent et notre verdict aussi. Comme l'a chanté un grand poète belge plus fort que la mort, "il suffira d'une étincelle, d'un rien, d'un geste pour allumer le feu". Le brasier qui consume Travis Touchdown depuis le premier No More Heroes a été allumé par Sylvia Kristel, blonde aguicheuse et lunatique régissant une compétition entre les assassins de Santa Destroy. Mené par le bout de la baguette qui se dresse sous son pantalon, Travis avait fini par prendre la tête du classement avant de se retirer de la compétition, mais les arguments de Sylvia couplés au meurtre de son meilleur ami et fournisseur de cassettes vidéos lubriques, Bishop, vont le forcer à retourner au charbon.
Le président du studio de développement Grasshopper Suda51 était de passage à Paris pour nous présenter le deuxième No More Heroes sous-titré Desperate Struggle. Nous y étions... Coq un jour, plumeau le lendemain. L'intrigue du deuxième No More Heroes se déroule trois ans après le premier opus. Durant ce laps de temps, le héros Travis Touchdown qui a quitté l'UAA a dégringolé de la première place du classement des assassins de la ville Santa Destroy à la 51ème. Même Marc Toesca ne veut plus entendre parler de lui... Seulement voilà, la troublante Sylvia Christel va à nouveau croiser son chemin et lui offrir monts et merveilles pour le motiver à se relancer dans la compétition. Suite à l'offre pleine de sous-entendus faite par la belle, Travis se sent prêt à remettre le pied à l'étrier. Mais c'est l'agression d'un de ses amis, Bishop, qui va décider Travis à reprendre le combat. En effet, ceux qui ont repeint les murs de sa boutique avec la cervelle de Bishop sont les vedettes de la compétition. Pour les atteindre, il faudra donc jouer du sabre-laser. Eh, Travis ! tu n'as pas l'impression que ça sent l'arnaque à plein nez, cette histoire ? De plus, le jeu se déroule dans une Californie recouverte de neige. De toute évidence, il s'est passé quelque chose de grave.
Gamekult
Ajouté le : 02/2010
Plus accessible...
Trublion polisson lâché en 2008 au milieu du catalogue relativement policé de la Wii, No More Heroes avait su créer la surprise et faire oublier ses carences techniques en imposant un style tranché, une énergie débordante et un sens de l'humour très prononcé. Deux ans plus tard, Travis Touchdown replonge dans l'arène des assassins de Santa Destroy pour Desperate Struggle, une suite directe de ses primes aventures, placée sous le signe de l'excès et de la vengeance. Quand le Roi sans couronne repart à la conquête de son trône, les têtes tombent et notre verdict aussi. Comme l'a chanté un grand poète belge plus fort que la mort, "il suffira d'une étincelle, d'un rien, d'un geste pour allumer le feu". Le brasier qui consume Travis Touchdown depuis le premier No More Heroes a été allumé par Sylvia Kristel, blonde aguicheuse et lunatique régissant une compétition entre les assassins de Santa Destroy. Mené par le bout de la baguette qui se dresse sous son pantalon, Travis avait fini par prendre la tête du classement avant de se retirer de la compétition, mais les arguments de Sylvia couplés au meurtre de son meilleur ami et fournisseur de cassettes vidéos lubriques, Bishop, vont le forcer à retourner au charbon.
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