10 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 10 tests du Need For Speed : Shift. Les experts notent Need For Speed : Shift 7.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Need For Speed : Shift et d'autres Jeux Xbox 360.
Il fut un temps où la série Need For Speed offrait des sensations de conduite superbes, à la limite de l'extase, mais depuis que la PlayStation 3 et la XBox 360 sont rentrées dans l'arène des consoles haute définition, la franchise a perdu de sa superbe. Que ce soit le convenable Carbon surfant sur la mode Fast & Furious, le moyen Pro Street et son changement de direction raté ou enfin le volet Undercover censé renouer avec les débuts de NFS, aucun n'a fait l'unanimité. Aujourd'hui et avec un énième changement de développeurs et de cap, qu'en est-il véritablement de Shift et de l'avenir de la série ? La première chose qui frappe dès le départ, outre l'installation du jeu, c'est la nouvelle orientation que la franchise prend. On parle souvent d'un virage à 90 degrés, mais ici, nous pouvons aisément monter à plus de 180, tant il va falloir oublier ses anciens réflexes et apprendre à conduire d'une manière totalement différente. Tuning à outrance, police, courses poursuites, monde ouvert, toutes ces habitudes sont définitivement révolues. Place à la simulation, aux trajectoires parfaites, aux circuits fermés et bienvenue dans le monde des jeux de course se voulant réaliste, même si pour NFS, ce terme est à relativiser, mais nous y reviendrons plus tard.
Need For Speed est désormais une des plus vieille, et des plus fournies surtout, des séries de jeux vidéo. On a à présent bien du mal à dénombrer le nombre exact d'épisodes qui ont fleuri sur nos machines successives, que cela soient des consoles ou des PC. Allant du monde proche des films Fast and Furious à ceux plus éloignés de la course pure et dure, ces diverses déclinaisons ont reçu des accueils assez dissemblables. Mais il est clair que NFS s'accolait facilement avec les termes "kéké attitude". Et on en a mangé des "j'te jure que j'vais t'faire la peau à bord de ma M3 tunée à donf'" ce à quoi on ne répondait que rarement, ou alors était-ce pour snober le malotru qui nous provoquait bassement. Mais quelque part, on savait aussi où on allait et cette marque de fabrique distinguait clairement NFS des autres titres du genre. A vouloir faire un espèce de rapprochement entre ce monde et celui de la course plus traditionnelle, les développeurs prenaient un vrai risque. Pari payant ? Et la première question à laquelle on va tenter de répondre est celle que pose la nature même de ce NFS. Après tout, c'est vrai qu'on est un peu paumé après les derniers multiples demi tours pris par cette saga.
Après deux épisodes extrêmement décevants entrainant la fermeture de son développeur, Electronic Arts redistribue les cartes pour redorer le blason de la série Need for Speed. C’est donc le tout jeune studio Slightly Mad qui s’est vu offrir cette opportunité afin de montrer à tout le monde quelle est sa vision sur ce que doit être des sensations de vitesse. Et ce que l’on peut dire, c’est que ça décoiffe. D’emblée, il est bon de dire que Need For Speed Shift (NFSS) n’a pratiquement rien à voir avec ce que l’on a vu précédemment dans la série, et il est clair qu’il divisera les foules par rapport aux attentes de chacun. Fiers de leur passé, la toute jeune équipe de Slightly Mad Studios n’a pas oublié de signaler qu’ils avaient fait partie de Simbin, celle ayant réalisé les premiers GTR. On ne sera pas étonné du changement radical de gameplay avec cette version Shift. Finies les ballades en villes, terminées les poursuites avec la police, on revient à de la course officielle sur des tracés fermés. Les personnes recherchant donc l’ancien style « jacky » devront aller voir ailleurs ou prendre leur mal en patience.
Paniqué par la chute critique et commerciale de sa série depuis maintenant deux ans, EA se devait de réagir pour renouveler la série Need for Speed. Le changement a d’abord concerné le développeur (on est passé de Black Box à Slighty Mad Studios, des anciens de la série GTR), puis ensuite le principe. Et effectivement, pour la première fois dans l’histoire de la série, ce Need for Speed : Shift est très loin des bases qu’on lui connait. Explications. NFS Underground, Most Wanted, Carbon, Prostreet et Undercover, tous ces anciens épisodes de la série, oubliez-les. Need for Speed Shift n’est plus orienté vers les courses de ville, le tuning, les babes qui vous attendent au stand et ne déroule même plus une histoire. Non, dans NFS Shift, c’est la course sur circuit qui compte et uniquement elle. Pas de cinématiques, pas d’histoire à proprement parlé, le joueur incarne un jeune rookie et le but du jeu est de parvenir au somment du NFS World Tour en remportant le plus de courses possible. Pour autant cet aspect compétition ne fait ni l’impasse sur la personnalisation des ouatures, au nombre de 65, ni sur la qualité.
S'il y a bien une licence chez Electronic Arts qui filait un mauvais coton en 2008, c'est Need For Speed avec son décevant Undercover alors que l'on attendait une réaction de la part de la mythique saga américaine après un ProStreet déjà très moyen. Aux grands maux les grands remèdes, EA - alors en pleine restructuration touchant notamment EA Black Box, le développeur habituel de NFS - s'est du coup tourné vers un studio externe en vue d'inverser la tendance. Et c'est donc Slightly Mad Studios qui s'est vu confier Need for Speed Shift, ce jeune développeur anglais fondé sur les cendres de Blimey! Games et comprenant une bonne partie de l'équipe à l'origine des références côté simulation automobile sur PC, j'ai nommé GTR et GT Legends. Il n'en fallait pas plus pour imaginer un renouveau de la saga sous des auspices plus réalistes, et faire ressurgir une lueur d'espoir parmi les fans... Fini les jackys, le tuning à outrance, les courses de rue en environnement ouvert et la police dans NFS Shift, soit à peu près tout ce qui définissait la série depuis les années Fast & Furious. Ici, on a fait table rase du passé ou presque pour se concentrer sur une toute nouvelle direction : la compétition.
Rarement un jeu n’aura aussi bien porté son nom. Need For Speed Shift (ndlr : Shift se traduit par changement en Français) est l’incarnation même du renouveau pour cette licence en perte de vitesse constante depuis plusieurs années. Les derniers opus n’ayant pas dépassé le stade de la médiocrité, Electronic Arts a décidé qu’il était temps de reprendre les choses en main et de redonner ses lettres de noblesse à une série qui a fait le bonheur de nombreux joueurs. Exit les routes ouvertes, NFS débarque sur piste avec, au volant, les rois de la simulation auto sur PC : Slightly Mad Studios. Au risque de décevoir les fans de la licence, Electronic Arts tente donc le tout pour le tout et nous propose un Need For Speed aussi inattendu que surprenant. Need For Speed Shift a-t-il les atouts nécessaires pour briguer une place sur le podium final ? Verdict ! Need For Speed Shift se présente, au départ, de manière relativement classique. En tant que pilote le joueur devra faire ses preuves à travers différentes épreuves et ce, dans le but d’atteindre la compétition ultime nommée le NFS Live World Championship.
Need for Speed est passé par une crise d'identité. La série vedette de jeux de course d'EA – un numéro 1 assuré pour les fêtes de Noël il n'y a pas si longtemps - se devait de rencontrer un succès suffisamment important pour avoir confiance en elle. Elle avait les filles, elle était branchée de façon un peu vulgaire, et elle se vendait bien. Pourtant, elle en voulait plus. Un peu comme un jeune premier hollywoodien devenant parano, fatigué par un emploi du temps démentiel et des impératifs commerciaux impitoyables, Need For Speed aspirait au respect. Après deux années hésitantes dans lesquelles la course en monde ouvert et les poursuites en voiture de police avaient été abandonnées puis reprises à la hâte dans ProStreet et Undercover (ce qui n'a contribué en rien à améliorer les choses dans les deux cas), la perte de confiance s'est muée en une schizophrénie galopante. Cette année, Need for Speed se dirige dans trois directions à la fois : un jeu PC gratuit pour l'Asie (World Online), les frictions d'arcade vieille école de Nitro sur Nintendo, SHIFT, une incursion sans relief dans le monde sans concession de la simulation de courses motorisées.
Solution espérée pour endiguer la spirale négative dans laquelle est embourbée la série Need for Speed depuis quelques années, Shift débarque plein de bonnes intentions. Pour l'occasion, l'univers NFS a muté vers les courses sur piste, prônant un pilotage radicalement différent de ses aînés. Rien de tel qu'une remise en question totale ponctuée par une profonde refonte du gameplay pour briser l'image d'une série qui a enchaîné les épisodes moyens ces dernières années. Comme un symbole, c'est l'équipe de Slightly Mad Studios qui s'est chargée du développement de Need for Speed Shift. Les références de ces petits gars ne sont autre que GT Legends et GTR 2, deux simulations PC sur lesquelles ils ont travaillé aux côtés de SimBin, le développeur principal de ces derniers. Pour autant, pas question de parler de véritable simulation ou de jeu élitiste puisque Shift ne compte aucunement se couper du fidèle public de la série NFS. Simplement, le moteur du jeu et sa physique offrent bien plus de garanties, en termes de sensations, que les précédents épisodes. Ceci ajouté au fait que l'on tourne (enfin) le dos à des scenarii bidons, à des cinématiques lourdingues et à un esprit ras les pâquerettes qui se limite à savoir qui a la plus grosse, Need for Speed semble parti pour tirer des leçons de toutes les erreurs passées.
Nous avons enfin pu tâter au volet le plus sérieux des trois prochains NFS à venir. Premières impressions à chaud de ce qui va peut-être devenir l’expérience de course ultime. Bien calés au fond du canapé, pad en main, nous avons pu voir ce que NFS Shift a dans le ventre. Et pour commencer cet aperçu, nous allons vous parler de la première chose que l’on remarque dans le jeu : les mouvements de caméra en vue interne. Se voulant simulation et arcade à la fois, cette version de NFS introduit une caméra interne des plus réalistes. Mains sur le volant, compteurs affolés, rétroviseur, vision extérieure qui devient floue lorsque le bolide va trop vite, mais surtout des mouvements de caméra singeant la réalité. A chaque virage, la caméra s’oriente de manière à vous montrer la fin de la courbe, comme le ferait le regard d’un vrai pilote, mais ce n’est pas tout.
Gamekult
Ajouté le : 03/2009
Plus accessible...
Endiguer l'hémorragie Need For Speed (et une partie de celle d'Electronic Arts par la même occasion) par le biais de trois nouveaux épisodes pour la saga - un axé simulation, un plus arcade et un multijoueur -, c'est là l'intention de l'éditeur américain, qui nous avait convié le mois dernier à une présentation de l'un de ces projets : Need For Speed : Shift. Il s'agit du volet le plus orienté simulation, prévu sur Xbox 360, PS3, PC et PSP, et confié non pas à EA Black Box mais à des experts du genre puisque c'est le studio Slightly Mad, ex-Blimey! Games et composé d'anciens de Simbin, qui s'y colle. Ses projets internes en suspens (Ferrari Project et Kart Attack) suite aux tourments de 10tacle, le développeur avait donc tout le temps de se consacrer à cette nouvelle tâche qui nous est apparue dans une version PC certes pré-alpha mais néanmoins relativement avancée, surtout pour un titre annoncé il y a peu. En voici donc nos premières impressions.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Need For Speed : Shift. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Need For Speed : Shift.