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Nous avons réuni 16 tests du DmC Devil May Cry. Les experts notent DmC Devil May Cry 7.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du DmC Devil May Cry et d'autres Jeux Playstation 3.
Ayant fait renaître tout un genre à l'époque de la PlayStation 2, la série Devil May Cry est l'une des licences les plus admirées des core gamers grâce à un gameplay pointu et un héros charismatique. Coup de tonnerre donc lorsque Ninja Theory a été annoncé comme développeur du prochain DmC Devil May Cry, faisant passer le sulfureux Dante chez le coiffeur. Mais cette première aventure réalisée par les développeurs anglais est-elle aussi irritante que sa coupe de cheveux ? Verdict. Ninja Theory n'est pas passé par quatre chemins pour rebooter la série. Changement d'ambiance, changement d'univers, tout ou presque est passé à la trappe avec ce nouvel épisode. Enfin pas totalement puisque le développeur anglais a repris certains personnages apparus dans le tout premier Devil May Cry, à savoir Dante bien évidemment, mais aussi son frère jumeau Vergil et l'antagoniste de l'histoire : Mundus. Le scénario demande bien évidemment de botter les fesses de ce dernier, qui règne sur le monde des humains en les manipulant comme des marionnettes.
Dante, le héros de DMC Devil May Cry ? Il est grossier, parfois malhabile, manque encore d'imagination. Il est jeune, il apprendra. En attendant, il essaie tout, se fait son expérience, et joue avec son corps comme un petit fou. Sa belle gueule fait envie, mais encore faut-il qu'il assure. Alors, ce petit DMC Devil May Cry, on en fait son « quatre-heures » ? Quelle fougue ! Vous aviez presque oublié avec quel appétit féroce, quelle soif d'expérience le novice se jette à corps perdu dans l'action dès lors qu'il découvre la chose. Tout comme le joueuse qui le prend en main, Dante, au début de DMC Devil May Cry, a déjà un peu pratiqué les démons, lors de brèves escarmouches qui ne lui laisseront pas de souvenir impérissable. Mais lorsque l'infâme Mundus décide de lâcher l'artillerie lourde et de le museler une bonne fois pour toute, ils découvrent l'action avec un égal plaisir.D'abord plutôt conventionnel, le jeune Néphilim (rejeton d'un ange et d'un démon) se contente d'exhiber son énorme épée, comme sa virilité toute neuve. Ses flingues, qu'il décharge avec enthousiasme mais sans vraiment faire mouche sont alors son unique alternative.
Lorsque le premier Devil May Cry a pointé le bout de ses cornes sur PlayStation 2, la console de Sony peinait à convaincre faute de titres forts. Conçu par Hideki Kamiya (Viewtiful Joe, Okami, Bayonetta), Devil May Cry était au départ le projet d'un Resident Evil 4, ayant méchamment dérapé vers tout autre chose. Jeu d'action débridé au charisme indéniable, Devil May Cry fut un succès. Mais s'il convainquit un public large, son cœur de cible resta pourtant hardcore, composé de joueurs appréciant l'aspect technique du titre, son exigence, et la possibilité de rejouer l'aventure plusieurs fois dans des modes de plus en plus relevés. Comme de nombreuses séries destinées à un public de joueurs purs et durs, elle perdra au fi l du temps –_et de la démocratisation du jeu vidéo_ – de son aura commerciale, en dépit de qualités évidentes. Son héros, Dante, est donc devenu bien malgré lui le symbole d'une époque, celle du règne des hardcore gamers. Avec un attachement si fort qu'on ne peut toucher au moindre cheveu blanc du démon sans essuyer les foudres des fans...
C'est peu dire que DmC Devil May Cry a été la cible de quolibets depuis son annonce au TGS 2010. Héros jouvenceau décrié, affichage à 30 images/seconde moqué, développeur pas reconnu pour sa science du gameplay ou élans gratuits de grossièreté, le nouveau jeu de Ninja Theory partait avec quelques handicaps. Pourtant, le studio britannique épaulé par Capcom n'a pas baissé les bras et accouche d'un reboot qui n'a pas (trop) à rougir devant ses aînés. Pour arriver à passer la nuit en boîte avec des bombasses et à les ramener au petit matin dans son mobile home bordélique pour prolonger le plaisir, il faut forcément être un héros avec une belle gueule et une grande gueule, de préférence dans un jeu vidéo. C'est le cas du Dante de DmC, rebelle à l'anglaise qui se trouve être un hybride d'ange et de démon particulièrement balèze. Jeune et insouciant, notre nephilim Vivelle Dop est également amnésique. Cela lui permet de ne pas trop s'interroger sur sa force hors du commun et sur l'insistance des démons à lui chercher des noises - quand ce n'est pas lui qui va les trucider pour le fun. C'est là qu'interviennent Kat, une sorcière adepte du graffiti au minois fort joli, et Vergil, un résistant bellâtre aux cheveux d'argent qui s'avère être le jumeau caché de Dante.
Comme nous vous aviez sans doute craint le pire à l'annonce du reboot de la série Devil May Cry par Ninja Theory durant le TGS 2010. Il faut dire que le relooking de Dante façon androgyne juvénile n'avait rien de rassurant, et ce malgré des vidéos de gameplay présentant une action dans la droite lignée de ce que la série nous avait proposé jusqu'ici. A l'heure du verdict nous sommes heureux d'annoncer aux fans que le DmC nouvelle formule n'a rien perdu de son charme, et qu'il s'agit sans conteste de l'un des meilleurs beat-em-all de sa génération.Reboot oblige, le nouveau Dante n'a plus grand-chose à voir avec son illustre prédécesseur : outre son look totalement revu (nous y reviendrons), le bonhomme semble au début de l'aventure plus intéressé par les boîtes de nuit desquelles il ramène de sympathiques jeune filles que par les démons qui une fois de plus envahissent la planète. Ceci étant lorsqu'un colosse en colère s'en prend à sa caravane après une soirée bien arrosée, notre héros retrouve ses esprits et redevient un chasseur de démons efficace et stylé !
Après s'être vu ravir sa couronne par l'impitoyable Bayonetta, il était temps pour Dante de se remettre un peu en question. Et pour cela, il fallait un œil nouveau sur le personnage. Cet œil, Capcom l'a trouvé chez Ninja Theory qui, en trahissant - pour le meilleur - l'identité visuelle de la série tout réformant en partie le gameplay séculaire de la série, accouche d'un opus plein de rage, d'audace, de violence, de vannes et d'insultes. Fuck yeah ! Quand Ninja Theory a eu l'outrecuidance de se pointer avec son nouveau design de Dante, ses cheveux noirs, son look et son arrogance de petit merdeux, l'indignation s'est saisie d'à peu près tous les fans de la planète. Fallait-il être un peu obtus pour s'insurger de cette volonté - de Capcom - de revisiter un personnage resté égal à lui-même depuis quatre épisodes. Oui, nous l'affirmons sans trembler des genoux : le look Catherine Lara en trench coat rouge ça commençait à bien faire. On a aussi pu entendre quelques réactions ulcérées face à la vulgarité et le côté crâneur de ce nouveau Dante. C'est oublier un peu vite que ce DmC, outre le fait qu'il s'agit d'un reboot trafiquant allègrement le background de la série, met en scène une espèce de Dante adolescent, provocateur, auto-destructeur et fornicateur de première.
Alors que le reboot a le vent en poupe depuis de nombreuses années dans le milieu du septième art, cette tendance a depuis peu fait son bonhomme de chemin dans le jeu vidéo. Du coup, les noms restent, les icônes tiennent bon mais sous couvert d'une refonte graphique et / ou de gameplay. Ainsi, les grandes franchises semblent braver le temps avec une grâce insolente. Cette fois, c'est Devil May Cry qui s'y colle et si le beau ténébreux aux cheveux argentés fait place à un petit minet surexcité, la formule reste la même : on frappe et on avance. Problématique ? Pas vraiment... Devil May Cry est une série qui s'est toujours remise en question, toutes proportions gardées. Désireuse de ne pas stagner, elle a ainsi au fil du temps repensé son héros avec plus ou moins d'efficacité. Monolithique, impérial, foufou ou bien encore moqueur, Dante aura tenu le rôle de pilier central de la saga qui l'a vu naître jusqu'à ce qu'il partage la vedette avec Nero dans le quatrième épisode. Si ce dernier volet s'était avéré de qualité, il était néanmoins nécessaire d'évoluer à nouveau, d'autant que la concurrence dans le domaine du beat'em all se fait de plus en plus rude.
Devil May Cry est devenu le fer de lance des Beat Them All sur PlayStation 2 lors de sa sortie en 2000. Et si Capcom s'est loupé sur Devil May Cry 2, qui est du coup à passer sous silence, le troisième opus a quant à lui enfoncé le clou avec un système de combat d'une incroyable profondeur. Une caractéristique que l'on retrouve évidemment dans DMC 4 (de manière différente) malgré certains défauts d'architecture (syndrome aller-retour). Alors lorsque Ninja Theory (Enslaved, Heavenly Sword) a pris en charge le reboot DmC : Devil May Cry, tout le monde a commencé à flipper. Et pourtant...La série DMC, c'est un héros charismatique à l'insolence jouissive qui éclate avec classe des légions entières de démons sanguinolents, le tout sur de la musique rock. Et à cela Capcom a ajouté un gameplay d'une richesse presque inégalée (pour DMC 3 et 4 en tout cas) qui a su faire le bonheur des plus grands techniciens du genre Beat Them All. Alors Ninja Theory et son Dante version emo jeune sont-ils capables de réitérer cet exploit ? Si nous étions en droit de nous poser la question, il n'y a plus à s'inquiéter une fois que la partie est lancée. La première fois que j'ai vu le nouveau Dante, j'ai bondi tant il me paraissait désuet comparé à celui que nous connaissions.
Après quasiment cinq ans d'absence et même un peu plus en tant que héros d'un Devil May Cry, Dante revient enfin grâce au DmC de Ninja Theory. Il a les cheveux bien noirs, n'est plus nu sous son imper', et a carrément rajeuni. Et évidemment, je lis clairement dans vos yeux la crainte qui n'a fait que croître depuis l'annonce du jeu, avec cette question qui vous taraude depuis des mois : Dante est-il toujours aussi cool ou a-t-on affaire à un des membres de One Direction dopé aux hormones histoire d'attirer les minettes ? Réponse dans ce test.Oui, car disons-le d'entrée, juger de la qualité d'un jeu à la gueule de son héros n'est pas la meilleure des idées. Nombreux sont les joueurs de tous horizons à avoir descendu Ninja Theory pour l'apparence qu'ils comptaient donner à Dante, qui n'existe pourtant que depuis 2001, mais qui a su poser son charisme. Certains ont même décrété qu'ils ne poseraient jamais les mains sur ce nouveau DmC à cause du nouveau look du fils de Sparda. Et bien ce serait passer à côté d'un fort bon beat'em all, qui porte en lui l'ADN on ne peut plus net de la série de Capcom.
Déçus par la nouvelle direction prise par la série, de nombreux joueurs ont exprimé à Capcom leur mécontentement dès l'officialisation lors du TGS 2010 du nouveau DMC. Pourtant, à quelques semaines de la sortie du jeu, calée au 15 janvier prochain, l'éditeur japonais a tenu bon. Malgré quelques retouches effectuées de-ci de-là depuis l'annonce de l'existence du titre, celui-ci s'avère être un vrai reboot. Et pour cause, Capcom a justement délégué le développement de ce nouvel épisode au studio anglais Ninja Theory (Heavenly Sword, Enslaved) pour imprimer une nouvelle orientation à la série. Ce que ce dernier a fait, avec culot et panache. Le but avoué pour le duo : élargir une audience qui a largement faibli depuis le tout premier volet en visant les marchés occidentaux. Voici nos impressions à l'issue des cinq premiers chapitres joués dans leur intégralité. On vous l'accorde volontiers, les collaborations entre éditeurs japonais et développeurs occidentaux débouchent rarement sur des résultats exceptionnels. Chez Capcom, on admet d'ailleurs que le travail fourni avec GRIN autour de Bionic Commando n'a pas réellement porté ses fruits. Toutefois, cette expérience n'aura pas été vaine. L'éditeur nippon en a retiré de nombreuses leçons.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 08/2012
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Une première pour la série historiquement japonaise, le prochain DmC - reboot de la franchise Devil May Cry - s'est vue confiée à un studio hors archipel, Ninja Theory (Heavenly Sword, Enslaved) : un studio plus connu pour ses vertus artistiques que pour l'invention de gameplays pointus. Bien que très courte, la présentation jouable à la Gamescom fut l'occasion de mettre à l'essai ses qualités ludiques, chapeautées nous dit-on par une équipe japonaise interne à Capcom, garante de l'ADN Devil May Cry. Véritable patchwork d'influences esthétiques, à mi-chemin entre le délire de décorateur génial et le gameplay nerveux propre à la série, ce DmC chatoyant surprend agréablement dès les premières minutes : retour sur notre demi-heure de jeu aux pays des démons. Vous n'êtes pas sans le savoir, le développeur Ninja Theory a souhaité reprendre à zéro la direction artistique de son reboot. Résultat : notre héros grisonnant n'est plus, cédant sa place à un Dante 2.0, version minet mal élevé qui s'est vu conspué par les fans avant même d'avoir pu faire ses preuves.
C'est bien connu, la mythologie regorge de références que les développeurs n'hésitent pas à exploiter à tout va, comme dans God of War, ou plus proche de nous, Devil May Cry. Seulement voilà, pour les développeurs de Ninja Theory, le temps était venu de laisser tout ce joli monde de côté, et donner à son héros une nouvelle orientation. Une prise de risques pour cette institution du beat'em all qui bousculera les fans. Mais qu'ils se rassurent : Dante reste Dante. Devil May Cry comme on le connaît, est bel et bien mort. Le temps où Dante arborait une chevelure grisonnante appartient désormais au passé. Ou plutôt au futur. Car ce nouvel opus fait clairement office de "préquelle", c'est-à-dire qu'il se situe avant le premier épisode. Une pirouette agile de la part des développeurs qui s'évitent ainsi tout argument alambiqué pour expliquer les raisons du changement de look de leur héros. Là au moins ils sont au chaud, et peuvent tranquillement dévoiler la nouvelle dégaine de Dante, sans (trop) s'attirer les foudres des fans qui auront de quoi être surpris ! Eh oui, avant d'avoir cette belle chevelure poivre et sel, qui se mariait à merveille avec son style vestimentaire très rock, Dante était plutôt du genre étudiant androgyne, plus intéressé par la gent féminine que la guerre des mondes.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 04/2012
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Si Devil May Cry 4 était un très bon opus, on voyait néanmoins que la machine mise en route il y a onze ans commençait à montrer quelques signes de fatigue. Plutôt que de continuer sur la même voie, Capcom a donc eu la bonne idée de revisiter cette série phare du beat them all en offrant au studio Ninja Theory une grande liberté créative. Et après nous être essayés au titre à l'occasion du Captivate 2012, force est de reconnaître que les choix des développeurs de Cambridge, tant au niveau game design qu'artistique, s'avèrent d'ores et déjà concluants. Si aux premières heures de la campagne de communication autour de son jeu, Capcom faisait plutôt état d'un reboot de la série, DmC se présente aussi et surtout comme une sorte d'épisode 0. Ninja Theory entend nous faire découvrir les origines de Dante en nous racontant les évènements qui l'ont conduit à devenir celui qu'il sera dans le premier volet. Bande-annonce #9 : Trailer Captivate 2012 (VOST - ... Tameem Antoniades, chief design, comparait récemment le nouveau Dante au James Bond de Casino Royal : un héros encore immature, agité, dispersé et laissant facilement libre cours à sa colère. Et si il pouvait quelque peu déplaire lors de ses premières apparitions, ce nouveau Dante nous est petit à petit devenu attachant.
Les angoisses des fidèles purs et durs qui craignaient les changements dans Devil May Cry semblaient prématurés. Cela ne veut pas dire que Ninja Theory ne se soucie pas de ce que pensent les fans. C'est en fait tout le contraire. La présentation de Devil May Cry à la Gamescom est donc d'autant plus frappante qu'elle semble destinée spécifiquement à répondre à ces craintes et à les calmer. Et elle y parvient de façon convaincante. Voir Antionades défendre avec conviction sa vision est réconfortant et approprié, dans la mesure ou un studio ayant Heavenly Sword et Enslaved sur son CV ne devrait pas avoir à justifier de sa compétence à réaliser un jeu d'action/fantaisie. Après tout, Capcom lui-même l'avait trouvé suffisamment qualifié. Précédent Suivant Voir tout ▸ 1/5 Ne faites pas attention à la coiffure - Dante dispose toujours de ses mouvements. Cela dit, piqué au vif par les affirmations selon lesquelles il créait un Devil May Cry qui n'en aurait que le nom et rien d'autre, selon les mots mêmes d'Antonbiades, sa mission à Cologne est « de prouver que c'est bien Devil May Cry dans son essence même ». Le gameplay de la démo de Devil May Cry est focalisé sur le combat.
Gamekult
Ajouté le : 08/2011
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Trois ans après Devil May Cry 4, et avec l'avènement de titres de plus en plus costauds sur le secteur, l'heure est à la remise en question pour Dante et Capcom. Pour mieux draguer l'Occident, l'éditeur est même allé jusqu'à faire appel au studio Ninja Theory (Heavenly Sword) pour rebooter la série ; c'est la mode. Et c'est la gamescom 2011, salon européen, que le géant japonais a choisi pour présenter une première démo de son futur jeu d'action pour consoles HD. Bring it on! On ne reviendra pas une énième fois sur le look émo-ado de ce Dante nouveau boot, avatar digital du producteur de Ninja Theory, Tameen Antoniades, du pantalon cuir très 80s à la mèche rebelle new wave. Ce qui importe, c'est avant tout de savoir ce que le Diable a dans la queue, maintenant que le studio est aux commandes. En façade, on nous assure que les Britons travaillent main dans la main avec les équipes de Capcom Japon, au gré d'innombrables réunions mensuelles et de conseils avisés auprès du maître des lieux, Hideaki Itsuno, qui a officié sur les précédents épisodes. Une fois le jeu sous les yeux (mais pas entre les mains hélas), la filiation paraît tout à fait naturelle. Après tout, le studio a fait ses gammes avec Enslaved, et on ose croire que Capcom n'ira pas mitiger une formule savamment élaborée au fil des ans.
On critique souvent les éditeurs pour leur manque de prise de risque. La plupart des suites se contentent en effet de capitaliser sur le succès d'une série pour nous proposer de nouveaux épisodes qui sentent un peu le réchauffé. Ce n'est visiblement pas la politique de Capcom en ce qui concerne Devil May Cry. La licence s'offre en effet un reboot qui chamboule totalement les habitudes des fans de la série. Vous pensiez connaître la série des Devil May Cry ? Il faudra pourtant endosser de nouveau le rôle du néophyte avec l'arrivée du prochain épisode en 2012. Le jeu sobrement intitulé DmC constitue en effet un nouveau départ pour la licence. Vous pouvez donc d'ores et déjà oublier la mythologie et les intrigues qu'avaient mis en place les quatre précédents opus. La mode est visiblement aux reboots : Prince of Persia n'en finit plus de repartir sur de nouvelles base, la belle Lara Croft s'est refait une jeunesse, Mortal Kombat a remis les compteurs à zéro, Medal of Honor a essayé de se faire passer pour une jeune recrue... Ces licences s'en tirent avec plus ou moins de panache mais les fans accueillent généralement assez bien ce type de remise à plat. Devil May Cry est sans doute l'exception qui confirme la règle : dès l'annonce du jeu, le projet a du faire face aux foudres de la communauté.
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