Magicka
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Nous avons réuni 9 tests du Magicka. Les experts notent Magicka 7.4/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Magicka et d'autres Jeux PC.
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Test Magicka
Test de Magicka
Le PC est décidément une plateforme de jeu pleine de surprises. C’est en effet bien souvent sur nos machines surpuissantes qu’apparaissent les meilleurs titres indépendants, petits par le prix, mais grands par le gameplay : Super Meat Boy, Amnesia, Machinarium, Minecraft... Et maintenant Magicka. Développé par Arrowhead Game Studio et édité par Paradox (connu pour la série des Heart of Iron), Magicka ne coûte que 10€ (en boite ou en téléchargement) et vaut largement d’autres titres vendus cinq fois plus cher. Pourtant, à première vue, cette production modeste ne paye pas de mine : graphismes colorés mais un peu grossiers, gameplay en apparence limité... . Ici, pas de loot ou d’inventaire à gérer. Pire, vous n’êtes pas un guerrier surpuissant, capable de déverser sa fureur sur une troupe de gobelins en quelques secondes. Avec votre pauvre épée, votre tunique et votre simple bâton magique, difficile d’inspirer la crainte. Et pourtant, vous allez rapidement découvrir l’idée de génie du titre, celle qui va vous transformer en juge vengeur, adepte des sorts dévastateurs : la combinaison des sorts. Dès le début du jeu, vous avez à votre disposition huit éléments : le feu, l’eau, la foudre, le froid, la terre, la vie, le bouclier et les arcanes.
Magicka
Sorti il y a plusieurs mois en version téléchargeable, Magicka nous revient dans le bel écrin d'une version boîte après avoir rencontré un très fort succès. Il était temps de se pencher sur ce petit phénomène du jeu vidéo à travers un test bien mérité, parce que quand on aime bien, on châtie bien... ou on châtie pas.Tout pourrait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes. Le paysage est bucolique, le ciel est bleu, le soleil radieux, le monde est menacé, il faut une bonne pomme pour le sauver. C'est un peu comme cela que Magicka débute. Le joueur, élève dans une école de magie, se retrouve catapulté dans un monde acidulé, mais néanmoins dangereux, pour deux bonnes raisons. Il est peuplé de créatures fantastiques qui ne voient dans l'homme qu'un remarquable potentiel de garde-manger, et surtout, les magiciens, sensés protéger le monde, entrent à l'école de magie comme un élève de notre monde rentre dans une école de dessin : parce que ses parents partent du principe qu'il ne sait rien faire de ses dix doigts. La messe est donc dite : vous jouez un incapable. Une sorte de catastrophe format nabot.
Test Magicka
Découvert en catimini chez Paradox Interactive lors de la dernière Gamescom, Magicka (à ne pas confondre avec Magicarpe) nous avait tout de suite séduits avec son aspect cartoonesque, ses dialogues qui ne se prenaient pas au sérieux et son gameplay ambitieux. Six mois plus tard, on se retrouve face à un produit fini qui tient plus ou moins toutes ses promesses, mais qui souffre tout de même d'un sérieux manque de finition. Explications. Earth, Wind & Fire Sur le papier, le gameplay et la trame de Magicka pourraient difficilement être plus simples : vous êtes un petit magicien tout juste sorti de l'académie et vous héritez bien malgré vous d'une classique mission de sauvetage du monde. Mais là où la plupart des hack and slash nous placent aux commandes d'un héros surpuissant capable d'éradiquer des armées de monstres d'un moulinet du sourcil gauche, Magicka vous glisse plutôt dans la robe de chambre chamarrée d'un étudiant à la fois suffisamment frêle pour mourir au premier coup de griffe mal placé, mais également incapable de terrasser un pauvre gobelin à l'aide de son épée.
Test Magicka
Sorti d’un peu nulle part, Magicka est l’archétype du petit jeu indépendant qui surprend les joueurs. Un gameplay complètement novateur, de l’humour, des graphismes mignons et une bonne pelletée de bugs. Vendu 10 euros sur Steam ou Gamersgate, Magicka mérite-t-il vraiment la hype qui l’entoure ? Dans Magicka, le joueur incarne un magicien sans nom dont le but est tout simplement de sauver le monde. C’est votre professeur de magie, le mystérieux Vlad, qui vous l’apprend et qui vous envoie au casse pipe pour sauver le Roi et empêcher les vagues d’orcs de mettre le royaume à feu et à sang. Le scénario de Magicka (et le jeu en entier d’ailleurs) ne se prend clairement pas au sérieux. Entre Vlad, le prof aux dents longues, les multiples références aux hack and slashs du passé (Diablo en tête), les bâtons de glace qu’on trouve dans les frigos, les M-16 offert par des villageois sauvés (et confectionnés avec un trombone et un fusil) ou encore les références à Star Wars, Highlander, King Quest.... Magicka accumule des dizaines et des dizaines de clins d’œil tout le long de sa campagne, pour le plus grand bonheur des joueurs un peu cultivés.
Magicka
Des fois c'est dur d'être à la page. Pour Magicka, il aura fallu un peu de temps. Quelques réflexions sur le forum, la nouvelle des ventes records sur Steam, le bouche à oreille, et là on se dit « hum, faut regarder ça de plus près et vite ». Eh ben, heureusement que je n'ai pas raté cette perle !Êtes-vous un polio du clavier ? Parce que si oui, passez votre chemin. Enfin non, restez. Même moi j'arrive un peu à jouer à Magicka, donc ça devrait aller. Qu'est-ce donc que ce jeu ? Une sorte de hack & slash qui se prend pour un beat'em up. Pas de stats, pas de niveau, pas d'inventaire, juste deux armes : un bâton et une épée, aux pouvoirs divers selon ce que vous trouvez sur votre chemin. Mais le plus important, c'est votre magie. Car oui, vous êtes un puissant magicien pouvant maîtriser l'eau, la vie, la protection, le froid, l'électricité, l'arcane, la terre et le feu. Le but du jeu étant de combiner ces effets, jusqu'à cinq fois, pour créer des sortilèges. Par exemple en alliant la terre (qui est un projectile) au feu (qui de base ne s'utilise que façon lance-flammes) on obtient une sorte de boule de feu. L'arcane donne un puissant rayon difficile à diriger, l'électricité saute d'ennemi en ennemi, etc.
Magicka (Preview)
Au départ simple projet d'étude réalisé par quelques fondus de jeux vidéo, Magicka est une sorte de conte de fées assisté par ordinateur dans la mesure où - titulaire d'un prix au Swedish Game Awards 2008 - les créateurs ont été repérés par Paradox qui a décidé de financer leur titre. Un titre qui fleure bon l'originalité, les bonnes idées et le plaisir de jeu, mais qui hélas pêche beaucoup côté finition et stabilité. Heureusement, son prix et le suivi des développeurs font d'ores et déjà bien plus que le sauver. Souvent, les meilleurs titres se trouvent dans les concepts les plus simples et celui de Magicka ne déroge pas à la règle. Dans la peau d'un magicien, il nous faut traverser treize niveaux en combinant huit éléments afin d'obtenir des sorts capables de nous sortir du pétrin. Eau, feu, terre, froid, vie et électricité sont quelques-uns de ces basiques alors que d'autres (vapeur, glace...) sont obtenus par combinaison. Il suffit d'activer un élément puis un autre et encore un autre (jusqu'à cinq) pour aboutir à un sortilège. Combiner l'élément de terre et celui de feu donne naissance à une boule de feu alors que l'électricité et les arcanes génèrent un puissant rayon destructeur.
Magicka
Le marché des jeux vidéo est incontestablement dominé par les éditeurs les plus puissants. Quelques petites productions parviennent toutefois à se frayer un chemin jusqu'au consommateur en compensant leur manque de moyens par une créativité débordante. Malheureusement, toute la bonne volonté du monde ne suffit pas toujours lorsqu'il s'agit d'accoucher d'un bon jeu. Dans le milieu des jeux vidéo comme dans les autres, les blockbusters finissent tous par se ressembler furieusement et on a souvent l'impression de découvrir une énième déclinaison de la même recette. Heureusement, des développeurs un peu plus discrets et plus modestes sont là pour apporter régulièrement du sang frais et de nouvelles idées. Magicka est ainsi typiquement le genre de titre que l'on classerait les yeux fermés dans cette seconde catégorie. C'est en effet un jeu créé à partir d'un concept original et qui, alors qu'il ne s'agissait que d'un projet étudiant, avait reçu la plus haute récompense aux Swedish Game Awards 2008. Si le titre ne manque visiblement ni d'humour, ni de bonnes idées, on est tout de même en droit de rester plutôt sceptique quant à la qualité de sa réalisation...
Gamekult
Ajouté le : 08/2010
Plus accessible...
Magicka (Preview)
Il aura fallu que Blizzard Entertainment se remette à travailler sur la série Diablo pour que le monde du jeu vidéo se décide à revenir au hack and slash, un genre autrefois oublié qui était représenté de tous les côtés à cette gamescom 2010. Si l'attention des fans est sans aucun doute portée principalement sur Diablo III, Torchlight II ou même Dungeon Siege III, nous avons aussi pu découvrir une petite curiosité nommée Magicka chez Paradox Interactive. Présenté comme "un jeu d'action-aventure dans un monde heroic fantasy très cliché" par ses développeurs, Magicka nous invitera comme beaucoup à massacrer des monstres à la chaines dans tout un tas d'environnements lugubres à la recherche de trésors étincelants. La différence avec la grosse majorité des jeux du genre se trouvera en fait dans le système de jeu puisque le petit magicien que l'on incarnera devra combiner plusieurs forces élémentaires pour créer des sortilèges destructeurs qu'il catapultera ensuite sur ses ennemis. Feu, Eau, Vie, Bouclier, Froid, Foudre, Arcane et Terre devront ainsi être ajoutés et mélangés pour donner naissance à notre arsenal de pouvoirs magiques.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 02/2010
Plus accessible...
Preview Magicka (Preview)
À côté des poids lourds de l'industrie du jeu vidéo et leurs budgets pharaoniques, l'année 2009 aura été celle de la reconnaissance des studios indépendants à l'origine de petites perles telles que Braid, Trine ou encore World Of Goo. Une tendance qui devrait se confirmer ces prochains mois comme nous avons pu nous en rendre compte en découvrant par exemple le surprenant Magicka chez Paradox Interactive. Développé par une minuscule équipe suédoise de deux personnes, Arrowhead Games, Magicka ne se compare évidemment pas aux mastodontes qui s'étalent chez les revendeurs, au cinéma ou à la télévision. Il n'est pas ici question de proposer des cinématiques renversantes ou le dernier cri de la technologie... d'ailleurs, la réalisation d'ensemble ne risque pas de décrocher la moindre mâchoire. Pourtant, le concept à la base du jeu et l'ingéniosité de ses créateurs pourraient bien lui permettre de se faire une place au soleil. Dans un monde inspiré par la mythologie nordique, le joueur incarne un magicien dont l'objectif - résolument manichéen - est de stopper un vilain sorcier. Celui-ci a invoqué de diaboliques créatures qui menacent l'harmonie des lieux.
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