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Nous avons réuni 10 tests du Mario vs. Donkey Kong : Pagaille à Mini-Land. Les experts notent Mario vs. Donkey Kong : Pagaille à Mini-Land 7.4/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Mario vs. Donkey Kong : Pagaille à Mini-Land et d'autres Jeux DS.
Près de 2 ans après sa dernière incursion sur DS (via DSiWare), la licence Mario vs. Donkey Kong revient finalement sur le devant de la scène, en amenant sous son bras une toute nouvelle intrigue, prétexte à un challenge des plus corsés ! Pas de chance : Donkey Kong s'est décidé d'enlever Pauline. Bon, en même temps, la belle à l'habitude, le manège dure depuis plus de 20 ans. Toujours est-il que le plombier, gentleman dans l'âme, ne peut rester les bras croisés à ne rien faire. A croire qu'il n'avait pas tout à fait mesuré l'ampleur de la tâche qu'il aura à remplir pour sauver la belle des griffes du gorille, puisque ce sont cette fois plus de 80 nouveaux niveaux qui l'attendent. Pour les petits nouveaux n'ayant jamais touché à cette série, sachez simplement que cette série ne vous propose pas de diriger directement Mario, mais ses répliques miniatures, qu'il vous faudra à chaque fois mener d'un point A à un point B. Vu comme ça, ça pourrait (presque) paraître simple. Une fois devant le problème, on se rend compte que ça l'est déjà nettement moins, puisque vous devrez constamment guider ces têtes de linottes aussi butées que des Lemmings, en interagissant comme vous le pourrez avec le décor.
Et de trois pour Mario vs. Dronkey Kong sur Nintendo DS. Après une première sortie tactile en 2006/2007 puis une déclinaison DSiWare quelques temps plus tard, c'est une fois de plus sur cartouche que le plombier moustachu et Donkey Kong viennent régler des comptes, pour les beaux yeux de Pauline. Désormais disponible, Mario vs. Donkey Kong : Pagaille à Mini-Land ! arrive t-il à nous combler et nous surprendre ? Il fait beau et il faut chaud, la foule est en nombre pour la grande inauguration du nouveau parc d'attractions Mini-Land, en compagnie de Mario et de son amie Pauline. Il faut dire que les 100 premiers visiteurs du parc ont droit à une mini-Pauline, chose que l'ami Donkey Kong a bien enregistré mais malheureusement pour lui, le primate est le 101ème client à se présenter devant les guichets du parc. Forcément un peu sur les nerfs, Donkey Kong laisse éclater sa colère et kidnappe la vraie Pauline au nez et à la moustache de Mario, puis s'enfonce dans les attractions du parc. Le plombier embarque alors ses mini-Mario avec lui et se lance à la poursuite de Donkey. Un périple qui va se dérouler sur huit stages correspondant à autant d'attractions/environnements différents, chacun des stages proposant huit niveaux, un mini-jeu et un combat final face à Donkey Kong.
Après un premier volet sur GBA, intitulé Mario Vs. Donkey Kong, sorti en 2004, puis deux versions DS, sorties respectivement en mars 2007 (Mario Vs. Donkey Kong 2 : La Marche des Mini), et en 2009 en version WiiWare (Le Retour des Mini), le puzzle game mettant en scène les mini "zêtres" jouets reviennent dans cette nouvelle version DS, intitulée Mario Vs. Donkey Kong : Pagaille à Mini-Land!. Tout le monde aura compris qu'il s'agit là d'un sympathique hommage au tout premier Donkey Kong sorti dans les années 80. Néanmoins, que vaut donc ce nouvel opus ? Réponse quelque part en dessous, normalement...Pour commencer comme il se doit, j'avoue que je ne résiste pas à l'envie de vous dévoiler le "pitch" de Mini-Land! tant il est aussi chiadé que celui d'Inception, comme dirait Mimic. C'est parti... Alors que Mario et Pauline inaugurent le parc d'Attractions Mini-Land, qui est censé rapporter des millions à Mario, Donkey Kong qui est le 101ème client, es recalé pour obtenir gratuitement une figurine à l'effigie de Pauline justement. Fou de rage, il kidnappe la vraie en chair et en os, et disparaît dans le Parc. Mario part alors à sa poursuite, en compagnie de ses chers mini-Mario...
En 2004, Mario vs. Donkey Kong se présentait comme un hommage modernisé au titre arcade Donkey Kong, plus de 20 ans après la première apparition des deux héros de Nintendo. Mélange de jeux de plate-forme et de puzzle, en passant sur Nintendo DS, la série s’est clairement orientée vers la réflexion, s’approchant alors d’un clone de Lemmings. Très grossièrement, le titre consistait alors à conduire des mini-mario vers la sortie d’un niveau. Et à nouveau, c’est ce concept que l’on retrouve dans Pagaille à Mini-Land ! Dans ce nouvel épisode, Donkey Kong vient une nouvelle fois gâcher la fête. Durant l’inauguration du parc Mini-Land, le gorille prend un malin à plaisir à kidnapper Pauline, comme à la belle époque. Ni une, ni deux, Mario part sauver sa promise (un jour ou l’autre, il va quand même falloir que l’italien choisisse entre Pauline et Peach). Mais sans doute fatigué de ses aventures galactiques, de ses courses de kart et de ses séances de sports, il envoie des mini-Mario faire le boulot à sa place. Ces derniers s’apparentent à de petits automates à clé qui, contrairement au précédent volet, une fois mis en branle, ne peuvent plus être stoppés.
Sur GBA, le premier Mario vs Donkey Kong était un spin-off efficace de la licence reine, jeu de plateforme pur et dur mettant l'accent sur le franchissement réflexe. Sa suite sur DS reposait sur un système plus statique, l'esprit de logique se taillant même la part du lion face au versant plateforme. Pagaille à Mini Land en reprend les grandes lignes, mais fait également le lien avec la composante réflexe au cœur de tout platformer, par le biais de quelques retouches bien pensées axées sur la vitesse. A mi chemin entre le puzzle game et le jeu d'adresse, le titre de Nintendo possède des atouts certains en dépit de ses limites. Mario n'est plus ici le preux chevalier de Peach, mais de Pauline, son premier amour. Hommage évident à la borne d'arcade mythique de 1980 imprégnant aussi bien un scénario-prétexte que le game design en général, le jeu est aussi marqué par un sens de la récup' un peu trop visible cette fois-ci. Succédant au précédent épisode après trois ans d'absence, cette suite ne se donne, à première vue, que peu d'arguments pour justifier un tel espace de temps. Soyez prévenus : Pagaille à Mini Land ne bouleverse en rien nos attentes, et son game design, certes inventif, reste trop similaire au précédent pour ne pas décevoir d'emblée.
Mario et Donkey Kong ont déjà pu en découdre sur DS, sur DSiWare comme sur cartouche. Cela n'empêche pas Nintendo de remettre le couvert, avec un retour de la licence faisant suite à quelques années d'inactivité. En 2011, Mario vs. Donkey Kong : Pagaille à Mini-Land ! aura-t-il toujours la fraîcheur de ses prédécesseurs ? Monkey Balls Une fois de plus, tout allait bien au pays de Mario. Inauguration d'un nouveau parc d'attractions, distribution de poupées à l'effigie de Pauline... Quand tout à coup, l'imprévisible Donkey Kong débarqua pour enlever la belle amie de Mario (qui est décidément toujours entouré de gonzesses). Ni une, ni deux, notre héros en salopette se lança à la poursuite du gros balourd, équipé d'une armée de petits figurines mécaniques pour faire à nouveau tout le travail à sa place. Le prétexte n'est qu'un détail, et le principe bien connu. Pour ceux qui prennent la série en route, imaginez Mario vs. Donkey Kong : Pagaille à Mini-Land ! comme une sorte de Lemmings dans lequel on agirait directement sur des éléments du décor pour permettre aux figurines d'atteindre la sortie. C'est aussi simple que cela.
Optant pour la même orientation vers la réflexion pure que le précédent Mario vs. Donkey Kong sorti sur DS, Pagaille à Mini Land nous fait donc une nouvelle fois chauffer les neurones, dans le même univers à base de jouets colorés. C'est pourtant sur GBA que l'aventure avait commencé, le soft se proposant de mixer plates-formes et réflexion, sous forme d'hommage au tout premier Donkey Kong. Sur DS, la recette a pourtant bien évolué, prenant en compte les spécificités de la console et proposant un gameplay tout au stylet. Mais cette fois-ci, exit la plate-forme, ce sont vos réflexes et vos capacités d'analyse qui seront mis à l'épreuve. Cette nouvelle formule en avait déçu quelques-uns, mais force était de constater que les niveaux proposés se révélaient intéressants, et avaient su donner du fil à retordre aux joueurs. Dans Pagaille à Mini-Land, on retrouve évidemment notre clique bien connue, au cours d'une histoire simple reprenant les mêmes éléments que dans les précédents épisodes. Toujours passionné de jouets à l'effigie de petits personnages, Donkey Kong va cette fois-ci kidnapper Pauline lors de l'inauguration du parc d'attractions de Mario, rempli de figurines à son effigie.
Le plus célèbre kidnappeur simiesque revient, Mario et ses miniclones le poursuivent dans un dédale de casse-tête. Joie ! Pagaille à Mini-Land est de ces jeux qui nécessitent que l'on possède beaucoup de cheveux, pour pouvoir se les arracher, pas mal de jugeote, un peu de sang-froid et une patience infinie face aux princesses insupportables et inutiles qui ne manquent pas de se faire kidnapper par un gorille, bon bougre en définitive. La princesse, dont la voix fait se demander si on ne pourrait pas la laisser dans les bras de ce grand Kong, a donc besoin d'aide. Et Mario, Kong comme ses pieds, se lance donc, une fois encore, sur le fil ténu de cette trame éculée. Après trois épisodes, on pourrait craindre que le tout soit un brin répétitif, eh bien non ! On se retrouve, plus de 110 niveaux durant (sans compter ceux que l'on peut créer avec l'éditeur), à jouer du stylet pour déclencher les actions au bon moment, à construire le pont avec la bonne inclinaison ou à diriger un personnage dans le bon sens. C'est la force de cette minisérie : à chaque épisode, elle conserve le fond de son gameplay – des mini-Mario au cerveau de Lemmings, qui, une fois activés, avancent sans se poser de question vers la mort, la porte du niveau ou une option – et y ajoute de nouveaux éléments.
Autant faire clair : tout comme Mario vs. Donkey Kong 2, le scénario de Mario vs. Donkey Kong : Pagaille à Mini-Land tient dans un mouchoir de poche et est loin de nous réserver des retournements de situation d'anthologie. Alors que Mario et Pauline terminent d'inaugurer l'ouverture du parc d'attractions de Mini-Land, offrant des poupées à l'effigie de la belle, Donkey Kong déboule trop tard pour récupérer le précieux sésame. Dans un accès de rage, il kidnappe Pauline et part se cacher dans le parc en espérant y rester sans être dérangé. Mais c'est sans compter la présence de Mario sur les lieux qui, avec l'aide de ses mini-Mario, se lance à la poursuite du gorille pour délivrer la pauvre Pauline. Point d'originalité ici donc puisqu'il s'agit encore et toujours d'aider les mini-Mario à traverser les différentes attractions occupées par Donkey Kong. Des niveaux d'ailleurs sortis de l'esprit tordu d'un développeur et qui mettront vos méninges à rude épreuve. Quant aux décors, ils s'inspirent toujours de l'univers coloré des Mario et il ne sera donc pas étonnant de reconnaître certains environnements familiers que le plombier de Nintendo a visité durant ses jeunes années.
Avant que l’on ne refile le sale boulot à une grosse tortue pleine de pointes, c’était un gorille qui était en charge de mettre la pagaille dans la vie du plomber moustachu. Nintendo se fait un plaisir depuis quelques années de nous rappeler ce bon vieux temps avec deux hommages à ce qui fut le premier jeu de plateforme de l’histoire. Après un premier épisode sorti sur Game Boy Advance et une suite DS qui avait pour principe de couper les ponts avec son prédécesseur, l’éditeur revient en force (ou pas) avec cette seconde suite, qui ne mettra toujours pas tout le monde d’accord. Comment définir cette nouvelle suite si ce n’est que, là où le premier opus se trouvait à l’opposé du deuxième, celui-ci en est la copie conforme ? En effet, ce Mario VS Donkey Kong 3 reprend les mécanismes de son prédécesseur et reste donc toujours aussi éloigné du jeu sorti sur Game Boy Advance en 2004. Un choix qui laissera donc les amoureux de Mario dans leurs camps (retranchés) respectifs, et qui fera surtout la joie des amateurs de la première mouture DS. On retrouve ainsi huit mondes contenants chacun autant de niveaux « de bases », quelques tableaux bonus et un combat de boss.
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