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Nous avons réuni 19 tests du FIFA 11. Les experts notent FIFA 11 8.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du FIFA 11 et d'autres Jeux Playstation 3.
Tous les ans il y a des événements inévitables, la reprise du boulot, des cours, le paiement de ses impôts et la nouvelle édition de la gamme de jeux d'EA Sports. Et parmi toutes ces disciplines, la plus populaire en Europe est certainement le football, dignement représentée par la licence FIFA. Et si la réalité possède des classicos tels que le PSG contre l'OM ou le Real Madrid face au FC Barcelone, le virtuel n'est pas en reste avec le duel FIFA/PES. Les fans se demandent à chaque fois lequel des deux va engendrer le plus de points. Premier élément de réponse avec les quelques lignes qui suivent. Jamais sans mes gants La licence FIFA a toujours été synonyme de championnats officiels. C'est toujours le cas puisque vingt-quatre championnats et coupes nationales sont représentés, les plus importants ayant même droit à plusieurs divisions. Sur ce point, le titre d'EA a l'avantage même si l'on regrette l'absence de compétitions internationales officielles, aussi bien pour les clubs que pour les sélections nationales. Ainsi la Ligue des Champions et la Coupe du Monde de la FIFA manquent à l’appel. Vous allez également trouver un mode Fiesta dans lequel vous pouvez créer une sorte de championnat avec trois de vos amis, la particularité étant que chaque match aura quelques spécificités.
Si la série des FIFA jouit depuis plusieurs années du rôle de leader dans le domaine des jeux de football, pas question pour le titre d'EA Sports de se reposer sur ses lauriers. Faire toujours mieux que le précèdent épisode, tel est l'objectif de l'équipe d'EA Canada qui, pour FIFA 11, peut s'inspirer d'une base déjà bien solide mais aussi et surtout se tourner vers une importante communauté aux exigences de plus en plus précises. Nouvelles fonctionnalités, améliorations de gameplay et contenu toujours plus étoffé, FIFA 11 ne lésine pas sur les promesses. Sont-elles tenues ? En football, on parle souvent du douzième homme lorsqu'on évoque les supporters qui, il est vrai, sont considérés comme un élément à part entière de l'équipe. Dans le monde vidéoludique, et plus particulièrement dans cette nouvelle itération du jeu de football d'EA Sports, c'est le onzième homme qui est à l'honneur. Le gardien de but, le dernier rempart d'une défense, un rôle que beaucoup ont espéré pouvoir incarner depuis que la série des FIFA propose un mode Deviens Pro. C'est désormais chose possible avec cette itération 2011 et le mode Deviens Gardien. On nous promet une impitoyable tension sur le terrain, la réalité est un peu différente manette dans les mains.
Chaque année, le mois d’octobre voit débouler les nouvelles éditions (ou réactualisations pour les mauvaises langues) des séries FIFA et PES, avec la sempiternelle question : alors cette fois, qui qui c’est le plus fort des deux ? On peut d’autant plus se la poser cette année que les deux titres sont sortis mondialement le 30 septembre dernier. Depuis trois ans, la série FIFA d’Electronic Arts a assez nettement pris le dessus. Sévèrement critiquée pendant toute la génération de consoles précédentes, les développeurs d’EA Canada ont bien pris le virage de la next-gen, et depuis l’épisode 08, le foot virtuel n’a jamais paru aussi réel. Chaque édition apporte son lot de nouveautés et FIFA 10 était une pure merveille. FIFA 11 ne déroge pas à la règle avec un système de jeu toujours aussi fin, et des passes beaucoup plus techniques. Baptisé « Pro Passing », le système de passes demande plus de précisions, et l’on rate facilement les passes les plus simples lors des premières parties si l’on ne s’applique pas assez. De plus, ce nouvel opus intègre le « Personality + », l’une des principales nouveautés de cette année, qui vise à renforcer la cohérence entre les caractéristiques des joueurs réels et leurs doubles « FIFAesques ».
Les développeurs de Konami en savent quelque chose : conserver la couronne de « meilleur jeu de football » lorsqu'un concurrent est bien décidé à vous la ravir n'est pas chose aisée. Après s'être hissés sur la première marche du podium fin 2007, Electronic Arts et sa série FIFA n'ont eu de cesse d'innover afin de garder toujours une longueur d'avance sur leur grand rival. Seulement voilà, la série nippone semble avoir évolué cette année, et l'on pouvait se demander si les efforts fournis par EA suffiraient à lui garantir une nouvelle fois la première place. Réponse dans notre test complet.Si vous avez suivi de près l'évolution des jeux de foot sur consoles depuis l'ère PS1, vous savez sans doute très exactement pourquoi Pro Evolution Soccer a été supplanté dans le coeur du public par son concurrent FIFA : archi-dominatrice sur PS1 puis PS2, la série de Konami a mal négocié le virage de la « next-gen » et s'est trop longtemps contentée de nous proposer une version « HD » d'un jeu qui commençait déjà à stagner, notamment en termes de gameplay, à la génération précédente... Pendant ce temps, EA mettait au point dans son coin un tout nouveau moteur de jeu spécialement conçu pour les plateformes « next-gen », et voyait ses efforts largement récompensés par le succès de FIFA 08 et de ses successeurs.
Comme toutes les années, EA Sports rechausse les crampons pour nous proposer un nouveau Fifa couvrant la saison 2010-2011. Après un Fifa 10 éblouissant, un Coupe Du Monde De La FIFA - Afrique Du Sud 2010 un tantinet meilleur dans le fond mais bien moins riche en contenu, le nouvel opus de la simulation de football débarque dans nos boutiques avec la promesse d'un contenu plus étoffé et d'un gameplay plus exigeant. Le pari est-il réussi ? Tous les amoureux du ballon rond s'y retrouveront-ils ? La réponse dans notre Vidéo-Test. Depuis quelques années, après avoir été dominée à plate couture par PES, la série Fifa a su relever la tête en proposant une vraie évolution tant au niveau du fond que de la forme, quitte à s'inspirer plus ou moins largement de la concurrence. En plus de cela, les titres d'EA pouvaient compter sur la richesse de leur contenu (modes de jeu offline et online, équipes sous licence, etc.) pour s'imposer. Parlons justement et dès à présent des nouveautés les plus importantes de ce nouvel opus au niveau contenu. Parmi elles, on trouve sans aucun doute le fait de pouvoir remplir (pour la première fois) entièrement le rôle de gardien comme en témoigne cette vidéo.
L’année dernière, nous pensions que tout était dit. FIFA 10 était excellent et son avance sur son rival Pro Evolution Soccer semblait plus grande que jamais. Le développeur EA Canada avait, cependant, encore beaucoup de travail à fournir: le Mode Manager était rempli de bugs, les gardiens s’avéraient être de vrais bras cassés, il y avait une précision un peu trop mécanique dans les passes et les déplacements qui était devenue agaçante avec le temps. Mais malgré une bonne année de développement dans les studios de EA Canada, un bouleversement du gameplay de FIFA semblait aussi peu probable que la première place de Saint-Etienne en ligue 1. De gros changements ont été effectués cette année, suite aux critiques des fans. Il en résulte un jeu où votre ressenti varie presque d’une seconde à l’autre. Amusez-vous quelques minutes avec un joueur dans le Mode Arène, l’écran de chargement interactif où vous jouez en un-contre-un avec le goal. Vous réalisez alors que chaque tir est unique. Avant, les passes réussies dépendaient toujours du mouvement, du timing et de quelques broutilles.
Egalement disponible sur : On attend depuis suffisamment longtemps FIFA 11 pour s'épargner un prologue d'un milliard de signes et entrer dans le vif du sujet. On rappellera juste qu'avec PES 2011, Konami est parvenu cette saison à réduire nettement l'écart qui le sépare d'Electronic Arts, et que les développeurs d'EA Canada vont donc devoir se montrer archi convaincants pour garder la maîtrise du ballon. Est-ce le cas ? Absolument.Depuis 2007 et FIFA 08, Electronic Arts a trouvé la bonne carburation et fait circuler le ballon sans que Konami n'arrive à le lui reprendre. La conduite de balle à 360° est devenue indispensable dès que l'on parle football, et celle de FIFA 11 a gagné en souplesse et en fluidité. Alors que les pouces morflaient quand même dans FIFA 10 - surtout sur PS3 -, il faut vraiment le vouloir et être de mauvaise foi pour se faire des ampoules aux doigts cette année. S'il était impossible de placer un crochet en plein sprint jusqu'à présent - vive les "tout droit" -, les joueurs peuvent désormais faire la différence et chercher l'exploit individuel une fois lancés en profondeur. Et si l'on commence à doser ses accélérations en pressant plus ou moins RT/R2, c'est la jouissance assurée.
Toujours en position de force sur le marché des simulations de football, FIFA est bien décidé à enfoncer définitivement le clou. Remonté comme une pendule, à l'affût de la moindre remarque de la communauté, EA Sports a remis son ouvrage sur le métier pour proposer avec FIFA 11 l'évolution ultime d'une transformation entamée il y a quelques années. Le roi de cette génération tient-il encore le sceptre ? S'il y a peut-être un point sur lequel Pro Evolution Soccer avait encore de l'avance sur FIFA, c'est sans doute sur le soin apporté à la modélisation des plus grandes stars et à leur attitude sur le terrain. Facile de reconnaître Cristiano Ronaldo ou Messi quand leur avatar virtuel leur ressemble comme deux gouttes d'eau, en mouvement comme en gros plan. Conscient de ces lacunes, EA Sports a profité de cette nouvelle version pour donner davantage de personnalité aux meilleurs joueurs. C'est le fameux Personality+, conjugué à tous les modes depuis l'annonce du jeu. En accordant davantage d'attention à la représentation physique des joueurs, de leur taille à la corpulence, le jeu évite le syndrome des gabarits clonés auxquels la série nous avait longtemps habitués.
GamePro.fr
Ajouté le : 09/2010
Plus accessible...
Le retour de PES au premier plan, on en parlait sans trop y croire, s'amusant même il y a quelques mois à sournoisement démonter le communiqué d'annonce toujours plus dithyrambique de cette nouvelle mouture. Mais il faut se rendre à l'évidence et savoir juger sur pièce, oui Seabass et son équipe des studios KCET ont bossé pour permettre à PES 2011 d'être un titre enfin agréable à jouer et à regarder. PES revient donc de loin, après les pantins de cire, les stéréotypes poussés à leur paroxysme, les balais dans le cul et les trous béants laissés par une IA déserteuse. Cette année, on découvre d'abord un moteur graphique remanié et enrichi de traitements visuels qui, à défaut d'épater la galerie, permettent au jeu d'avoir son petit cachet et de mettre en valeur des joueurs plutôt finement modélisés. Une fois en route, le jeu montre aussi de nouvelles animations, sobres mais plus réalistes (on pouvait difficilement faire pire), que l'on appréciera dans des ralentis qui ont eux aussi gagnés en finesse, mais sont toujours aussi saccadés. On est assez loin des retransmissions quasi-télévisuelles de FIFA 11 (le match commence !), mais l'idée est là, et les progrès notables. PES ne pouvait toutefois se contenter de peaufiner son moteur pour espérer retrouver sa verve d'antan.
L'année dernière, nous pensions que les choses étaient définitivement réglées pour le plus célèbre des jeux de foot. FIFA 10 était excellent et son avantage sur son concurrent Pro Evolution Soccer 11 semblait plus grand que jamais. Certes, le développeur EA Canada avait toujours beaucoup de travail à faire : le mode Manager comportait certains défauts, les gardiens pouvaient être stupides, tandis que la précision métronomique des passes et des déplacements pouvait devenir irritante à la longue, mais comme il disposait d'une année de développement, un brutal revers de fortune semblait aussi improbable qu'une victoire du PSG sur Barcelone au Nou Camp en ligue des champions. Les grands changements de cette année ont été effectués en fonction des remarques et commentaires des fans. Le résultat est un jeu où les choses peuvent pratiquement changer d'une seconde à l'autre. Si l'on passe quelques minutes à faire joujou dans le mode Arena (l'écran de chargement interactif où l'on est en un contre un face à un gardien), on réalise que deux tirs ne sont jamais identiques. Les séquences de passes réussies avaient l'habitude de dépendre du mouvement, du timing et de pas grand-chose d'autre.
En matière de football, que ce soit dans la vraie vie ou dans le cadre virtuel du jeu vidéo, il y a un énorme avantage à être champion en titre. On peut en effet travailler dans la sérénité, cibler précisément les points qui restent à améliorer et, surtout, garder une ossature qui a déjà fait ses preuves. Autrement dit, quand PES est contraint de révolutionner son style pour tenir la distance, FIFA, lui, se contente d’injecter quelques doses homéopathiques à sa licence. C’est donc fort de son leadership et des moyens colossaux alloués par Electronic Arts que FIFA 11 fait son entrée sur la pelouse. Dès lors, les deux questions que l’on est en droit de se poser sont les suivantes : Premièrement, FIFA a-t-il encore les armes suffisantes pour renvoyer la concurrence à ses études ? Et deuxièmement, l’épisode annuel propose-t-il suffisamment d’améliorations et de nouveautés ?CélébrationsDans FIFA 11, les célébrations de but sont enfin collectives. Fini le temps où l’on pouvait faire la danse du robot sans susciter le moindre émoi chez ses partenaires. Désormais, les coéquipiers vous sautent dessus, vous font tomber ou font semblant de vous cirer les chaussures.
Alors que PES 2011 fourbit ses armes avec la sérieuse volonté de récupérer le rang qui était le sien pendant tant d'années, quid du nouveau FIFA ? Au cours des années passées, nombreux sont les joueurs à s'être ralliés au panache d'EA au détriment de la série de Konami... En sera t-il de même avec cette édition 2011 ? Le champion de la simulation ne s'endormirait-il pas déjà sur ses lauriers fraîchement coupés ? Ce nouveau volet innove t-il suffisamment pour justifier son achat face aux versions antérieures ? Poufy est-il en fait un cyborg programmé pour éradiquer le genre humain d'ici peu ? De nombreuses questions, pour à mon sens, une simple évidence...Les deux versions étant équivalentes, les tests le sont également. En matière de football, cette année 2011 est tout simplement formidable. Non, je ne vais pas encore une fois vous tanner avec l'éclatante réussite espagnole lors du mondial sud-africain, car je m'intéresse ici tout particulièrement au foot virtuel. Ainsi, au plus grand bonheur des amateurs de simulation footballistique, les deux rivaux historiques PES et FIFA, débarquent cette année dans les bacs, à la même date (le 30 septembre) !
Destination placard pour FIFA 10. Après douze mois de bons et loyaux services, de Set Pieces et autre Pro Virtuel, la simulation d'EA Sports doit laisser place à sa petite sœur, bien décidée à rendre immédiatement caduque son aînée. Sûr de sa force, le studio de développement a beaucoup communiqué sur les améliorations apportées au gameplay avant de sortir de son chapeau une feature réclamée à corps et à cris depuis l'apparition du mode Deviens Pro : l'incarnation du gardien. La révolution FIFA est-elle en marche ? Leader naturel du marché du ballon rond virtuel depuis trois ans, la série d'EA Sports, peut être encore boudée par une poignée d'irréductibles allergiques à un gameplay pourtant fameux, a su faire évoluer une base introduite par FIFA 08. Par de simple détails ou en démocratisant des modes de jeu originaux, les développeurs ont jusqu'à présent toujours réussi à renouveler leur bébé et visant juste et grâce à une communauté jamais avare en critiques et en bonnes idées. Du coup, après des mois de jeu intense sur FIFA 10, on se demandait bien ce que le studio allait être capable de mettre sur la table pour continuer à faire progresser la franchise.
Avant de pouvoir mettre la main sur une version finalisée à 75%, les développeurs ont tenu à nous présenter les nombreuses nouveautés et améliorations présentes dans FIFA 11. Le producteur du jeu a notamment mis l’accent sur des phases de test visant à démontrer les différences entre un joueur disposant de fortes caractéristiques et un joueur plus faible. Par exemple, sur un coup de pied arrêté, le logiciel montrait les différentes trajectoires du ballon. Avec un bon tireur de coup franc, le ballon atterrissait dans un périmètre assez réduit alors qu’avec un mauvais tireur, la trajectoire du ballon se montrait beaucoup plus aléatoire. Mais au-delà de la qualité du joueur, ces tests mettaient surtout en avant un gameplay de plus en plus exigeant. . Avec un nouveau système, baptisé «Pro Passing», Electronic Arts a notamment voulu bannir l’effet «Ping Pong» du précédent volet où il suffisait (presque) d’appuyer sur le bouton de passe pour arriver devant le but en position de tir sans trop de difficulté. Dorénavant, le jeu à une touche de balle ne sera plus à la portée du premier venu. Résultat, les grosses équipes risquent d'être encore plus favorisées, même si parvenir à jouer à la passe à dix avec Arles-Avignon entraînera forcément une plus grande fierté qu’avec un grand club.
Alors qu’au fond de notre mémoire blessée le bourdonnement du dernier vuvuzela résonne, tout nous conduit vers le 11ème FIFA, à cette époque de l’année il faut prendre le train de FIFA qui s’élance vers sa sortie annuelle. Avec un PES qui s’est engagé dans la bataille avec des rénovations, Fifa 11 saura-t-il garder sa domination sur le monde du football virtuel ? Une preview du mois dernier vous présentait le nouveau style de FIFA. Pour aller plus loin que les mots, Dave Ruttter, chef du produit chez EA et prétendant à la couronne nous a fait découvrir l’une après l’autre les nouveautés du projet à 75% abouti, mais déjà si différent de son prédécesseur. "Il s’agit d’un énorme défi pour nous", déclare-t-il. "Portés par un souci du réalisme, nous travaillons sur la personnalisation et les déplacements des joueurs sur le terrain. Désormais chaque amélioration dépendra entièrement des options de jeu. Néanmoins les joueurs restent uniques, avec leurs propres caractéristiques, s’ils sont forts en tirs, s'ils auront un taux de réussite et de dribble élevé. Aux dribbles à 360° de l’an dernier, Fifa 11 propose une nouvelle jouabilité, une nouvelle mécanique de jeu pour une expérience physique plus réaliste."
Gamekult
Ajouté le : 07/2010
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A l'inverse des rédactions de jeux vidéo, les équipes de FIFA sont loin de se reposer en plein été. Alors que les codeurs mettent la dernière main à la version 2011 dans leur antre de Burnaby (Canada), les productions enchaînent les kilomètres pour présenter les dernières avancées de la prochaine mouture. La dernière escale du périple a eu lieu il y a quelques jours à Paris, l'occasion pour nous de rechausser les crampons pour juger des progrès accomplis, et découvrir au passage la version PC. Que dire si ce n'est que ce nouveau contact avec FIFA 11 est venu confirmer les belles promesses entrevues en mai dernier, dans les locaux canadiens d'EA Sports. Sans revenir sur tout ce qui a été dit à l'époque, impossible de nier que le jeu a encore gagné en authenticité cette saison. Le Personality+ vanté à longueur de communiqués est tout sauf une trouvaille marketing : aussi bien dans leurs attitudes que leur gabarit, les plus grandes stars ressemblent à leurs homologues virtuels... à moins que ce ne soit l'inverse. Si les modélisations manquent encore de finesse en gros plan, on distingue davantage les joueurs sur le terrain, ce qui ne fait que renforcer le réalisme de l'ensemble.
Pour la seconde fois en un mois, Electronic Arts nous a conviés à une présentation de FIFA 11, le but étant de nous familiariser avec les nouveautés et surtout avec le gameplay du jeu. L'occasion pour EA de rappeler une énième fois que la communauté a permis le développement d'une centaine de micro-nouveautés influant directement ou indirectement sur les joueurs et donc, sur le jeu. Avant de nous permettre de sauter sur l'une des bornes qui étaient accessibles lors de cette brève présentation, David Rutter, le producteur de FIFA 11, a une nouvelle fois tenu à introduire le Personality+, la star de ce nouvel opus. Si vous n'avez pas encore pris connaissance de la chose, sachez que c'est un système d'accentuation des caractéristiques des joueurs. Autrement dit, la réalisation de la moindre action, qu'il s'agisse d'un simple contrôle de balle, du positionnement d'un défenseur en un-contre-un, d'une passe ou d'un tir, entre autres, dépend étroitement du niveau intrinsèque du joueur. Évidemment, cela existe depuis quasiment toujours dans la série mais cette année, la différence ne se voit plus seulement au moment d'une frappe ou d'une passe longue.
En visite au studio de Electronic Arts à Vancouver, nous avons découvert toute la gamme sport de l'éditeur. Sur les trois jours de visite, une journée entière était consacrée au prochain FIFA. L'occasion de faire le point et de découvrir ce qui nous attend dans la prochaine mouture de la simulation sportive la plus profitable pour ses créateurs... Chaque année, l'équipe en charge du développement de FIFA se prête à un exercice particulièrement fastidieux mais nécessaire ; le post mortem de la version précédente. Leurs propres observations sont alors confrontées aux griefs des joueurs de la communauté par forum interposé. Outre les divers bugs dans le mode Manager ou encore en ligne, les deux points principaux qu'ils se devaient de corriger avec la prochaine mouture était l'intelligence artificielle des gardiens, et le système de passes « ping-pong » qui pouvait amener un joueur en position de tir sans grands efforts. Les développeurs ont donc corrigé l'IA des gardiens en mettant sur pied un système de lecture de trajectoires des tirs. Concrètement, les déplacements du gardien seront plus naturels, puisque ce dernier réagira en fonction d'une trajectoire et non de la zone d'arrivée du ballon dans les filets. Fini les goals qui font un moonwalk pour empêcher un ballon de rentrer dans le but après une action trop confuse.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
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Notre visite des locaux de EA Sports Vancouver en mai dernier n'aurait pas été complète si FIFA 11 n'avait pas été de la partie. Et, bien sûr, la suite du meilleur jeu de foot du moment occupa une large partie de notre temps passé dans la ville canadienne. Bien que la version présentée n'était finie qu'à 50%, elle nous a largement permis d'entrevoir ce qui nous attendrait au final, mais aussi de constater que la FIFA Team a autant conscience de ses atouts que de ses faiblesses et compte bien enfoncer le clou pour cet opus n°11. Petit tour d'horizon des changements et nouveautés attendus à l'automne. En dépit du plébiscite de FIFA 10 et des très bons retours sur Coupe du monde 2010, EA Sports sait qu'il serait bien présomptueux de se reposer sur ses lauriers aujourd'hui, surtout face à Konami qui semble décidé à revenir en force avec Pro Evolution Soccer 2011. Comme leurs collègues bossant sur les autres grandes licences sportives, les gaillards de la FIFA Team sont donc allés à la pêche aux critiques et aux reproches avant de compiler tout cela au sein d'un seul et même programme recensant quelque deux cents points à corriger pour cette nouvelle version. L'heure n'est donc pas aux grands chamboulements, mais plutôt aux ajustements et au perfectionnement.
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