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Nous avons réuni 10 tests du Ghostbusters. Les experts notent Ghostbusters 7.1/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Ghostbusters et d'autres Jeux Playstation 3.
PlayLipse
Ajouté le : 07/2009
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Quand des revenants viennent hanter votre grenier ou dévorer tout ce qui est consommable dans votre cuisine, qui appelle-t-on ? S.O.S Fantômes bien sûr ! Les chasseurs de spectres sont de retour sur nos consoles après deux films d’anthologie à ranger avec précaution dans sa vidéothèque. Mais la nostalgie des années 80 suffit-elle à convaincre tous les fans de la série de se procurer cette version PlayStation 3 temporairement exclusive en Europe ? S.O.S Fantômes est basé sur une histoire somme toute très classique. Après quelques années d’études très peu sérieuses, trois scientifiques très différents mais néanmoins amis de longue date découvrent un moyen imparable de capturer les entités paranormales à l’intérieur d’un caisson. Ainsi, ils deviennent S.O.S. Fantômes, Ghostbusters aux Etats-Unis, une firme qui a pour principal but de détruire des fantômes à l’aide de « positronneur désintégrant ». Peter Venkman, Ray Stanz, Egon et Winston se lancent alors dans l’aventure et se retrouvent nez à nez avec un grand pouvoir nommé Gozer. La suite, tout le monde la connaît : la fille aux deux chiens gargouilles et le Bibendum Chamallow ont fait le tour du monde.
"Ouais, c'est lui. C'est le salaud qui m'a tout englué". Bill Murray, recouvert de slime, jure vengeance envers un fantôme vorace qui s'empiffre en open-bar dans la salle de réception qui va accueillir une barmitzvah quelques heures plus tard. C'est une des nombreuses scènes dont tout le monde se souvient avec nostalgie dans le film S.O.S. Fantômes. Et comment ne pas faire un carton avec une recette pareille ? Une musique mythique, un sujet fun et décalé, des acteurs et des répliques excellentes, et même des effets spéciaux étonnants pour le début des années 80. L'adaptation du film sur nos consoles est donc d'un potentiel incroyable, et comme tout bon fan des films, j'ai attendu patiemment son portage. Et maintenant qu'il est là, devant mes petits yeux si impressionnables... le sentiment est mitigé. Sur le papier, c'est tout de même un sujet alléchant. Le scénario est écrit par Harold Ramis et Bill Murray, qui sont tout de même les deux auteurs originaux des films. Pourtant, on assiste clairement à un copy/cut de l'histoire qui a eu tant de succès. Celle-ci vous place dans la peau d'une nouvelle recrue dans l'équipe (la petite entreprise de démolition de fantômes et bien publics de la ville doit fonctionner à merveille) et vous devrez faire face à une curieuse recrudescence de la criminalité fantômatique à New-York.
GamePro.fr
Ajouté le : 07/2009
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Que de souvenirs au moment d'insérer SOS Fantomes, le jeu, dans la PS3 de la rédac'. Des images des films, la tête de Bill Murray, l'hymne des Ghostbusters, l'adaptation Master System... Le moins que l'on puisse dire, c'est que l'adaptation vidéoludique du cultissime SOS Fantômes d'Ivan Reitman aura connu un parcours particulièrement tortueux. La première fois que nous l'avions vu, c'était alors qu'il était chapeauté par Sierra sous l'influence de Vivendi. Il est ensuite passé chez Atari, avant d'être abandonné au bon vouloir de Sony qui, surprise, nous livre une édition PS3 en exclusivité temporaire qui, en sus, intègre la galette Blu-ray du film éponyme. On s'y retrouve plongé en nouvelle recrue de la mythique équipe SOS Fantômes, aux côtés des professeurs Peter Venkman, Raymond Stantz, Egon Spengler, quelques temps après que Vigo ait été exterminé dans un New-York dévasté. Aux commandes de cet apprenti, nous voilà donc lancé dans une chasse aux fantômes plutôt plaisante, où l'on joue tour à tour du canon à protons et de la trappe à fantômes.
Et dire que le jeu vidéo Ghostbusters aurait pu ne jamais arriver à son terme... Souvenez-vous, Activision Blizzard ne jugeait plus le projet viable et avait donc plus ou moins laissé tomber les développeurs de Terminal Reality. Très vite, Atari et Sony ont pris le relais, assurant au titre sa sortie, et permettant aux fans de Ghostbusters de retrouver cet univers propre aux films sans doute vus et revus. Et ils sont bel et bien de retour, les quatre membres de la fine équipe des SOS Fantômes. Un retour que ne pourront vivre que les joueurs PS3, puisque le titre bénéficie à l'heure actuelle d'une exclusivité temporaire. Les autres joueurs devront se montrer un peu plus patients, le titre ne leur étant promis que pour la fin de l'année 2009. Peter Venkman (Bill Murray), Raymond Stanz (Dan Akroyd), Egon Spengler (Harold Ramis) et Winston Zeddemore (Ernie Hudson) s'apprêtent de nouveau à sauver New-York des fantômes qui envahissent la ville régulièrement.
On a beau dire que les années 80 furent une longue traversée du désert culturel, elles ont pourtant produit un paquet de bonnes choses. Entre deux coiffures conceptuelles et les mitaines fluo, elles ont donné naissance à Ghostbusters. Enfants, ados ou jeunes adultes des années 80, a fortiori de sexe non féminin, ils sont nombreux à avoir été marqués au fer rouge par la comédie culte qu'est SOS Fantômes. Le simple fait de faire vibrer cette corde sensible de la gamme nostalgique plus de 20 ans après la sortie du film suffit déjà à assurer au jeu un capital sympathie conséquent. Et comme en plus le résultat se révèle convaincant, on se demande bien ce que pourrait demander le peuple. Avec aux commandes du scénario les deux auteurs du script du premier film, à savoir Dan Aykroyd et Harold Ramis, cette adaptation choisit de vous faire intégrer l'équipe de chasseurs de fantômes sous les traits d'une jeune recrue qui sera l'objet de toutes les railleries possibles et surtout le cobaye de la plupart des innovations techniques non testées de Ray et Egon.
Indiscutablement dans le gratin des meilleures comédies hollywoodiennes des années 80, GhostBusters (traduit SOS Fantômes chez nous) se voit aujourd'hui affublé d'un jeu vidéo reprenant la célèbre licence des chasseurs de fantômes. Développé par Terminal Reality, pas spécialement réputé pour la qualité de ses jeux (BloodRayne, Spy Hunter...), le titre édité par Sony (PS3 et PS2) et Atari (les autres versions) a de quoi faire peur. Une licence, un studio « mineur », des soucis lors du développement... Que peut-on vraiment attendre de ce Ghostbusters ? Script et dialogues écrits par Dan Aykroid et Harold Ramis, doublages assurés par les acteurs des films (moins Sigourney Weaver, plus Alyssa Mylano), l'aventure a été glissée entre de bonnes mains. On ressent instantanément la patte SOS Fantômes, dans le scénario (qui se passe après le second film), la musique (tirée des films également) et l'humour.
Passé entre les mains de Sierra/Vivendi puis d'Atari, c'est finalement sous l'étendard de Sony que S.O.S Fantômes le jeu vidéo arrive en Europe dans sa version PS3, devenue pour le coup une exclusivité temporaire. Promu comme la suite officielle des deux longs-métrages inoubliables jusqu'à ce qu'un véritable troisième film soit évoqué, le jeu ectoplasmique de Terminal Reality est-il à la hauteur du culte voué à la licence ? Deux ans après avoir sauvé New-York du slime et de Vigo, les célèbres casseurs de fantômes font plus que jamais équipe et ont même recruté un petit nouveau pour les aider, en particulier quand il s'agit de tester les derniers prototypes d'Egon. C'est d'ailleurs ce bleu sans nom que l'on incarne tout le long de S.O.S Fantômes le jeu vidéo, les membres historiques étant contrôlés par une I.A. plutôt correcte, en dépit de quelques ratés et de scripts un peu trop voyants.
Voilà un spécimen très rare de jeu à la fois réussi et fidèle à l'œuvre originale. Vous avez dit «paranormal» ? On l'oublie parfois ! Un jeu vidéo n'est pas un produit dérivé comme les autres. Contrairement à un T-shirt au potentiel de «fun» incertain ou à un mug, par nature modérément distrayant, un jeu se doit au minimum d'être amusant. De ce côté-là, l'équipe de Terminal Reality (Nocturne, BloodRayne) a plutôt réussi son coup. Action, ambiance, boss vicieux et vue à la troisième personne: Ghostbusters reprend la recette de Gears of War et compagnie. A la différence près que vos ennemis sont des fantômes que vous allez devoir capturer avec l'aide d'un pack de protons, une arme crachant de redoutables «effluves». Ça change des gros flingues. Ce n'est pas tout. D'autres types de rayons viendront progressivement enrichir votre arsenal: les flèches bosons (comparable à un lance-roquettes), le diffuseur à particules (équivalent d'un fusil à pompe), le flux concentré (mitraillette aux projectiles autoguidés), l'effluve stase glaçante (une sorte de… truc… bizarre) et encore le jet de slime verdâtre, particulièrement pratique pour refermer les portails vers le monde des fantômes, et qui peut aussi faire office de peu ragoûtant grappin. L'accessoire «frime» ultime lors d'une soirée mousse.
Un temps dans l’escarcelle d’Activision, c’est finalement sous la houlette d’Atari et de Sony que SOS Fantômes : Le Jeu Vidéo nous parvient. Fort de l’appui de Dan Akroyd et Harold Ramis qui prêtent leur plume au scénario du jeu, nous nous trouvons ici face à une suite directe aux films. Une sorte de long métrage interactif que les fans ne manqueront sous aucun prétexte pour la nostalgie tandis que les autres y trouveront un jeu fort sympathique et bien réalisé mais non exempt de défauts. Une fois n’est pas coutume, ce sont nos chasseurs de fantômes favoris qui jouent ici les revenants 20 ans après leur dernière apparition au cinéma. Peter Venkman (Bill Murray), Raymond Stanz (Dan Akroyd), Egon Spengler (Harold Ramis) et Winston Zeddemore (Ernie Hudson) reviennent sauver New York des ectoplasmes qui engluent la cité. Avec un scénario écrit par les deux compères responsables des deux films, on est en droit de s’attendre à un monument d’humour et de situations improbables.
Gamekult
Ajouté le : 04/2008
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Longtemps resté à l'état de rumeur, Ghostbusters : le jeu vidéo a finalement été annoncé officiellement il y a cinq mois par Sierra. A l'occasion du récent Spring Break ibérique de l'éditeur, deux membres du studio Terminal Reality, chargé du développement des versions PS3 et Xbox 360, nous ont présenté en une petite demi-heure quelques bribes de leur prochain titre. Le contact initial avec Ghostbusters s'est fait par l'intermédiaire de démos techniques destinées à montrer les capacités du moteur maison de Terminal Reality (l'Infernal Engine), et prenant place dans des environnements utilisés au cours du jeu. Premier cas de figure : une petite cour lugubre située derrière une cathédrale, dans laquelle des piles d'éléments cylindriques tombent en masse du ciel, sans que le frame rate en pâtisse. Après avoir tenté de traverser un gros tas de bidons métalliques, le développeur tenant la manette déclenche un nouveau script qui aspire les objets d'un côté puis de l'autre de l'écran, sans aucun souci de collisions buggées ou d'affichage à la ramasse.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Ghostbusters. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Ghostbusters.