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Nous avons réuni 31 tests du Killzone 3. Les experts notent Killzone 3 8.2/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Killzone 3 et d'autres Jeux Playstation 3.
Véritable porte étendard de la PS3, Killzone 2 avait laissé tout le monde sceptique lors de sa présentation. Grâce à son feu d'artifice d'action et sa plastique irréprochable, le titre de Guerilla Games a pourtant réussi à faire taire les doutes en nous offrant un jeu de haute volée. L'annonce de Killzone 3 était donc très attendue. Si son prédécesseur avait surpris, il est temps de confirmer que ce coup de maître n'était pas un hasard et que la licence est bien là pour s'imposer sur le long terme. On reprend donc les armes et le chemin de Helghan, mais est-ce pour une nouvelle victoire ? I will survive Désolé pour ceux qui n'ont pas fini le deuxième épisode de la série mais un petit résumé s'impose pour décrire la situation de nos héros au début de Killzone 3. L'ISA avait lancé une contre-attaque de grande envergure sur la planète Helghan après que ses habitants aient volé des armes nucléaires. Vous incarniez alors Sev, membre d'une équipe qui devait tenter de capturer le dictateur en place, Visari. Finalement arrivés devant le leader des Helghasts, Rico, l'un des membres de votre équipe, tua ce dernier, enterrant ainsi toute possibilité d'arrêter la guerre grâce à votre prisonnier. C'est sur cette note de désespoir que se clôturait Killzone 2.
Malgré son arrivée tardive sur PS2, le premier épisode de Killzone introduisait déjà une certaine qualité visuelle. C'est surtout le second opus qui a fait couler énormément d'encre, en raison de son immense teasing pour promouvoir les capacités techniques de la PS3. Après une longue période de développement, le soft a assuré un moteur graphique vraiment impressionnant, ainsi qu'une partie multijoueur suffisamment convaincante pour tenir la comparaison avec les autres FPS du marché. Guerrilla continue de développer son unique franchise avec un troisième épisode qui s'inscrit comme une continuité directe de son prédécesseur.â?¨â?¨En effet, le scénario de la campagne principale de Killzone 3 reprend quelques secondes après la finalité du second opus. Ainsi nous retrouvons Sev et Rico, deux membres de l'ISA, aux portes du château de Visari, le commandant des Hellghasts à Pyrrhus. Ce dernier ayant chuté face aux assauts armés des rescapés alliés, nous nous attendions à ce que le clan adverse se dissolve. Or, le sénat Hellghast étant encore bien présent, un autre dirigeant se voit nommé en tant que remplaçant, pour mener les troupes vers l'écrasement total de l'ISA afin d'assurer la mainmise sur le territoire.
Habituellement calme, le mois de février de cette année 2011 déroge pour une fois à cette règle qu'on pensait immuable il y a quelques années de cela. Car il est bel et bien question de la sortie de plusieurs blockbusters en ce mois. Parmi ces blockbusters, on retrouve le dernier projet en date de Guerilla Games, Killzone 3, dont l'objectif est simple : vous rallier à sa cause, et à son online, au moins jusqu'à la sortie de sa suite... Les amoureux du FPS doivent sans doute se souvenir de la douce claque assenée par la sortie de Killzone 2. Reprenant les bases déjà solides posées par son prédécesseur, le jeu avait réussi à s'illustrer aussi bien grâce à son mode solo péchu, qu'à son mode jeu en ligne. Ajoutez à cela une réalisation graphique capable de faire rougir 90% de la concurrence, et vous comprenez bien que le carton était d'ores et déjà assuré. Mais les mois ont passé, et depuis, Activision et EA ont (tout du moins sur consoles) réussi à se tailler la part du lion question FPS.
Injustement relégué au rang de simple vitrine technologique sur Playstation 3, Killzone 2 n'avait pas réussi à sortir de l'ombre de ses nombreux concurrents. Pourtant, le studio Guerrilla fait preuve de talent et bénéficie d'ailleurs d'une très forte réputation sur le Vieux Continent. Alors, bien décidé à imposer leur univers en marquant leur empreinte dans le monde des FPS, les petits gars d'Amsterdam ont mis les bouchées doubles pour le troisième volet de la série. On commence rapidement par une petite piqûre de rappel, puisque le scénario de Killzone 3 débute juste après les évènements du second volet. Le dictateur Scolar Visari est mort sur la planète Helghan, froidement abattu par les forces de l'ISA. Mais ce n'est pas suffisant pour arrêter l'invasion de l'empire Helghast, plus déterminé que jamais à mettre fin à cette guerre fratricide. Le décès de Visari entraîne un violent conflit politique entre les dirigeants de la planète. Une lutte de pouvoir entre industriels et politiciens qui tourne rapidement au vinaigre. Dans ce capharnaüm, le joueur incarne Tomas Shevchenko, un valeureux soldat de l'ISA accompagné par ses fidèles compatriotes Rico et Jammer, la fille du groupe.
Exclusifs aux consoles de Sony, les affrontements entre Helghasts et soldats de l'ISA prennent une nouvelle tournure avec l'arrivée de Killzone 3. Second épisode à voir le jour sur PlayStation 3, le titre est attendu au tournant par les amateurs d'un genre de plus en plus représenté. Le jeu de Guerilla a-t-il suffisamment d'arguments pour sortir de la masse ? Comme on pouvait s'y attendre une fois Killzone 2 bouclé, ce troisième épisode reprend l'action quelques secondes après le final éprouvant du deuxième opus. Laissée en suspend, la guerre opposant l'ISA aux Helghasts est loin d'être terminée et reprend même de plus belle très rapidement. Comme toujours, on évitera de spoiler en précisant juste que le scénario reste finalement secondaire, plus proche du prétexte pour aligner les headshots que de l'?uvre inoubliable. Il y a pourtant un effort certain sur la mise en scène avec de nombreuses cinématiques plutôt bien fichues. Mais entre des dialogues assez caricaturaux (sans parler de la synchro labiale avec la VF), les personnages stéréotypés dont on voit venir à dix kilomètres les plans diaboliques et la large place accordée à l'action dans ces mêmes scènes, on comprend vite que Killzone 3 ne concourt pas pour le VGA du meilleur scénario.
GamePro.fr
Ajouté le : 02/2011
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Visari est mort pour rien. Les Hellghasts sont affaiblis, divisés par une guerre intestine pour le pouvoir, mais sont toujours là. L'ISA doit continuer à batailler pour repousser la menace tant que ce peu. Sev et Rico retournent au combat, d'abord pour survivre. Après Killzone 2, voici Killzone 3. Un shooter forcément attendu par les possesseurs de PlayStation 3 puisqu'il est l'une des principales exclusivités de la machine en plus d'être l'un de ses modèles techniques. Un rôle sans doute encore davantage marqué avec ce troisième opus, pépite visuelle, mais surtout nouvel ambassadeur des derniers raffinements de la plateforme de Sony, entre compatibilité 3D stéréoscopique et jouabilité possible au PS Move. Deux nouveautés sur lesquelles nous passeront très vite. Jouer à Killzone 3 en relief fait son effet (à petites doses) et la jouabilité au Move est assez convaincante (voire même fatigante), même si tout semble avoir été pensé pour être joué à la manette. Une piste à creuser à l'avenir, mais c'est avec une DualShock 3 très classique que Killzone 3 offre le meilleur de lui-même. Le meilleur, dans Killzone 3, se résume d'ailleurs à l'action (qu'il s'agisse du solo ou du multi) et au graphisme. Pour le reste, le jeu de Guerrilla demeure un fiasco.
Se démarquer aujourd'hui dans le genre FPS est difficile mais demeure une véritable nécessité. Killzone 2 avait, à sa manière, réussi ce pari, que vous l'ayez apprécié ou non. Alors autant dire que l'attente autour de ce troisième volet était importante, pour ne pas dire insoutenable. Mais cette fois, Guerrilla s'est bien gardé de trop buzzer sur le sujet. Un silence étonnant compte tenu de l'importance de la licence pour la PlayStation 3. Mais maintenant que nous avons terminé le jeu, ce choix apparait comme étant très logique : Killzone 3 joue la carte de la surprise sur pas mal d'aspects et finalement, c'est de bonne guerre !Ceci est une republication de la critique parue le 7 février 2011, désormais agrémentée de nos impressions multijoueurs. Pour ne rien vous cacher, Killzone est une de mes séries préférées du genre. Pour la simple et bonne raison que les combats y sont plus censés qu'ailleurs. Au coeur de la mêlée, foncer dans la tas n'est pas une solution et il faut exploiter au mieux les possibilités offertes par la jouabilité sous peine de finir au cimetière. S'ajoutent à cela une certaine lourdeur dans les contrôles, qui renforcent le sentiment d'être un soldat suréquipé au front, et une ambiance, ainsi qu'un design, qui vous plongent directement dans le coeur de l'action.
Killzone représente la troisième voie au panthéon des FPS, celle de l’exclu PS3, musclée, soignée mais classique. Après Killzone, qui avait fait le bonheur de la PlayStation 2 et Killzone 2, qu'on ne voyait pas venir et qui finalement a débarqué quand on y croyait plus, voici Killzone 3, nouvelle itération d'une série de FPS désormais toute dédiée à tailler la légende de la PS3. Le studio Guerrilla remet la main à la pâte une troisième fois, vous faisant reprendre l'action là où vous l'aviez laissée à la fin de l'épisode 2. Pour ceux qui n'auraient pas suivi, vous incarnez un sous-officier de l'ISA, les gentils. Vous devez affronter les Helghasts, les méchants, sorte de croisement entre des soldats de la Wehrmacht, échappés de Jin-roh pour l'apparence, et des Lapins Crétins pour les yeux rouges. Pour ce qui est de l'histoire, on fera comme si on n'avait pas écouté les pourtant très jolies cinématiques - un peu trop présentes à notre goût, au point qu'elles hachent un peu l'action. La trame est aussi originale qu'une rediffusion de la petite maison dans la prairie aux heures de digestion estivale lestée à la merguez. Les méchants s'entre-déchirent, c'est le complexe militaro-industriel qui ne supporte plus son trait d'union.
Porteur de tous les espoirs suscités par la PS3 lors de son annonce, Killzone 2 était parvenu à se montrer digne de son rang en proposant une expérience qui a depuis marqué beaucoup de joueurs au fer rouge. Prenant, fascinant, immersif, torturé, violent, doté d'une réalisation à tomber par terre, le digne héraut de Sony se doit pourtant de laisser la place à une suite, elle-même censée mettre en lumière les dernières avancées technologiques de la machine. L'esthétisme pur ne suffisant plus, l'heure est en effet venue d'enfoncer le clou et de promouvoir 3D stéréoscopique et Playstation Move avec la classe qui s'impose. Aussi, voici venir Killzone 3, la nouvelle arme de destruction massive de la PS3. Si deux années se sont écoulées depuis la sortie de l'excellent Killzone 2, pour Sev et Rico seules quelques minutes séparent les deux aventures. En effet, ce nouvel opus - tout en jouant la carte des flash-back et de quelques ellipses temporelles dont nous tairons la nature - nous invite le plus logiquement du monde à découvrir la suite directe de l'intervention de l'ISA en territoire helghast. On se souvient en effet que la fin de Killzone 2 voyait l'arrestation du leader helghast tourner au vinaigre en raison de "l'enthousiasme" de Rico.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 02/2011
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Injustement relégué au rang de simple vitrine technologique sur Playstation 3, Killzone 2 n'avait pas réussi à sortir de l'ombre de ses nombreux concurrents. Pourtant, le studio Guerrilla fait preuve de talent et bénéficie d'ailleurs d'une très forte réputation sur le Vieux Continent. Alors, bien décidé à imposer leur univers en marquant leur empreinte dans le monde des FPS, les petits gars d'Amsterdam ont mis les bouchées doubles pour le troisième volet de la série. On commence rapidement par une petite piqûre de rappel, puisque le scénario de Killzone 3 débute juste après les évènements du second volet. Le dictateur Scolar Visari est mort sur la planète Helghan, froidement abattu par les forces de l'ISA. Mais ce n'est pas suffisant pour arrêter l'invasion de l'empire Helghast, plus déterminé que jamais à mettre fin à cette guerre fratricide. Le décès de Visari entraîne un violent conflit politique entre les dirigeants de la planète. Une lutte de pouvoir entre industriels et politiciens qui tourne rapidement au vinaigre. Dans ce capharnaüm, le joueur incarne Tomas Shevchenko, un valeureux soldat de l'ISA accompagné par ses fidèles compatriotes Rico et Jammer, la fille du groupe.
Attendu comme le messie par les possesseurs de PS3 en son temps, Killzone 2, l'Arlésienne par excellence, avait finalement tenu la plupart de ses promesses avec une réalisation haut de gamme et un contenu 100% action. Deux ans plus tard, presque jour pour jour, Killzone 3 va encore tenter de monter le niveau d'un cran avec les derniers raffinements dont la console dispose. En plus d'un FPS explosif, Guerrilla nous propose donc aussi de mettre à profit des artifices comme le PS Move ou la 3D relief pour relancer l'intérêt des combats. Pari tenu ? Visari au lait Ceux qui ont terminé Killzone 2 ne seront pas dépaysés avec ce troisième épisode, c'est certain. Car Killzone 3 reprend directement les aventures des inséparables Sev et Rico, pile après le terrible affrontement ayant entraîné la mort de Visari. Cette victoire n'a toutefois pas mis un terme au conflit interplanétaire opposant les forces de l'ISA à celles des Hellghasts. Toujours aussi poisseux et malpolis, nos héros se retrouvent vite coincés en terrain hostile et luttent pour survivre. Tandis que du côté des Hellghasts, un conflit interne fait rage entre militaires et puissants industriels, tous prêts à s'entretuer pour s'emparer du pouvoir.
Véritable référence technique des FPS sur PS3, Killzone 2 avait tout de même été critiqué en son temps pour son gameplay des plus classiques et ses missions sans grande originalité. Forts de ce constat, les développeurs de Guerrilla ont eu à coeur d'apporter un peu plus de variété dans le troisième volet de leur saga, même s'il faut reconnaître que les habitués retrouveront rapidement leurs marques.Sans surprise pour ceux qui ont terminé le précédent opus de la série, Killzone 3 débute là où nous nous étions arrêtés voilà deux ans : Scolar Visari, empereur des Helghasts, a été tué par les forces de l'ISA, et nos soldats de choc s'apprêtent à passer un sale quart d'heure alors que toutes les troupes ennemies convergent vers l'ancien palais du dictateur. Leur unique chance de survie consiste à rallier le point d'extraction qui leur permettra de monter à bord de l'un de leurs vaisseaux, mais évidemment le plan d'évacuation ne se déroulera pas exactement comme prévu... Comme souvent, nous ne vous en dirons pas trop sur les évènements relatés par Killzone 3. D'une part pour vous laisser le plaisir de la surprise, d'autre part parce que le synopsis du jeu pourrait presque tenir au dos d'un ticket de métro.
Se démarquer aujourd'hui dans le genre FPS est difficile mais demeure une véritable nécessité. Killzone 2 avait, à sa manière, réussi ce pari, que vous l'ayez apprécié ou non. Alors autant dire que l'attente autour de ce troisième volet était importante, pour ne pas dire insoutenable. Mais cette fois, Guerrilla s'est bien gardé de trop buzzer sur le sujet. Un silence étonnant compte tenu de l'importance de la licence pour la PlayStation 3. Mais maintenant que nous avons terminé le jeu, ce choix apparait comme étant très logique : Killzone 3 joue la carte de la surprise sur pas mal d'aspects et finalement, c'est de bonne guerre !Pour ne rien vous cacher, Killzone est une de mes séries préférées du genre. Pour la simple et bonne raison que les combats y sont plus censés qu'ailleurs. Au coeur de la mêlée, foncer dans la tas n'est pas une solution et il faut exploiter au mieux les possibilités offertes par la jouabilité sous peine de finir au cimetière. S'ajoutent à cela une certaine lourdeur dans les contrôles, qui renforcent le sentiment d'être un soldat suréquipé au front, et une ambiance, ainsi qu'un design, qui vous plongent directement dans le coeur de l'action.
Pourtant très attendu par les joueurs, Killzone 2 s'était finalement révélé légèrement décevant au niveau de sa campagne solo. En revanche, Guerrilla Games avait bien étudié le mode multijoueur afin de nous offrir une expérience de jeu complète, notamment via l'intéressante gestion des clans pour gérer aisément son équipe. Disponible en tant que bêta fermée depuis quelques semaines, Killzone 3 est désormais accessible à tous les possesseurs de PS3. C'est donc l'occasion de tester une seule carte (barrage gelé) et de constater les éventuelles modifications avec le second volet.La démo permet de se lancer dans un simple deathmatch en équipe dans le mode Guérilla, mais également de prendre part à plusieurs objectifs dans le mode Zone de Guerre, bien connu des amateurs de Killzone 2. Ces derniers ne seront d'ailleurs aucunement dépaysés puisque les règles seront stricto sensu les mêmes : élimination d'une cible ennemie, domination des radios de propagande, destruction / protection de points stratégiques, combats à mort, etc. Nous aurions apprécié profiter de règles inédites afin d'offrir une certaine bouffée d'air frais. Malgré tout, la recette est toujours efficace en raison des nouveaux niveaux qui seront présents.
Après le raz de marée Killzone 2 en 2009, Guerilla Games vous propose de reprendre l’aventure là où elle s’était arrêtée, en incarnant de nouveau le sergent Tomas « Sev » Sevchenko, accompagné du sergent Rico Velasquez, sous les ordres du capitaine Narville. La guerre entre l’ISA (Alliance Stratégique Interplanétaire) et les Helghasts reprend donc de plus belle sur la planète Helghan. Afin de ne pas vous spoiler la fin de KZ2, ni le scénario de KZ3, sachez que comme à notre habitude, nous ne rentrerons pas dans les détails de l’histoire. Dès les premières minutes de jeu, on va de surprises en surprises… vous le verrez par vous-même. Avec une histoire plus travaillée que l’opus précédent, les nombreuses cut-scenes permettent de mieux scénariser le jeu, et d’en apprendre plus sur le monde des Helghasts et leur dirigeants. Comme dans Killzone 2, vous vous retrouvez ainsi dans une ambiance apocalyptique au milieu d'un monde en ruines. Entre les débris et les cendres qui volent dans tous les sens, de la poussière, de la fumée qui s'élève au loin,... l'univers retranscrit parfaitement le coté oppressant de cette guerre, dans des environnements tirant vers le gris/vert.
Souvenez-vous, c'était en 2006. Lors de l'E3 plus précisément. Pour vanter les mérites de sa PS3, Sony diffusait un trailer incroyable du futur Killzone 2. Un photo-réalisme phénoménal, des explosions titanesques et une tension palpable sur le champ de bataille. Forcément, après un tel ramdam médiatique, on avait été un peu déçus à la sortie de ce deuxième épisode qui, en dépit de ses innombrables qualités, était assez éloigné des promesses initiales du constructeur. Changement total de décor quelques années plus tard avec l'arrivée imminente de Killzone 3. Fort des certitudes acquises récemment grâce à ses autres exclusivités, la PS3 ne s'est pas sentie obligée cette fois-ci de nous en mettre plein la vue avec des vidéos pipeaux. De son côté, le studio Guerrilla a pu s'appuyer sur un moteur qui a déjà fait ses preuves et se concentrer sur les points faibles du jeu précédent, notamment sur le manque de variété de sa campagne solo. On le sent bien avec ce troisième épisode, les développeurs se sont lâchés comme jamais. Ils nous livrent un très grand spectacle vidéoludique, un pur rollercoaster avec des flingues, du sang et des méchants aux yeux rouges. Que demander de plus ? Pour ceux que ça intéresse, sachez que la majeure partie du jeu se déroule six mois après les événements du précédent volet. Pour combler quelque peu cette ellipse, des flash-back ont été incorporés en guise de transition entre certains chapitres.
Figure emblématique du peuple Helghast, Scolar Visari n'est plus. Abattu par les forces de l'ISA à la toute fin de Killzone 2, le dictateur chauve n'est plus qu'un mauvais souvenir. Mais abattre l'empereur n'est malheureusement pas suffisant pour que les Helghasts rendent les armes. C'était en effet oublier le Sénat et les quelques généraux pressés de récupérer la couronne perdue et de s'installer sur un trône désormais vacant. Mais s'il y a bien une personne dont l'ISA doit se méfier, c'est bien Jorhan Stahl, un scientifique ambitieux et aux dents très longues, capable même de trahir les siens pour mieux prendre le pouvoir. C'est lui qui va d'ailleurs mener la vie dure à nos soldats prêts à mourir sur le front. A l'instar des deux premiers épisodes, Killzone 3 va permettre au joueur d'endosser le rôle de Tomas Shevchenko, communément appelé Shev par ses camarades de guerre et facilement reconnaissable par sa coupe à l'iroquoise, ou presque. En effet, notre héros sera épaulé par d'autres soldats aussi fougueux que lui, voire plus, tels que Rico Velasquez, le black de service, ou bien encore Jammer, la seule nana de ce groupe de têtes brûlées. En effet, très rapidement, on se rend compte à quel point nous avons affaire à des soldats dont la seule motivation est d'éliminer coûte que coûte la menace helghaste et de rentrer chez eux. Car une fois encore, c'est sur la planète Helghan que l'action va se dérouler.
Après un second opus qui aura mis bien du temps à arriver sur PlayStation 3, voici venir Killzone 3 qui s’est beaucoup moins fait désirer. Tant mieux, d’autant que la qualité du jeu n’a pas baissé et qu’il nous tardait de savoir ce que nous réservaient les développeurs après la mort de Scholar Visari. Le scénario de Killzone 3 reprend pile où nous l’avions laissé à la fin du deuxième épisode. Scholar Visari, le leader chauve mais non moins charismatique des Helghasts vient d’avaler son extrait de naissance et les responsables de sa mort sont sur le point d’être exécutés. Mais c’est sans compter sur la témérité de nos deux héros, Sevchenko et Velasquez. Nos deux larrons s’en sortent arme au poing et doivent maintenant rejoindre leur unité. Ce qu’ils parviendront à faire, non sans mal, pour au final découvrir un nouveau plan d’attaque de la Terre. Sous la houlette du président Stahl, fabricant d’armes des Helghasts, ils projettent d’utiliser un, nouveau type d’arme meurtrier contre la Terre pour annihiler toute trace de vie à sa surface. Pour les empêcher, il va falloir tout mettre en œuvre pour atteindre la flotte spatiale et l’empêcher de partir pour notre belle planète. Ce nouveau type d’arme Helghast rejoint l’arsenal déjà conséquent du jeu. Aux côtés des habituels fusils à pompes, flingues, mitraillettes, mitrailleuses et lance-roquette on trouve maintenant ce fusil spécial qui crache une matière verte.
Les shooters en vue subjective se ressemblent de plus en plus et les différences sont de plus en plus minimes. Du coup, les joueurs sont devenus des connaisseurs presque à leur insu, capables de discerner les infimes nuances qui différencient des jeux qui sembleraient identiques à des yeux non entraînés. Nous voilà devenus des gourmets tatillons, préférant un Call of Duty à un Medal of Honor à cause de minuscules changements dans la recette. Tout cela contribue à favoriser les jeux qui proposent des saveurs nouvelles. Killzone 2 était précisément ce genre de plat. J'adorais son gameplay épuré et impitoyable, qui vous plongeait dans une percée longue et pénible vers la capitale Helghan pour affronter et capturer l'empereur Visari. Alors que d'autres jeux jonglaient entre différents lieux et trames narratives, Killzone 2 s'attachait uniquement à la vie d'un fantassin dans une situation périlleuse. Le décor changeait rarement, les armes restaient en grande partie les mêmes et les ennemis variaient peu. En dépit du contexte SF, on avait l'impression d'une vraie campagne militaire où le but consistait simplement à atteindre le prochain objectif, à traverser un pont fortifié ou à contourner l'artillerie de l'ennemi.
La franchise Killzone s'est toujours vue attribuer le rôle de vitrine technologique avant celui de FPS. Difficile d'oublier le buzz autour des précédents volets. Killzone 3 ne semble pas échapper à cette règle : sa réalisation technique est souvent mise en avant depuis son annonce mais que vaut réellement ce jeu en tant que FPS ? Premiers éléments de réponse.Suite directe de Killzone 2 : retrouvez Sev et Rico face à la contre-attaque Helgast après les événements survenus à la fin du deuxième opusLifting général : Guerrilla a opté pour une nouvelle charte graphique avec design revu et corrigé pour les personnages, des environnements plus variés et une palette de couleur élargieLe scénario et les relations entre les divers protagonistes ont été approfondis. Chaque cut-scene nous plonge au coeur du conflit et des querelles internes aussi bien côté ISA que côté HelgastDe nouvelles armes dévastatrices font leur apparition ainsi qu'un système de combat rapproché simple mais impressionnantLe mode campagne est jouable en coopération en écran splitté et la partie multijoueur s'annonce aussi complète que pour Killzone 2.
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Ajouté le : 01/2011
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Si Killzone 2 avait été employé comme une vitrine technologique des capacités de la Playstation 3, le troisième volet affiche des ambitions nettement plus élevées. Soyons francs, la version envoyée par Sony Computer Entertainment se rapproche davantage d'une démo que d'une véritable preview en bonne et due forme. Et pour cause : elle ne contient qu'un seul niveau. Mais ne faisons pas la fine bouche, car elle permet déjà d'entrevoir le potentiel de ce Killzone 3 et de répondre aux questions légitimes concernant le mode coopération et l'utilisation du Playstation Move. Visiblement, la mission du disque ne se déroule pas au début du jeu ; il n'est donc pas question de revenir sur des éléments du scénario. On se retrouve ainsi bombardé en plein conflit contre les Helghast. Bien connu des fans de la série, ces ennemis sanguinaires reviennent en musclant leur arsenal. Nouvelles armes, véhicules blindés inédits, les Helghast ne sont pas là pour faire de la figuration. ?a canarde dans tous les sens, et ce, dès la première séquence. Pas le temps de flâner. On se retrouve directement reclus dans des tranchés face à une horde d'adversaires suréquipés. Le joueur évolue donc toujours en équipe, avec l'arrivée de nouvelles têtes dont un personnage féminin.
En attendant le 23 février 2011, date de sortie de Killzone 3 dans l'hexagone, nous avons eu l'occasion de recevoir une version preview du jeu, trop courte, évidemment, mais qui nous permet déjà d'entrevoir les tendances posées par ce 3ème volet. N'allez pas me parler d'une quelconque révolution, elle n'aura pas lieu avec ce 3ème volet. Mais... Inutile de tourner autour du pot des heures durant : il est d 'ores et déjà évident que ce Killzone 3 ne révolutionnera pas le genre du FPS. Parce que d'une part, il se permet de reprendre une grande partie du squelette de son prédécesseur direct, et que d'autre part, sa compatibilité avec le PS Move et la 3D ont beau être appréciables, elles ne seront au final adaptées que par un nombre très restreint de joueurs. Même si, de notre côté, et ça pourrait semble déroutant au premier abord, nous ne pourrons que vous pousser à tester la prise en main au PS Move, très agréable. Même s'il est évident que votre degré de réactivité le périphérique en main ne sera pas des plus optimales, c'est une évidence... Bref, focalisons nous directement sur cette version preview, à la plastique irréprochable (malgré quelques baisses de frame-rate ici et là...) qui nous permet de découvrir le premier “niveau” du jeu.
La guerre entre les Terriens et les Helghasts connaîtra bientôt son troisième acte. En attendant de découvrir son issue, nous avons pu goûter à un court passage du jeu dans une version preview ressemblant fortement à une démo. L'expérience fut brève mais nous a permis de tester pour la toute première fois le jeu au Playstation Move et surtout le mode coopératif. Killzone 3 faisant directement suite au second volet, ne vous attendez pas à de profonds bouleversements esthétiques, techniques, contextuels ou même en termes de prise en main. L'ensemble, que ce soit les couleurs, le gameplay ou le scénario, suit scrupuleusement la voie tracée par Killzone 2, comme si ce troisième opus en était un simple prolongement. Toutefois, que ce soit par l'ajout d'un mode coopératif ou la compatibilité du soft avec le Playstation Move et la 3D stéréoscopique, les développeurs de Guerrilla ont tenu à faire évoluer leur bébé. Ils ont aussi fait pas mal d'efforts au niveau de la mise en scène in-game pour plonger le joueur dans l'épicentre d'un conflit encore plus dynamique, plus impressionnant voire même quasi-apocalyptique.
Dans deux mois, la guerre totale que se livrent l'ISA et les Helghasts connaîtra une nouvelle phase grâce à Killzone 3. En attendant, nous avons pu remettre la main sur le jeu dans le cadre d'une démo relativement courte, à notre plus grand regret. Selon la difficulté choisie, il fallait en effet entre 20 et 40 minutes pour terminer ce chapitre vraisemblablement extrait du coeur de l'aventure. Du coup, il nous est impossible de vous faire un résumé précis du scénario. Ce qu'on peut dire en revanche, c'est que la guerre bat son plein. Rarement la sensation de n'être qu'un simple maillon au sein d'un conflit global n'a été aussi pregnant. Grâce à la distance d'affichage titanesque, on peut apercevoir d'autres zones de guerre au loin, des zones au moins aussi explosives que celle où l'on se trouve. Et même là, juste autour de nous, les balles et les missiles fusent à tout instant. s, surtout lorsque des vaisseaux gigantesques se rendent coups pour coups à quelques dizaines de mètres au-dessus du sol. C'est sûr, Killzone semble avoir retenu les critiques (légitimes ?) qui avaient légèrement écorné le deuxième épisode. Tout en conservant son cachet spectaculaire, cette suite semble parvenir à se montrer plus agréable à l'oeil, notamment en diversifiant sa palette de couleurs ainsi qu'en rendant moins austère le déroulement des opérations.
Quand sort la suite d'un shooter, mettre des ennemis plus gros qu'avant n'est pas toujours la meilleure solution, mais c'est pourtant celle généralement adoptée. Halo avait le Scarab, Gears nous avait donné le ver géant et même Call of Duty avait une super roquette soviétique. Rien d'étonnant donc à ce que Killzone 3 propose un gigantesque robot à quatre pattes truffé de pièces d'artillerie, avec un immense canon laser monté sur l'épaule. Serez-vous étonnés d'apprendre que c'est à vous d'incarner le Sgt. Tomas Sevchenko à la superbe iroquoise, et de neutraliser ce robot avant qu'il ne détruise ce qui reste de votre force d'invasion ISA ? Après les bateaux pris dans les glaces présentés en début d'année, le dernier niveau de la campagne de Killzone 3 nous emmène dans un environnement plus familier. Sev, Rico et compagnie sont toujours sur Helghan et nous les prenons en main alors qu'ils sont en train d'essayer d'accéder à un ascenseur spatial avant que les forces Helghast ne puissent l'utiliser pour lancer une contre-attaque surprise. Le décor est entièrement constitué de tranchées brunâtres, de débris et de passerelles métalliques, et le ciel au-dessus de nos têtes est d'une couleur beige déprimante.
Killzone 2 avait fait couler beaucoup d'encre à cause d'une simple vidéo présentant l'aspect graphique attendu du jeu. Beaucoup trop beau pour être vrai pour les uns, tout à fait possible pour les autres, Guerilla Games a répondu à un peu tout le monde avec un titre magnifique graphiquement parlant, intense et au multijoueur classique mais bigrement efficace. Ayant mis fin à ce genre de polémique axée sur l'enrobage, l'équipe néerlandaise peut se consacrer à la suite de sa licence phare. En attendant le mois de février pour se lancer à la chasse aux helghasts, nous avons eu la chance de faire un premier tour dans les neiges de Helghan. Killzone 3 était sans doute le second jeu le plus représenté sur le stand Sony du PGW. Seul Gran Turismo 5 pouvait se vanter de faire mieux. La démo du mode solo mise à disposition était encore en phase de développement, mais la première chose qui frappe, ce sont les graphismes toujours aussi somptueux. Pas le temps d'admirer le paysage pour autant puisque nous sommes perchés sur un engin volant se préparant à attaquer une plateforme helghast.
Si Dan Nanni de Guerrilla Games s'était avancé triomphalement sur l'estrade en chantant «You Got It» de Roy Orbison, personne ne se serait offusqué. Sa présentation de Killzone 3 cette semaine au gamescom est le genre de discours assuré que des politiciens enthousiastes prononcent dans les meetings préélectoraux. Cela dit, Nanni n'est pas là aujourd'hui pour nous faire partager ses opinions sur la pauvreté, le chômage et la sécurité sociale. En tant que designer en chef du multijoueur de Killzone 3, il est là pour discuter des problèmes urgents des systèmes de classement et de carrière améliorés, des contrôles intuitifs de l'escadron, des nouveaux modes et du support des escadrons amélioré. « Nos objectifs principaux sont l'accessibilité, la flexibilité, et un maximum de diversité», dit-il. « Nous voulons que vous puissiez y jouer avec vos amis facilement et rapidement. Tous les styles de jeu sont possibles. Que vous soyez un joueur hardcore ou un joueur occasionnel, nous voulons donner à tout le monde quelque chose qui fasse vraiment plaisir. » Pour y parvenir, l'équipe a réécrit de A à Z son système de mise en place des matchs.
J'aime cet article 1 personne aime cet articleAprès avoir fait sensation à l'E3 dernier à travers une démo solo des plus intenses, Killzone 3 débarque en Allemagne avec la ferme intention de convaincre les joueurs de ses grandes qualités en terme de jeu multijoueur. Quoi de mieux alors que d'assister à une présentation en bonne en due forme et de tester ce multi qui s'annonce toujours aussi jouissif.Si certains FPS de guerre tels que Call of Duty sont parvenus à se forger une réputation de dingue, aussi bien pour leur campagne solo que leur mode multijoueur, d'autres comme Killzone souhaite également s'imposer sur ce marché pour le moins concurrentiel. Après nous avoir séduit dans un premier temps grâce à une démo solo qui en mettait plein la vue, Killzone 3 va aujourd'hui tenter de nous inceptionner une idée nouvelle : que son mode multijoueur peut lui aussi casser la baraque. Pour ce faire, les équipes en charge du développement chez Guerrilla estime qu'il faut pour commencer que la connexion sur les serveurs se fassent rapidement et efficacement. En d'autres termes, quelques clics doivent suffire pour se retrouver parachuter sur une map, la fleur sur le fusil.
Après avoir présenté la campagne solo de Killzone 3 lors du dernier E3, les petits gars du studio Guerrilla ont passé la seconde lors de la gamescom. Comprenez qu'ils ont cette fois abordé le mode multijoueur sur lequel ils misent véritablement beaucoup pour convaincre les amoureux de FPS et plus particulièrement les joueurs de Killzone 2 qui ont fait le tour du multi de ce dernier. Tout d'abord, sachez qu'au-delà du gameplay à proprement parler, c'est tout le background du multijoueur qui a été revu et soigné dans Killzone 3. Durant la présentation à laquelle nous avons pu assister, il a beaucoup été question de la facilité d'accès du multi (en trois "clics") et de son ouverture à tous les types de joueurs. S'il ne faut pas grand chose pour nous convaincre que Killzone 3 n'a rien d'un FPS élitiste, force est de constater que tout est fait pour rendre l'expérience agréable aux newbies et à ceux qui sont peu coutumiers du multijoueur. Jeu console oblige, l'utilisateur n'a finalement pas grand chose à faire pour trouver une partie dont le niveau moyen s'approche du sien.
Sony et le studio Guerilla n'ont surtout pas souhaité retomber dans les travers promotionnels de Killzone 2. Pour le troisième volet, il était impératif de proposer une version jouable dans les plus brefs délais. Le salon de l'E3 était l'occasion parfaite pour cela et c'est avec grand plaisir que nous avons pris la manette pour faire nos premiers pas dans Killzone 3, et en 3D stéréoscopique, s'il vous plaît ! D'entrée de jeu, le joueur qui aura suivi la saga Killzone depuis ses débuts sera marqué par l'environnement retenu pour cette première version jouable. Il s'agit d'un niveau balayé par la neige qui tranche radicalement avec les décors très urbains des précédents volets. Après avoir tué le leader Helghasts dans Killzone 2, le joueur et son équipe se retrouvent alors pourchassés par deux factions Helghasts opposées. L'une contrôle l'armée, l'autre dirige des bases secrètes mais toutes deux sont extrêmement dangereuses. Vous vous retrouvez à fuir et à parcourir, donc, le niveau glacé en question. Durant notre session de jeu, nous avons pu voir et s'essayer à plusieurs séquences différentes dont un passage de shoot sur rails épique et parfaitement mis en scène. Bien calé sur un engin volant, il fallait tirer sur les structures ennemies en contrebas pour les détruire.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
Plus accessible...
Et de trois... Sur PS3 comme ailleurs, les suites sont à l'honneur cette année, et Killzone 3 ne sera certainement pas la plus boudée à en croire l'attroupement de la foule sur le stand de Sony Computer Entertainment pour essayer le jeu. Nous avons nous aussi pu découvrir le dernier bébé de Guerrilla, l'occasion de partager avec vous nos impressions toutes fraîches. Si son prédécesseur a été une Arlésienne d'un fort beau gabarit, Killzone 3 lui devrait finalement arriver assez rapidement dans nos salons. Il faut dire qu'en reprenant une grosse partie du travail effectué sur le second épisode, les développeurs se sont certainement économisés quelques retards, mais le résultat est que leur nouveau jeu a forcément la même odeur que son aîné. Pas révolutionnaire pour un sou, mais c'est plus la norme que l'exception à notre époque, Killzone 3 n'en reste pas moins un FPS prometteur, doté d'atouts assez évidents qui aident à comprendre pourquoi l'éditeur devrait énormément le mettre en avant dans les mois qui viennent. Comme c'est d'ailleurs déjà le cas à cet E3. La démo proposée était disponible en 2D comme en 3D (nous l'avons vu en "simple" 2D), avec une file d'attente pour chaque mode, et on sait aussi que le jeu devrait être compatible avec le PlayStation Move.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Killzone 3. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Killzone 3.