11 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 11 tests du Ni no Kuni : La Vengeance de la Sorcière Céleste. Les experts notent Ni no Kuni : La Vengeance de la Sorcière Céleste 7.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Ni no Kuni : La Vengeance de la Sorcière Céleste et d'autres Jeux Playstation 3.
Oliver est un petit garçon qui vit à Motorville avec sa maman, une musicienne au cœur fragile. Vu son âge et son gabarit, on le jurerait inoffensif. Mais la Sorcière Céleste en est persuadée : Oliver est le sauveur du monde parallèle qu'elle est consciencieusement en train de détruire. Une raison suffisante pour tenter de le noyer, mais sa maman veille au grain et se sacrifie pour le sauver. Oliver se retrouve donc seul, pleure beaucoup, jusqu'à ce qu'entre en scène Lumi, le roi des Fées, qui lui apprend l'existence du monde parallèle et de l'âme sœur de sa maman qui y est emprisonnée par Shadar, le légat de la Sorcière. Un espoir de la revoir, voire de la ressusciter. Sans surprise, le scénario de Ni no Kuni lorgne du côté des productions Ghibli tout public, comme Totoro ou Ponyo, et laisse de côté les aspects plus crus ou violents de certaines autres, comme Mononoké. En lui-même, l'aspect enfantin de l'histoire n'est pas un problème, puisque Level-5 et Studio Ghibli souhaitaient effectivement faire un conte pour enfants.
Ni no Kuni, c'est un peu le rêve de tout otaku. Un RPG développé par Level-5, qui n'a pas hésité pour l'occasion à collaborer avec le studio Ghibli, mastodonte de l'animation japonaise à qui l'on doit quelques petites pépites comme Princesse Mononoké ou Mon Voisin Totoro. Sorti dans un premier temps sur DS fin 2010, le titre n'a pas franchi les limites de l'archipel nippon, au grand dam des amateurs de jeux de rôles. Mais la patience des joueurs a finalement payé, puisque Ni no Kuni sort enfin dans nos contrées et ce dans une version remaniée afin de s'adapter à la PlayStation 3, la plateforme qui l'accueille désormais. Ne reste plus qu'à savoir si cette longue attente en valait la peine. Ni no Kuni, c'est l'histoire d'Oliver, un petit garçon insouciant dont la vie va basculer du jour au lendemain. Alors qu'il s'amusait avec un ami à bord d'une voiture, l'une de ses roues lâche et le précipite dans une rivière. Il est immédiatement secouru par sa mère, mais cette dernière décède peu de temps après d'un infarctus. Accablé de chagrin, Oliver passe toutes ses journées à pleurer dans sa chambre, jusqu'à ce que l'une de ses larmes atteigne le doudou que lui a confectionné sa mère.
Vélum, le roman de Hal Duncan débute par "... une carte en feu. Chaque épopée devrait s'ouvrir sur une carte en feu" Et un RPG, c'est d'abord un monde à découvrir, une carte donc qui n'attend que le joueur pour se dévoiler, dérouler l'univers qu'elle terre. Loin de s'embraser, celle de Ni no Kuni produit pourtant le même effet, et ce dès sa première vision. Avec son aspect crayonné, sa topographie tourmentée, cette dernière se fait déjà prétexte à l'évasion, à l'émerveillement, comme l'étaient, par exemple, celles en tissu des vieux Ultima. En fait, il y a un côté old-school revendiqué dans ce Level-5, tendance qui ne se dément à aucun moment, comme on chemine, progresse d'une vallée à un désert, explore forêts et donjons… Mais la raison pour laquelle on s'accroche, avec l'envie d'en voir toujours plus, réside évidemment dans l'esthétique cel shading, déjà usitée les précédentes productions de Level-5. Oh, pas de moteur à tomber à la renverse, encore moins de physique réaliste, mais une cohérence graphique, rarement vue dans un JRPG de cette génération, qui porte tout le jeu. Que ce soit la carte –on l'a dit, magnifique !- où l'on se déplace librement, les villes que l'on visite, où les transitions cinématiques/cut-scenes/jeu, tout respire le pensé, le réfléchi.
Au terme d'une attente insoutenable qui nous a laissé craindre que le titre ne verrait peut-être jamais le jour en Europe, voilà que Ni no Kuni échoue finalement entre nos mains fébriles à l'idée de découvrir le fruit de la collaboration entre les pros de Level-5 (Dragon Quest 8 & 9, Professeur Layton) et le studio d'animation Ghibli (Totoro, Nausicaä, Mononoké). Un RPG enchanteur qui éveille l'imagination et invite à la rêverie. Conçu à l'origine pour la DS, Ni no Kuni est le fruit de la collaboration entre le célèbre studio d'animation Ghibli (créé par Hayao Miyazaki et Isao Takahata) et les talentueux développeurs de Level-5. Devant l'ambition affichée par les responsables du projet, les auteurs de Nausicaä, Mon Voisin Totoro ou encore Princesse Mononoké ont accepté de réaliser pour ce titre l'intégralité des scènes d'animation. Mais bien que la version DS n'ait pas eu la chance de franchir les limites du Japon, elle aura servi de brouillon à l'ébauche de la déclinaison PS3 qui, elle, se voit éditée quasiment au même moment en Europe et aux Etats-Unis.
La première réaction, elle vient des tripes. Bon sang, mais que c'est beau ! Même après des heures de jeu, on se surprend encore à s'amuser, à remuer la caméra dans des angles inattendus pour voir si la prairie "à la Ghibli" est tout aussi verte. Ce n'est pas simplement une adaptation paresseuse de l'univers mystique des films de Miyazaki mais un véritable monde avec toute une cohérence qui prend forme sous le cel-shading surpuissant de Level-5. C'est sans doute la direction artistique la plus impressionnante de l'éditeur depuis Dragon Quest VIII qui avait halluciné tout le monde en son temps sur PlayStation 2. Même la carte de jeu, cet élément d'habitude laissé de côté (moche comme un machin programmé par un stagiaire peu talentueux), est vraiment somptueuse. On se balade dans ce paysage féerique accompagné par les musiques de Joe Hisaishi, le compositeur favori de Miyazaki et de Kitano. L'empire des sens, mais à portée des plus petits. Level-5 ne l'a pas tellement mis en avant lors de sa promo, mais Ninokuni est en fait un portage amélioré du jeu DS sorti un an plus tôt. Certes, il y a de nouveaux personnages dont un duo de mascottes comiques tout droit sorti du Jamel Comedy Club japonais, des événements en plus, des passages inédits ou agréablement rallongés...
Pensé pour s'intégrer dans une ludothèque DS qui ne cessait de croître main dans la main avec les ventes de la console portable de Nintendo, Ni No Kuni : The Another World était un fruit défendu, tentant et envoûtant, jeune pousse conjointe de Level-5 et Ghibli. Une rencontre entre des spécialistes du cel shading et l'imaginaire de Miyazaki qui promettait un festival de l'immersion. Les choses ne s'était pas vraiment déroulées dans la logique voulue et le jeu n'avait pas réussi à convaincre du haut de son classicisme un peu bêta. Malgré de bonnes idées et le concept du livre de magie, pont littéraire entre réel et numérique. Son adaptation PS3 laissait donc le champ libre, non seulement à une orgie graphique mais surtout à une remise à plat de défauts d'autant plus pénalisants 2 ans plus tard et quelques RPG d'envergure sortis entre temps. Contes de Terremer ou Voyage de Chihiro ? Réponse dans notre test.Mignon, détaillé, inspiré, coloré, Ni no Kuni version DS plongeait dans les qualificatifs visuels mais restait coincé dans les petits écrans de la portable, limitation frustrante à la pensée des séances ciné dédiées à un film de Miyazaki. Son arrivée sur Playstation 3 est donc apparue comme une sorte de conséquence logique, rendant honneur en HD à la direction artistique des créatifs de Ghibli, sans trahir le script existant.
Que ne ferait-on pas pour sauver sa mère ? J'ai failli perdre la mienne il n'y a pas si longtemps et je sais que je ferais tout pour elle. Alors si une peluche prenait vie pour me dire qu'il y a encore un espoir, quitte à plonger dans un monde parallèle et affronter des monstres mignons et des méchantes sorcières, je le ferais sans hésiter. A toute quête il faut un drame originel, et le pauvre Oliver perd sa Maman dès le début du jeu. Un prétexte idéal pour un RPG classique dans un monde féérique inhabituel.Ce test est une republication du test originalement paru le 09 décembre 2011. Si les êtres humains existent sur les deux continuums, la mère d'Oliver est peut-être encore quelque part, dans ce monde idyllique. Cet univers, où il y a quand même des méchants et des gentils, a été imaginé par le célèbre studio Ghibli, plus connu pour les chefs d'oeuvres de Miyazaki tels que Le Voyage de Chihiro, Princesse Mononoke et tant d'autres. L'histoire de ce garçon qui nous change des traditionnels récits initiatiques de "la jeune fille qui découvre que c'est compliqué de grandir" est en adéquation avec l'esprit de Ghibli. Il n'est pas question de vengeance, de villages brûlés par des démons ou de guerre, juste la douleur d'Oliver, un petit garçon.
Mon premier contact avec Ni No Kuni remonte au 20 septembre 2010, lors du Tokyo Game Show. J'avais eu la chance de pouvoir jouer pendant quelques minutes au dernier jeu de rôle de Level-5, le studio à qui nous devons des classiques tels que Dragon Quest VIII, Rogue Galaxy ou encore White Knight Chronicles. C'était surtout l'occasion de découvrir un des rares titres sur lesquels le légendaire studio d'animation Ghibli a partagé son talent en matière de character design. J'avais déjà hâte de pouvoir y jouer plus longtemps sans savoir à l'époque que je devrais attendre jusqu'au 1er février 2013 pour le voir enfin sortir en France. Il était temps !Si ce titre a pris autant de temps à venir jusqu'à nous, c'est probablement parce qu'il a bénéficié d'une localisation poussée : les voix anglaises et japonaises sont proposées et le texte a été traduit dans cinq langues européennes dont le français. C'est déjà une bonne nouvelle puisque l'aventure est compréhensible par tous, tout en évitant le risque d'un doublage raté.
Ni no Kuni : La vengeance de la Sorcière céleste, réalisé par Studio Ghibli, le célèbre studio d'animation, et le développeur de jeux Level-5, est annoncé comme le fruit de la collaboration de ces deux acteurs majeurs de l'industrie du divertissement populaire japonais. C'est une démarche lourde de sens, de la part de Ghibli en particulier, dans la mesure où son leader spirituel, Hayao Miyazaki, avait clairement affirmé par le passé sa défiance envers les jeux vidéo. Ses film - de Laputa : le Château dans le Ciel à Ponyo -, sont généralement centrés sur des thèmes moraux forts : l'environnement, le travail éthique, la force de la famille et le pouvoir de l'imagination. Ni no Kuni - que l'on pourrait traduire par « Le second pays » ou « Un autre monde » - donne-t-il l'impression d'être un véritable jeu Ghibli ? Eh bien il en est très proche. On y retrouve l'aspect mélancolique habituel, une partition orchestrale merveilleusement évocatrice du compositeur maison, Joe Hisaishi, et quelques intermèdes splendides dessinés à la main par les animateurs. L'histoire de l'orphelin Oliver voyageant dans un monde fantastique après la mort de sa mère suit un thème familier à Ghibli - un enfant solitaire faisant avant l'heure l'apprentissage de la vie - et elle est racontée avec délicatesse.
Que ne ferait-on pas pour sauver sa mère ? J'ai failli perdre la mienne il n'y a pas si longtemps et je sais que je ferais tout pour elle. Alors si une peluche prenait vie pour me dire qu'il y a encore un espoir, quitte à plonger dans un monde parallèle et affronter des monstres mignons et des méchantes sorcières, je le ferais sans hésiter. A toute quête il faut un drame originel, et le pauvre Oliver perd sa Maman dès le début du jeu. Un prétexte idéal pour un RPG classique dans un monde féérique inhabituel.Testé à partir d'une version import japonaise prêtée par la boutique Trader. Si les êtres humains existent sur les deux continuums, la mère d'Oliver est peut-être encore quelque part, dans ce monde idyllique. Cet univers, où il y a quand même des méchants et des gentils, a été imaginé par le célèbre studio Ghibli, plus connu pour les chefs d'oeuvres de Miyazaki tels que Le Voyage de Chihiro, Princesse Mononoke et tant d'autres. L'histoire de ce garçon qui nous change des traditionnels récits initiatiques de "la jeune fille qui découvre que c'est compliqué de grandir" est en adéquation avec l'esprit de Ghibli. Il n'est pas question de vengeance, de villages brûlés par des démons ou de guerre, juste la douleur d'Oliver, un petit garçon.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 12/2011
Plus accessible...
La première réaction, elle vient des tripes. Bon sang, mais que c'est beau ! Même après des heures de jeu, on se surprend encore à s'amuser, à remuer la caméra dans des angles inattendus pour voir si la prairie "à la Ghibli" est tout aussi verte. Ce n'est pas simplement une adaptation paresseuse de l'univers mystique des films de Miyazaki mais un véritable monde avec toute une cohérence qui prend forme sous le cel-shading surpuissant de Level-5. C'est sans doute la direction artistique la plus impressionnante de l'éditeur depuis Dragon Quest VIII qui avait halluciné tout le monde en son temps sur PlayStation 2. Même la carte de jeu, cet élément d'habitude laissé de côté (moche comme un machin programmé par un stagiaire peu talentueux), est vraiment somptueuse. On se balade dans ce paysage féerique accompagné par les musiques de Joe Hisaishi, le compositeur favori de Miyazaki et de Kitano. L'empire des sens, mais à portée des plus petits. Level-5 ne l'a pas tellement mis en avant lors de sa promo, mais Ninokuni est en fait un portage amélioré du jeu DS sorti un an plus tôt.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Ni no Kuni : La Vengeance de la Sorcière Céleste. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Ni no Kuni : La Vengeance de la Sorcière Céleste.