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Nous avons réuni 15 tests du Homefront. Les experts notent Homefront 5.5/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Homefront et d'autres Jeux PC.
Avec environ 10 millions de vente par épisode, des serveurs pleins à craquer et des retombées financières énormes, il semble normal que tous les éditeurs veuillent copier Call of Duty. EA s’y est aventuré en fin d’année dernière avec une certaine maladresse et c’est maintenant au tour de THQ de tenter sa chance avec Homefront. Et si la campagne publicitaire est effectivement à la hauteur du hit d’Activision, c’est bien le seul domaine où il parvient à l’égaler. Explications. Nous sommes en 2027. Entre aujourd’hui et cette date fatidique il s’est passé bien des évènements dans le monde. La puissance économique des Etats-Unis n’est plus que l’ombre d’elle-même à cause d’une immense crise pétrolière. Et la Corée du Nord en a profité pour devenir une puissance mondiale respectée. Tirant profit du marasme économique mondial, le dernier état Stalinien a changé de dirigeant, envahi la Corée du Sud, le Japon, Hawaï, et dernièrement toute la partie Ouest des Etats-Unis. L’armée américaine est impuissante à reconquérir les Etats perdus, et la puissance nord-coréenne a imposé son régime autoritaire à ses nouvelles conquêtes.
Le mètre-étalon Call of Duty continue de faire des émules. Mais, cette fois, ce sont les Etats-Unis qui se font envahir ! Nous sommes en 2026 et le monde a bien changé. Après avoir succédé à son père, Kim Jong-il, réunifié la Corée du Nord et la Corée du Sud, soumis le Japon, et annexé une bonne partie des autres pays d'Asie sous la bannière de la Grande République de Corée, Kim Jong-un s'en prend aux Etats-Unis. L'invasion étant une réussite, le peuple américain subit pleinement le joug du dictateur coréen et ne peut compter que sur quelques poches de résistance pour retrouver sa fierté perdue. Ce scénario, écrit par John Milius, plus connu pour son travail sur Apocalypse Now, nous change agréablement de la routine. Pour une fois, les Américains sont présentés comme des victimes, et non les sauveurs du monde. Ce changement de paradigme a ceci de bon qu'il tire sur la corde émotionnelle des joueurs occidentaux. A la façon d'un Metro 2033, le jeu n'hésite pas à mettre régulièrement en scène le désespoir de la population et les horreurs qu'elle subit au quotidien. Malgré leur efficacité, ces petites saynètes ne constituent tout de même pas le coeur du jeu, qui reste un FPS pur et dur.
En distillant au fil des mois trailers anxiogènes et fausses news alarmistes, THQ aura réussi à créer le buzz en ce début d'année, décidément placé sous le signe du FPS. Un scénario d'anticipation bien ficelé signé John Milius, une mise en scène de premier ordre portée par des images choc, un multi profond et stratégique mettant en scène jusqu'à trente-deux acharnés de la gâchette... Définitivement, la promesse d'assister à un renouveau du genre était belle. A tel point que les développeurs de Kaos Studio déclaraient il y a peu vouloir donner une suite à ce qui s'imposait à eux comme une nouvelle franchise. Malheureusement, au vu de ce Homefront, on en viendrait presque à espérer que ce voeu un brin précipité n'en reste qu'à l'état de projet un peu vague. Explications. Kaos Studio, les pannes d'essence et les pénuries de carburant qui se terminent en bordel mondial, ça les connaît. Ou tout du moins, cela semble les tracasser plus que de raison puisqu'on retrouve peu ou prou dans Homefront la même base qui servait de trame au scénario de leur précédent FPS : le bien-nommé Frontlines : Fuel of War.
"Par le scénariste de Apocalypse Now" clame haut et fort THQ au sujet de Homefront. Ca, c'est le genre d'arguments qui a tendance à inquiéter. Un peu comme "Par les créateurs de...". Il faut bien admettre qu'il n'y a pas grand-chose d'autre à dire au sujet du dernier-né de Kaos Studio. On admettra sans problème que Homefront démarre de fort jolie façon. Par le biais d'une intro mêlant images réelles et montages de synthèse, vous assistez à la réunification des deux Corée par Kim-Jong-un, fils de l'actuel dictateur Kim-Jong-il. S'ensuit une escalade d'évènements voyant la République de Corée prendre progressivement le contrôle de l'Asie alors que les Etats-Unis s'affaiblissent, gangrenés par la hausse du cours du pétrole. Et au final, c'est l'invasion et l'occupation. Après cette cinématique d'intro, le jeu vous plonge dans l'horreur, celle vécue par un pilote à bord d'un bus de l'armée coréenne en route pour un camp. Sur le trottoir vous avez droit à quelques tranches de mort, des exécutions sommaires en pagaille dont celle d'un couple sous le nez de leur enfant. C'est vrai, ça fait froid dans le dos.
Si l'on en croit le travail de John Millius (le scénariste d'Apocalypse Now tout de même...) sur Homefront, l'avenir ne s'annonce pas franchement rose. En 2013, la Corée du Nord et la Corée du Sud seront réunifiées. En 2018, cette République populaire démocratique de Corée envahira le Japon. En 2021, elle s'étendra à la majorité des pays asiatiques et deviendra la Grande République de Corée. Et en 2025, elle envahira carrément les Etats-Unis ! Dès lors, le pays de l'oncle Sam vivra dans la terreur et sous le joug d'une répression sanglante. C'est dans ce contexte qu'une patrouille de l'armée coréenne vient réveiller le pilote d'hélicoptère Robert Jacobs, afin de s'offrir ses services. Un rebondissement plus tard, notre homme passe du côté de la résistance et, fusil en main, commence à canarder de l'envahisseur bridé. Nous sommes au Colorado, dans la ville de Montrose, et vous incarnez naturellement ce Robert Jacobs. Plus compréhensible et plus original que celui du Call of Duty moyen, le scénario de Homefront a de plus le mérite de nous faire combattre sur le sol américain. Exactions policières en pleine rue, quartiers résidentiels dévastés, stades transformés en charniers, exécutions publiques voire familiales... le jeu n'hésite pas titiller la fibre sensitive du joueur.
Avec Red Faction : Armageddon et WWE All-Stars, Homefront était sans conteste le troisième jeu qui faisait la fierté de THQ lors de son Gamer's Week qui s'est déroulé il y a quelques semaines à New York. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si l'éditeur américain a choisi de clôturer son événement par ce titre, histoire de nous en mettre plein la vue. Quelques bornes étaient mises à disposition pour découvrir quelques niveaux choisis du mode solo, mais celui-ci reste la chasse gardée des développeurs qui préfèrent miser leur communication sur le mode multijoueur. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle nous avons concentré nos efforts sur cette partie précise du jeu, puisque nous aurons le loisir de revenir sur la campagne au moment du test, et enfin savoir si les résistants américains sont parvenus à se défaire du joug nord-coréen, la nouvelle nation à diaboliser. En attendant, c'est sur des cartes inspirées de l'aventure principale que nous avons pu faire nos armes et enchaîner nos premiers headshots. Si les premières minutes avec le jeu sont déstabilisantes, la faute aux déplacements un brin rigides et quelque peu lents (même lors du sprint) de son soldat, on a été très vite aspiré par les nombreux événements qui se sont enchaînés tout au long de nos parties en réseau.
Après notre aperçu du mode solo, c'est au multi que l'on s'est attaqué en répondant à l'invitation de l'éditeur THQ désireux de nous en mettre plein la vue lors d'une journée folle à New York. Le FPS Homefront nous transporte dans un univers contemporain mais fictif où la Corée envahit les Etats-Unis. Dans le mode multijoueur, on joue donc soit les forces US, soit les Coréens. Autant ne pas y aller par quatre chemins, les parties en ligne de Homefront font incroyablement penser à celles de Call of Duty Black Ops en termes d'intensité et de pression liée aux enchaînements des tués sans y laisser sa peau. On débloque aussi des armes au fur et à mesure pour personnaliser ses classes de personnages, on choisit ses atouts, et pour couronner le tout on débloque des bonus en cours de partie selon ses performances. Mais Homefront a aussi ses propres subtilités et apporte à l'expérience multijoueur son lot de sensations fortes. Les parties en ligne accueillent jusqu'à 32 joueurs sur des cartes plus grandes que celles du titre d'Activision et l'emploi de véhicules, voire la progression liée au changement de place des objectifs à capturer sur le champ de bataille, lui confère même un petit côté Battlefield.
Gamekult
Ajouté le : 01/2011
Plus accessible...
La partie solo de Homefront nous ayant déjà été présentée à l'E3 dernier, THQ et Kaos Studio nous ont cette fois-ci convié à un essai grandeur nature du multijoueur de leur FPS star. L'occasion de découvrir un jeu qui ne cache pas ses inspirations pour accoucher d'une formule qui pourrait bien séduire les amateurs des jeux de massacres à plusieurs sur consoles et PC. Home is where the Drone is Homefront en multijoueur c'est un peu de Call of Duty, avec un système de classes complètement modifiables, un gameplay nerveux pseudo-réaliste qui nous invite à mitrailler tout ce qui passe au milieu de notre viseur dans des décors denses et souvent complètement ravagés par la guerre pendant qu'un compteur d'XP nous rappelle que le déblocage du dernier fusil à la mode est presque à portée de main. Homefront en multijoueur, c'est aussi une bonne dose de Battlefield, avec un mode Ground Control qui nous invitera à capturer des positions stratégiques en équipe et à empêcher l'ennemi d'en faire de même pendant que des véhicules (du simple hummer au tank en passant par l'hélicoptère de combat) nous apportent le soutien nécessaire pour emporter la partie.
Le jeu de tir à la première personne made in THQ fait une nouvelle fois parler de lui. Invités à essayer le jeu dans les locaux du tout nouveau studio de développement de l'éditeur à Montréal, nous ne nous sommes pas fait prier pour entrer dans la peau d'un résistant... Depuis le temps que ce jeu est en développement et que l'on vous en parle, vous devez savoir de quoi il en retourne. Pour résumer, afin que les nouveaux venus ne soient pas à la traîne, Homefront est un FPS avec une ambiance particulièrement immersive puisque basée sur un scénario crédible à haute teneur en émotions diverses et variées. Supervisé par un ancien agent de la CIA, le script du jeu raconte comment dans un futur proche, la Corée réunifiée s'est lancée à l'assaut du monde capitaliste dans un conflit qui n'est pas sans évoquer la Seconde Guerre mondiale et la conquête boulimique de l'Allemagne nazie. L'action du jeu se déroule aux États-Unis, et vous incarnez un pilote d'hélicoptère que les événements vont pousser à rejoindre la résistance. Le jeu commence par une sorte de cinématique en caméra libre (façon Half Life), alors qu'un groupe de soldats coréens vient perquisitionner votre domicile et vous emmène de force à l'extérieur...
Après une présentation très réjouissante du mode solo de Homefront, le célèbre éditeur THQ nous a conviés à une démonstration toute aussi alléchante du mode multijoueur de son prochain FPS. Et à 16 comme à 32, une chose est claire, ça va canarder sec sur nos bécanes ! Comme nous vous l'avons déjà précisé ces derniers mois, Homefront c'est avant tout un scénario en béton signé John Milius (Apocalypse Now, Conan le Barbare, Miami Vice...) magistralement mis en valeur par une réalisation des plus convaincantes. Nous sommes dans un futur proche ; Les années 2020 pour être précis. Les États-Unis d'Amérique ne sont plus qu'un pays décadent miné par les crises économiques et les intrigues politiques. Lâché par ses anciens alliés et militairement sur le déclin, l'ancien leader mondial est dans une situation de vulnérabilité sans précédent dans son histoire. De leur côté, les deux Corée se sont réunies en un seul état dont l'influence ne cesse de s'étendre. Son armée compte des millions d'hommes et sa puissance est telle que le monde entier tremble devant lui. En 2025, tout bascule. La Grande Corée envahit les États-Unis qui, ne pouvant opposer une résistance efficace, deviennent rapidement un territoire occupé.
Tout se passait parfaitement bien avant qu'on essaie de nous expliquer de quoi il s'agissait. Nous venions juste d'avoir un aperçu privé du shooter jusque-là mystérieux Homefront, qui propose des environnements d'une richesse démentielle et quelques effets d'explosion qui font mal aux yeux. Et puis, on a compris pourquoi tout était aussi bizarre : la Corée du Nord avait envahi l'Amérique et on était en 2027... C'est vrai que c'est un point de départ assez peu plausible- mais on a déjà vu dans des jeux vidéo des séparatistes russes déclencher une guerre pour moins que ça dans un je vidéo. Les créateurs de shooters militaires ont sans doute lu beaucoup trop de livres de Tom Clancy. Bon allez... donnez-moi un fusil que j'aille défendre la patrie ! Un peu plus tard, après que les tirs se sont tus, un homme, dont on nous a dit auparavant qu'il se faisait appeler « Tae » pour des raisons de sécurité, s'avance sur la scène. Le présentateur de THQ s'adresse à lui en lui donnant son nom complet de Tae Kim. À partir de là, les choses vont aller de mal en pis pour le pauvre Tae, un ancien agent secret et conseiller militaire de la CIA qui a été embauché pour aider à concocter la trame politique d'arrière plan de Homefront.
Après Metro 2033, THQ s'apprête à nous proposer un autre FPS à l'ambiance très prenante : Homefront. Nous l'avons vu une nouvelle fois et nous en sommes ressortis à la fois très intéressés par le jeu en lui-même et un rien angoissés par son scénario... Avant de lancer le joueur dans la partie, Homefront raconte en détail comment, entre 2012 et 2027, les États-Unis sont devenus un territoire occupé par les troupes de la Corée du Nord. Trouvant ses origines dans une idée de John Milius, le réalisateur du Conan avec Arnold Schwarzenegger et surtout de L'Aube Rouge qui abordait un sujet similaire, explique par le menu le processus qui a mené à cette situation. On ne va pas vous gâcher la surprise mais sachez que cela débute par la mort de Kim Jong-Il, le président de la Corée du Nord, et se termine par le déséquilibre complet de la balance des forces en présence. En effet, au moment de l'invasion, les forces coréennes rassemblent trente millions de soldats dont cinq millions rien que pour les forces spéciales alors que l'armée américaine ne comprend plus que huit cent mille hommes. Le plus intéressant, c'est la logique qui amène au contexte tel qu'on le vivra dans le jeu puisque celui-ci débute deux ans après la défaite américaine.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
Plus accessible...
Homefront était incontestablement la vedette du showfloor côté THQ. La foule se bousculant pour voir le titre, nous avons nous aussi voulu en savoir plus. Voici nos impressions après avoir pu assister à une petite démo du jeu. Les FPS sur consoles ne manquent pas, c'est le moins que l'on puisse dire. Pour démarquer leur produit de la concurrence, les développeurs de Kaos Studio ont ainsi décidé de faire appel à John Milius (Apocalypse Now, Conan...), pour écrire une histoire qui interpellera le joueur. Le joueur américain plus précisément. Le titre permettra en effet d'incarner un natif des Etats-Unis, perdu face à l'enfer de la guerre, le pays ayant été envahi par les Coréens. Le scénario un peu futuriste (quelques dizaines d'années après notre époque), nous montre ainsi un monde où les deux Corées réunifiées ont progressivement étendu leur territoire pour finalement aller planter leur drapeau directement aux USA. Regroupés dans des petits campements, les civils encore en état de riposter se livrent à des actes de résistance contre l'envahisseur, et c'est là que débutera l'aventure pour notre héros, un type comme tout le monde. Le statut totalement banal du personnage principal, et de bon nombre de ses alliés, est l'un des aspects sur lequel les développeurs comptent beaucoup pour renforcer l'immersion du joueur.
Suite a leur excellent travail sur Desert Combat (un mod pour Half-Life), les petits gars de chez Kaos Studios ont trouvé un éditeur de tout premier plan - THQ - pour leur prochaine production, un certain Frontlines : Fuel Of War. Malgré un résultat en-deçà des espérances, cette collaboration se poursuit aujourd'hui avec un nouveau jeu d'action vue subjective que THQ nous a invité a découvrir dans les locaux new-yorkais du studio, Homefront. Si les premières informations concernant Homefront datent déjà de plus d'un an, THQ a choisi de laisser ses développeurs aller à leur rythme afin de ne pas rééditer la sortie précipitée de Homefront. Du coup, prévu sur PC, PlayStation 3 et Xbox 360, le titre de Kaos Studios ne devrait pas débarquer avant au moins six mois. Largement le temps pour les développeurs de peaufiner les choses et pour THQ de gentiment faire monter la pression. En effet, comme vous pouvez vous en douter, THQ ne nous a pas tout révélé durant la brève présentation qui nous a été faite du jeu... et il n'était par exemple pas possible de tester les choses par nous-mêmes. Pour rester dans les (relatives) déceptions, il nous faut signaler que le multijoueur n'a pratiquement pas été abordé.
Adepte des scénarios catastrophe, Kaos Studio nous propose sa vision d'une Amérique sous le contrôle de la Corée du Nord, un parfait prétexte pour un FPS survolté. S'éveillant sous le regard de deux résistants paniqués, le joueur attend gentiment que sa vision s'éclaircisse pour tenter de comprendre ce qui lui arrive. Face à lui, les deux soldats improvisés s'inquiètent de sa présence, lui dont le nom figure sur une mystérieuse liste. Pourtant, nous voilà rapidement conduit au chef de camp local que l'on suit docilement à travers les restes d'une gentille banlieue américaine où s'amoncellent les carcasses de voitures, les panneaux solaires, les éoliennes et autres jardins de fortune. Une balade qui prend fin lorsque débute une attaque des forces d'occupation. Terminée la pause bucolique, place au grand n'importe quoi. Des soldats sortent de tous les coins, provoquant l'arrivée toute aussi massive de résistants bien équipés.
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