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Nous avons réuni 20 tests du Just Cause 2. Les experts notent Just Cause 2 7.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Just Cause 2 et d'autres Jeux Xbox 360.
Après un premier épisode sympathique, mais qui n'est pas resté dans les annales du jeu vidéo, la série remet le paquet avec un nouvel opus, le premier sur , mais le deuxième sur. Jouant dans la catégorie des jeux d'action à la troisième personne se déroulant dans un monde ouvert,propose un cadre plutôt original pour le genre, une immense île perdue dans le Pacifique. Contrairement à ou encore , préférant utiliser une grande métropole comme cadre de jeu, le titre développé par Avalanche Studios opte pour un dépaysement total, un peu comme le peu convaincant il y a un an et demi. parvient-il à faire mieux que son rival ? Commençons par ce qui fait le charme immédiat de , le choix de sa zone de jeu. Ici, point de Los Angeles, Tokyo ou encore New York, mais un immense archipel (qui s’étale toujours sur 1024 km²) baptisé Panau, comprenant de nombreux lieux bien différents. Vous trouverez donc une capitale, des plages aux eaux transparentes, une jungle luxuriante, des zones montagneuses et enneigées, ainsi qu’un désert sec et aride, bref, à peu près tout ce que l'on peut trouver sur notre chère planète Terre, une vraie carte postale.
Quatre années séparent le jeu original de sa suite, quatre longues années qui auront permis au studio suédois d'embrasser définitivement les consoles next-gen et de les maîtriser au possible. Contrairement à son prédécesseur, Just Cause 2 a été spécifiquement bâti dans l'optique d'exploiter les supports next-gen et rien d'autre.Dans ce second volet, nous incarnons de nouveau Rico Rodriguez, qui après avoir libéré l'île de San Esperito, part cette fois à la conquête de Panau, un archipel tropical fictif. Géographiquement parlant, on quitte l'Amérique centrale pour rejoindre l'Asie du Sud-Est. En théorie, on devrait obtenir un climat relativement proche, un climat de type tropical. Mais les développeurs ont voulu s'évader quelque peu et ont préféré adopter une multitude de climats. Ainsi, dans cet archipel cohabitent éboulements de neige, tempêtes de sable, marécages et plages ensoleillées. Cela change effectivement de l'unique climat présent dans San Esperito, une diversité qui fonctionne à merveille.L'archipel de Panau est composé en gros de quatre îles dotées de climats différents. Cela représente approximativement une aire de jeu de 1024 km², une aire tout simplement gigantesque.
Just Cause vient tout juste de faire son grand retour avec un Rico Rodriguez qui aura fort à faire pour semer le chaos dans un environnement ouvert de 1000 km². Just Cause premier du nom était très sympa mais souffrait de quelques petits défauts légèrement rebutants, le second compte bien corriger ses quelques erreurs et se placer comme un incontournable dans le domaine des jeux d'action dans un environnement ouvert. Test complet.Just Cause 2 marque le retour du héros du premier épisode, Rico Rodriguez, cet agent employé par l'agence qui est un grand adepte d'acrobaties en tout genre. Dans le premier épisode, le personnage manquait beaucoup de charisme, c'est le moins que l'on puisse dire. Dans le genre, on aime tout de même incarner des personnages avec un certain charme, pas forcément beau mais qui ont une prestance disons, un peu comme Niko Belic dans GTA ou Sam Fisher dans Splinter Cell. Rico Rodriguez ne faisait pas partie de ses héros, avec son look quelque peu banal et son manque de personnalité. Pour le second opus, les développeurs de chez Avalanche Studio ont pensé à faire évoluer le protagoniste, physiquement tout d'abord, et ont revu sa façon de s'habiller.
Rico Rodriguez est de retour. Près de quatre ans après avoir fait un malheur à San Esperito, voilà que l'agent secret le plus fantaisiste du jeu vidéo revient pour de nouvelles aventures sur nos consoles et PC. Sans surprise, les développeurs suédois d'Avalanche Studios reprennent largement la recette qui avait fait mouche en 2006, tout en l'améliorant par touches. Mais que les fans se rassurent, il est toujours question dans Just Cause 2 de cascades plus improbables les unes que les autres. Just Cause 2, comme son ainé, c'est avant tout une histoire d'archipel paradisiaque. Le rendez-vous est donc donné cette fois-ci à Panao, un ensemble d'îles imaginaires situées en plein c?ur des mers turquoises d'Asie. Seulement voilà, passé le paysage carte postale, premier couac pour le jeu d'Avalanche Studios. Mise en scène bancale, dialogues dignes d'un nanar de série B, doublages horribles, on ne peut pas dire que Just Cause 2 accueille le joueur dans les meilleures conditions. On retrouve en fait l'un des gros défauts du premier épisode, avec toujours une histoire qui sert plus d'excuse que de véritable scénario. Clairement pas le point fort du jeu, la trame de ce second opus est en plus desservie par une importance un peu trop extrême du Chaos.
Un peu moins de quatre ans après la sortie du premier épisode sur différents supports, Just Cause 2 débarque sur Playstation 3, Xbox 360 et PC. Avec à la baguette Avalanche Studios, ce deuxième opus nous propose de partir à la découverte de l'île de Panao, une île paradisiaque au premier abord, mais qui va très vite se transformer en champ de bataille. Armé jusqu'aux dents, Rico Rodriguez est de retour pour le plus grand plaisir des fans d'action avide de liberté. Bien décidé à comprendre pourquoi son ami et mentor, Tom Sheldon, l'a trahi, Rico Rodriguez débarque seul sur l'île de Panao. En quête d'informations, il prend alors le parti de travailler pour les trois factions présentes sur place (Roaches, Reapers, Ular Boys). Les aidant à assoir leur domination sur Panao et semant le chaos partout où il passe, Rico accomplit les missions qui lui sont confiées, par les factions ou l'Agence, avec sérieux et efficacité (capture de base, désamorçage de bombe, transport de marchandises, assassinat, libération d'otage, etc.). Rien de bien original, et pourtant ! Avant même de s'en prendre aux ennemis qui croisent sa route, Rico doit veiller à tout détruire sur son passage.
Quelques années après avoir débarrassé San Esperito de son régime dictatorial, Rico Rodriguez est cette fois sollicité pour libérer le peuple de l'île de Panao. Plus incontrôlable que jamais, l'agent américain a carte blanche pour mener à bien sa mission et compte exploiter au mieux les deux mamelles de son profil atypique : sa maîtrise du combo grappin/parachute et ses compétences de pilote de véhicules terriens, aériens et maritimes. Rico Rodriguez est employé par l'Agence et débarque sur Panao avec une mission double. Tout d'abord, retrouver la trace de Tom Sheldon, son mentor précédemment parachuté sur l'île mais qui ne donne plus signe de vie. Ensuite, découvrir pourquoi Pandak Panay a sans doute fait assassiner son propre Père pour s'autoproclamer chef de la nation de Panao. Pour ce faire, notre petit Rico va devoir infiltrer successivement les trois factions rebelles qui s'opposent aux armées du gouvernement aux quatre coins de l'île et de ses quelques 1 000 km². Les Reapers, les Roaches et les Ular Boys vont alors accueillir Rico en tant que mercenaire, sans se douter de ses réelles intentions. L'agent va donc se muer en révolutionnaire pour percer le mystère gardé par ce lieu d'apparence paradisiaque mais hanté par d'incessants conflits.
Just Cause 2 est tombé dans ma console à point nommé. Je venais de finir Heavy Rain avec autant de retard que de plaisir, et l'envie de passer à un truc un peu décérébré me titillait : c'est exactement ce que propose le jeu d'Avalanche. Une aire de jeu gigantesque, des explosions grandiloquentes qui charment le vilain petit garçon qui est en nous, et un style 200% jeu vidéo, généreux dans le pan-pan-boum-boum comme dans le contenu. Alors il ne faut pas s'attendre à de l'intellectuel, mais y'a pas que le cerveau dans la vie.Rico est de retour. Il est toujours aussi peu charismatique que subtil, et si on regrettera ce premier travers, on appréciera le second, car Just Cause 2 n'est pas là pour faire dans la dentelle -- vue la taille et la richesse du bac à sable proposé, pas le temps pour la fignole de toute façon. Après un premier épisode intéressant mais un peu terne, vide et encombré de soucis plus ou moins importants, les développeurs se sont déchirés pour que cette suite passe le niveau supérieur. Et à bien des égards, il ont réussi haut la main. Mais avant de revenir plus en détails sur les nombreuses qualités du jeu, attardons-nous un peu sur ses aspects moins reluisants. À commencer par le pan narratif de Just Cause 2.
La première chose qui frappe lorsque Rico Rodriguez débarque sur les îles de Panao - terrain de jeu de ce deuxième épisode - concerne l’immensité de ces dernières. Soit 1000 km² que l’on peut, dès le début, parcourir en toute liberté. Un immense bac à sable, comme on dit, où le but principal consiste à semer le «Chaos». Dès le départ, Rico peut ainsi librement se balader sur les différentes îles de la République de Panao, un pays (imaginaire) en proie à un gouvernement peu ou prou totalitaire. Passons rapidement sur l’histoire de Just Cause 2 puisque celle-ci n’est finalement qu’un prétexte justifiant le carnage annoncé. . Si les nombreuses missions secondaires ne sont pas obligatoires, il faudra tout de même en réaliser quelques-unes pour remplir sa jauge de chaos et ainsi accéder à la prochaine mission de l’histoire principale. Une façon, plus ou moins dissimulée, d’augmenter la durée de vie d’un titre qui n’en avait pas nécessairement besoin. A vrai dire, peu importe si l’histoire principale de Just Cause 2 dure dix, quinze ou vingt heures tant le jeu d’Avalanche Studios ne s’appréhende pas comme une aventure continue. La notion de bac à sable prend en effet ici sa pleine mesure. Dès lors, (escorter un personnage, désamorcer des bombes, prendre possession d’une zone…).
C'est en septembre 2006 que sortait dans nos vertes contrées Just Cause. Lorgnant clairement sur les plates bandes de Rockstar, le jeu d'Avalanche Studio se voulait une alternative plus fun et décomplexée aux jeux bac à sable à la GTA. L'accueil, aussi bien critique que public, fut plutôt mitigé. La faute à des contrôles douteux, une réalisation à revoir et à une trop grande répétitivité de l'action.Trois ans et demi plus tard Avalanche Studio revient avec un Just Cause 2 plus diversifié, plus grand, plus beau... Alors bonne surprise ou pétard mouillé? Commençons par un point sur le scénario. Dis, tu me prête ton hélico?Rico Rodriguez, agent d'élite de «l'agence» est envoyé sur l'île fictive de Panao, dictature dirigée d'une main de fer dans un gant de fer par son président lilliputien Baby Panay, afin de retrouver et d'éliminer son mentor, traitre à la cause de l'agence. Rico se retrouvera donc à travailler pour différente factions ce qui lui permettra de démêler cette histoire pleine de rebondissements tous plus risibles et clichés les uns que les autres. Moins manichéen qu'on pourrait le croire au premier abord (le héros se voit confier des missions de récupération de drogue ou d'assassinat de fonctionnaires) le scénario est tout de même ultra patriotique et convenu («je suis un américain de souche moi, et nous les VRAIS américains on DETESTE les rouges»).
Alors que Just Cause était sorti bien avant GTA IV, le titre d’Eidos ne jouait finalement pas totalement dans la même cour que celui de Rockstar. Misant plus sur son aire de jeu vaste que sur le gameplay en lui-même, Just Cause était un bon jeu sans toutefois atteindre des sommets. Après avoir arpenté l’île de San Esperito, Just Cause 2 prend place sur l’île de Panao. Ce changement de destination touristique suffit-il à en faire un meilleur jeu que le premier épisode ? Réponse dans le test. Après un Just Cause agréable mais pas inoubliable, Just Cause 2 reprend les ficelles de son ancêtre tant dans son scénario que dans sa mécanique de jeu. Rico Rodriguez est encore de la partie et il doit tout faire pour renverser le gouvernement à la tête de l’île de Panao pour retrouver son ancien collègue qui a purement et simplement changé de camp. Pour mettre fin à ce gouvernement, Rico Rodriguez décide de s’allier aux différentes factions qui jonchent l’île pour assoir leur autorité. Pour parvenir à renverser tout fatras d’alliances et d’embrouilles, il faut effectuer le travail des factions à leur place.
Lors de sa sortie il y a trois ans et demi, le premier Just Cause ne manquait pas de bonnes intentions. Les fesses coincées entre deux générations de consoles, le jeu avait tout de même un goût d'inachevé plus ou moins amer et traînait quelques boulets qui gâchèrent nos vacances à San Esperito. Sûrs des qualités intrinsèques de leur titre, les Suédois d'Avalanche Studios n'ont pas lâché l'affaire et se sont mis sérieusement au boulot pour nous préparer une suite capable de gommer les erreurs de son aîné tout en cherchant à emmener le gameplay un peu plus loin encore. Bref, les bougres ont eu du pain sur la planche, pour sûr, et nous livrent aujourd'hui un Just Cause 2 explosif, ambitieux et spectaculaire. Mais peut-être moins paradisiaque qu'il n'y paraît. Après avoir mis sérieusement en émoi l'archipel caribéen de San Esperito, le turbulent agent secret Rico Rodriguez a plié bagages pour se rendre à l'autre bout de la planète, en Asie, dans un autre chapelet d'îles tout aussi fictives et dépaysantes : Panao. Derrière ce nom qui plairait à Denis Brogniart se cache un archipel tenu d'une main de fer par un gouvernement corrompu et totalitaire qui fait régner l'ordre grâce à une armée omniprésente et peu encline à la rigolade.
Comme n'importe quel autre support de création, notamment le cinéma, le jeu vidéo a ses chefs-d'oeuvre alliant le plaisir à la réflexion intellectuelle et à la beauté pure. Le jeu vidéo a également ses oeuvres cultes qui, peu importe leurs anciennetés, nous ont tellement plu que des années après leurs sorties, on y rejoue encore avec nostalgie passant outre leurs pires défauts. Et puis pour ces quelques pépites, il y a tous les autres, trop poussifs, trop complexes ou au contraire trop simplistes pour retenir notre attention au-delà de quelques mois, mais s'annoncent à leur sortie comme un « blockbuster ». Just Cause 2 est l'un de ceux-là. À classer dans la catégorie des titres séries Z, Just Cause 2 est un jeu de type « bac à sable » dans tous les sens du terme. Non seulement on peut y parcourir le territoire en long en large et en travers et interagir avec tous les éléments (j'y reviendrais par la suite), mais en plus, comme dans un bac à sable pour enfant, vous pouvez déposer votre cerveau au vestiaire avant de vous éclater. Faisant fi du politiquement correct, il cumule tous les clichés du film d'action hollywoodien, période années 80. D'ailleurs, la première fois que j'ai vu Rico « Scorpion » Rodriguez, j'ai cru voir une version sous aspartame de Rambo, mâtiné de Droopy pour les yeux de chiens battus.
Dans Just Cause 2, Rico doit provoquer le "chaos" pour débloquer les missions de l'histoire, mais c'est à peu près votre seule obligation quant aux icônes dispersées sur la carte, et par conséquent tout est évitable en théorie. En pratique cependant, jouer les cinq premières heures de la version finale du jeu montre que tout est inévitable. Par exemple, en transportant Rico par voie aérienne jusqu'à un endroit soigneusement choisi, pilotant expertement un hélicoptère au-dessus des arbres balayés par le vent des sommets ensoleillés des immenses montagnes de Panau, vous repérez du coin de l'oeil une réplique parfaite de l'installation terroriste cachée derrière un lac cubain de la fin de GoldenEye. C'est vraiment étrange : une immense cuvette de béton avec en son centre un équipement satellite suspendu à d'énormes câbles d'acier.Naturellement, vous atterrissez pour découvrir de quoi il s'agit exactement. Des gardes sortent et vous commencez à les abattre. Malgré tout, vous ne savez pas vraiment à quoi est destinée cette installation, et, après avoir tué tout le monde, être grimpé partout sur cet appareillage et avoir tiré quelques balles d'essais sur le sas métallique verrouillé au centre de la cuvette, vous décidez de reprendre votre mission.
Gamekult
Ajouté le : 03/2010
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Alors que la sortie de Just Cause 2 est désormais imminente, son fier héros, Rico, s'est tout de même payé un dernier petit tour vers l'archipel de Panao dans sa version quasi définitive. Au programme, un peu de bronzette et de tourisme, mais surtout beaucoup d'action et de sensations fortes sur terre, sur mer et dans les airs. Outre son cadre idyllique qui ferait rêver Antoine, ce GTA des tropiques a en effet tout prévu pour occuper dignement les amateurs d'action et leur en mettre plein la vue. Mais Panao a-t-il vraiment de quoi nous donner envie de réserver notre billet d'avion ? Si Panao existait réellement, Bernard de la Villardière y serait sans doute allé depuis pas mal de temps pour nous révéler la face cachée de cet archipel paradisiaque où, derrière l'image de carte postale, corruption et insécurité gangrènent le pays. A défaut de mettre en scène le champion du journalisme français, Just Cause 2 nous entraîne une nouvelle fois sur les traces de Rico, ce turbulent agent secret, qui a pour mission cette fois-ci de retrouver et arrêter son ancien mentor qui aurait basculé chez l'ennemi. Pour ce faire, notre bonhomme a tout simplement décidé de donner un bon coup de pied dans la fourmilière géopolitique de Panao, notamment en offrant ses services aux différentes factions qui rêvent de renverser le gouvernement qui gère le pays avec une certaine tendance au totalitarisme (soldats à tous les coins de rue et propagande bien lourde à la clé).
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 02/2010
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À un mois de sa sortie, il est l'heure de dresser un dernier bilan, manette en main, du truculent Just Cause 2. Si son développement a semblé bien moins chaotique que celui du premier volet, dont la mention Xbox s'est vue assez tard affublée du complément « 360 », Just Cause 2 ne cristallise pas moins d'attentes que son aîné. Un monde ouvert gigantesque, des tas de trucs à faire, des cascades de folie? on prend les mêmes et on recommence ? Nul besoin de revenir sur le scénario de ce Just Cause 2. D'une part parce que la précédente Preview de l'ami Guillaume_C en résumait les principaux enjeux, et d'autre part parce que son importance est toute relative dans l'expérience de jeu. Après quelques heures en tête à tête avec ce nouveau Just Cause, il est néanmoins difficile de dire si Avalanche assume complètement le côté décalé et ridicule de son héros et des situations auxquelles il est confronté. Les trois factions ? les révolutionnaires de Reapers, les gangsta' de Roaches et les fachos d'Ular Boys ? sont pourtant directement issues des plus mauvais films de série B, les dialogues tout droit inspirés des Bronzés 3, gags y compris, et l'intrigue atteint un niveau de portnawak tellement élevé qu'on oscille la plupart du temps entre les sourires polis et la plus grande consternation.
Rico Rodriguez reprend du service. Le révolutionnaire le plus déterminé du petit monde vidéoludique s'apprête à en faire baver à ces enfoirés de collabos. En attendant le test dans un petit mois, nous avons pu profiter d'une version complète de Just Cause 2. Encore en chantier mais complète ! A l'image de la volonté et de la dextérité exacerbées de Rico Rodriguez, notre héros kamikaze, la taille de la map de Just Cause 2 est... comment dire... immensément immense. Rendez-vous compte, 1 000 km² de paysages antagoniques, de petites plages paradisiaques à des complexes militaires juchés au sommet de cols enneigés en passant par des villages squattant de sombres clairières... Le dépaysement peut être total d'un coin à l'autre de la carte mais il est inexistant ou presque si on compare Just Cause 2 à son aîné. En effet, Avalanche Studios s'est contenté de recycler ce rendu visuel composé de couleurs chatoyantes et de sites parfois isolés, parfois en bord de route, tout en se basant sur un cycle jour/nuit des plus crédibles. Ainsi, Rico débarque en terrain connu et compte tout faire pour qu'il devienne un terrain conquis.
Le soleil vient de se lever, encore une belle journée et il va bientôt arriver pour nous libérer, l'ami Rico. Résolu à gommer les imperfections du premier Just Cause, Avalanche Studios va à nouveau nous entraîner dans une aventure faisant rimer révolution avec action. Nous avons pu mettre le grappin dessus et nous vous livrons nos premières impressions. En ce moment, il semblerait qu'Eidos vive sa période "héros qui utilisent un grappin pour se déplacer". Pour preuve, après nous avoir enchanté avec les aventures de Batman, ils nous ont proposé de faire quelques pas dans Just Cause 2. Comme il se doit, nous y avons retrouvé le tombeur de dictature au charme indubitablement ibérique : Rico. Comme dans l'opus précédent, il aura toute latitude pour arriver à ses fins. Il lui sera possible d'aborder ses missions selon l'angle qu'il jugera bon, quel qu'il soit, en utilisant n'importe quelle méthode et en ayant recours aux armes ainsi qu'aux véhicules avec lesquels il se sentira le plus à l'aise. Sur ce point précis, sachez que le catalogue regroupera plus d'une centaine de véhicules différents : des motos, des voitures, des avions, des bateaux et des hélicoptères.
Gamekult
Ajouté le : 11/2009
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Apparu à l'automne 2006, le premier Just Cause avait su épater à l'époque par l'immensité de son terrain de jeu et les nombreuses cascades dont était friand son héros. Malheureusement, coincés entre deux générations de console, les développeurs d'Avalanche Studios s'étaient pas mal éparpillés, ce qui ne manqua pas de rendre leur titre fragile entre un contenu trop pauvre et des soucis de maniabilité. Trois ans plus tard, le sanguin Rico est prêt à faire son comeback dans un Just Cause 2 sur lequel nous avons pu mettre notre grappin en avant-première. Après avoir bien fichu le bazar à San Esperito, Rico s'envole à présent pour un groupe d'îles imaginaires situées cette fois-ci en Asie : l'archipel de Panau. Premier constat en survolant les lieux aux commandes d'un petit avion de fortune : les environnements sont bien plus variés que dans le premier Just Cause. Plages paradisiaques, jungle verdoyante, villes chargées de buildings utlra modernes, chaîne montagneuse enneigée, déserts ocres et arides... Avalanche Studios a bien tiré des leçons de la monotonie étouffante de San Esperito. Si l'aire de jeu de Just Cause 2 s'étale donc toujours sur 1024 km², le résultat paraît bien plus probant et à même de séduire les touristes adeptes de free roaming.
Eidos profite de l'E3 pour remettre une petite couche de Just Cause 2 et nous présenter une mission inédite mettant en valeur quelques nouveaux mouvements du héros, le fameux Rico Rodriguez. Lorsque nous avions vu Just Cause 2 en mars dernier, le studio Avalanche avait déjà posé les bases de cette suite. Ces bases n'ont pas bougé et nous incarnerons une fois encore Rico Rodriguez, un agent de l'extrême que l'on envoie effectuer les missions les plus périlleuses. Dans Just Cause 2, le patron de l'Agence a mis les voiles emportant dans ses valises la bagatelle de 7 millions de dollars. L'Agence n'a pas d'autres choix que de vous envoyer le retrouver et comme par hasard, votre destination vous emmène sur un archipel paradisiaque. Suite oblige, le terrain de jeu est bien plus vaste que le premier épisode et il y a aussi bien plus de véhicules à conduire (100 véhicules), de campements à visiter (300 camps) et de missions à effectuer.
Gamekult
Ajouté le : 04/2009
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En septembre 2006, Just Cause tombait à pic et pas seulement parce que son héros adorait la chute libre. Ce jeu d'action à la troisième personne venait rassasier les amateurs de grands espaces en attendant l'arrivée d'un GTA nouvelle génération. Maintenant que le messie GTA IV a balayé la concurrence, Avalanche Studios prépare le retour aux affaires de Rico Rodriguez, son James Bond maison, dans un Just Cause 2 plus révolté que jamais. Le grand soir approche-t-il ? Nous sommes allés chercher un début de réponse à Londres, la ville où était présenté le jeu en avant-première. Cliquez sur l'image pour l'agrandir Il aura fallu à peine quelques minutes de présentation aux Suédois d'Avalanche Studios pour imposer un constat à leur auditoire : Just Cause a bien changé. Symbolique de ce qu'était la Next Gen transitoire de 2006, le jeu a évolué jusqu'à s'affranchir des contraintes multisupports de l'époque. Résultat : cette suite s'annonce conforme aux attentes des esthètes actuels.
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