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Nous avons réuni 14 tests du Metro 2033. Les experts notent Metro 2033 7.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Metro 2033 et d'autres Jeux PC.
Imaginez Moscou dévasté par des hordes de mutants et les rares survivants obligés de se terrer dans le réseau souterrain du métro. C?est le cadre apocalyptique que vous propose Métro 2033, le tout agrémenté de troupes de nazis en vadrouille histoire de corser un peu votre progression. Et bien sur, qui dit métro désaffecté dit souvent environnements confinés et obscurs. Les frileux et autres claustrophobes peuvent passer leur chemin, les autres peuvent me suivre pourvu que leur visée soit juste et leur équipement vérifié? Un démarrage brutal Si Métro 2033 se focalise principalement sur les souterrains du métro de Moscou, vous aurez assez souvent l?occasion de rejoindre la surface, histoire d?admirer le champ de ruines. Le début de l?aventure vous propose d?ailleurs d?émerger à l?air libre au beau milieu d?une tripotée d?ennemis. En fait, il s?agit d?une ellipse narrative qui vous propulse à un moment proche de la fin du jeu. Tandis qu?un ennemi vous met brutalement à terre, sentant votre dernière heure venue, vous vous remémorez vos débuts et l?aventure peut réellement commencer. Vous incarnez Artyom, un jeune habitant d?un avant-poste situé à la périphérie de Moscou.
Si les adaptations de film en jeu vidéo sont devenues aussi banales qu'une pomme de terre, il n'en va pas vraiment de même pour les livres, qui, à moins d'être passés par la case cinéma - évidemment -, restent une source d'inspiration très rare pour les développeurs. Cela n'a pas empêché les Ukrainiens de 4A Games de tenter l'aventure avec Metro 2033, tiré donc d'un roman de Dmitry Glukhovsky, best-seller en Russie, qui prévoit à l'humanité un avenir plus radioactif que radieux. Direction le métro moscovite pour un FPS claustrophobe, sombre et terriblement prenant. Des cartes postales de New-York, Paris, Sidney, Moscou... Depuis l'holocauste nucléaire il y a vingt ans, ce sont quasiment les seuls vestiges de ce qu'était notre planète avant. Punaisées au mur grisâtre de la chambre d'Artyom, elles sont pour le jeune homme l'occasion de s'évader de cette station de métro où il a trouvé refuge, lui et d'autres rescapés d'un cataclysme qui n'a pas fait que ravager la terre. Quelques mètres au-dessus d'eux, en surface, Moscou n'est plus qu'un immense champ de ruines balayé par un vent glacial et où rôdent les Novalis, des créatures difformes, fruits de mutations génétiques provoquées par les retombées radioactives.
Avec son ambiance étouffante, Metro 2033 est classique, trop peut-être pour exceller comme un Stalker. Si on ne le savait résolument ukrainien par ses développeurs, exilés pour partie de chez bitComposer, les créateurs de Stalker, et russe par son père, on pourrait dire que Metro 2033 est un jeu normand. Peut-être bien qu'il est bon. Peut-être bien que non. Le résultat oscille, toujours sur le fil du rasoir, comme le ferait l'aiguille d'un compteur Geiger lors d'une journée portes-ouvertes à Tchernobyl. Saisissants. Les premiers pas dans le métro de Moscou le sont. L'équivalent de la RATP moscovite voit son réseau transformé en micro-monde, coupé de la surface polluée et désolée, où chaque station est une ville, un village, avec ses commerces, ses quartiers d'habitation, etc. Et au fil du jeu, Artyom, notre personnage, découvrira que les querelles de clocher existent même sans clocher. Les survivants, qu'ils soient bandits de grand métro ou, plus tard, communistes ou nazis, se livrent de véritables guerres sans merci. Et puis, quand les hommes s'entendent à peu près, des monstres lycanthropes vous attaquent. A leur sujet on dira que leur cri est effrayant et que leur variété est plutôt restreinte, dans les premières heures du jeu tout au moins.
Si vous êtes, comme moi, fans des FPS solo très immersifs et dotés de scénarios béton, vous avez surement dû vous intéresser il y a un moment déjà à Metro 2033… Alors évidemment, quand j’ai eu la possibilité de le tester en avant première, je n’ai pas voulu écrire le test sans en avoir vu le bout. M’enfin le voici, en espérant que cela vous donnera envie (ou pas !). Metro 2033 est l’adaptation du roman éponyme de Dmitry Glukovsky . En Russie, le roman s’est tout de même vendu à plus de 400 000 exemplaires, et il devrait d’ailleurs sortir chez nous dans le courant de l’année. Le roman (et donc le jeu) se déroule en 2033, la civilisation telle que nous la connaissons a cessée d’exister suite à une guerre nucléaire qui s’est déroulée en 2011. Le personnage principal du titre Artyom, 22 ans, est né directement sous les bombes. Il fait partie des rares survivants, qui sont maintenant installés dans les tunnels du métro Moscovite. La vie à la surface étant impossible, du fait des radiations qui polluent la terre et les eaux, mais aussi par les créatures mutantes qui ont pris possession des villes détruites. Ce qui commence comme une mission pour lutter contre un ennemi plus intelligent que la masse de base des mutants qui se balade dans les couloirs du métro, se poursuit comme une quête initiatique pour Artyom, qui découvrira bientôt qu’il n’est pas tout à fait comme les autres, et que ce qui affecte parfois ses congénaires, comme des pertes de connaissance, ne l’affecte pas lui.
Les FPS venus de l'Est sont légion mais rarement bien mémorables. Pourtant, certains sont capables de tirer leur épingle du jeu. Échappés de l'équipe ayant donné le jour à STALKER, les gens de 4A Games livrent leur vision de l'apocalypse nucléaire d'une façon qui n'est pas tout à fait celle que l'on attendait. Créé par d'anciens développeurs de STALKER, Metro 2033 en a conservé un certain esprit. Inspiré par le roman du même nom, le FPS vous transporte dans les souterrains parcourant le sous-sol de Moscou quelques vingt années après un holocauste nucléaire. Réfugiés sous la ville, les survivants s'organisent, faisant des stations de métro des villages, fuyant les couloirs obscurs ou la surface, glaciale à l'air irrespirable. Dans les profondeurs, tout comme à la surface, il faut résister aux créatures mutantes, les novalis, mais aussi aux pulsions et travers les plus violents de l'humanité. Ici, des néonazis, là des nostalgiques de l'ère soviétique, plus loin de simples voleurs violents qui ne s'embarrassent même pas d'un idéal quelconque. Mais la pire des menaces, c'est celle des Sombres, des créatures qui pénètrent l'esprit des humains pour y semer le chaos. Mais pas le vôtre. Artyom résiste curieusement à ces assauts psychiques car il a un don, un don qui lui fait parfois voir de drôles de choses.
Pour son premier jeu, le studio 4A Games s’offre l’adaptation en FPS d’un roman de science fiction à succès signé Dmitry Glukhovsky. Metro 2033, de son nom, nous raconte la vie des survivants au cataclysme nucléaire qui a ravagé la surface de la terre qui se sont réfugiés dans les coursives du métro moscovite. Un premier titre alléchant, non dénué de qualités, mais il est clair que les développeurs ont encore besoin de faire leurs armes pour convaincre pleinement. Metro 2033 nous place dans la peau d’Artyom, un jeune homme ayant vécu toute sa vie dans les sous-sols de Moscou. Il est désormais en âge de prendre les armes et de défendre sa communauté au péril de sa vie. Guidé par de vieux briscards habitués des lieux et des créatures les peuplant, notre héros part en formation. Mais bien vite, les choses tournent au vinaigre et un certain Hunter lui confie sa plaque d’identité et l’adjoint à se rendre à la station Polis pour les prévenir d’un danger imminent et leur fournir de l’aide. En plus des créatures mutantes nées des radiations, les survivants doivent faire face à divers groupuscules violents. Malgré la situation extrême dans laquelle elle se trouve, l’humanité n’a rien appris et continue de s’entretuer au nom d’idéaux dépassés.
GamePro.fr
Ajouté le : 03/2010
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Si Metro 2033 a la même odeur de souffre que Stalker, ce n'est pas une coïncidence. Son développeur ukrainien, 4A Games, a en effet été fondé par un groupe d'anciens de chez GSC. Pourtant, au-delà de l'ambiance et excepté quelques mécaniques de gameplay partagées, les deux titres n'ont finalement pas grand chose en commun, et surtout pas leur conception. Ainsi, si Stalker lâchait le joueur et sa boussole dans la nature avec son aire de jeu ouverte, Metro 2033 est construit comme un bon vieux Call of Duty, leader des très en vogue FPS mijotés façon scripts/couloirs. Ce qui n'empêche toutefois pas 4A Games de mettre en place un environnement de jeu extrêmement riche, chacune des stations du métro moscovite s'étant transformée en refuge de l'humanité après l'apocalypse nucléaire. Un univers d'autant plus flippant que le livre dont est tiré Metro 2033 s'inspire lui-même de faits bien réels pour construire sa vision de l'horreur, le métro de Moscou étant l'abri anti-atomique civil le plus vaste du monde. Véritable berceau d'une nouvelle humanité devenue espèce menacée.
Fondé par d'anciens de GSC (S.T.A.L.K.E.R.), partis voir si l'herbe était plus verte ailleurs qu'à Tchernobyl, le studio 4A nous propose aujourd'hui de prendre les transports en commun. Enfin, presque. Adapté d'un roman russe à succès, Metro 2033 nous fait traverser les entrailles d'une ville défigurée, où même Mad Max n'aurait pas osé mettre les pieds.Moscou, 2033. Après une catastrophe qui a transformé la surface de la planète en zone hostile, la population a dû trouver refuge sous terre, dans les galeries du métro. Et comme si la vie sans soleil ponctuée d'attaques incessantes de mutants pas beaux ne suffisait pas, voilà qu'une nouvelle menace pointe son nez : les "Dark Ones", d'énigmatiques créatures capables de terrasser quiconque par de redoutables attaques psychiques. Heureusement, le monde a un sauveur : vous, alias Artyom, un pauvre keum qui a la malchance d'être apparemment immunisé contre ces nouveaux arrivants belliqueux. Et c'est parti pour une longue traversée de la ville, avec quelques passages obligés par la redoutée surface, son air empoisonné et ses créatures affectueuses. Pas la peine de vous faire un dessin : Metro 2033 est à ranger dans la catégorie des Survival FPS.
Basé sur le roman russe du même nom, Metro 2033 est un FPS baignant dans une ambiance post-apocalyptique. L’action se situe à Moscou, environ deux décennies après le début d’un hiver nucléaire sans fin. Vivre à la surface est devenue impossible pour les Moscovites qui se sont réfugiés dans les tunnels du métro. Mais ce havre de paix insoupçonné est lui aussi menacé. Des créatures mutantes s’attaquent en effet aux derniers survivants. Et ces monstres-là ne sont pas les seuls à hanter les souterrains. Certains miraculés ont aussi remis au goût du jour certaines idéologies nauséabondes, comme le communisme soviétique et le nazisme. Au cœur des conflits et du désespoir, on incarne Artyom, un jeune russe d’une vingtaine d’années. Du «monde d’avant», Artyom ne sait rien ou presque. Lui qui n’a connu que la grisaille et la pénombre du métro s’évade en contemplant des cartes postales représentant des monuments célèbres, comme autant de reliques d’un monde perdu. Dès l’introduction du jeu, la sinistrose ambiante nous frappe de plein fouet. Metro 2033 est un jeu extrêmement triste. De la musique, sublime, jusqu’aux décors ou aux sons, tout a été pensé de manière à ce que la morosité générale parvienne jusqu’au joueur.
Tout nouveau, tout beau, le studio ukrainien 4A Games a été fondé par des développeurs ayant préalablement oeuvré sur l'excellent S.T.A.L.K.E.R. Sans surprise, leur première production se déroule également dans un univers post-apocalyptique, les alentours de Moscou venant remplacer ceux de Tchernobyl. Mais cette fois, il n'est plus question de parcourir de vastes étendues arides. L'action se déroule essentiellement sous terre, dans des couloirs de métro encore plus angoissants que ceux de Paris. C'est dire !Un cendrier sur lequel repose une cigarette encore fumante, une vieille machine à écrire munie de touches en cyrillique, le livre Metro 2033 dont est tiré le jeu, le plan du métro moscovite en guise d'interface de chargement et deux hommes en armure gardant la porte permettant de quitter le jeu : l'écran principal impose d'emblée sa marque et nous plonge directement dans un univers post-apocalyptique rude et crasseux. L'aventure se déroule dans un Moscou encore dévasté par la catastrophe atomique de 2013. Les rares survivants ont trouvé refuge dans les couloirs du métro, se condamnant ainsi à vivre sous terre en raison de l'hiver nucléaire qui rend la surface impraticable.
Tout ceux qui ont une longue pratique des déplacements en métro vous le diront, c?est un lieu qu?on préfère éviter car il est fatiguant, pesant, et l?air y circule mal, surtout quand il y a foule. Seulement dans le monde de l?auteur russe Dmitry Glukhovsky, voilà 20 ans qu?une guerre apocalyptique a ravagé la surface et a contraint la race humaine à se réfugier dans les sous-sols. Nous sommes à Moscou, en l?an de grâce 2033, et le labyrinthique métro représente un refuge tout relatif. Les développeurs ukrainiens ayant aussi pour une partie créé la licence STALKER savent de quoi ils parlent? Ce n?est pas dans un local de THQ que nous avons pu goûter à l?expérience Metro 2033 mais bien chez Nvidia, constructeur notamment de cartes graphique, qui a apporté son savoir-faire lors du développement du jeu de manière à pouvoir notamment être en mesure de proposer une expérience en 3D sur PC avec la technologie GeForce 3D Vision Ready. Il ne s?agit pas du c?ur de cette preview mais en deux mots je vous dirais qu?une fois les fameuses lunettes revêtues l?aspect de profondeur était concluant, d?autant plus que nous évoluons dans un dédale de couloir à la perspective toujours sombre, faute de beaucoup de lumière.
Quelques semaines après nos aventures moscovites qui nous avaient permis de jeter un premier coup d'il à Metro 2033, c'est bien plus près de nous, dans leurs locaux parisiens, que THQ nous a offert de le reprendre en main pour un nouvel essai. Cette fois-ci, la présentation a eu lieu sur la version PC. Mais comme dit l'adage "Peu importe le flacon...". L'histoire de "l'oeuvre" Metro 2033 débute en 2002 avec la parution du roman directement sur le site Internet de son auteur, Dmitry A. Glukhovsky. Mis gratuitement à disposition des lecteurs, ce livre virtuel ne tarde pas à rencontrer un énorme succès. En 2005, la version papier sort en librairie et, en quatre ans, il s'en vend 400 000 exemplaires en ne comptant que la Russie. En ce qui concerne l'intrigue, Metro 2033 raconte l'épopée d'un jeune homme, Artyom, qui s'engage dans un long voyage pour sauver ce qui reste de l'humanité vingt ans après qu'une gigantesque catastrophe nucléaire ait rendu la surface terrestre très inhospitalière. Les quelques milliers de survivants se sont réfugiés dans les couloirs et les stations du métro de Moscou mais, même là, leurs vies sont constamment menacées par des attaques de créatures mutantes.
Alors vous pensiez que l'apocalypse aurait lieu fin 2012 et qu'une bande de richards pourrait s'en sortir en s'offrant une place sur une arche high-tech ? Avec Metro 2033, le studio de développement russe 4A Games nous concocte une vision infiniment plus terre à terre, plus grave, plus réaliste et donc plus prenante de cet événement qui pourrait bien changer nos vies s'il survient un jour. Disons-le tout de go, on tient sans doute là l'un des FPS majeurs de 2010. Il vaut mieux éviter d'écouter les rumeurs. En effet, les bruits de couloirs avaient présenté Metro 2033 comme le descendant de Fallout 3 et de Stalker. La relation avec ce dernier était même renforcée par le fait que des développeurs de cette référence ont rejoint le studio qui met actuellement la dernière main à Metro 2033, 4A Games. En fait, il n'en est rien. Si Metro se déroule bien dans un univers post-apocalyptique, c'est un FPS pur jus qui, contrairement aux deux titres cités comme référence, laisse l'aspect "jeu de rôle" se réduire à une portion minime. Vous l'aurez compris, cela ne veut pas dire que cette notion en soit totalement absente mais, vraiment, c'est négligeable et elle prend une apparence vraiment inattendue.
Il y a quelques semaines de cela, THQ nous a conviés à un événement très particulier organisé environ 65-70 mètres sous terre. Un événement qui nous a permis de visiter l'un de ces bunkers créés du temps de la Guerre Froide pour accueillir quelques privilégiés dans l'éventualité d'un holocauste nucléaire... Un holocauste nucléaire ? Voilà, précisément le point de départ du prochain jeu d'action conçu par 4A Games pour le compte de THQ. Un jeu basé sur le roman éponyme de Dmitri Glukhovsky, Metro 2033. Dmitri Glukhovsky ne vous dit rien ? N'ayez crainte, c'est normal puisque malgré sa popularité en Russie, l'écrivain ne profite que d'une diffusion restreinte. Alors que la suite, Metro 2034, est déjà disponible en russe, la version anglaise de Metro 2033 ne sortira qu'en février prochain et nous ne parlons évidemment pas d'une traduction française pour le moment... Le jeu en revanche devrait bel et bien être disponible dans la langue de Molière, et ce, dès le mois de mars 2010 si l'on en croit THQ, mais avant d'entrer dans le vif du sujet, faisons les présentations. Sans que l'on ne sache ce qui est vraiment arrivé, 2013 marque plus ou moins la fin du monde tel que nous le connaissons.
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