13 tests d’experts - 1 avis d'internautes
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Nous avons réuni 13 tests et 1 avis du Gothic 4 : Arcania. Les experts notent Gothic 4 : Arcania 4.9/10 et les internautes 4/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Gothic 4 : Arcania et d'autres Jeux PC.
Après une histoire de gros sous et un divorce avec Piranha Bytes, la série Gothic, désormais propriété de JoWood passe par les studios de Spellbound pour Arcania : Gothic 4. Un renouveau accueilli fébrilement par la communauté des fans qui ont peur pour leur jeu. A raison… Vous l’avez déjà compris, Arcania : Gothic 4 n’est pas le RPG de l’année. Son scénario, confus, nous place dans la peau d’un strict inconnu, berger de son état, qui se voit confier une lourde mission. Il doit faire face aux armées du roi Rhobar 3 qui marchent sans pitié sur les peuplades et usent même de magie noire, les vilains. Commence alors un long périple dans les îles du monde d’Arcania, toutes plus luxuriantes les unes que les autres et renfermant de terribles secrets. Il va d’ailleurs falloir arpenter les cartes minutieusement pour découvrir les tunnels creusés ça et là et y dénicher des trésors et des ennemis. Le jeu se résume à peu près à ça… En effet, dans Arcania : Gothic 4, le joueur n’a d’autres préoccupations que de mettre un pied devant l’autre en charclant tout ce qui bouge. Un programme qu’on aurait aimé voir agrémenté des métiers habituels comme l’alchimie ou d’un choix de classe plus vaste.
En dépit de sa dénomination, Arcania Gothic 4 est une suite indirecte. Il reprend très vaguement les éléments scénaristiques de son prédécesseur ainsi que de notables personnages de la saga. Toutefois, il n'est pas nécessaire d'avoir fini les trois jeux ainsi que leurs disques additionnels respectifs afin de comprendre ce scénario bien à part.Le jeu débute tout doucement, sur une paisible île épargnée par la guerre. C'est l'occasion rêvée pour inculquer au joueur les premier réflexes et assimiler la mécanique de jeu. Elle repose sur un ensemble de quêtes principales et secondaires reparties à travers deux îles différentes. La première sert de grand tutorial et pose les bases du scénario. Mais qu'on se le dise tout de suite, ce dernier n'est présent que pour meubler et justifier cette longue aventure. Elle a changé de format, au lieu de nous larguer en pleine nature et nous autoriser à explorer librement l'intégralité de ces étendues terrestres, les développeurs ont imposé de claires et dommageables limites.Ces îles sont soigneusement découpées empêchant ainsi le joueur de s'aventurer trop loin. Pour découvrir de nouvelles terres, il devra obligatoirement atteindre un certain avancement scénaristique. Ce découpage à l'avantage de rendre le jeu accessible aux nouveaux venus et d'éviter de trop nombreux allers-retours.
Tout commence paisiblement, et de manière plutôt rassurante : à l’instar des précédents Gothic, vous êtes un héros anonyme (appelons le Michel), aux caractéristiques prédéfinies. Anonyme ne signifie cependant pas dénué de sentiments. Amoureux de la fille du chef, Michel doit passer trois épreuves pour convaincre le boss du village de lui laisser épouser sa progéniture. Rien de bien complexe, puisque cette première quête sert avant tout de tutoriel. On passe donc une petite demi heure à faire des allers-retours pour parler à quelques PNJ et tuer une poignée de bestioles bas niveau. Le plus difficile dans cette première mission est de supporter des voix françaises tout bonnement atroces. Chaque acteur récite son texte avec l’entrain d’un condamné à mort et on se retrouve rapidement à chercher désespérément une option « voix anglaises » (ou même allemande, soyons fous), malheureusement absente. Soit, on encaisse le choc et on continue son périple. Très vite, les choses s’aggravent pour notre malheureux héros : son village est attaqué par un vil seigneur et sa belle périt dans ses bras. Ivre de vengeance, Michel décide de prendre le large pour retrouver les responsables de ce massacre et leur faire bouffer de la lame magique à volonté.
Récemment, lors d'une réu Gameblog, on parlait des tests, et quelqu'un a fait remarquer qu'il y avait beaucoup de bonnes notes, peut-être trop ? Après que l'argument valide de l'augmentation des bons jeux ait été soulevé, je me suis permis d'avancer qu'il suffirait de tester plus de mauvais titres. Eh bien, j'aurais mieux fait de fermer ma grande bouche...Le truc, quand on est un simple berger menant une vie paisible et tout à fait normale sur une île inconnue, c'est qu'il faut forcément s'attendre à voir sa vie bouleversée du jour au lendemain. Genre avec une prophétie à la mords-moi-le-noeud, ou une histoire de bâtard perdu, ou bien tout ça à la fois. D'habitude, on ne case pas ces clichés dans un scénar si on ne veut pas passer pour des branques, mais Spellbound Entertainment, le développeur qui a repris la licence Gothic en n'ayant aucune expérience des RPG, s'en est donné à coeur joie. ArcaniA : Gothic 4 vous fera donc subir la trame la plus médiocre qu'il m'ait été donné de voir, pour finir sur une ouverture vers une suite redoutée. Tout commence donc sur l'île de Féchier (quelque chose d'approchant) où un emo-berger s'apprête à passer la bague au doigt d'un laideron qu'il a engrossé par mégarde.
Si JoWooD a conservé le droit d'utiliser la franchise Gothic, les amateurs de jeux de rôle ne le savent que trop bien : le véritable quatrième opus de la saga est déjà sorti, il y a plus d'un an même. Il s'agissait de Risen, conçu par les petits gars de chez Piranha Bytes à l'origine de la série... Du coup, on se demande un peu ce que Spellbound, le studio embauché par JoWooD sur Arcania : Gothic 4 nous réserve. Bonne surprise ou mauvais tour ? Si la série des Gothic a parfois subi les foudres des joueurs (on se souvient de la polémique à la sortie du troisième opus), voir un nouveau studio reprendre un flambeau abandonné par ses créateurs n'est jamais de bon augure. Dans le cas d'Arcania : Gothic 4, il ne faut pas plus de cinq minutes pour constater l'ampleur des dégâts ! Les petits gars de chez Spellbound annoncent la couleur dès le didacticiel, un vrai supplice de testeur. ? rallonge, ce tutoriel nous propose de découvrir les principales commandes, ainsi que l'interface du jeu au travers d'une mission en trois parties : le père de la jolie Ivy accepte de nous donner sa main à condition d'accomplir trois épreuves.
Abandonnée par ses géniteurs partis faire bien mieux ailleurs, la série des Gothic reste dans le giron de son éditeur JoWooD Productions, bien décidé à ne pas laisser mourir ce qu'il faut bien appeler sa licence phare. Confié au studio Spellbound, responsable entre autres du sympathique Desperados et de ses moult suites, Gothic 4 : Arcania porte sur ses épaules à la fois les espoirs des amateurs de jeu de rôle bac à sable, et des fans de la série. Pari perdu sur les deux tableaux ? Les traditions étant ce qu'elles sont, ce nouveau Gothic met une nouvelle fois en scène un héros anonyme et pour tout dire assez quelconque, que le destin va progressivement transformer en aventurier chevronné à l'armure étincelante. Le personnage principal du précédent épisode, qui avait lui aussi débuté son aventure avec un espace vide pour tout patronyme, est désormais devenu roi. En proie à un mal étrange, Rhobar III - c'est son nom - va sans le savoir intervenir dans votre vie paisible de berger en envahissant la paisible île sur laquelle vous passiez des jours tranquilles, tuant femmes, cochons, couvées, mais aussi votre future progéniture.
Quel destin funeste que celui des Gothic ! Après avoir dépossédé Piranha Bytes des droits de la série, l'éditeur Jowood a confié le développement du quatrième volet à Spellbound. Sommé d'élargir le public de la série en concevant un titre multi-plates-formes à l'accessibilité accrue, ce studio allemand s'est compromis dans un Gothic 4 : Arcania qui se montre décevant de bout en bout. Personne n'est dupe : le quatrième Gothic nous a été livré en septembre 2009 ; c'est un jeu captivant qui s'appelle Risen. Quant à Arcania, comme d'aucuns pouvaient le craindre, il n'a de Gothic que le nom. On se doutait bien qu'il ne serait pas facile de reprendre le flambeau si solidement tenu par Piranha Bytes, mais on n'imaginait pas que Spellbound trahirait à ce point la vision de ses compatriotes allemands. Car si Arcania n'est pas une catastrophe dans l'absolu, c'est en tout cas un véritable massacre pour tous les fans de Gothic. La série a toujours reposé sur plusieurs piliers : un univers ouvert et immersif source de multiples interactions, un système de progression très roleplay et une liberté d'action et de choix ayant une incidence sur l'histoire. Rien de cela dans Arcania : ce (joli) jeu d'aventure/action peut à peine être considéré comme un RPG.
Le distributeur français de Arcania Gothic 4 nous a convié à une courte présentation destinée à poser les bases du concept. Celui ci n'a pas foncièrement changé et vise à séduire les amateurs de RPG grâce à un environnement ouvert et à de nombreuses quêtes annexes. Le jeu nous contera l'histoire d'un paisible berger en quête de revanche.Après la dévastation de son village, le héros sans nom partira à la recherche de ces meurtriers qui n'ont pas hésité à tuer ses proches. L'ensemble se déroulera en deux parties, dans deux îles différentes. La première sert de long tutorial et permet au protagoniste de découvrir petit à petit son potentiel magique. Les nouveaux venus n'ont pas besoin de finir les précédents opus avant de goûter à Arcania Gothic 4, il se veut indépendant afin de séduire la masse et éviter de s'adresser à un marché de niche. Le concept qui se déroule à la troisième personne repose toujours sur l'accomplissement de quêtes principales et annexes forçant le joueur à explorer ces vastes terres.Les développeurs ont pensé à offrir des indications visuelles plus limpides permettant aux débutants d'arriver tout de même à leurs fins.
Depuis 2006 et la sortie du troisième épisode, la série Gothic a été l'objet de longues négociations et d'une sévère dispute entre l'éditeur autrichien JoWooD et les développeurs allemands de Piranha Bytes. La scission était donc devenue inévitable. Piranha Bytes est parti développer dans son coin le très bon Risen alors que JoWooD, détenteur des droits de la saga, a confié la suite des opérations à Spellbound Entertainment, réputé pour avoir conçu Desperados. Résultat, Gothic 4 : Arcania reprend les bases de la saga mais se voit tout de même doté de quelques changements notables. Objet de conflit, la série Gothic est passée des mains expertes de Piranha Bytes à celles de Spellbound, nouveau venu dans l'aventure. Étant donné la bonne réputation des premiers épisodes, certes remplis de bugs, mais pourvus d'un réel univers et d'un gameplay open world très grisant, il n'était évidemment pas question de tout bouleverser, mais de modifier quelques détails. Premier changement notable, le héros anonyme des précédents épisodes, qui règne désormais sur le royaume, cède sa place à un modeste berger. C'est au milieu de moutons et dans un minuscule village au sein duquel réside votre fiancée, que vous commencerez donc votre aventure.
Gamekult
Ajouté le : 09/2010
Plus accessible...
Confié à Spellbound Entertainment après la séparation bruyante entre JoWooD et Piranha Bytes, la série Gothic nous revient en cette fin d'année pour un quatrième épisode placé sous le signe du nouveau départ. Un bon moyen pour les nouveaux développeurs d'imposer leur patte sur ce Gothic 4 : Arcania qui devra faire fort pour convaincre les fans de la première heure de lâcher le Risen sorti l'an dernier par les créateurs de la série. Quoi de mieux qu'une nouvelle rencontre avec une version jouable de la bête pour commencer à compter les points de ce match au sommet ? On le sait depuis un petit bout de temps déjà ; le héros de Gothic 4 : Arcania ne sera plus notre fameux avatar anonyme (qui est depuis devenu roi), mais plutôt un simple berger menant une existence banale sur une petite île paumée. La routine de ce jeune homme plein de bonnes intentions composera d'ailleurs le prologue et didacticiel de Gothic 4, que l'on a pu essayer sur une version Xbox 360 du jeu de rôle de Spellbound. Au programme, une série d'épreuves diverses et variées à remplir pour hériter du droit de demander la main de la fille d'un des villageois les plus influents (et les moins aimables) du coin pour immédiatement fonder une famille puisque la belle est enceinte.
Le quatrième opus de la série des Gothic s'est fait pour l'instant plutôt discret. Nous avions pu l'approcher lors de l'E3 2009, mais il nous a fallu attendre plus d'un an avant d'avoir de nouveau l'occasion d'y jeter un coup d'œil. Il faut dire que notre patience a payé puisque la version qui nous a été présentée cette année était bien plus avancée que la précédente. La série des Gothic était pour l'instant restée la chasse gardée d'un seul développeur, Piranha Bytes, mais ce dernier s'est récemment lancé dans une nouvelle aventure avec Risen et laisse donc sa licence chérie aux équipes de Spellbound. Ces derniers s'étaient faits remarquer avec la série des Desperados, des titres alliant l'action à la stratégie dans une ambiance de Western. Ils lorgnent désormais du côté de l'héroïc fantasy en reprenant le flambeau de cette licence mythique du jeu de rôle qu'est Gothic. Notez tout de même que la série a subi quelques transformations lors de ce passage de relais mais conserve heureusement la richesse du background et le sentiment de liberté qui faisait tout l'intérêt des autres épisodes. Pour commencer, ces modifications se font sentir au niveau de l'histoire. Plus question d'incarner un héros sans nom qui finit par être couronné souverain du royaume.
Le quatrième épisode de la série Gothic n’est plus développé par Piranha Bytes, qui travaille actuellement sur Risen, mais par Spellbound, un studio allemand proche de Jowood. La dernière fois que nous avions vu le jeu, c’était l’année dernière et le développement venait juste de commencer. Reporté à l’année prochaine, il semble que les développeurs aient encore pas mal de boulot devant eux… Comment ne pas penser à Risen en voyant Arcania. C’est bien la question qui nous a taraudé durant toute la présentation d’Arcania tant les approches sont identiques. Finalement, pour le moment, le point le plus divergent entre les deux titres reste le scénario, relativement original. On y incarnera un nouveau héros sans nom, différent des trois épisodes précédents. Tout commence alors que le héros que l’on incarne découvre son village natal en proie aux flammes et sa famille massacrée. Le voilà parti en quête de vérité sur l’odieux massacre, une quête qui l’amènera sur la nouvelle île du jeu dont le roi est… le héros sans nom de Gothic III (qui se fait nommer Phobar III). Vous l’imaginez déjà, ce roi est impliqué dans le massacre et notre héros en quête de vengeance devra naturellement lui casser la gueule en bonne et due forme. Voilà pour le pitch.
Gamekult
Ajouté le : 08/2009
Plus accessible...
Les fans de la série Gothic le savent bien, leur série fétiche s'est retrouvée virtuellement scindée en deux après la rupture entre l'éditeur JoWooD Productions et le développeur initial de la série Piranha Bytes. Et quoi de mieux pour voir si ce Gothic 4 : Arcania maintenant confié à Spellbound Software fera le poids face à son concurrent (Risen) qu'une petite présentation sur son territoire à la gamescom 2009. Sans trop de surprise, les développeurs de Spellbound Software ont préféré faire table rase sur leur épisode de la série Gothic, en reléguant notre ancien héros anonyme au poste de PNJ, puisqu'il est maintenant le roi de la contrée explorée dans Gothic 4 : Arcania. Notre nouvel aventurier est un jeune homme de retour dans son village natal après une longue période d'absence, durant laquelle toute sa famille et ses voisins ont été littéralement massacrés. Le seul indice sur l'identité du responsable de la boucherie est la flotte du roi à l'horizon, ce qui explique pourquoi notre quête principale dans Gothic 4 : Arcania sera d'aller surprendre le roi dans son château estival pour lui expliquer notre point de vue sur sa politique à grands coups d'épée au visage.
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