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Nous avons réuni 15 tests du Napoleon : Total War. Les experts notent Napoleon : Total War 8.6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Napoleon : Total War et d'autres Jeux PC.
Pile un an après la sortie d’Empire : Total War, le duo gagnant de la stratégie à grande échelle que forment SEGA et The Creative Assembly revient avec Napoleon : Total War. Un titre équivoque qui nous envoie au début du 19ème siècle, peu après la révolution française pour participer à l’irrésistible ascension du jeune corse appelé à devenir le premier empereur français. Napoleon : Total War nous offre donc la possibilité de revivre à l’échelle les campagnes militaires du génie de la stratégie qu’est Napoléon Bonaparte. Epaulé par des historiens dans un souci d’exactitude, les développeurs nous permettent de suivre le général dans trois campagnes bien distinctes et se déroulant chacun totalement différemment. La première n’est autre que la campagne d’Italie, premier coup d’éclat de Bonaparte alors âgé de 24 ans. A la tête d’une armée considérée comme ridicule, vous partez de Nice pour traverser et conquérir le Nord de l’Italie jusqu’en Autriche. Un véritable rush qui se déroule en 20 tours de jeu soit 10 mois. Car dans ce nouveau Total War, les tours ne couvrent plus six mois chacun mais deux semaines (ou la moitié d’un mois).
A quelques mois de son dixième anniversaire, la série Total War nous revient avec Napoleon : Total War, une extension stand-alone fondée sur les bases d'Empire : Total War. L'occasion pour The Creative Assembly de se racheter une conduite en nous offrant une finition enfin digne du pedigree de la série pour ce plongeon dans la vie du Petit Caporal. Oubliez temporairement la classique Grand Campaign de Total War - bien qu'il soit possible d'en faire une grâce au mode Campagnes de la Coalition - pour découvrir le nouveau mode de jeu principal de ce nouvel opus de la série avec les Campagnes de Napoléon. Comme prévu, il s'agira là de suivre la carrière de Napoléon dans l'ordre chronologique sur trois théâtres différents, à commencer par la campagne d'Italie, pour enchaîner sur l'avancée en Egypte et terminer avec le face à face entre l'Empereur de France et l'ensemble de la Coalition en Europe. L'échelle grandissante avec laquelle on évoluera représente bien les différences entre chacune de ces trois mini-campagnes puisque l'Italie sera une véritable course contre la montre qui ne laissera pas beaucoup de temps à la réflexion ou au repos, alors que l'on aura au moins le temps de souffler temporairement en Afrique du Nord et finalement de nous installer plus confortablement pour la troisième et dernière partie du jeu.
Tous les prétextes sont bons pour partir en guerre. Et si on s'intéressait cette fois au fameux Corse ? Bonne pioche ! Les Total War se suivent et ont quand même sérieusement tendance à se ressembler. Depuis dix ans, c'est une recette à peu près immuable qu'on retrouve dans ce jeu consacré au général corse : un volet stratégique, avec carte générale, en tour par tour, où il s'agit de gérer des villes, d'y construire bâtiments et infrastructures, tout en développant notre arbre technologique, histoire de satisfaire la population et d'amasser assez d'argent pour lever des troupes et les envoyer se battre. Car si on connaît Napoléon, ce n'est pas vraiment pour sa philatélie galopante ou son amour irraisonné du surf des neiges, mais bien pour ses qualités de général et de conquérant. C'est là que se déploie l'aspect tactique. Qui peut, selon les goûts, être considéré comme le coeur du jeu ou comme la cerise sur le gâteau. Une très grosse cerise juteuse alors, sur un gâteau par ailleurs relativement quelconque. En effet, on peut parfaitement zapper les combats et laisser le soin à l'intelligence artificielle de les résoudre, mais ce serait passer complètement à côté du soft, en plus d'aller au devant de graves déconvenues : l'IA est parfaitement capable de se faire laminer lors d'une bataille pourtant imperdable.
Le petit monde des jeux de stratégie est traditionnellement scindé en deux catégories bien distinctes : celle du tour par tour et celle du temps réel. Depuis ses débuts il y a dix ans, la série des Total War tente de réconcilier les deux approches, avec une certaine réussite d'ailleurs et même une réussite certaine puisque le succès critique et commercial se renouvelle d'épisode en épisode. Le dernier en date se focalise sur les conquêtes de Napoléon et prend ainsi fort logiquement la suite d'Empire Total War, dédié au XVIIIème siècle.Il aura fallu quelques bons gros patchs après la sortie d'Empire : Total War pour que le jeu soit enfin débarrassé de ses bugs les plus gênants. Ce manque de finition, que nous reprochions d'ailleurs très clairement dans notre test de l'année dernière, pouvait laisser craindre le pire pour Napoleon Total War. Et cette fois, une telle négligence ne serait absolument plus acceptable ! Car même s'il ne s'agit pas d'une extension à proprement parler, ce titre autonome repose tout de même grandement sur les fondations de son prédécesseur. L'affaire commence plutôt mal puisqu'un premier bug apparaît lors de l'installation du jeu et de sa mise en relation (obligatoire) à un compte Steam.
Figure mythique de l'Histoire avec un grand "H", chef militaire hors pair, l'ami Napoléon connut aussi une déculottée sans précédent sur le champ de bataille de Waterloo, petite bourgade de mon plat pays. Mais l'issue tragique de cette ultime échauffourée contre les forces anglaises et prussiennes était-elle inévitable ? Les développeurs de Creative Assembly pensent que non et vous proposent aujourd'hui de réécrire la destinée du petit caporal. Rien que ça.Pas de répit pour les héros : un an à peine après la sortie d'Empire : Total War, il est déjà l'heure de rallier les troupes et de repartir en guerre. Couvrant cette fois-ci une période allant de 1796 à 1815, Napoleon : Total War propose trois campagnes couvrant les principaux faits d'armes du célèbre Empereur (Italie, Egypte et Europe) pour culminer par la mythique bataille de Waterloo. La première chose qui frappe dans ce nouvel opus, c'est le soin apporté à la narration. Plutôt que se voir jeté dans une sorte de bac à sable gigantesque, le titre nous prend cette fois-ci par la main dès les premières minutes et nous invite à marcher dans les pas de l'ami Bonaparte, tout en apprenant un peu plus sur son parcours légendaire.
2000-2010 : la saga Total War fête ses dix années d'existence. Dix années que la série brille au firmament de la stratégie, grâce à une formule aujourd'hui extrêmement aboutie, patiemment forgée par les passionnés œuvrant au sein de The Creative Assembly. Après nous avoir fait combattre dans plusieurs contextes, depuis les champs de bataille de l'Europe médiévale jusqu'à la naissance de l'empire romain, le studio anglais s'arrête sur une période particulièrement riche de l'Histoire : les guerres napoléoniennes. Empire Total War, le précédent titre de la série, s'arrêtait en 1800. Une fin frustrante, quand on sait que les quinze années qui suivirent cette date furent extrêmement riches sur le plan de la géopolitique européenne - donc de la guerre, fatalement. En effet, en France, un petit bonhomme d'origine corse venait de conquérir le pouvoir, et allait batailler sur tous les fronts pour mettre le continent sous sa botte taille 37. Un expansionnisme que les puissances voisines ne virent évidemment pas d'un bon oeil, et qui plongea alors l'Europe dans une de ses grandes spécialités : la guerre.
Depuis exactement dix ans, les Britanniques de The Creative Assembly font vivre et évoluer la saga Total War. Depuis exactement dix ans, ils s'en tiennent au rythme raisonnable d'un épisode tous les deux ans et parfois une extension pour enrichir un peu les choses. Seulement voilà, alors qu'Empire Total War est sorti en mars 2009, The Creative Assembly nous en propose déjà une suite « napoléonienne ». Les pérégrinations européennes du trublion corse ne sont évidemment pas en cause et les deux décennies ainsi couvertes ont même toutes les chances de passionner les joueurs, mais tout de même... un an après Empire Total War, est-ce bien raisonnable ? Révolutionnaire à la sortie de Shogun Total War, The Creative Assembly s'est depuis installé dans une sorte de petite routine pas désagréable pour le joueur féru d'histoire comme pour le fanatique de stratégie / wargame. À chaque nouvel opus, les développeurs nous font effectivement découvrir une nouvelle période historique et, ce faisant, nous permettent d'élaborer de nouvelles stratégies de combat en fonction des unités / des technologies de l'époque. Au fur et à mesure des versions, les développeurs ont aussi considérablement enrichi le principe de leurs jeux.
Enfin ! Depuis le premier Total War, Shogun de son petit nom, je rêvais de ce système de jeu à l'époque napoléonienne. A l'annonce du dernier de la série Empire, je m'étais pris à espérer, mais il ne couvrait que la période 1700 à 1800 et mettait l'accent sur les colonies à cette époque. Jeu de stratégie tour à tour comme ses nombreux prédécesseurs, Empire : Total War apportait une dimension nouvelle à la série puisqu'on pouvait se balader de l'Europe à l'Amérique du nord en passant pas un bout d'Asie. Ouvrir et protéger ses routes commerciales étaient de la première importance pour pouvoir développer son petit lopin de terre au bout du monde et enrichir la mère patrie. Les combats navals étaient la deuxième grande nouveauté du jeu et la modélisation des bâtiments, un modèle du genre. Je me suis bien douté à moment-là que le prochain serait - enfin ! - consacré à Napoléon, de même qu'il serait logique pour des raisons pratiques (il suffit d'adapter les unités de l'époque napoléonienne et d'ajouter la mitrailleuse, le train, le sous-marin et le cuirassé) mais également commerciales (les USA sont un gros marché !) que le prochain soit consacré à la guerre de sécession...
Gamekult
Ajouté le : 01/2010
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Déjà rencontré à deux reprises depuis son annonce à l'orée de la gamescom l'an dernier, Napoleon : Total War remet ça à un mois de sa sortie en s'invitant à la rédaction dans une toute première version jouable. Au programme, un premier aperçu de la campagne d'Italie qui annonce plutôt de bonnes choses pour ce futur stand-alone d'Empire : Total War. Rendez-vous de l'autre côté des Alpes en l'an de grâce 1778 aux commandes d'un certain Général Bonaparte avec une mission simple ; bouter l'occupant autrichien du nord de l'Italie. Plus facile à dire qu'à faire lorsque les troupes proposées par la couronne de France ne sont ni très nombreuses ni particulièrement entraînées. Pas de panique, une alliance de fortune avec les autres camps des environs - convaincus à grands coups de baïonnettes - devrait assurer un combat un tant soit peu équilibré contre les forces venues d'Autriche. Comme d'habitude, on entame notre campagne dans la vue stratégie de notre théâtre de bataille, ici délimité par les Alpes Maritimes à l'ouest, la Toscane au sud et Venise à l'extrême est. Un terrain de jeu bien plus réduit que d'habitude mais exploré sous une grosse loupe donnant un aperçu bien plus détaillé des régions que dans Empire : Total War.
Empire : Total War était bâclé. Sommes tous d'accord sur ce point ? Même ceux qui l'avaient adoré admettront que ses bugs étaient «une honte», les déplacements lors des combats «capricieux», l'IA «distraite», les tutoriels «très légers» et son manuel «un pavé indigeste». Ce n'était pas tout à fait « tout dans le style et rien en substance», mais plutôt un salmigondis de styles et une substance gélatineuse visqueuse qui obligerait à se raser le crâne si jamais elle se prenait dans vos cheveux. Encore pire, de nombreuses personnes ayant acheté Empire : Total War ont attendu en vain un correctif général qui n'est jamais vraiment arrivé, Creative Assembly ayant préféré consacrer son temps à la création de DLC payants. Quoi d'autre ? Eh bien, CA avait à l'origine imputé le retard dans la sortie de Empire : Total War à l'implémentation d'une campagne multi-joueurs complète qui a vu le jour il y a seulement un mois sous la forme d'une bêta en un-contre-un. Oups ! À partir de là, le développeur dispose de trois options : prétendre que tout va pour le mieux et continuer à faire des jeux Total War, en dévalorisant progressivement la série (cf Tony Hawk) ; prétendre qu'Empire n'a jamais existé et redémarrer la licence sur de nouvelles bases, cette fois-ci avec un plus grand souci de la qualité (cf Final Fantasy VIII) ; ou ne rien prétendre du tout, mais examiner en profondeur ce qui ne va pas, se retrousser les manches et le réparer (cf : le Halo 2 180).
Quand Sega annonce un nouveau jeu de stratégie avec les mots "Total" et "War" dans son titre, on sait à peu près à quoi s'attendre en matière de principe et de véracité historique. Et si le futur Napoléon Total War s'inscrit dans la licence en question par ses mécaniques et son contexte, il surpasse dans la forme tous les opus précédents. On appelle cela "capitaliser sur ses acquis". Et c'est bien ce dont il est question avec ce volet de la série de stratégie consacré cette fois-ci à notre petit caporal, véritable fierté nationale. Comme nous l'a précisé Mark O'Connell -le chargé de communication du studio de développement Creative Assembly- en préambule à la présentation, les créateurs de la série ont pour méthode de travail de reprendre ce qui fonctionnait dans les volets précédents et de corriger les points faibles, qu'il s'agisse de ceux qu'ils ont décelés eux-mêmes ou de ceux que leur ont signalés les joueurs. Pour être précis, dans le cas qui nous occupe, cela se traduira entre autres par le renforcement de l'influence réaliste des saisons sur les campagnes que le joueur souhaitera mener. Cet apport aura des répercussions importantes au niveau stratégique.
Gamekult
Ajouté le : 12/2009
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Annoncé lors de la gamescom 2009 de l'été dernier à Cologne, le stand-alone Napoleon : Total War nous revient aujourd'hui avec quelques confidences supplémentaires dans sa besace. L'occasion d'en apprendre encore un peu plus sur ce nouveau titre de The Creative Assembly, qui s'annonce une fois de plus comme un indispensable pour les fans de stratégie. On le sait déjà depuis quelque temps, le mode campagne de Napoleon : Total War se divisera entre trois théâtres successifs suivant la carrière de Napoléon Bonaparte, depuis ses débuts en Italie jusqu'à son affirmation de général en Egypte et enfin son règne d'Empereur de la plus grosse puissance militaire d'Europe. Outre cela, le stand-alone fondé sur les bases d'Empire : Total War proposera aussi ce que les développeurs présentent comme un "combat de boss" avec l'intégration de la bataille de Waterloo. Ce scénario unique qu'il faudra débloquer nous mettra face à un défi de taille puisque son objectif sera de réussir là où Napoléon lui-même a échoué. Les allergiques à la gestion présente dans la Grand Campaign pourront eux choisir un cheminement alternatif pour suivre la montée en puissance du général corse grâce au mode "Batailles de Napoléon" qui nous fera simplement enchaîner toutes les escarmouches de sa carrière dans l'ordre, en exigeant des victoires à chaque fois pour débloquer les combats suivants.
Au début de l'année, les Anglais de The Creative Assembly nous entraînaient en plein XVIIIème siècle et nous invitaient à répandre le sang sur terre comme en mer dans une terrifiante frénésie de conquête. Mais chacun sait que la guerre n'a pas de limite et ne s'éteint jamais, surtout lorsqu'elle est orchestrée par des personnages tels que Napoléon Bonaparte. Quels que soient les contextes historiques abordés (Rome antique, Japon féodal, Moyen Age, XVIIIème siècle), la série créée par les Anglais de The Creative Assembly a toujours su nous mettre dans le bain grâce à un gameplay parfaitement huilé, mélangeant avec élégance et efficacité des séquences de gestion au tour par tour et des affrontements épiques entre des milliers d'hommes. Mais l'heure est maintenant venue de s'intéresser à une toute autre période, une période qui nous touche tout particulièrement puisqu'il s'agit de l'ère de conquêtes de Napoléon, s'étendant de la fin de 18ème au début du 19ème siècle. Napoléon : Total War nous a été présenté par les développeurs comme une sorte de version ultime, quelque chose qui regrouperait toutes les meilleures idées du studio en un seul et unique titre.
Gamekult
Ajouté le : 08/2009
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A peine six mois après l'arrivée d'Empire : Total War, les développeurs britanniques de The Creative Assembly ont surpris leur monde à la gamescom de Cologne en Allemagne avec l'annonce de Napoleon : Total War. Ce nouveau titre de la fameuse franchise stratégique se concentrera comme son nom l'indique sur les guerres napoléoniennes, avec une approche un peu plus "scénarisée" que d'habitude. Napoleon : Total War s'organisera autour d'un trio de grandes campagnes nous invitant successivement au nord de l'Italie, au coeur du Moyen-Orient et finalement dans la grande Europe elle-même. Ceux qui suivent un minimum noteront que le nouveau titre de The Creative Assembly semble suivre les différentes campagnes de Napoléon, et pour cause, les développeurs comptent ici nous livrer un Total War orienté "personnage et histoire". Aussi étrange que cela puisse paraître pour les vétérans de la série, on sera effectivement invité à faire au moins aussi bien que le fameux général bombardé empereur, et même à transcender ses écarts en portant l'armée française jusqu'à une victoire totale contre les Russes ou les Anglais.
Parlons donc de Napoléon, un des plus grands stratèges militaires de l'histoire. Un homme qui a pratiquement tenu à lui tout seul les rênes du pouvoir dans une des plus grandes nations d'Europe durant une période de guerre ouverte effroyable et qui a bâti un empire qui allait englober quelques-unes des plus grandes dynasties de la fin du XVIIIe et du début du XIXe. Un homme né en Corse en plein conflit, qui conduisait lui-même les charges sur le front de bataille – prenant plaisir au combat jusqu'à ce que l'âge l'empêche de continuer. Un homme qui a changé pour toujours le visage de la guerre. Il est donc tout à fait approprié qu'il reçoive l'hommage d'un jeu Total War à part entière. Ce jeu retrace l'ascension du petit caporal vers le pouvoir, et les dévastations qui suivirent à travers l'Europe et l'Égypte, et permet aux joueurs de suivre ou d'altérer le cours de l'histoire en battant éventuellement Wellington et la coalition des Six à Waterloo pour continuer sa marche inexorable à travers les nations européennes. Bien entendu, ceux d'entre vous qui souhaitent voir Bonaparte se faire humilier peuvent enfiler les bottes de Wellington ou plusieurs des infortunés chevaux de Blücher pour essayer de faire trembler de peur le grand général comme l'ailurophobe (peur des chats) qu'il était.
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