13 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 13 tests du Metro 2033. Les experts notent Metro 2033 7.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Metro 2033 et d'autres Jeux Xbox 360.
S'il est bien un genre de jeu extrêmement représenté sur Xbox 360, ce sont les FPS. Il y'en a tellement qu'on approche même de l'overdose. Désormais, pour que l'un d'entre eux tire sa part du gâteau, il faut que cela soit un BioShock avec un univers unique, ou alors un Call of Duty avec son gameplay nerveux et au multijoueur à succès. Arrive dans la course un certain Metro 2033, presque sorti de nulle part. Saura-t-il se montrer à la hauteur ?L'histoire du jeu prend place en Russie, plus précisément à Moscou. Après une guerre nucléaire, le monde a bien changé et il est devenu extrêmement difficile pour les humains d'y vivre... ou plutôt d'y survivre. En effet, des émissions de gaz radioactifs émanent d'un peu partout et plusieurs espèces mutantes on fait leur apparition... Ambiance. On doit l'histoire au jeune auteur russe Dmitry Glukhovski puisque le jeu reprend la trame de son roman du même nom.Les derniers survivants se terrent désormais dans des anciennes stations de métro, dans lesquelles nous passerons les quelques heures de jeu que nous offrira le titre. Dans la peau de Artyom, il nous faudra tenter l'impossible pour sauver sa station d'une destruction totale.
Un titre bien assez évocateur pour comprendre l'univers du jeu, un packshot digne d'une affiche de film hollywoodien, nous voila donc en présence d'un énième FPS, à mettre au crédit de 4A Games cette fois. Adapté d'un roman russe, nous voila plongé au cœur d'un univers post-apocalypiptico-nucléairo-mutant. Bref, vous l'aurez compris avec ce mot inventé de toute pièce, après une catastrophe nucléaire ayant décimé la terre entière, ou presque, nous retrouvons d'irréductibles, non pas gaulois, mais russes dans le métro de la capitale, Moscou. Ceux-ci survivent tant bien que mal en recréant une civilisation plusieurs mètres sous terre, inlassablement attaqués par des mutants régnant sur la surface. Le plan est posé, vous êtes dans l'ambiance, allons prendre les transports en commun.Vous incarnez donc Artyom, un jeune moscovite vivant au nord du dédale des stations de la capitale russe, chaque chapitre vous montrant votre progression dans ce labyrinthe de couloirs sombres car oui, vous devrez voyager. Vingt années après que la terre fut ravagée par une catastrophe nucléaire, les Novalis, créatures mutantes se nourrissant de chair humaine et les Sombres, ayant le pouvoir de pénétrer l'esprit humain, règnent sur la surface du globe.
Univers Consoles
Ajouté le : 06/2010
Plus accessible...
Depuis maintenant quelques temps, tout ce qui touche à l’apocalypse semble fasciner les développeurs tout droit venus de l’est, notamment lorsque la catastrophe s’avère nucléaire. Nous avons déjà pu le constater avec S.T.A.L.K.E.R, qui d’ailleurs n’est pas cité si anodinement ici puisque une poignée des gars derrières ce titre, ont participé au développement de Metro 2033. Basé sur le livre de Dmitri Gloukhovski, le titre de 4A Games nous plonge dans le métro de Moscou pour un voyage aux allures de cauchemar. Prenez donc un ticket, Artyom vous attend. Si les adaptations partent très souvent du septième art pour finir dans nos consoles sous forme de galette le plus souvent vide à souhait d’intérêt, il s’avère que certains studios empruntent un chemin plus particulier qui est celui de l’œuvre littéraire à l’adaptation vidéoludique. Un mélange des genres que l’on a déjà eu l’occasion de voir avec d’autres titres dont Jericho (Clive Barker's) ou encore S.T.A.L.K.E.R qui empreinte son scénario en grande partie à un bouquin. Pour Metro 2033, 4A Games tire du livre éponyme son titre et s’inspire grandement du scénario de son créateur, Dmitri Gloukhovski.
Si les adaptations de film en jeu vidéo sont devenues aussi banales qu'une pomme de terre, il n'en va pas vraiment de même pour les livres, qui, à moins d'être passés par la case cinéma - évidemment -, restent une source d'inspiration très rare pour les développeurs. Cela n'a pas empêché les Ukrainiens de 4A Games de tenter l'aventure avec Metro 2033, tiré donc d'un roman de Dmitry Glukhovsky, best-seller en Russie, qui prévoit à l'humanité un avenir plus radioactif que radieux. Direction le métro moscovite pour un FPS claustrophobe, sombre et terriblement prenant. Des cartes postales de New-York, Paris, Sidney, Moscou... Depuis l'holocauste nucléaire il y a vingt ans, ce sont quasiment les seuls vestiges de ce qu'était notre planète avant. Punaisées au mur grisâtre de la chambre d'Artyom, elles sont pour le jeune homme l'occasion de s'évader de cette station de métro où il a trouvé refuge, lui et d'autres rescapés d'un cataclysme qui n'a pas fait que ravager la terre. Quelques mètres au-dessus d'eux, en surface, Moscou n'est plus qu'un immense champ de ruines balayé par un vent glacial et où rôdent les Novalis, des créatures difformes, fruits de mutations génétiques provoquées par les retombées radioactives.
Nous sommes en 2033. Vingt ans après des évènements apocalyptiques, la population russe s’est réfugiée sous terre dans les réseaux souterrains du métro moscovite. Diverses communautés se sont ensuite formées dans les nombreuses stations qui le composent. On y retrouve notamment des communistes, des espèces d’hippies ou encore, ô joie, des néo-nazis que l’on prend toujours plaisir à dessouder. Dans Metro 2033, on dirige Artyom, l’un des derniers habitants à être né à la surface de la planète. Bien que celui-ci ne soit jamais sorti de sa station de métro, suite à l’attaque d’une station voisine par d’étranges mutants, il va être amené à arpenter les couloirs du métro de Moscou, mais aussi à sortir à l’extérieur, dans des villes ravagées par une catastrophe nucléaire. . Les différents microcosmes qui se sont créés dans les réseaux du métro sont bien rendus, et disposent de leurs propres organisations, de leurs propres politiques. Même la crasse et l’humidité des lieux semblent s’insinuer dans nos chairs. Contrairement à Stalker et ses mondes ouverts, Metro 2033 se cantonne à de longs couloirs étroits. Et c’est tant mieux car cela colle nettement plus à l’atmosphère claustrophobe du jeu.
Metro 2033 n'est pas un jeu qui vous mettra en joie, placera votre coeur dans les meilleures conditions qui soient. Si vous souhaitez ragaillardir votre esprit, profitez plutôt des terrasses fraîchement ouvertes et de ce printemps qui s'annonce enfin. Metro 2033 fait dans le glauque et le sordide. Déjà parce qu'il se joue en grande partie en souterrain, ensuite parce que les évènements que vous allez rencontrer ne donneraient pas envie de poursuivre sa vie d'humain. Imaginez vous une planète dévastée par une catastrophe nucléaire : la surface n'est plus qu'un tas de ruines radioactives et il n'est plus question de se promener sans masque à gaz et armes. De telles conditions ont rendu les derniers survivants particulièrement désespérés, stressés et, parqués comme des animaux dans les sous-sols, les relations entre les hommes ont vite tendance à dégénérer. Ici vous croiserez une jeune femme en pleurs, là un petit garçon jouant tant bien que mal avec quelques jouets ou encore des hommes armés s'invectivant entre eux. Il ne fait pas bon vivre en 2033... Vous voilà donc plongé dans les tréfonds de Moscou, où votre seul réconfort résidera sans doute à boire quelques verres de vodka.
Les FPS venus de l'Est sont légion mais rarement bien mémorables. Pourtant, certains sont capables de tirer leur épingle du jeu. Échappés de l'équipe ayant donné le jour à STALKER, les gens de 4A Games livrent leur vision de l'apocalypse nucléaire d'une façon qui n'est pas tout à fait celle que l'on attendait. Créé par d'anciens développeurs de STALKER, Metro 2033 en a conservé un certain esprit. Inspiré par le roman du même nom, le FPS vous transporte dans les souterrains parcourant le sous-sol de Moscou quelques vingt années après un holocauste nucléaire. Réfugiés sous la ville, les survivants s'organisent, faisant des stations de métro des villages, fuyant les couloirs obscurs ou la surface, glaciale à l'air irrespirable. Dans les profondeurs, tout comme à la surface, il faut résister aux créatures mutantes, les novalis, mais aussi aux pulsions et travers les plus violents de l'humanité. Ici, des néonazis, là des nostalgiques de l'ère soviétique, plus loin de simples voleurs violents qui ne s'embarrassent même pas d'un idéal quelconque. Mais la pire des menaces, c'est celle des Sombres, des créatures qui pénètrent l'esprit des humains pour y semer le chaos.
Sujet de bien des fantasmes depuis la Guerre Froide, l'apocalypse nucléaire continue de fasciner autant qu'elle inquiète. Certains, comme Dmitri Gloukhovski, vont même jusqu'à imaginer ce que serait la vie après la fin du monde moderne, entre mutants, désolation et vie en sous-sol. Et ça marche puisque Metro 2033 est devenu l'un des plus gros succès littéraires de Russie en l'espace de quelques mois. Désormais traduit dans plus de vingt langues (mais hélas toujours pas en français), Metro 2033 se transforme cette fois en jeu vidéo, sous la direction de son auteur, mais aussi du jeune studio ukrainien 4A Games. Élevé à la dur dans les couloirs bondés d'une station du métro moscovite, Artyom fait ce qu'il peut pour rendre son quotidien le plus agréable possible. Entre le manque de tout, l'impossibilité de remonter à la surface à cause de l'air impur et les fréquentes attaques de mutants, la tâche n'est pas aisée. Aussi, c'est avec délectation qu'il se rappelle aux bons souvenirs d'un monde qu'il n'a connu que quelques années avant l'apocalypse nucléaire, grâce à sa collection de cartes postales verdoyantes et dépaysantes. Mais l'insouciance a assez durée. Comme un symbole, le jour où il découvre la statue de la liberté est aussi celui où il prend les armes pour la première fois.
C'est le moment où jamais de vous gratifier d'une de mes anecdotes sur la Russie capitaliste... Il y a deux ans, j'ai eu la chance de me trouver à Moscou pour visiter le salon d'un développeur. À cette occasion, j'ai rencontré un des responsables de la 1C Company et nous avons bavardé du thème de l'Apocalypse qui sert de trame à de nombreux jeux russes et ukrainiens. Il faut y voir en partie le reflet de l'inconscient collectif des gens de la région, m'a-t-il répondu, mais aussi sans doute de l'immense succès rencontré par Fallout. « Tous nos développeurs ont tout simplement envie de faire un autre Fallout», m'a-t-il dit en riant. Ce n'est que plus tard que j'ai totalement réalisé le sens de ses propos. Il ne voulait pas dire qu'ils avaient tous envie de faire des jeux de rôle complexes, mais que le scénario apocalyptique classique se confondait désormais avec les extrapolations fictionnelles des propres utopies négatives de ces pays. Certains des jeux qui nous viennent maintenant de Russie - Fallout, S.T.A.L.K.E.R : Call of Pripyat, Cryostasis, Metro 2033 - sont l'expression de la confrontation de ces idées.La qualité de la fiction revêt manifestement une grande importance dans la culture russe et donc ici, pour les développeurs ukrainiens.
Tiré du livre éponyme, Metro 2033 s'est présenté à nous dans les locaux de Nvidia dans le quartier du Faubourg de l'Arche non loin du quartier de La Défense. Invité par THQ, l'occasion nous a été donné de découvrir le jeu mais surtout de le prendre en main. Impressions. Moscou, 2033, vingt années se sont écoulées depuis des événements apocalyptiques, tandis que la surface du globe a été ravagée par une pluie de bombes nucléaire, s'est constituée dans le réseau du métro moscovite une véritable ville. La géolocalisation déjà n'est pas sans rappeler un autre jeu du genre à savoir S.T.A.L.K.E.R, dont d'anciens membres du studio font partie intégrante du projet développé par les ukrainiens de 4A-Games. Ce n'est donc pas un hasard si certains aspects des deux jeux s'entremêlent. Un scénario unique : un FPS qui vous met en situation de survie post apocalyptique au coeur des réseaux souterrains de Moscou.Un environnement oppressant : affrontez la peur dans des tunnels infestés de mutants et d'esprits fantomatiques.
S'il y a un loisir dont les occidentaux capitalistes semblent ne jamais vouloir se lasser, c'est bien celui consistant à tuer des Russes. Les talentueux Slaves de 4A Games, pour beaucoup anciens de la team ayant enfanté , le savent pertinemment. Leur choix de remettre le couvert avec un FPS est-européen post-apocalyptique était donc à la fois peu surprenant et un peu décevant de conservatisme. Après quelques trailers pas bien folichons, THQ et Nvidia nous ont donc invités dans les locaux de ces derniers à finalement tâter nous-mêmes de la bête, afin de nous faire une idée de sa valeur. Nvidia oblige, le jeu était testable sur avec leur système 3D Vision, pour nous en mettre plein les yeux, et sur , pour pleurer.L'histoire de prend appui sur le roman russe du même nom, au succès somme toute raisonnable dans son pays d'origine (un million d'exemplaires écoulés) et s'apprêtant à être traduit en français. Comme son nom ne l'indique pas, une catastrophe nucléaire a ravagé le monde 20 ans avant le début de l'histoire, qui démarre donc en 2033. Si 99.999% de la population mondiale est évidemment morte dans d'atroces souffrances, quelques irréductibles Moscovites se sont réfugiés dans les couloirs du métro de leur chère capitale, s'en servant d'abri anti-atomique.
Quelques semaines après nos aventures moscovites qui nous avaient permis de jeter un premier coup d'il à Metro 2033, c'est bien plus près de nous, dans leurs locaux parisiens, que THQ nous a offert de le reprendre en main pour un nouvel essai. Cette fois-ci, la présentation a eu lieu sur la version PC. Mais comme dit l'adage "Peu importe le flacon...". L'histoire de "l'oeuvre" Metro 2033 débute en 2002 avec la parution du roman directement sur le site Internet de son auteur, Dmitry A. Glukhovsky. Mis gratuitement à disposition des lecteurs, ce livre virtuel ne tarde pas à rencontrer un énorme succès. En 2005, la version papier sort en librairie et, en quatre ans, il s'en vend 400 000 exemplaires en ne comptant que la Russie. En ce qui concerne l'intrigue, Metro 2033 raconte l'épopée d'un jeune homme, Artyom, qui s'engage dans un long voyage pour sauver ce qui reste de l'humanité vingt ans après qu'une gigantesque catastrophe nucléaire ait rendu la surface terrestre très inhospitalière. Les quelques milliers de survivants se sont réfugiés dans les couloirs et les stations du métro de Moscou mais, même là, leurs vies sont constamment menacées par des attaques de créatures mutantes.
Alors vous pensiez que l'apocalypse aurait lieu fin 2012 et qu'une bande de richards pourrait s'en sortir en s'offrant une place sur une arche high-tech ? Avec Metro 2033, le studio de développement russe 4A Games nous concocte une vision infiniment plus terre à terre, plus grave, plus réaliste et donc plus prenante de cet événement qui pourrait bien changer nos vies s'il survient un jour. Disons-le tout de go, on tient sans doute là l'un des FPS majeurs de 2010. Il vaut mieux éviter d'écouter les rumeurs. En effet, les bruits de couloirs avaient présenté Metro 2033 comme le descendant de Fallout 3 et de Stalker. La relation avec ce dernier était même renforcée par le fait que des développeurs de cette référence ont rejoint le studio qui met actuellement la dernière main à Metro 2033, 4A Games. En fait, il n'en est rien. Si Metro se déroule bien dans un univers post-apocalyptique, c'est un FPS pur jus qui, contrairement aux deux titres cités comme référence, laisse l'aspect "jeu de rôle" se réduire à une portion minime. Vous l'aurez compris, cela ne veut pas dire que cette notion en soit totalement absente mais, vraiment, c'est négligeable et elle prend une apparence vraiment inattendue.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Metro 2033. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Metro 2033.