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Nous avons réuni 29 tests du Gears of War 3. Les experts notent Gears of War 3 9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Gears of War 3 et d'autres Jeux Xbox 360.
Si l'on devait retracer toute la ludothèque de la Xbox 360 et ne garder qu'un titre exclusif à la console de Microsoft, il est évident que Gears of War serait le plus cité de tous. Graphiquement époustouflant à l'époque et proposant un système de couverture novateur, il n'a fallu qu'une petite goutte supplémentaire de violence pour marier habilement ces deux ingrédients et en faire un titre incontournable. Quelques cinq années plus tard et un second opus tout aussi marquant, Epic Games clôture sa trilogie pour de bon. L'ultime épisode que tout le monde attend ? Gears of War 2 se refermait sur une ville de Jacinto sous les eaux, après que les humains aient eux-mêmes détruit ses fondations dans le but de contrer l'invasion locuste qui s'y préparait. Un sacrifice nécessaire pour le bien immédiat de l'humanité, mais dont les conséquences ont mal été considérées. La résistance humaine s'est ainsi disloquée en plusieurs petits groupes, les attaques lambents deviennent de plus en plus virulentes et le président Prescott n'occupe plus ses fonctions pour maintenir une certaine cohésion. C'est pourtant ce dernier, débarquant à l'improviste sur le bateau où le reste de l'escouade Delta opère, qui va redonner une lueur d'espoir.
Cela fait maintenant cinq ans que le premier Gears of War nous mettait LA claque graphique sur 360, tout en proposant un gameplay, certes plutôt basique, mais parfaitement réglé qui fît de la licence le maître étalon du genre. Après une suite encore plus réussie que son prédécesseur, mais fortement critiquée pour ses modes multijoueurs pourris par le lag, voici qu'enfin Gears of War 3 pointe le bout de son nez, avec la ferme intention de clore l'histoire de Marcus Fénix et ses accolytes. Et il n'y a qu'une chose à dire : let's finish this.Si le scénario n'avait pas réellement été encensé par la critique sur les deux premiers opus (et à raison), les petits gars de chez Epic se sont retroussés les manches pour nous concocter un scénario digne de l'épisode qui vient clore la trilogie. Trilogie qui aura sans aucun doute marqué son temps. L'histoire prend place deux ans après les évènements du dernier opus où, après la destruction de Jacinto dans l'espoir d'annihiler les Locustes et les Lambents (Locustes irradiés par la fameuse imulsion, base de départ dudit conflit), le président Prescott s'était fait fièrement la malle sans donner de raisons.Ainsi, nous retrouvons notre escouade favorite sur un bateau, désespérément occupés à chercher un endroit pour vivre alors que la majorité de la planète est réduite à l'état de cendres (ce dont d'ailleurs la CGU est en partie responsable).
GamePro.fr
Ajouté le : 09/2011
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Sur la génération de consoles actuelles, Gears of War fait figure d'immanquable. La série d'Epic Games a - excusé du peu - réinventé le shoot à la troisième personne. Performance technique hors norme qui nous a fait sauter à deux pieds joints dans l'ère HD, GoW fait partie de ces jeux qui peuvent se vanter d'avoir fait vendre des consoles par containers entiers. La série a aussi - sur un modèle impossible à prendre en défaut - imposé un gameplay aussi basique qu'efficace, entre échanges armés survitaminés et système de couverture révolutionnaire. Quant à son héros, Marcus Fénix, il est passé culte chez les amateurs de bourrins vraiment "badass". Alors quand, pour clore cette trilogie, il est lancé sur la piste de son père toujours vivant, mieux ne vaut pas être un Locuste à croiser son chemin. Comme dirait Dom : "Finissons-en avec ce merdier une bonne fois pour toute".On retrouve la CGU dans un bien sale état, ses survivants condamnés à errer en groupuscules, affrontant des Locustes qui ont cessé de devenir une menace pour Sera et en sont désormais les bourreaux, preuve que les batailles gagnées par le passé n'ont pas suffi. C'est dans ces conditions que l'on retrouve le président Prescott, résigné, comme un peu toute la troupe à Marcus.
Une seule et même question a du tourner dans de nombreuses têtes : Gears of War 3 serait-il capable de susciter encore l'enthousiasme des joueurs, après deux fameux épisodes et un long développement ? Gears of War 2 a, à son époque, marqué les esprits en offrant aux joueurs un jeu bourré d'action, des graphismes déjà magnifiques, un arsenal bluffant et une prise en main très confortable. GoW 3 devait non seulement faire aussi bien, mais aller encore plus loin. Ne pas se contenter du succès propre à la série, convaincre encore une fois les joueurs de sa qualité intrinsèque. Et puis, avec ces deux ans de développement, les joueurs, devenus exigeants par le temps, attendaient beaucoup de cette dernière aventure, qui clôt la trilogie. Il était donc difficile pour Epic Games de se louper, au risque de couler la franchise complète. Que l'on se rassure, les heures passées sur ce nouveau Gears of War 3 imposent le respect. Jamais jeu ne nous aura autant captivé, pris en haleine et donné du mal. Epic signe là une fin, mais de quelle façon ! Les habitués de la franchise peuvent, les yeux fermés, se procurer leur exemplaire, l'acte étant même obligatoire pour qui joue à GoW depuis ses débuts.
Gears of War 3 débute deux ans après la fin du deuxième épisode et de la destruction de Jacinto, l'un des derniers bastions humains s'élevant face aux hordes Locustes et Lambents, les mutants explosifs nés de l'Imulsion. Marcus Fenix et ses frères (et soeurs) d'armes de l'escousade Delta sont sur un bateau : personne ne tombe à l'eau, mais ils doivent bien vite repousser un assaut Lambent. Le président Prescott, longtemps disparu, réapparait et confie à Marcus que son père, que tout le monde croyait mort, est en fait bien vivant et dispose d'un moyen d'éradiquer l'invasion Lambent. Marcus va donc partir à la recherche du papa et de sa potion magique, livrant un ultime combat pour sauver l'humanité. On ne joue pas à Gears of War 3 pour son scénario, mais il faut reconnaitre que celui-ci, bien que dépourvu de toute surprise, parvient néanmoins à nous accrocher pendant la dizaine d'heures de la campagne solo et concluera la trilogie de belle manière en apportant des réponses à toutes les questions laissées en suspens dans les deux premiers épisodes. La narration s'autorisera même quelques petites fantaisies, qu'on ne dévoilera pas ici pour ne pas gâcher le plaisir de la découverte.
Ça y est. Presque cinq ans après l'épisode originel, et une suite auréolée d'un succès à la fois critique et commercial, le commun des mortels va enfin pouvoir assister à la conclusion de la licence phare d'Epic. Porte-étendard du Third Person Shooter, killer app indiscutable en son temps, monument du jeu d'action, Gears of War, avec ce troisième opus, nous revient plus beau, plus complet et plus bourrin que jamais avec la promesse délicieuse d'apporter les réponses aux questions les plus existentielles : va-t-on enfin en finir une bonne fois pour toutes avec les Locustes ? Le dernier représentant de la fratrie Carmine va-t-il traverser un épisode de la saga sans mourir bêtement ? Ce troisième volet sera-t-il à la hauteur de ses illustres prédecesseurs ? Gears of War 3, dernier tour de chant pour Marcus et sa clique. Normalement... Décidément plus coriaces qu'une nuée de morpions sur l'arrière-train d'un poney, c'est sans surprise que l'on verra, pour ce troisième opus, les Locustes faire du rififi à Sera. L'action débute deux ans après les évènements de Jacinto et la CGU (ou tout du moins ce qu'il en reste) n'est plus qu'un groupuscule de soldats qui vivotent tant bien que mal, contraints d'errer entre terre et mer.
La série Gears of War fait partie de ces rares jeux qui ont marqué l'histoire des jeux vidéo en inventant un genre. Les TPS (third person shooter) existaient avant, mais Gears a trouvé sa niche avec un gameplay et un rythme n'ayant pas d'équivalent. Même chose pour le jeu en ligne avec le mode Horde, désormais célèbre et recherché par les joueurs, qu'on retrouve décalqué dans pléthore de jeux. Comment clôturer une saga qui a une telle réputation sans décevoir ? Epic a trouvé la solution avec talent : en faire un aboutissement de l'existant, et dans le même temps apporter juste ce qu'il faut d'innovation pour offrir une nouvelle expérience qui sera elle aussi à n'en pas douter copiée. Je sais bien que ce n'est que l'introduction, mais vous vous en doutez sans doute déjà, Gears of War 3, au sens propre comme au sens figuré, est une véritable tuerie. Après la destruction de Jacinto dans Gears 2, les hommes étaient partis trouver refuge sur des îles éloignées, espérant trouver un semblant de paix dans un monde dévasté. On se retrouve deux ans plus tard, alors que le Président Prescott, de retour surprise, montre à Marcus une vidéo prouvant que son père serait toujours vivant, confirmant ainsi ce qu’on avait pu voir à la fin de Gears 2.
Non seulement la guerre n'est pas terminée, mais elle va s'intensifier dans Gears Of War 3. L'équipe de Marcus s'est cependant renforcée entre temps avec une arrivée massive de nanas, ce qui aurait du apporter un peu de finesse dans ce monde de brutes. Mais il n'en est rien puisque Anya et ses copines sont des guerrières redoutables, et n'ont rien de très féminin. Mais peu importe, on n'est pas là pour prendre le thé et il est déjà temps de repartir au combat. Autant vous prévenir tout de suite, nous n'allons pas vous parler du scénario afin de ne pas vous gâcher le plaisir de la découverte. Certains s'en moquent dans un jeu comme Gears Of War, n'empêche, il se passe des choses... Sachez tout de même que les Locustes ne seront plus vos seuls adversaires, car une étrange mutation en a transformé une bonne partie en mutants appelés Lambents (et on est d'accord, ils ressemblent beaucoup aux Flood de Halo 2). Le menu principal de Gears Of War 3 nous met l'eau à la bouche. En effet il y a de quoi faire avec une longue campagne, jouable aussi bien tout seul qu'à deux, trois ou quatre en même temps. A deux, vous pourrez jouer en écran séparé, sans que cela ne nuise aux graphismes. Au delà de deux joueurs, il faut nécessairement se connecter sur le Live et la campagne a vraiment été conçue dans cette optique.
Repoussé de six longs mois pour des raisons marketing, Gears of War 3 n’est ni plus ni moins l’événement vidéoludique de cette rentrée 2011. Pas étonnant que le jeu d’Epic Games soit aussi attendu quand on se remémore ce que les deux premiers numéros ont apporté en termes de gameplay dans le Third Person Shooter. Presque trois ans (et oui déjà !) après un Gears of War 2 fulgurant et qui s’est permis toutes les folies du monde, ce troisième épisode a-t-il les reins suffisamment solides pour prendre la relève, voire peut-être renouveler le genre ? Réponse. Utiliser le Retro-Lanzer permet d'embrocher ses ennemisUtiliser le Retro-Lanzer permet d'embrocher ses ennemisEtant donné le niveau d’exigence atteint aujourd’hui dans le TPS, et après un Gears of War 2 qui faisait purement et simplement dans la démesure, Gears of War 3 arrive sur Xbox 360 avec l’épée de Damoclès au-dessus de sa tête. S’il semble impossible pour ce troisième opus de se planter, le titre phare de la Xbox 360 avait en revanche toutes les raisons de décevoir sa communauté. Trois ans d’attente pendant lesquelles d’autres blockbusters ont su imposer leur style et s’accaparer par la même occasion l’attention des joueurs toujours plus exigeants, l’erreur d’appréciation était légitime.
C'est normalement le dernier opus de Gears of War 3. Je pense que ça aura vraiment été le jeu le plus emblématique de la Xbox 360. Difficile évidemment de faire l'impasse sur les Halo ou les Forza, mais ce sont des franchises qui ont commencé sur la console précédente. GOW, c'est le jeu qui n'aurait pas pu commencer sur la première Xbox.Ces temps-ci, les rumeurs sur les nouvelles consoles vont bon train. Une annonce en 2012 ? 2013 ? Il ne fait aucun doute que les prochaines consoles seront plus spectaculaires, plus ambitieuses. Quand on voit Gears of War 3, on se dit même qu'on atteint probablement les limites techniques de la Xbox. Mais au bout du compte... Une nouvelle console est-elle si indispensable ? Malgré quelques petits défauts, je crois que je n'ai jamais rien vu d'aussi convaincant sur cette machine.Pour tout vous dire, je trouvais déjà le premier excellent et c'est une des rares séries qui s'est bonifiée. En général, les séries restent sensiblement sur la même qualité ou déclinent, à force d'avoir toujours voulu multiplier les épisodes. Avec Gears of War 3, on est sur un niveau qualitatif toujours plus poussée. Dès les premières secondes, j'ai pourtant un peu flippé. Marcus est une fois de plus en taule et une fois de plus, un collègue vient lui dire qu'il peut sortir. C'est une collègue en l'occurrence.
Après deux épisodes emblématiques, qui ont hissé Gears of War au panthéon des grands noms du jeu vidéo, Epic remet le couvert pour nous servir un troisième volet des aventures de Marcus Fénix. Un dernier épisode serait-il plus juste de dire, car Cliffy B. et sa bande ont d'ores et déjà annoncé que Gears of War 3 clôturerait la saga. Pour le meilleur ? Avant de commencer à évoquer le scénario de ce troisième épisode, revenons quelque peu en arrière. Pour les deux du fond qui n'ont pas encore terminé Gears of War 1 et 2, cela risque d'être un peu rude, car il est possible que nous évoquions dans les lignes à venir des éléments qui risquent de vous gâcher la surprise. Mais reprenons. L'action de Gears of War se déroule sur la Planète Sera, un petit monde que rien ne distingue des autres, jusqu'à ce que l'homme y découvre une source d'énergie révolutionnaire, l'Imulsion. Il découle de cette découverte, une grande guerre fratricide, connue sous le nom de guerre pendulaire, qui met la planète à feu et à sang, et qui ne doit sa fin qu'à une menace encore plus grande. Car voyez-vous, sous terre, les Locustes menaient une petite vie tranquille, bien vite chamboulée par les divers forages d'Imuslion parsemant la planète.
La franchise qui est - pour certain - passée au dessus de Halo dans le coeur des joueurs de Xbox 360 revient avec un 3ème opus qui doit conclure une trilogie commencée en 2006. Marcus Fenix et Dominic Santiago reviennent tronçonner du Locuste et du Lambent, dans un univers explosif et touchant. Il faut noter mon coté fanboy qui ressort durant la rédaction du test puisque Gears of War est mon jeu de chevet. Pas de spoiler dans le texte, pas de sous entendu qui pourraient vous gâcher votre expérience de jeu. Vous pouvez lire tranquillement ce qui suit. Temps de jeu personnel: 21 heures (campagne terminée + multi lvl18) Le jeu démarre après que vous ayez noyé la ville de Jacinto sous les eaux, période où les lambents remplacent les locustes dans la chaîne alimentaire. La principale évolution entre ces deux ennemis, c'est que nos nouveaux compagnons explosent 90% du temps au moment où ils meurent, provoquant ainsi des dégâts sur les autres lambents et sur vous même. Les explosions tachent l'écran tout en vous brûlant la rétine. Les graphismes du jeu d'Epic Games sont superbes, que ce soit les dites explosions, tout comme le décor qui se désagrège, les effets de lumière réalistes ou les décors qui possèdent une profondeur d'affichage plus importante que GoW2.
Sorti en 2006, Gears Of War premier du nom représentait - à l'époque - une véritable vitrine technologique des possibilités de la Xbox 360. En 2008, Gears Of War 2 débarque sur Xbox 360 comme une véritable machine de guerre : un jeu d'action survitaminé regorgeant d'effets visuels. En revanche, avec le recul, on peut lui reprocher un manque de profondeur scénaristique, des situations de jeu souvent identiques et un mode multijoueurs trop creux pour lutter avec avec les références du genre. Pour cet ultime volet, les développeurs d'Epic Games ont formulé une promesse aux fans : réaliser le meilleur épisode la série. C'est simple. Alors, le contrat de confiance a -t-il été rempli ? Une question à laquelle nous allons répondre dans nos colonnes. Le scénario de Gears Of War 3 se déroule peu de temps après les événements du deuxième opus (18 mois), et autant vous prévenir : si vous n'avez pas joué aux précédents, mieux vaut se faire une petite piqûre de rappel. Pour cela, on nous propose une vidéo revenant sur les évènements passés. L'aventure démarre alors dans une séquence un peu étrange, mais significative, où Marcus Phenix se retrouve au coeur d'un rêve : celui de la mort supposé de son père lors d'un combat contre l'ennemi.
La saga Gears of War est à la Xbox 360 ce que les Uncharted sont désormais à la PlayStation 3. Une série de TPS incontournables, épiques, uniques... Mais après deux épisodes toujours plus épatants, tant en solo qu'en multi, qu'est ce que le studio d'Epic pouvait bien nous proposer de plus ? Une expérience encore meilleure, encore plus peaufinée, toujours plus séduisante, plus indispensable ? C'est le cas mais avec trois ans de développement (contre deux pour les épisodes précédents) et une belle Bêta, Gears of War 3, sans réinventer pour autant la licence (tant mieux, ce n'est pas ce qu'on lui demande !), a tout de même le culot de demeurer l'inévitable blockbuster de cette fin d'année sur Xbox 360. La classe !L'expérience Gears se divise toujours en deux parties, la campagne et les modes multijoueurs. Alors autant vous dire que si je suis fan de l'univers et de la licence, les scénarios des épisodes de la saga n'ont jamais, à mon sens, brillé par leur subtilité. Néanmoins, l'histoire de Gears of War 3 prend, quelque part, un nouveau tournant que je qualifierais de bienvenu. Jugez plutôt ! Sans spoiler, sachez que l'histoire se déroule une petite année et demie après les événements de Jacinto et la fin de Gears of War 2.
Affûtez votre baïonnette et faites le plein de votre tronçonneuse, vous aurez des tranches de Locustes et de la bouillie de Lambents au dîner ce soir ! Les Gears reprennent du service et ils ont besoin de vous pour tenter une dernière fois de sauver l'humanité. Vous avez une impression de déjà-vu et vous avez peur qu'on vous serve une soupe qui a un goût de réchauffé ? Détrompez-vous, ce troisième opus risque bien de vous surprendre et il surpasse même ses aînés sur un bon nombre de points. Est-il encore nécessaire de présenter la série des Gears of War ? La licence est devenue un grand classique du TPS et a même inspiré bon nombre d'autres productions, à tel point que l'on peut se demander aujourd'hui si elle n'a pas donné naissance à un sous-genre particulier. Le premier épisode est sorti près d'un an après le lancement de la Xbox 360 et il s'est rapidement imposé comme le titre de référence qui montrait ce que la console avait véritablement dans le ventre. En débarquant il y a deux ans, le second opus a encore repoussé les limites et nous a prouvé que l'on pouvait accoucher d'une aventure encore plus intense et plus impressionnante.
On les avait quitté lessivés. Epuisés par la guerre sans fin contre les locustes et, leurs nouveaux ennemis communs, les lambents. Mais, invariablement, Marcus Fénix et ses camarades poursuivent leurs efforts. A l’ouverture de Gears of War 3, la situation semble pourtant désespérée. Sera est un champ de ruines. Quatre-vingt dix pourcent de l’humanité a été exterminée et même la CGU n’a pu enrayer le fléau causé par l’imulsion. Pourtant, si le corps d’armée n’existe plus entant que tel, l’escouade Delta continue la guerre et se déplace désormais à bord du Souverain, un navire transporteur reconverti en base opérationnelle mobile. Des mois à dériver avant que le vaisseau ne reçoive la visite de l’ex-président Prescott, porteur d’un bien étrange message capable d’inverser le cours de la guerre… On ne va pas vous la faire longue, oui Adam Fénix, le père de Marcus est en vie. Et contre toute attente, celui qui avait déjà prophétisé la chute de Jacinto aurait trouvé un moyen d’annihiler définitivement la menace que représentent les lambents et les locustes. Mais ni Prescott, ni personne d'autre ne semble savoir où il se trouve. Vous vous en doutez, mettre la main sur le scientifique va donc constituer le fil rouge de l'aventure pour permettre à l'espèce humaine de prendre enfin sa revanche.
J’ai été invité, vers la fin du mois dernier, à une petite séance de jeu chez Microsoft. En présence de Cliff Bleszinsky j’ai pu y jouer au premier Acte de ce qui sera certainement un des gros jeux de la fin d’année sur Xbox 360, le très attendu Gears of War 3. Vous trouverez donc dans la suite mes impressions, une petite vidéo avec des extraits de cet Acte 1 et également quelques screenshots. Ne vous inquiétez surtout pas... Je ne vais bien entendu pas vous spoiler le premier acte de ce jeu tant attendu. Je pense que d’autres sites/média le feront bien assez, du coup, je vais essayer de vous livrer mes impressions sans trop en dévoiler. Déjà, je dois vous parler des quelques infos en plus que Cliff Bleszinsky a bien voulu nous distiller lors de cette présentation. Par exemple, la confirmation de l’ajout d’un mode Arcade à la campagne solo. Ce dernier, clairement compétitif, vous permettra d’engranger des points pour chaque kill, avec des multiplicateurs lorsque vous ferez un combo. Cela vous rappelle quelque chose hein ? C’est vrai que vu comme cela, ça ressemble un peu à BulletStorm... du même Epic pour le coup. Bon, ce n’est pas tout à fait aussi entraînant que dans ce dernier titre, mais cela reste très prenant lorsque l’on joue à 4.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 08/2011
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En l'espace de cinq ans, Gears of War est devenu un mythe, un monolithe, une figure de proue du navire Microsoft, une paire d'As dans les mains de la Xbox360. Un succès qui s'explique par une ambiance et une histoire originale (une recette qu'Epic Games a ensuite appliquée sur Bulletstorm), des mécanismes et des modes de jeu inédits, mais surtout un multijoueurs généreux ainsi que diaboliquement addictif. Seulement voilà, si deux années ont séparé les sorties des deux premiers volets, cela va bientôt faire trois piges que les mordus de l'escouade Delta attendent leur dose de testostérone et d'action grand spectacle. Un peu de patience mes frères, vous serez bientôt renvoyés en mission avec Marcus et son équipe pour un baroud d'honneur pas piqué des hannetons. Les premières minutes de Gears of War 3 se déroulent à la manière d'un flashback interactif, détaillant brièvement la situation de Marcus vis-à-vis de son père et des événements militaires graves dont découlent ses choix personnels. Tout au long de la première mission, des anecdotes au sein des dialogues viennent rafraîchir la mémoire des joueurs qui ont terminé les deux premiers opus ; elles expliquent brièvement l'essentiel de l'histoire aux néophytes n'ayant jamais touché un Gears of War de leur vie.
La rentrée 2011 sera marquée par la sortie de Gears of War 3. Même si nous vous répétons depuis des mois que ce titre ne devrait réserver aucune mauvaise surprise, nous n'avons pu résister à l'envie d'aller re-chatouiller du Locuste durant cet E3, histoire de partager une expérience de plus avec vous. Une fois de plus, la rétine flattée, nous avons été conquis. Pour cette présentation spéciale E3, monseigneur Cliff Bleszinsky n'a même pas partagé la manette avec un seul des journalistes présents pour admirer sa prestation dans Gears of War 3. Et comme on le comprend ! Celle démonstration était placée sous le signe du Leviathan. En effet, Marcus et toute la clique (Cole, Baird, le troisième frère Carmine et compagnie) se devaient d'affronter la bête en passe de dévorer un cargo sur lequel une partie de l'équipe se situait. Une partie seulement et nous reviendrons là-dessus dans quelques instants. Bref, l'objectif était d'éviter de finir dans la gueule du monstre dont la taille rappelait quelques bestioles massives des deux précédents volets. Une fois de plus, c'est dans des combats d'apparence très déséquilibrés que se lanceront Fenix et ses troupes qui malgré ça et sans aucune hésitation, fonceront dans la mêlée avec la finesse et la subtilité qu'on leur connaît.
Comment faire une suite à un jeu comme Gears of War 2 ? Que faut-il imaginer pour rivaliser avec ce fabuleux périple qui lançait les joueurs la tête la première dans un combat enragé contre un Brumack, avant de les envoyer se contorsionner dans les entrailles mouvantes d'un ver géant capable d'engloutir une ville ? La réponse de Gears of War 3 - réponse étonnante - est : « mettons des supermarchés et un stade ». Nous vivons une époque étrange. Ces deux endroits ont été empruntés à la toujours assez mystérieuse campagne centrale et déclinés en arènes multijoueurs respectivement appelées Checkout et Thrashball. Vous aurez l'occasion d'essayer ces deux arènes dans la bêta, qui sort ce printemps à une date indéfinie, et elles sont vraiment excellentes. Checkout est cruelle, oppressante et étonnamment petite : un ensemble resserré de recoins et de couloirs bordés d'étagères et de coffres brisés, et éclairé par des puits de lumière tombant du plafond de verre. Vous apparaîtrez dans la pharmacie ou dans le rayon vêtement et vous vous lancerez dans une course contre la montre haletante pour localiser les meilleures armes et vous choisir une position avant d'affronter l'ennemi sans beaucoup d'endroits où vous cacher.
Onze heures de vol, un jet lag tenace et l’ingestion d’hamburgers à haute teneur en graisse n’ont pas réussi à entamer notre enthousiasme à l’idée de découvrir Gears of War 3. Au contraire. Avides de poser nos mains sur la dizaine de Xbox 360 disponibles, c’est avec une certaine fébrilité que nous avons entamé notre premier deathmatch en équipe. Avant de continuer, précisons tout de même que nous n’avons rien appris sur le solo du titre d’Epic et que le seul mode disponible lors de cet événement restait le Team Deathmatch. Pour en apprendre davantage sur la campagne et la coopération, il va falloir patienter. Durant presque deux heures, ce sont donc quatre cartes qui nous ont été présentées, toutes disponibles dans la prochaine bêta. Variées, très belles et bien pensées, ces arènes de mort ne nous ont pas déçu. Elles se nomment donc délicatement Trashball, Mercy, Trenches ou Checkout et font preuve d’un gout exquis en matière de réalisation. Mais surtout, la monotonie des paysages presque monochromes du premier épisode semble définitivement oubliée. Ici, c’est la diversité et les belles couleurs qui priment.
Marcus Fenix et sa bande de gros bras surarmés sont de retour pour un troisième épisode placé définitivement sous le signe du multijoueur. C'est en tout cas ce que nous avons pu vérifier pendant une trentaine de minutes en pratiquant avec ferveur quelques matchs online qui ont révélé de nouvelles informations croustillantes... Une campagne en coopération à quatre joueurs, un mode Horde doublé cette fois-ci d'un mode Beast (5 joueurs incarnent des Locustes et doivent résister à plusieurs vagues de soldats humains), sans oublier six modes online dont trois nouveaux... Pas de doute, Gears of War 3 joue à fond la carte du multi. Et autant dire que le résultat apparaît particulièrement réussi ! Ainsi, du côté des modes de jeu inédits, on peut trouver d'abord King of the Hill, une refonte des modes Annexion et Roi de la colline présents dans le second jeu. Ici, le principe reste le même (il faut rester un certain temps à l'intérieur d'une zone dessinée sur le sol qui change de lieu à chaque fois qu'elle est capturée) mais le résultat s'avère autant simplifié qu'optimisé pour satisfaire le plus grand nombre de joueurs. Second mode de jeu - véritablement - nouveau : Capture The Leader.
Ceux qui ne jurent que par le mode solo de Gears of War 3 vont devoir prendre leur mal en patience, Epic Games continuant à garder le mystère autour de cette nouvelle campagne. Pour connaître les tenants et les aboutissants de ce troisième et dernier volet de la trilogie, il va falloir attendre l'E3 prochain. C'est en effet au salon de Los Angeles que de nouvelles révélations seront faites au sujet de l'histoire, des personnages et des enjeux qui impliquent aussi bien les Humains, les Locustes que les Lambents, la nouvelle menace de ce Gears of War 3. En attendant, on pouvait se délecter des principaux modes de jeu qui nous attendent dans le mode multijoueur puisque de nombreuses bornes, connectées entre elles, nous permettaient de réaliser quelques frags et autres finish moves toujours aussi jouissifs. Ceux qui suivent et lisent JEUXACTU de manière assidue connaissent déjà notre sentiment sur ce mode multijoueur qui, rappelons-le, s'offre le luxe d'une bêta qui permettra de peaufiner au mieux le jeu online. C'était d'ailleurs l'une des pierres angulaires de la petite présentation faite par Cliff et Rod en préambule de cette soirée, durant laquelle ils n'ont pas hésité à nous dévoiler un cliché montrant la salle dédiée aux serveurs dédiés pour le multi de Gears of War 3.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 02/2011
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A l'heure où nous écrivons ces lignes, Gears Of War 2 reste un titre extrêmement populaire sur le Xbox Live. Mais le troisième volet, prévu pour le 20 septembre prochain, pourrait bien propulser la série dans une nouvelle dimension. Car pour les petits gars d'Epic Games, Gears Of War 3 représente l'épisode le plus abouti de la série. De surcroît, les quelques mois de développement supplémentaire accordés par Microsoft leur permet désormais de peaufiner de nombreux détails techniques : un véritable luxe. D'ailleurs, Rob Fergusson (producteur) et Cliff.B (lead designer) ont fait le voyage jusqu'à San Francisco pour dévoiler à la presse leur plan concernant la mise en place d'une version bêta. D'abord, cette bêta permettra aux heureux élus de pouvoir tâter la bête avant l'heure, mais aussi d'échanger avec les développeurs sur les différentes parties du jeu. Epic Games souhaite travailler davantage l'aspect communautaire autour de Gears Of War 3, en restant tout d'abord à l'écoute des fans. Pour en témoigner, le studio confirme enfin la présence de serveurs dédiés. Une aubaine pour l'ensemble des joueurs qui pestaient - à juste titre - contre les nombreux problèmes rencontrés sur le réseau. C'est rare qu'un titre de cette ampleur bénéficie d'un tel traitement.
Gear of War 3 est terminé, mais il ne sortira pas avant la fin de l’année prochaine. C’est sur ce triste constat que l’on avait laissé Marcus la dernière fois, tout du moins avant le début de la Paris Games Week. Le titre tant attendu d’Epic était en effet présent et jouable sur le salon, dans une session multijoueur uniquement, qui nous a permis de découvrir un tout nouveau mode.C’est accoutré d’un tablier sanguinolent que nous nous sommes lancés dans le mode Beast, qui nous fait incarner des locustes affrontant des vagues de Gears. C’est donc avec quatre comparses que vous vous lancerez à l’assaut de l’ennemi, en incarnant les monstruosités que l’on avait jusqu’ici l’habitude de dézinguer. Vous ne pourrez cependant pas incarner de Boomer explosant tout d’une roquette bien placée tout de suite, puisqu’il vous faudra pour cela récupérer assez de Token. Cette ressource, qui sert de monnaie avant chaque respawn, ne se trouve que sur les corps des ennemis morts et c’est elle qui vous permettra de débloquer des classes plus ou moins puissantes. Il vous faudra donc faire preuve d’un minimum de skill pour pouvoir avancer face à des vagues d’humains de plus en plus puissants et de mieux en mieux armés.
Gamekult
Ajouté le : 10/2010
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Il faudra s'y résoudre : Gears of War 3 ne sortira pas avant la fin d'année prochaine, alors qu'il aurait été fin prêt pour l'échéance initiale, avril 2011, de l'aveu même des développeurs. C'est sans doute ce qui explique la présence d'une version plutôt avancée au Paris Games Week, une démo plantée dans un décor saisissant, avec des (faux) membres humains plantés au plafond. Voilà qui donne le ton. L'occasion pour nous d'approcher enfin Gears of War 3 dans une version jouable, pour un premier aperçu du nouveau mode multi concocté par Cliff Bleszinski et ses sbires. Pas de solo pour l'instant, donc. Cette démo se focalisait uniquement sur le nouveau mode multijoueur de ce nouvel opus, le fameux mode Beast de l'E3. Surfant sur la grande tendance du changement de camp, ce mode en coop permet enfin d'incarner ces gros reptiles de Locustes, cinq en tout, opposés à plusieurs vagues de Gears. Une vraie mission suicide, qui fait enfin ressentir le véritable mal-être Locuste, cette chair à canon tout juste bonne à se faire tronçonner derrière un muret. Bon, pas la peine de la jouer larmoyant. Même si Marcus, Cole ou Dom apparaissent dans le camp d'en face, l'armée mise à disposition du joueur a fière allure.
Univers Consoles
Ajouté le : 10/2010
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Marcus et ses frères d'armes rempilent pour un ultime baroud d'honneur pétri d'enseignements. Petite prédiction : et si on tenait là une trilogie guerrière souveraine ? La vie recèle parfois de drôles de coïncidences ; tandis qu'au milieu de l'Atlantique un volcan au nom imprononçable avait répandu ses cendres sur toute l'Europe, le saisissant Ashes to Ashes, teaser officiel de Gears of War 3, nous recevait dans sa noirâtre splendeur. Parlons un peu d'Epic : un concentré de cent quarante talents supervisé par un maître artiste en chef, Cliff Bleszinski, responsable de surcroît de la franchise Unreal. Bon ce n'était pas tout, manette en main, la première démo de Gears of War troisième du nom nous attend. Petit rappel historique pour les oublieux : en conclusion de l'acte précédent, l'escouade de Marcus Fenix noyait le gros des troupes locustes sous un déluge de flotte, immergeant du même coup le plateau de Jacinto, ultime bastion de la civilisation humaine. Dix-huit mois ont passé depuis cette victoire à la Pyrrhus, et la situation ne s'est guère améliorée. La menace locuste est toujours présente, mais il y a bien pire : la planète Sera, en proie à un pourrissement ininterrompu, est au bord de l'extinction, elle, et tout le petit monde qu'elle avait bénévolement logé jusqu'ici.
Après Activision et son Call of Duty, c'est au tour des développeurs de Gears of War 3 de nous convier dans leurs locaux pour essayer le multijoueur de leur dernière production. Retardé pour d'obscures raisons marketing, la partie multi du titre est pourtant terminée. Voici nos premières révélations et impressions ! Avant de se lancer dans l'action et de s'étriper joyeusement entre humains et locustes, le producteur du jeu nous a présenté en détail les nouveautés. Parmi celles-ci, il a particulièrement insisté sur le fait que le laps de temps nous séparant de la sortie de Gears of War 3 allait leur permettre d'organiser une bêta multijoueur. En outre, il a aussi fait état d\'une nouvelle enthousiasmante concernant l'hébergement de toutes les parties multijoueurs sur des serveurs dédiés. Fini les lags, les interruptions de parties lorsqu'un joueur quitte brutalement et les excuses de petits joueurs « C'est parce que c'est lui qui a créé la partie ! ». Cette mise au point effectuée, nous avons passé en revue tous les ajouts à ce mode multijoueur d'une rare intensité. On regrettera cependant que le mode Horde et le nouveau mode Beast n'aient pas été au programme des réjouissances, malgré l'incroyable popularité du premier d'entre eux.
Ceux qui suivent assidûment JEUXACTU savent que l'annonce officielle de Gears of War 3 s'est opérée de manière sélective à travers quelques sites mondiaux triés sur le volet. Nous faisions partie des privilégiés et c'est la raison pour laquelle Cliff Bleszinski nous a accordé une interview de près de 20 minutes en avril dernier. Toutefois, il aura fallu attendre l'E3 2010 pour mettre la main dessus. Et une fois de plus, nous n'étions qu'une poignée à pouvoir découvrir le jeu, manette en mains, en compagnie de Cliff et une partie de son équipe. Impressions.Comme souvent lorsqu'il s'agit de Gears of War, Epic Games préfère distiller ses informations avec parcimonie et de la même manière que pour l'épisode 2, les créateurs de l'Unreal Engine ont décidé de porter l'attention sur le mode multi pour commencer, et plus précisément le fameux Beast Mode, révélé lors de notre interview exclusive en compagnie de l'ami CliffyB. Pour faire court, il s'agit d'une évolution du mode Horde qui s'était fichtrement bien illustré dans Gears of War 2, où l'objectif était de résister le plus longtemps possible aux assauts de Locustes qui arrivaient par paquet de 30.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Gears of War 3. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Gears of War 3.