No More Heroes
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Nous avons réuni 6 tests du No More Heroes. Les experts notent No More Heroes 7.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du No More Heroes et d'autres Jeux Wii.
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Test No More Heroes
No More Heroes
Développé par Grasshopper Manufacture, No More Heroes et Travis Touchdown sont les dernières créations de Suda51, surnom donné à un certain Goichi Suda ! Le monsieur travaillant actuellement avec Shinji Mikami sur le très spécial Shadows of the Damned, en collaboration avec Electronic Arts, on en profite pour rattraper le temps perdu. Le deuxième épisode bénéficiant déjà d'un test réalisé par Minh, que nous réserve ce premier volet ? Le Jedi de demainNo More Heroes vous met dans la peau de Travis Touchdown, un jeune otaku venant tout juste de récupérer un beam katana acheté sur eBay... Euh, beam katana ? Bien que ce soit le terme employé durant le jeu, ce fameux beam katana peut s'apparenter aux sabres laser lambda que l'on peut apercevoir dans les différents films de Star Wars. Tout aussi tranchant et efficace que le sabre d'Anakin. Et cerise sur le gâteau, cette arme est modifiable moyennant un petit détour chez votre équipementier préféré, argent et matériaux nécessaires en poche bien évidemment. Mais là je m'égare, revenons à nos moutons : Travis Touchdown. Véritable jeune dans la force de l'âge, Travis ne s'est pas vraiment quoi faire de sa vie...
GamePro.fr
Ajouté le : 03/2008
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Test : No More Heroes
Si Goichi « 51 » Suda s’est cherché un temps, il a fini par trouver son style avec Killer 7, le titre qui le fit exploser médiatiquement. Un jeu aussi dérangé qu’envoûtant qui dévoilait l’âme d’artiste de ce producteur soucieux de triturer les codes du jeu vidéo et de s’adresser personnellement au joueur qui, derrière son écran, se vit proposer une œuvre franche et brute face à laquelle il ne pouvait adopter que deux attitudes : l’adoration ou le rejet. Une volonté de faire de ses jeux des produits cultes que l’on retrouvait un peu plus tard dans l’excellent Contact sur Nintendo DS et qui est plus que jamais d’actualité avec No More Heroes. Un titre moins tranché que Killer 7 dont on ne pourra cependant pas nier la filiation, ni dans la thématique, ni dans la manière. Attention, le culte débarque sur Wii ! Travis est un joli spécimen de geek, un vrai.
No More Heroes
Les gamers purs et durs se sont sentis un peu floués sur Wii avec sa ludothèque un peu trop casual à leurs goûts. Mais avec l’annonce d’un nouveau titre de Suda 51, le créateur de Killer 7, un vent porteur d’espoir est soudainement apparu avec No More Heroes, mais le jeu est-il à la hauteur de nos attentes ? Réponse dans ce test Résident dans un motel miteux de Santa Destroy, Travis Touchdown, vient de remporter sur un site d’enchère un Beam Katana (sorte de sabres lasers tout droit sortis d’un épisode de Star Wars), commence pour lui la profession de tueur à gages. Oui mais voilà, en acceptant le contrat de la belle Sylvia Christel, un agent de l’United Assassins Association, Travis se retrouve propulsé au rang du 11e meilleur assassin de Santa Destroy ce qui l’oblige, un peu malgré lui, à tuer les 10 premiers de la liste pour être le Number One.
No More Heroes
Après l'inénarrable Killer7 sur Gamecube, Goichi Suda récidive sur Wii en nous offrant à nouveau un trip violent et décalé. Plus accessible que son prédécesseur, No More Heroes n'en reste pas moins une expérience unique, baignant dans la pop-culture et transpirant la cinéphilie par tous les pores. Quel plaisir que de retrouver une oeuvre de cette trempe sur une console qui n'a pas toujours été aussi gâtée de la part des éditeurs tiers. Travis Touchdown est un otaku comme mille autres : il passe ses journées à regarder des dessins animés japonais, à nourrir son chat et à soigner son look. Il ne quitte guère son motel minable que pour enfourcher son roadster et aller s'acheter les dernières fringues à la mode. Comme il faut bien faire quelque chose de sa vie, l'acquisition d'un sabre laser sur E-Bay lui a permis dernièrement de se lancer dans la profession d'assassin. Mais tuer des gens l'ennuie profondément, et il aurait eu du mal à sortir de sa vie de raté s'il n'avait rencontré cette fille au Death Match Bar.
No More Heroes
Travis, le héros de ce No More Heroes, est un petit branleur, encore un peu ado sans doute, et qui n'a goût que pour les femmes, de préférence à forte poitrine, les cassettes porno qu'il ne rend pas au vidéo-club, aux dernières fringues à la mode, au gel longue tenue et à sa moto. Et c'est à ce genre de mec qu'il arrive tout et n'importe quoi, trop occupé à penser à ramener une jolie blonde dans son lit. En début de partie, Travis vous comptera sa mésaventure. Une jolie blonde, Sylvia Christel, lui fait signer un contrat, l'engageant par la suite à tuer les uns après les autres les dix meilleurs assassins de la ville. Le risque encouru, se faire tuer à son tour. Embarqué bien malgré lui dans les plans d'une obscure organisation, Travis se plie à son devoir, motivé par la possibilité de conclure et de profiter de tous les charmes de Sylvia une fois le premier rang d'assassin atteint. Sauf que la route est longue, et que même si notre héros se révèle habile de son Beam Katana, on le sent tout de même un peu paumé.
No More Heroes
No More Heroes. Trois mots qui sonnent depuis plusieurs mois comme une promesse pour les core gamers et les fans de Suda 51, géniteur du dérangeant Killer7. Encore une fois, les assassins et les freaks sont à l'honneur, mais le gameplay et l'intrigue se veulent plus accessibles, comme l'a répété de nombreuses fois l'ami Goichi en interview. Mais derrière ses manières de poseur et son attitude de rebelle rétro, que réserve véritablement No More Heroes ? Reportage en immersion à Santa Destroy. Comment financer convenablement sa vie d'otaku quand on ne dispose que d'un appart d'otaku, d'une moto d'otaku et d'un katana laser d'otaku ? Tel était le dilemme de Travis Touchdown, jeune puceau adepte de lucha libre, de fringues branchées et de cassettes porno, avant d'accepter un contrat de "nettoyeur" lors d'une soirée arrosée au bar du coin. Son employeur : une magnifique blonde répondant au nom sulfureux de Sylvia Christel - pourtant sans lien avec une actrice ayant souvent tenu la barre sur M6 le dimanche soir.
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No More Heroes : (7.8/10)
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