FUEL
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Nous avons réuni 11 tests du FUEL. Les experts notent FUEL 6.2/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du FUEL et d'autres Jeux Playstation 3.
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Test FUEL
FUEL
Disponible depuis le 02 juin sur PlayStation 3, FUEL est enfin arrivé à la rédaction de PlayFrance. Si l’éditeur Codemasters a pris des chemins détournés pour nous envoyer notre copie, elle est enfin là, prête à livrer tous ces secrets. Les petits français du studio Asobo a qui nous devons cette production peuvent déjà se vanter d’être dans le livre des records avec leur jeu. En effet, FUEL, c’est avant tout le plus grand terrain de jeu de l’histoire. Un bac à sable qui s’élève à 14 400 km² de sable, de terre, de boue, de roche et de végétation. Avec la liberté de circuler librement, de long en large et en travers, dans cet univers, le soft gagne déjà des points pour sa durée de vie. Mais est-ce suffisant ? Vous l’aurez compris, ce jeu vidéo fait dans l’exhaustivité, dans la démesure américaine mais à la française aussi bien dans son terrain de jeu que dans ses différents modes. Un mode carrière ouvre logiquement le bal des réjouissances. Dans ce dernier on retrouve un système de progression sur une carte, passant de camps à camps en fonction de nos résultats. En clair, plus on enchaine les bonnes performances pendant les courses et plus on gagne de points FUEL qui serviront à acheter de nouveaux véhicules, ouvrant la voie à de nouvelles courses puis à de nouvelles portions de la carte.
FUEL
S'inspirant de Motorstorm c'est-à-dire, des courses de Off-Roads avec divers véhicules allant de la moto aux buggys en passant par les quads et autres quatre roues plus ou moins agréables à conduire. Si ce principe suffit parfois à faire de bons titres, il fallait que Fuel s’extirpe de la masse, pour cela les Bordelais ont créé un monde ouvert, et pas des plus petits… Proposant 14 400 km² de terrains à parcourir selon votre bon vouloir, divers défis et courses sont placés à certains endroits de la carte, libre à vous de choisir quand est-ce que vous voulez y participer, bien sur au fur et à mesure de votre progression d'autres apparaîtront. Un principe déjà vu dans le genre avec Toca Race Driver, mais qui avec ce titre perd un peu de sa saveur. Laissez au joueur une telle liberté revient à tout faire pour que ce choix soit justifier. Chaque portion de la carte est divisée en zones différentes, à l'ambiance diverse selon le lieux où l' on se trouve, et dont la présence de quelques superbes panoramas attireront votre regard. C’est pour ce genre de petit plaisir qu’on est content de pouvoir vagabonder comme on le souhaite.
Test Fuel
Plutôt habitué à jouer les studios de seconde zone avec des titres tels que Croque Canard, CT Special Forces : Fire for Effect ou encore les versions PS2/PSP de Ratatouille et Wall-E, Asobo Studio s'est lancé un énorme défi en la personne de Fuel. Baptisé au départ Grand Raid Offroad, le jeu est passé chez Codemasters sous le nom de Fuel. Recordman mondial de la taille du terrain de jeu dans un titre vidéoludique, Fuel veut aussi s'imposer comme une référence du genre. Alors pari réussi ou pétard mouillé ? Dans Fuel on a le droit à une « histoire » très à la mode. En effet le monde va mal, la pénurie de pétrole approche, dame nature s'emballe (villes englouties, variations climatiques de plus en plus fortes,...etc). Mais voilà que dans ce monde en déclin vous incarnez l'un de ces pilotes qui profitent du monde de plus en plus désert pour faire les courses les plus folles avec tous les types de véhicules possibles. Leur philosophie ? Profiter des dernières gouttes, enfin tankers, de pétrole pour faire la course sans arrêt. Mais voilà il leur faudra affronter différents types de déréglement climatique : de la tempête de sable à la tornade en passant par l'orage et la tempête de neige.
FUEL
Avec son ambiance à la Mad Max et ses 14.400 km² de terrain ouvert, FUEL faisait déjà tourner la tête à beaucoup de joueurs et promettait une expérience de jeu hors du commun. Une sorte de bouchée d’oxygène dans le monde de la course. Reste à savoir si les studios bordelais d’Asobo ont réussi leur pari concernant la profondeur de jeu, néanmoins l’on peut d’ores et déjà confirmer que ce n’est franchement pas la taille qui compte… Au départ, on pourrait dire de FUEL que c’est un Motorstorm-like dans un univers totalement libre. Le type de véhicules est similaire puisqu’on a l’occasion de choisir une flopée de véhicules entre le buggy, le quad, le motocross, le camion, etc. Puis il y a cet univers de poussière et de terre typique qui nous fait irrémédiablement penser au titre d’Evolution Games. Cependant, on se rend vite compte de la supercherie, et ce dès les premières minutes du jeu. Lâché au bord d’un lac avec notre quad, on va devoir trouver les épreuves qui nous feront justement gagner du « FUEL » (la monnaie principale), pour ensuite acheter d’autres véhicules qui nous débloqueront d’autres épreuves, et ainsi de suite.
Fuel
Fuel fait parti des nombreuses sorties de Codemasters qui semblent s'être toutes agglutinées autour des mois de mai et juin. Sous ses faux airs de Motorstorm Pacific Rift revisited, le soft a toutefois de nombreux atouts pour sa pomme et semble promettre de nombreuses heures de glande ultime en freeride dans son environnement de plus de 14 000 km² de pistes en tout genre. A la suite d'un cataclysme climatique qui nous pend au nez, mais qui dans ce présent virtuel est déjà une réalité, les grandes plaines des USA se transforment en no man's land pour la plus grande joie de fous furieux à la recherche de fuel qui s'affrontent en environnement hostile pour leur ressource naturelle si précieuse. Vous êtes un de ces Mad Max casqués qui sillonent les routes jonchées d'épaves pour trouver un peu de liberté au-?delà du dôme du tonnerre. Et le tonnerre gronde d'ailleurs au loin quand il ne se transforme pas subitement en pluie torentielle sur votre tronche. Mais lorsque la pluis s'arrête, le beau temps fait son apparition accompagné d'une tornade qui approche telle celle que voyait au loin Sarah Connor à son arrêt dans la dernière station service avant le désert Mojave.
FUEL
Le tant attendu FUEL, dont on parle depuis quelques temps pour ses qualités "encore jamais vues" dans un jeu de course, se dévoile enfin. Fruit du studio français Asobo, il veut nous immerger totalement dans un genre pourtant passablement éculé ces dernières années : celui du off-Road façon MotorStorm. Récit d’un voyage dans un monde dévasté de... 14.400 km². Nouveau record mondial inscrit officiellement au Guinness Book du jeu vidéo ! Le contexte de FUEL est on ne plus inquiétant. Il repose sur le postulat que la Terre est devenue une vraie poubelle et que des cataclysmes en tout genre se sont déclenchés aux quatre coins du globe. L'un étant forcément la conséquence de l’autre. Dans le monde de FUEL, le continent nord-américain est ainsi totalement ravagé par différents phénomènes météorologiques. À tel point que la flore et la faune ne sont plus que de vagues souvenirs. Tout autant que les humains d'ailleurs. Grand Canyon, Lacs Salés, Mont Rainier... tous les lieux célèbres du continent sont représentés, mais en version fin du monde.
Fuel
Des décors immenses, des véhicules variés, du jeu online prometteur: Fuel passe de la pole position au fossé. Crash. Avant même sa sortie, Fuel s'est construit une grosse réputation en mettant en avant son gigantesque environnement ouvert, ses véhicules variés et un mode online qui s'annonçait tout aussi réussi que celui de Burnout: Paradise City. Les images diffusées au fil des mois avaient de quoi ébaubir le plus blasé des gamers. Motorstorm ou Pure n'avaient qu'à bien se tenir! La réalité n'a hélas pas dépassé la fiction... Fuel n'est clairement pas ce qu'il prétendait être et, pire encore, a du mal à tenir la distance face aux autres jeux du marché. Graphiquement, Fuel n'a pas tenu sa parole, en étant plus confus que réellement impressionnant. Le design des véhicules, sans aucune originalité, ne convainc pas. Il y a pourtant un casting varié, avec des motos, des quad, des buggy, des voitures ou des camions mais aucune catégorie n'arrive à réellement satisfaire les pupilles, avec leur look hybride entre Mad Max et des jouets cheap.
FUEL
Pas vraiment à plaindre, les amateurs de courses off-road ont vu débarquer ces derniers temps un joli petit nombre de titres qui aiment patauger gaiement dans la gadoue. Pas évident, du coup, pour un nouveau venu de débarquer aujourd'hui dans ce contexte assez concurrentiel. C'est pourtant le pari osé que tente de relever le studio français Asobo, soutenu par Codemasters, avec FUEL. Le challenge est d'ailleurs d'autant plus élevé que leur titre n'a pas son ambition dans sa poche et s'est tourné vers un gameplay sauvagement ouvert pour épater la galerie. Cela permettra-t-il à FUEL d'attirer les foules ? Si l'on en croit les tristes prédictions d'Asobo, couper son robinet quand on se brosse les dents et s'éclairer avec des ampoules basse tension ne nous permettra pas vraiment de calmer les ardeurs de Dame Nature. Et en ajoutant à un dérèglement climatique de plus en plus exacerbé une pénurie mondiale de pétrole, on obtient un background à filer des insomnies à Nicolas Hulot pendant des semaines.
Fuel
Imaginez un gros carré de 120 km de côté. Découpez-le en 19 portions de tailles variables. Combinez plaines, montagnes, lacs, volcans et cratères, mélangez les atmosphères, des plus glaciales aux plus brûlantes, ajoutez-y un soupçon de mini-catastrophes naturelles et vous obtenez le terrain de jeu le plus vaste, le plus périlleux et le plus imprévisible qui soit : Fuel. Fuel fait partie d'une lignée de jeux qui boudent les circuits fermés pour se donner entièrement à la nature ainsi qu'aux courbes et aux dénivelés qu'elle a tracés avec le temps. Rien d'original me direz-vous, MotorStorm, Baja et compagnie l'ont fait avant lui, offrant plus ou moins de liberté et avec plus ou moins de succès. Certes, mais lorsque l'aire de jeu est immensément vaste au point de ressembler à une map de MMORPG qu'on aurait multipliée par 10 ou par 20, l'aventure et les sensations ne sont plus les mêmes.
Gamekult
Ajouté le : 05/2009
Plus accessible...
FUEL (Preview)
Sacrément en forme ces derniers temps, les jeux de courses tout-terrain s'apprêtent à voir très bientôt débarquer un concurrent de taille, dans tous les sens du terme. Pas peu fier de l'immensité de son terrain de jeu, FUEL espère, en effet, se faire une sacrée place au soleil grâce, notamment, à cet atout colossal. Aux commandes d'une pré-version du jeu sur Xbox 360, nous avons donc pu filer dans cette vaste contrée et crotter nos roues comme il se doit. Compte-rendu de cette longue promenade chahutée. Si l'on a l'habitude de qualifier les jeux à environnement ouvert de "bacs à sable", il faudrait plutôt voir FUEL comme la dune du Pyla. Car, derrière l'argument marketing un brin crâneur mettant en avant un terrain de jeu immense, la réalité n'est en rien trompeuse : sa taille est effectivement vertigineuse. Pour faire simple, si vous projetez de relier deux extrémités de la carte d'une traite, mieux vaut bloquer votre soirée.
Gamekult
Ajouté le : 08/2008
Plus accessible...
FUEL (Preview)
Décidément, les jeux de courses off-road ont le vent en poupe ces temps-ci. Après MotorStorm, Pure ou encore Baja : Edge of Control, c'est Codemasters qui s'est engagé dans la brèche grande ouverte lors de cette Games Convention 2008 avec l'annonce d'un nouveau titre du genre : FUEL. A ne pas confondre avec le Fuel de Firetoad, ce projet est né chez Asobo, un studio français situé à Bordeaux et qui, depuis plus de cinq ans, travaille dans son coin sur le moteur du jeu, entre deux adaptations de licences telles que Ratatouille ou bien WALL-E plus récemment. Certains se souviendront sans doute aussi de CT Special Forces : Fire for Effect ou encore Croque Canards du même développeur, tandis que d'autres se rappelleront de l'annonce de Grand Raid Offroad par Asobo en 2005. Eh bien, il s'agit tout simplement du même projet, rebaptisé et désormais associé à Codemasters donc. Nous avons en tout cas pu apercevoir rapidement la bête à cette GC via un court teaser, mais aussi et surtout pu en savoir plus sur son compte en compagnie de David Dedeine et Sébastian Wloch, respectivement Chief Creative Officer et Chief Executive Officer du studio. En voici donc nos toutes premières impressions.
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