Naughty Bear
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Nous avons réuni 11 tests du Naughty Bear. Les experts notent Naughty Bear 4.4/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Naughty Bear et d'autres Jeux Xbox 360.
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Test Naughty Bear
Naughty Bear
En cette période estivale, les développeurs d'Artificial Mind & Movement nous invitent sur l'île à priori paradisiaque de la perfection. Néanmoins, si tout y est parfait en apparence, un ourson aussi laid que méchant entend bien y faire régner le chaos. Cette plongée sadique au pays des bisounours tient-elle toutes ses promesses ? Nous sommes malheureusement bien loin du compte. Explications !Que la vie est belle sur l'île de la perfection : les oiseaux chantent, le soleil brille, la végétation y est luxuriante et l'eau bleu turquoise. Bref, le paradis sur terre pour une peuplade d'oursons vraiment trognons qui ne sont pas sans nous rappeler les mignons bisounours. Cependant, si la vie semble parfaite sur cette île, la réalité l'est beaucoup moins pour Naughty Bear, un ourson mal léché bien mal accepté par ses congénères. Vivant en retrait, souvent moqué par ses camarades, notre ourson mène une vie peu envieuse dans sa maisonnette, à l'abri du regard des autres habitants de l'île. Pourtant, bien qu'il soit l'objet de toutes les railleries, Naughty Bear ne désespère de parvenir à se lier d'amitié avec eux. L'anniversaire de Pantoufle semblait d'ailleurs l'occasion idéale pour enfin se faire accepter. Ce ne sera malheureusement pas le cas pour lui qui sera, à peine le nez dehors, l'objet d'abominables moqueries.
Naughty Bear
Semer la terreur au sein d'un village de nounours, les massacrer et les pousser à bout psychologiquement : comment ne pas être enthousiaste face à un tel concept ?! Naughty Bear aurait pu être un bon gros délire et un jeu extrêmement fun, s'il n'était pas tombé entre de mauvaises mains : celles d'A2M, les « responsables » de WET et des pires adaptations de licences sur consoles portables. Après une intro rigolote, et quelques minutes fort plaisantes, on se rend vite compte qu'on a déjà épuisé le capital fun du titre. Du coup, on en vient presque à se réjouir du faible nombre de niveaux (7, plus les défis). Sauf que ces derniers se déroulent tous dans le même village, dispatché en 3 zones minuscules et identiques. Et on continue dans le foutage de gueule avec le gameplay : présenté comme plaisant et varié par les tutoriaux et la com faite autour du jeu, il se révèle, en pratique, d'une pauvreté affligeante. Devant le nombre ridicule des armes et éléments de décors, on en revient toujours aux mêmes moyens pour tuer et effrayer les villageois. Ces derniers bénéficient d'ailleurs d'une IA déplorable, digne des passants les plus neuneus de GTA.
Naughty Bear
Alors Naughty Bear, mon petit ourson, tu veux te faire des amis mais les bisounours de ton île paradisiaque se moquent constamment de toi ? Tu es le vilain petit canard de la bande ? A tel point que tes petits camarades voudraient carrément te voir disparaître... Mais qu'est-ce que tu attends, mon gros ? Réagis enfin ! Rends-leur la monnaie de leur pièce ! Va casser de la peluche ! Pour cela, tu auras tout un arsenal et surtout, ton esprit d'analyse. Mais ne t'emballe pas trop, mon ami, rapidement tu verras qu'être un ours, c'est pas si facile...Pour commencer, sache que tu dois atteindre un score précis pour compléter chacune des tâches que je vais te confier. Chacune de tes actions mal intentionnées sera sanctionnée par un nombre de points. Evidemment, tu dois terroriser tes congénères au point de les rendre fous et les pousser au suicide pour obtenir le meilleur score. Tu pourras simplement les tabasser, si tu le désires, mais ton score ne sera alors pas à la hauteur pour compléter tes objectifs. Si tuer te défoulera dans un premier temps, il sera nettement plus intéressant, et accessoirement rentable, d'échafauder un plan avant de commencer le carnage.
Naughty Bear
Des mois que j'attends Naughty Bear. Les vidéos, savamment distillées ces derniers temps, ont nourri mon impatience. Alors, l'attente est-elle comblée ? Soyons clairs. Non. Naughty Bear, qui n'est sans doute pas étranger à Teddy Bear (voir anecdote historique en fin de test), jouit d'un pitch à mes yeux excellent. Notre héros, ours tout en peluche, vit au pays des ursidés sur une île colorée nommée « The Paradise », avec boîte de nuit, gâteaux de gelée et piñatas. Quel est le problème alors? Tout le monde est armé et a un ennemi ; vous. Un anniversaire se prépare, Naughty n'est pas invité, mais tente le coup et se rend à la fête avec un cadeau. Malgré cette généreuse attention, les convives se moquent de lui et de son présent. Sa venue est un fiasco. Naughty devient alors vraiment naughty et décide de se venger, et pas n'importe comment. Un membre d'une société, mis au banc de celle-ci de par sa différence, qui se révolte et entre en guerre contre elle, avouez que l'idée est croustillante, surtout aux pays merveilleux des nounours. D'autant que cet univers adulte faisant appel à notre enfance est réellement drôle. Bref, un concept méchant, drôle et triste.
Test Naughty Bear
J'aime cet article 2 personnes aiment cet articleNaughty Bear, c'est véritablement le titre qui fait parler de lui sur la toile depuis plusieurs mois. Jugez plutôt : dans la peau d'un Teddy Bear fou furieux, vous allez devoir trucider tous ses petits camarades en peluche qui vivent dans un village enchanté. Un jeu hautement concept qui sent bon la vengeance pour les petits gars de chez Art Mind and Movement, habitués depuis plusieurs années à développer des titres comme Kim Possible, Scooby-Doo, Chicken Little, MySims Racing, High School Musical, Kung-Fu Panda, Lizzie McGuiren, etc. Bref, des titres qui ne brillaient pas par leur côté bad-ass . Et lorsqu'un développeur laisse exploser sa frustration, ça peut faire du bruit, ou pas...Naughty Bear, c'est avant tout une promesse. La promesse d'exaucer un vieux rêve de gamer, un brin lassé ces temps-ci par la mode kawaii qui vient gangrener l'art qui le fait vibrer. Car oui, le gamer est las. Las de voir pulluler des navets vidéoludiques pour adolescentes en manque d'Hello Kitty, se déroulant dans des univers mignons et colorés avec pour héros des petits êtres malicieux qui s'offrent des cadeaux à longueur de parties. Stop ! Trop de sucreries, ça rend diabétique.
Naughty Bear
L'anti-héros a toujours tenté de se faire une place dans le monde du jeu vidéo. Récemment, Fairytale Fights s'est aventuré sur ce terrain avec les contes de notre enfance revisités à une sauce gore, pour un titre qui n'a finalement pas convaincu grand monde. Pas de quoi décourager 505 Games et les développeurs de Artificial Mind + Movement, bien décidés à faire du traditionnel et mignon ours en peluche une redoutable machine à tuer. Un concept séduisant et original qui a donné naissance à Naughty Bear, un soft où c'est la méchanceté qui prime. Mais pourquoi est-il aussi méchant ? Le scénario de Naughty Bear, reposant sur une base aussi saugrenue que naïve, donne rapidement des indications sur le ton employé par le jeu de Artificial Mind + Movement. Direction l'île de la Perfection où un héros, un ours en peluche appelé Naughty Bear, se retrouve bien trop souvent mis de côté par ses congénères qui lui reprochent sa méchanceté et ses quelques différences physiques. Du coup lorsque Pantoufle organise son anniversaire et oublie volontairement d'inviter Naughty Bear, provoquant par ailleurs les railleries de tous les autres ours de l'île, notre héros décide de mettre un terme définitif aux moqueries de ses compagnons et se lance dans une folie meurtrière.
Test de Naughty Bear
Naughty Bear, c'est avant-tout une expérience personnelle à la limite de la schizophrénie. L'envie d'être tellement ailleurs qu'on se crée un double pour mieux endurer la souffrance. Pour ma part, j'étais Gordon Ramsay, chef irascible de Cauchemar en Cuisine qui passe sa vie à goûter les plats infâmes de je ne sais quel restoroute à la dérive. En testant Naughty Bear donc, le Gordon en moi a rapidement pris la relève. Mes quelques heures sur le jeu ont régulièrement été ponctuées de «F***», «P****** de m****» et autres injures dont monsieur Ramsay a le secret. Pourquoi ? Parce que et exactement ce qu'on espérait ne plus jamais devoir subir. Histoire d'un ratage anachronique. Pourtant, tout n'avait pas si mal commencé. Quand les premières infos sont tombées sur le Net, j'y croyais même un peu. Si si. Un ours psychotique qui cherche à pourrir ses congénères ? Soit. De la violence gratuite teintée d'humour pipi-caca ? Je dis oui (Haaaa Conker !). Plein de missions courtes et rythmées ? Oui et re-oui. Non vraiment, sur le papier, le studio A2M avait tous les moyens de pondre un titre modeste certes, mais bien fichu et rigolo.
Test Naughty Bear
Bisous, bisous, gentil bisounours. Un p'tit bisous, ya rien de plus fou... Hum, hum... (Mode adulte activé :) Les plus jeunes d'entre nous le savent bien, il y a peu de choses aussi adorables et douces qu'un nounours. En lui mettant des armes et de viles pensées dans la tête, le studio Artificial Mind & Movement (A2M) prend nos idées reçues à contre-courant et propose de recourir à nos plus bas instincts pour progresser dans son Naughty Bear. Un pari osé et remporté ? La réponse dans notre test. L'histoire commence pourtant dans un esprit bon enfant. En effet, bien que non invité à la fête d'anniversaire d'un ours dénommé « Pantoufle », Naughty Bear (notre peluche faisant office de héros) décide d'amener à ce dernier un cadeau afin de devenir son ami... si c'est pas mignon, ça ! Bon, un brin naïf aussi, on est d'accord. Car sur le chemin de la fiesta, notre protégé se retrouve injustement humilié par certains de ses comparses. C'en est trop, Naughty Bear décide - enfin d'être en adéquation avec son nom - de se venger et de devenir vilain. Et cela tombe bien puisque le concept du jeu d'A2M se base sur la méchanceté et les mauvais coups qui font plaisir (à celui qui les donne, pas à celui qui les prend ; quoique, si on est masochiste...).
Test Naughty Bear
Hannibal Lecter au royaume des Bisounours. Une scène qui résume à souhait le dernier jeu de A2M : Naughty Bear. Les développeurs habitués aux adaptations de séries animés sur consoles (Kim Possible, Teen Titans, L’âge de Glace) arrivent cette année avec un concept original : celui de terroriser une bande d’ours en peluche. Mais faut-il vendre la peau de l’ours « Naughty » avant d’y avoir joué ? Tout est beau sur l’île de la Perfection. Les ours en peluche s’amusent et vivent en parfaite harmonie. Tous ? Non. Naughty est le souffre-douleur de cette communauté d’ours. Tel un ermite, Naughty vit comme un paria dans une maison isolée et délabrée. Mais la méchanceté des autres va bien au-delà d’un rejet pur et simple de leur société. Chacun leur tour, ces « adorables ours » vont tendre des pièges au pauvre Naughty pour se moquer de lui. Un jour, alors qu’un anniversaire est prévu, Naughty s’aperçoit qu’il ne sera pas de la fête. C’est la goûte d’eau qui fait déborder le vase. A partir de ce moment là, plus rien ne l’arrêtera. Ils vont payer de leur vie cet affront. Une intrigue qui joue donc le décalage entre l’univers très enfantin des oursons en peluche et la violence pure.
Naughty Bear
Le politiquement incorrect et le décalage sont deux éléments qui reviennent de façon ponctuelle dans le jeu vidéo. Malheureusement, si bien souvent ils parviennent à faire rire ou sourire, ils cachent trop souvent un gameplay mal ficelé. Pour l'amateur d'humour noir, Naughty Bear jouit d'un pitch alléchant. Vivant sur une île peuplée d'ours en peluche, Naughty Bear a pourtant du mal à s'intégrer à ses pairs. Il faut dire que si ces derniers sont des monstres de mièvrerie, lui donne plutôt dans la méchanceté, l'aigreur et la violence. Du coup, il est régulièrement moqué, banni et parfois même pourchassé. La solitude aidant, le bougre balafré devient de plus en plus méchant, massacrant allègrement ses congénères des façons les plus exotiques histoire de leur apprendre un peu les bonnes manières. Ici il vengera de ne pas avoir été invité à une fête d'anniversaire, là il cherchera à se débarrasser d'un candidat à la mairie dont le programme consiste à l'éliminer, ou bien encore, il punira celui qui s'est allié à l'armée pour l'espionner. Tout cela se déroulant dans un décor niais à souhait, abritant des ours en peluche mignons tout plein, mais malgré tout armés de battes et autres flingues.
Naughty Bear (Preview)
Compagnon de tous les enfants dès leur plus jeune âge, y a-t-il une figure plus rassurante, plus sympathique et plus inoffensive qu'un ours en peluche ? Toutefois, il faut que vous sachiez deux choses concernant le jeu Naughty Bear. A) Il se déroulera dans un monde merveilleux où vit toute une population de plantigrades bariolés en synthétique venus des coffres à jouets de notre enfance. B) Il sera déconseillé à la vente aux moins de 16 ans. Avouez-le, la contradiction entre ces deux éléments vous a rendu un rien perplexe... Il était une fois un monde d'où venaient les ours en peluche qui ont été nos premiers confidents. C'était juste à droite par la route de briques jaunes quand vous quittiez le pays de Oui-Oui, juste avant d'arriver à Neverland. Dans cette contrée tout droit sortie d'un conte de fées, la vie s'écoulait paisiblement au rythme des surprises-parties que les habitants organisaient chaque jour pour s'inviter mutuellement. Barbecue-party, pique-nique party, dance party... En plus d'avoir l'imagination nécessaire au renouvellement perpétuel de leurs fiestas, les nounours disposaient des infrastructures indispensables pour faire la fête "jusqu'au bout de la night".
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Naughty Bear : (4.4/10)
11 tests d’experts
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