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Nous avons réuni 22 tests du L.A. Noire. Les experts notent L.A. Noire 8.6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du L.A. Noire et d'autres Jeux Playstation 3.
Rockstar aime nous faire voyager, du moins dans le temps, dans ces dernières productions. Après Red Dead Redemption et son background western, l'éditeur nous emmène avec L.A.Noire dans le Los Angeles des années 40. Développé par les Australiens de la Team Bondi, dont c'est la première production, le jeu a connu un long développement, parfois chaotique, de 6 ans avant de débarquer dans nos consoles. Le résultat final lorgne vers le point and click tout en intégrant des éléments classiques des productions Rockstar. Nous vous proposons d'embarquer immédiatement dans notre machine à remonter le temps pour savoir si l'attente en valait la peine. Le plus souvent habitué aux rôles de méchant, vous incarnerez dans L.A. Noire un membre des forces de l'ordre, fait finalement assez rare dans l'histoire du jeu vidéo.Comme souvent dans les productions Rockstar, les personnages ont un profil fouillé, Cole Phelps ne fait pas exception à la règle. Rappelons que nous sommes en 1947 au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, comme beaucoup de ses contemporains notre héros a participé aux combats. Il en garde évidemment des traces qui se dévoileront progressivement au fil de l'aventure.
Il en aura fallu de la patience pour enfin mettre la main sur la première production de la Team Bondi éditée par Rockstar : annoncé en 2006 et alors pressenti comme une exclusivité PS3, le jeu disparut ensuite des radars durant de longs mois avant de refaire surface en 2009, cette fois en tant que titre multiplateformes. Près de deux ans plus tard, les développeurs nous livrent un jeu tenant à la fois de GTA et d'Heavy Rain : un mélange certes improbable mais qui se révèle aussi séduisant que surprenant.L'aventure se déroule en 1947, dans un Los Angeles d'après-guerre en proie à toutes sortes de crimes. Vous incarnez Cole Phelps, un ancien officier de l'armée américaine reconverti en membre du célèbre LAPD : démarrant tout en bas de l'échelle comme simple flic, vous gravirez rapidement les échelons en résolvant les affaires qui vous sont confiées. Avec un tel thème, vous ne serez pas surpris d'apprendre que votre temps sera partagé entre des investigations sur les scènes de crime, des interrogatoires de témoins et de suspects, quelques courses-poursuites à pied ou en voiture, et des combats à mains nues ou l'arme au poing.
Avec six longues années de développement au compteur, L.A. Noire avait fini par devenir une de ces arlésiennes du jeu vidéo qui suscite une vraie curiosité. Rockstar nous avait en effet promis une expérience vidéoludique totalement inédite, avec une totale immersion dans l’univers des films noirs. Loin d’être un simple clone de GTA dans les années 40 comme on aurait pu l’imaginer, le jeu de Team Bondi tient une bonne partie de ses promesses L.A. Noire se déroule dans la ville de Los Angeles, en 1947, soit deux ans à peine après la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Une période trouble, gangrénée par les trafics et les syndicats du crime, qui profitent de la faiblesse d’un pays en train de se reconstruire. Le jeu vous place dans l’uniforme de Cole Phelps, ancien lieutenant dans la Marine médaillé pour ses faits de guerre contre les japonais, qui décide de rejoindre l’école de police de Los Angeles. Comme beaucoup de soldats, son expérience dans l’armée l’a changé et servir son pays semble être devenu sa véritable vocation, et ce,bien qu’on comprenne assez vite que Phelps cherche à se repentir de choses dont il n’est pas très fier.
Rares sont les jeux à pouvoir se targuer de faire naître une telle attente chez les joueurs. Fruit du travail de la Team Bondi, L.A Noire a pu jouir dès sa sortie de statut de nouvelle killer-app potentielle. Le fait que Rockstar Games ait embrassé le rôle du marionnettiste, sensé apposer son tampon d'approbation à la sortie, a en effet de quoi nous laisser augurer du meilleur ! Autant mettre les choses au clair tout de suite : ce n'est pas à Rockstar Games que revient le mérite du développement de ce L.A Noire, mais bel et bien à la Team Bondi, fondée par un certain Brendan McNamara, qui fut un temps à la tête de Team Soho, et qui accoucha à l'époque du jeu The Getaway. Soit une sorte de miroir aux alouettes débarquée sur PS2 il y a quelques années de cela, et qui aura tout de même réussi à se vendre à plus de 4 millions d'exemplaires à travers le monde. Tout ça pour dire que le studio en charge de ce jeu est loin de traîner des faits d'armes aussi impressionnants que ceux étalés sur les murs des vraies divisions de Rockstar. Et pourtant, l'illusion pourrait sembler parfaite. L.A Noire est de ces jeux jouissant d'un scénario béton, de protagonistes charismatiques, et d'un univers fort, prenant de plus place à la fin des années 40. 3 éléments à chaque fois mis en avant par Rockstar dans ses productions (GTA IV et Red Dead Redemption dernièrement), vous ne vous y trompez pas.
Après la vision kaléidoscopique des gangs urbains de GTA et la conquête de l’espace américain de Red Dead Redemption, L.A. Noire s’attaque maintenant à une autre forme de décadence, celle de l’institution policière. Titre après titre, Rockstar livre ainsi une œuvre assez incroyable et d’une cohérence folle, qui vient brasser divers pans de l’Histoire américaine. De GTA IV à L.A. Noire, difficile aussi de ne pas voir se dessiner une trajectoire d’Est en Ouest fortement ancrée dans la culture historique du pays (des colons à la Grande Dépression) et immortalisée par la littérature ou le cinéma. Avec sa nouvelle production, Rockstar place donc son action dans le Los Angeles d’après-guerre et va, comme à son habitude, nous donner à voir l’envers du décor. Loin des strass et paillettes d’Hollywood, la Team Bondi nous entraîne ainsi dans une ville gangrénée par la violence et la corruption. Comme dans les précédents titres de Rockstar, le travail de reconstitution se révèle absolument remarquable et d’une méticulosité inouïe (différenciation des quartiers, effervescence de la ville, affiches de films…). Le studio confirme également ce talent unique pour s’approprier de multiples références (James Ellroy en tête) sans jamais tomber dans la caricature d’une époque.
Certaines périodes sont moins faciles que d'autres. Là, vous vous demandez si je viens d'enchainer le test de plusieurs jeux Kinect, une ou deux previews de jeux casuals sur Wii, une double interview publi rédactionnelle Jean Sarlozy / Justin Bieber, une étude de texte sur l'intégrale de Christophe Maé. En fait non. Si les temps sont difficiles, c'est que j'ai déjà dépassé mon quota de superlatifs du moment après des articles sur le multi de Duke Nukem Forever ou Deus Ex Human Revolution. J'ai l'impression d'être devenu une brosse à reluire, d'être dans la peau de Michel Drucker. Je vis dans le pays des bisounours, à m'émerveiller de tout. Comment faire autrement avec L.A. Noire ?Avec L.A. Noire, ce sont tout simplement les jeux vidéo qui se transcendent, qui se dépassent. Grâce à quoi ? La narration. Je crois profondément que l'homme a besoin de dramaturgie (l'art lié au théâtre, le sixième art). De l'histoire que l'on raconte au gamin pour qu'il s'endorme au plus sophistiqué des story telling (« La Conquête » qui sort aujourd'hui en salle, ou l'affaire DSK, tout dépend toujours de la façon dont on nous présente les choses), on a un besoin viscéral qu'on nous raconte des histoires.
Nouvel arrivant dans la police de Los Angeles au poste de simple patrouilleur, Cole Phelps est un ancien soldat qui a fait ses armes au sein de l'armée américaine durant la Seconde Guerre Mondiale au Japon. Une expérience qui lui a conféré un statut de héros, décoré à plusieurs reprises, ce qui n'est pas forcément un plus lors de ses premiers rapports avec ses nouveaux collègues. Une place au sein du fameux LAPD qui va bien évidemment s'affirmer avec la résolution de nombreux cas d'école avant l'arrivée de crimes bien plus importants. Une évolution dans l'horreur qui ne va pas changer la méthodologie mise en place pour découvrir le ou les suspects. En effet, la clé de la culpabilité réside dans la nature humaine elle-même, les suspects ne pouvant s'empêcher de se trahir que ce soit par leur nervosité ou une trop grande confiance en eux. Des éléments qui transparaissent dans leurs propos et leurs attitudes, deux points sur lesquels se base le système d'interrogatoire.Mise en avant dans toute la communication autour du jeu, la gestion des expressions faciales est effectivement une donnée importante à prendre en compte dans le déroulement des divers questionnements.
Annoncé en 2006 et prévu initialement en 2008-2009 uniquement sur PS3, L.A. Noire daigne enfin arriver sur les consoles haute-définition de Sony et Microsoft. Il signe le retour de Brendan McNamara, producteur sur le décevant The Getaway qui voulait rivaliser avec GTA 3. Ce dernier nous propose un jeu mêlant aventure et action inspiré des films noirs. Développé sous la houlette de Rockstar Games, justement auteur des GTA, L.A. Noire s'avère-t-il au final aussi intéressant et innovant qu’espéré ? La réponse, en détails, dans notre test. Le héros, Cole PhelpsNous sommes en 1947, à Los Angeles. Dans cette métropole en plein essor après la guerre, on incarne Cole Phelps, un policier venant tout juste de débarquer au L.A.P.D.. Il va progressivement gravir les échelons au fil des affaires résolues... et ainsi se retrouver face à des missions de plus en plus complexes ainsi que délicates à élucider. Ces dernières abordent de nombreux thèmes de société : drogue, alcool, amour, sexe, argent, guerre, pouvoir, vengeance, folie et jeu. Ce qui fait évidemment de L.A. Noire, un titre pour adulte, d'autant que certaines scènes mettent en avant des corps (à examiner parfois de très près) malmenés et sanguinolents.
Estampillé Rockstar mais développé par une équipe au C.V. encore vierge (même si son fondateur est également à l'origine de Getaway), L.A. Noire a pris son temps avant d'investir nos consoles. Enfin là, ce titre qui fait partie des plus attendus de l'année a pour vocation d'unir deux genres, aventure et GTA-like, en mettant l'accent sur le premier via une succession d'enquêtes. Après diverses émotions, notre verdict tombe. La guerre est terminée. Comme beaucoup de soldats, Cole Phelps a décidé de continuer à servir son pays. Il est désormais enquêteur et son regard de fouine laisse entrevoir une certaine capacité de recherche et d'analyse d'indices, comme si le monsieur était naturellement discret et suspicieux. Mais ses yeux font passer d'autres émotions. Une certaine tristesse émane d'eux. Phelps n'est pas en paix avec lui-même. Pas plus qu'avec ses différents supérieurs qui, non contents de briguer des postes à responsabilités, ont davantage le souci de soigner leur image auprès des politiques que de prôner une justice irréprochable. Mais Phelps doit composer avec et sa mission est de remplir les prisons de ce Los Angeles des années 40, pourri par la drogue, l'alcool, la corruption, peu importe si certains raccourcis sont faits et les mauvais coupables inculpés. D'abord, Phelps va travailler à la circulation.
Lorsqu'on a découvert pour la première fois ces visages, souvent connus pour les amateurs de films et séries américaines, criants de vérité, et cette ambiance années 40 soignée, L.A. Noire a vite été propulsé vers le haut du classement des jeux les plus attendus de la rédaction. Sa copieuse histoire digérée, faut-il vraiment y voir le premier pas d'une révolution annoncée ?Autant le dire clairement : L.A. Noire restera un titre marquant pour le jeu vidéo, tant ses avancées en matière de capture de performance sont non seulement impressionnantes visuellement, mais particulièrement intéressantes du simple point de vue ludique ou narratif. Après, ça n'en fait pas un titre parfait, ni de ce point de vue, ni d'autres, mais tout le monde le sait : les grandes étapes vers les sommets comptent presque autant que son atteinte. Surtout quand on en franchit autant d'un coup. Le "danger" du réalisme anthropomorphique, c'est Masahiro Mori, roboticien japonais, qui a mis un nom dessus. Il s'agit de l'Uncanny Valley, ou "vallée dérangeante" en français, qui théorise simplement qu'à mesure que l'Homme parvient à créer des êtres artificiels à son image, de plus en plus réalistes, les petites imperfections deviennent de plus en plus monstrueuses pour beaucoup, qui accepteraient plus facilement des robots clairement synthétiques.
Quand on découvre un nouveau jeu de Rockstar, on a souvent l'impression d'avoir sous les yeux quelque chose susceptible de changer le jeu vidéo. Ce frisson, je l'ai ressenti avec cette preview de L.A. Noire. Il ne se trouvera pas grand monde pour nier que Grand Theft Auto III a tout bouleversé, mais cela ne s'est pas fait en un jour. GTA III n'a pas été immédiatement un succès. Les représentants de Rockstar on dit que le jeu avait secoué l'industrie d'un point de vue créatif, mais qu'il a fallu le succès financier phénoménal de Vice City pour que les acteurs majeurs de l'industrie, ceux qui font bouger et évoluer les choses, y prêtent attention. Ce fut la même chose avec San Andreas, qui collait beaucoup plus à une histoire. Il fut plus remarqué pour ses scènes de sexe cachées que pour la splendeur de son monde et de ses personnages. Il aura fallu attendre GTA IV et Red Dead Redemption pour que de nombreux joueurs réalisent que ces scènes amusantes prenaient place dans un gigantesque univers. Avec L.A. Noire, Rockstar franchi un nouveau cap, celui de la narration, dans une voie ouverte par Heavy Rain de Quantic Dream, un jeu dont il n'est pas vraiment besoin de rappeler les réussites (et les échecs) dans la façon de raconter une histoire interactive. Cela dit, il convient de préciser que les deux jeux sont très dissemblables à de très nombreux égards. Ils sont très différents en termes de gameplay et, en particulier, d'esthétique. La vision très sombre d'une ville moderne de Heavy Rain est remplacée par le faste et le glamour du Los Angeles de la fin des années 40, juxtaposés à la brutalité de l'époque.
Rockstar Games nous a invités la semaine passée à découvrir plus amplement L.A. Noire dans ses locaux situés en région parisienne. Cette présentation a duré pas moins d'une heure et demie et nous a permis de découvrir extensivement le titre. Bien qu'étant un jeu d'investigation, l'ensemble garde un déroulement proche des derniers jeux Rockstar.Ainsi, le joueur sera libre de se mouvoir dans une ville de Los Angeles fidèlement retranscrite. Dans L.A. Noire, nous aurons l'occasion de découvrir plusieurs départements d'une même enceinte de police. Au départ, il faudra se contenter d'être agent de la circulation et d'assurer le bon fonctionnement du système routier de la ville. En effectuant proprement son travail, le joueur gagnera progressivement en estime au sein de la Police et pourra être muté dans des services plus complexes. Rockstar Games nous a offert la possibilité de mener entièrement à bien une enquête du département criminel. Cette affaire nécessitait naturellement l'analyse de la scène de crime qui s'est faite à pied.Sur place, le héros pourra manipuler bon nombre d'objets liés ou non à l'affaire en cours.
J’ai eu la chance, hier matin, d’être invité dans les locaux français de Rockstar Games afin de prendre en main pour la première fois leur nouveau titre, L.A. Noire. Après une petite démonstration en bonne et due forme du titre dans son ensemble, j’ai du résoudre ma première enquête criminelle... Et en même temps en découvrir plus sur la mécanique de jeu. Allez, rendez-vous dans la suite du billet pour découvrir mes premières impressions ! Ça pourrait sembler évident, mais c’est pourtant à préciser : L.A. Noire est l’évolution naturelle des jeux développés par Rockstar depuis GTA. Il affiche en effet encore plus de réalisme d’un point de vue graphique, mais également un jeu d’acteur des plus probants. Il faut vraiment voir les émotions véhiculées par leurs visages (je vous propose une vidéo à la fin de cet article décrivant le procédé utilisé) pour se rendre compte du fossé franchi en si peu de temps. Après les villes virtuelles inspirées de ville réelle (New York inspirant Liberty City, ect...) on a affaire ici à un Los Angeles de la fin des années 40 plus vrai que nature, avec moult détails, allant des reproductions fidèles des marques de l’époque aux coupes de cheveux “rétro” comme jamais des personnages, etc.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 03/2011
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Quelques mois après avoir eu le privilège de voir tourner L.A Noire, cinq ans après son annonce par Team Bondi, nous avons pu cette fois mettre la main sur le thriller désormais chapeauté par Rockstar. Une heure trente de jeu aura donc suffit à transformer notre vive curiosité en franche impatience. Prévu pour le 20 mai sur Xbox 360 et Playstation 3, L.A Noire vient en effet de transformer l'essai inscrit lors de notre première entrevue avec le jeu. ]Nous avons élucidé le "Meurtre au bas de soie". Et ouais, on est comme ça, nous. Cole Phelps vient d'être promut enquêteur à la criminelle, et ses premiers pas dans le métier sont encadrés par ce vieux briscard de Galloway, un grincheux antipathique aux illustres états de service. C'est donc avec ce bougon à vos basques que vont se passer vos premières enquêtes, dont celle qui nous intéresse aujourd'hui. Une femme est retrouvée étranglée, complètement nue, quelques lettres de sang tatouant son joli corps d'hispano-bimbo coincée du derche. En pleine affaire du Dahlia Noir, difficile de savoir s'il faut chercher du côté du mari, que cette Antonia Maldonado s'apprêtait à trainer devant les tribunaux pour un divorce, ou d'un tueur en série ingénieux et lettré qui passionne l'Amérique en cet an de grâce 1947.
Passé maître dans l'art de dépeindre des univers et des personnages fascinants, d'installer des ambiances envoûtantes, de narrer des récits matures, Rockstar compte parmi les valeurs sûres de l'industrie du jeu vidéo. Avec GTA IV et Red Dead Redemption, l'entreprise américaine a d'ailleurs récemment démontré toute l'étendue de son savoir-faire. Son tout dernier projet, L.A. Noire, conçu en étroite collaboration avec la Team Bondi, est en passe d'emprunter cette même voie royale. Un constat que l'on est en mesure d'établir après avoir mené une enquête complète manette en mains. Los Angeles - 1947. Un matin comme tant d'autres. La Cité des Anges s'éveille péniblement, lassée de devoir quotidiennement faire face à une criminalité sans cesse croissante. Car L.A. cultive l'art du paradoxe. Alors que Rita Hayworth séduit les foules par sa grâce et qu'Hollywood connaît son âge d'or, la ville est en proie à une série de crimes d'une atrocité sans nom. La nuit dernière, le sang a d'ailleurs une nouvelle fois coulé. Une mauvaise habitude... Récemment promu au grade d'inspecteur, Cole Phelps est envoyé par son supérieur sur les lieux du meurtre en compagnie de Rusty Galloway.
Pas aussi rôdé dans la manière de mener une investigation que votre avatar Cole Phelps, vétéran de la Seconde Guerre Mondiale et nouvel entrant au sein de la division d'enquête de la prestigieuse LAPD, vous allez devoir tenter d'élucider un meurtre perpétré dans une arrière-cour relativement glauque. Accompagné de l'attachant vieux flic bougon Rusty Galloway, qui porte bien son prénom, Phelps découvre le cadavre d'une jeune femme d'origine hispanique dont le corps nu affiche ces mots : "Kiss the Blood. BD". Une signature qui revient régulièrement dans le cadre d'une série d'assassinats qui semblent inspirés par l'ancienne affaire du Dahlia Noir (Black Dahlia, donc BD). Si Galloway privilégie la piste de l'imitateur, son collègue est lui persuadé que le meurtrier continue à agir. Deux pistes qui vont de fait être au coeur de l'enquête qui débute par la découverte des causes de la mort de la jeune Antonia Maldonado.Découpé en plusieurs étapes, l'investigation débute par un long examen du corps de la victime et de la scène de crime. A l'image d'un jeu d'aventure Point'n Click, il n'est pas possible d'interagir avec l'ensemble des éléments du décor mais uniquement avec certains objets et parties de la zone de jeu.
La dernière fois que nous avions croisé la route de L.A. Noire, il ne s'était malheureusement pas laissé prendre en main. Mais après quasiment trois mois d'attente, le titre de la Team Bondi est passé à l'étape supérieure en se laissant jouer pendant plus d'une heure, au sein des locaux français de Take Two. Rapport après la résolution d'une affaire complète, Dual Shock 3 en main On avait laissé Cole Phelps à la circulation après une affaire impliquant une star déchue et une actrice en devenir, on l'a retrouvé à la brigade des homicides sur un cas de meurtre d'une jeune hispanique en instance de divorce. Celle-ci a été retrouvée dans une allée avec une inscription au rouge à lèvres sur le ventre, faisant directement référence à l'affaire du Dahlia Noir. Les méthodes d'investigation de la police de Los Angeles en 1947 n'étant évidemment pas aussi pointues que celles des Experts d'aujourd'hui, le joueur a la possibilité de se déplacer librement et de toucher sans mettre de gants à tous les indices et autres pièces à conviction potentielles qu'il trouvera. Aidé par les conseils et les remarques de Rusty Galloway, son partenaire du moment, Cole peut examiner les différentes parties du corps de la victime sous toutes les coutures en utilisant simplement un bouton et le stick analogique gauche.
Gamekult
Ajouté le : 12/2010
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L.A. Noire est le fruit d'une gestation - pas encore arrivée à son terme - de presque six ans au sein de la Team Bondi. Un temps signé en exclusivité par Sony avant d'être récupéré par Rockstar et de passer également sur Xbox 360, ce jeu d'enquête policière s'inspire en partie d'affaires criminelles sordides ayant émaillé la fin des années 1940 à Los Angeles, la plus célèbre étant celle du Dahlia noir. Invités récemment à une présentation dans les bureaux palaisiens de Take Two Interactive, nous avons pu découvrir le titre pour la première fois, sans mettre la main sur la manette, malheureusement. En 1947, les soldats américains ayant survécu à la Seconde Guerre sont de retour au pays et essayent de retrouver une vie normale dans la société civile. C'est le cas de Cole Phelps, vétéran décoré de la Silver Star pour sa bravoure lors de la bataille d'Okinawa, qui aurait pu être le père d'un célèbre nageur mais a préféré s'enrôler au sein de la police de Los Angeles pour devenir le héros de L.A. Noire. Si son parcours le mènera à intégrer divers services de la fameuse LAPD, il débute sa carrière à la circulation avec un partenaire nommé Stefan Bekowsky, en sachant qu'un nouvel équipier lui sera attribué à chaque changement de bureau.
Univers Consoles
Ajouté le : 12/2010
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L.A. Noire, c'est une annonce de production en 2006. Depuis, Rockstar nous a offert les pérégrinations de "gars à qui on ne la fait pas" venus de tous horizons avec des GTA toujours plus gigantesques et dantesques. L.A Noire opte pour un postulat de base différent, un héros de guerre de retour au pays et, chose inédite, une forte envie de faire régner la justice. Cette preview présente donc quelques mécanismes de jeu, le système d'interrogatoire et l'épais mystère qui enrobe l'ensemble du scénario. Notons que pour cette preview, nous n'étions qu'observateurs. C'est donc dans la peau de Cole Phelps (frais retourné de la Seconde Guerre Mondiale et décoré de la Silver Star) que le joueur, nouvel élément du LAPD, découvre le Los Angeles de la fin des années 40 et son affectation au service "circulation». Sachant de source officielle que notre héros évoluera de services en service (avec des attributions variables donc), et se verra accompagné de différents coéquipiers. Pas rétribué à enchainer cafés et donuts, Phelps nous conduit sur les lieux de ce qui semble constituer sa première affaire : un crash aux origines suspectes, non loin du commissariat.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 11/2010
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Quatre ans après un premier teaser intrigant, LA Noire refait surface. De ce qui s'est réellement passé depuis 2006, on ne saura rien. Rockstar et Team Bondi regardent désormais vers l'avenir, et le « dark détective thriller » qu'est LA Noire. Pour la première incursion du créateur de GTA du côté des forces de l'ordre, l'attention a une nouvelle fois été portée sur l'ambiance et le dialogue, dans un Los Angeles grimé fin 40 avec son lot de crimes crapuleux et de trafics en tout genre. Quand Heavy Rain rencontre GTA ? Cole Phelps est un vétéran de la Seconde Guerre Mondiale, que les honneurs de la Silver Star n'ont pas vraiment aidé à s'insérer dans la société américaine. Dans ce Los Angeles de la fin des années 40, période aussi faste économiquement que propice aux crimes les plus crapuleux, c'est un peu par dépit qu'il s'engage dans la police. En commençant à la circulation, il va rapidement démontrer toutes ces qualités d'enquêteur sur les cas les plus banals avant de progressivement monter dans la hiérarchie de la LAPD. C'est justement dans la résolution de ces différents cas que le joueur intervient : LA Noire est un mélange équilibré entre l'enquête, l'interrogatoire, la conduite, le combat à mains nues, l'infiltration et les affrontements armés. Rien que ça !
Si on évitera de revenir sur les raisons obscures qui ont poussé les développeurs de Team Bondi à planquer L.A. Noire depuis 2006, on précisera quand même que Rockstar Leeds et Rockstar North se rendent régulièrement à Sydney pour filer un coup de main à l'équipe australienne, et constater l'avancée des travaux. Contrairement à la majorité des productions Rockstar Games qui mettent en avant la liberté d'action accordée au joueur, le point fort de L.A. Noire repose avant tout sur la qualité des interrogatoires qu'il va falloir mener, afin de résoudre les nombreuses enquêtes que comporte le jeu. Avec un scénario qui se déroule dans les années 40, il est toujours utile de consulter les archives pour savoir où l'on met les pieds. Un classeur contenant différentes photographies de l'époque nous a été présenté, histoire de prouver l'authenticité du jeu qui dépeint une ville de Los Angeles en proie à la corruption. Les crimes et les règlements de comptes se multipliaient à la vitesse de la lumière il paraît, et c'est dans ce contexte sombre qu'il va falloir incarner Cole Phelps, un vétéran de la Bataille d'Okinawa qui s'est reconverti dans la police. Bon, c'est vrai que l'on s'est creusé les méninges dans l'Eurostar pour savoir ce qu'il y a de charismatique chez lui, mais on ne peut pas non plus taper la discute avec John Marston tous les jours.
Rockstar vient d'annoncer que son mystérieux L.A. Noire, en gestation depuis 4 ans, sortira au premier semestre 2011. Dans la foulée, l'éditeur de Grand Theft Auto IV et de Red Dead Redemption a convié la presse à découvrir le titre dans ses locaux londoniens. Nous étions du voyage, voici nos impressions. Un premier teaser en 2006, une bande-annonce dans la foulée, et puis... silence radio. Sur L.A. Noire, on connaissait le contexte (la ville de Los Angeles dans les années 40), le studio de développement en charge du projet (l'Australien Team Bondi), et surtout son éditeur, et non des moindres : Rockstar. C'était à peu près tout. Le jeu, remis en orbite en 2010, vient de nous être dévoilé. Très clairement, ce ne sera pas un jeu où l'action dominera, n'en déplaise aux fans des productions habituelles de Rockstar. L.A. Noire sera avant tout un jeu d'investigation autour d'enquêtes criminelles, mettant le joueur dans la peau de Cole Phelps, petit flic du LAPD, qui devra gravir les échelons en résolvant ses affaires à force de réflexion et de déduction. Un seul mot d'ordre en guise de cahier des charges pour l'équipe des concepteurs : le réalisme. En clair, les affaires criminelles exposées et les enquêtes que le joueur doit mener pour découvrir la vérité, doivent coller le plus possible à une réalité vécue par les détectives du LAPD de l'époque.
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