5 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
1
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 5 tests du FEAR 2 : Project Origin. Les experts notent FEAR 2 : Project Origin 6.5/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du FEAR 2 : Project Origin et d'autres Jeux Playstation 3.
GamePro.fr
Ajouté le : 02/2009
Plus accessible...
En tant que grands fans de FEAR premier du nom, nous attendions peut-être trop de cette suite... Toujours est-il que FEAR 2 n'a pas réussi à nous convaincre totalement ! Fin 2005 sortait FEAR, titre qui allait marquer la petite histoire du FPS. Irrésistiblement beau (à condition d'avoir une machine gonflée à bloc sous le coude), intensément joueur et particulièrement angoissant, FEAR ne lésinait ni sur les artifices, ni sur les mécaniques de jeu tournées vers une IA des plus performantes. Après une telle expérience, le fantôme d'Alma ne pouvait décidément pas quitter le paysage vidéoludique. Malgré quelques errances juridiques autour de la licence FEAR finalement récupérée par Warner, le mystérieux Project Origin des studios Monolith s'est transformé en ce FEAR 2 que l'on n'osait plus attendre. Et pourtant, impossible de ne pas être déçu par les performances de cette suite que l'on attendait mieux ficelée et plus équilibrée, plus ouverte aussi. Rien qui ne relève le niveau après les add-on Extraction Point et Perseus Mandate peu inspirés.
Depuis sa première apparition en 2005, la petite Alma n'a eu de cesse de terroriser les fans de FPS et c'est avec plaisir qu'on la retrouve entre les mains de ses créateurs dans F.E.A.R. 2 : Project Origin. Renforcée par sa légitimité retrouvée après un mic-mac juridique pas forcément intéressant, cette suite signée Monolith se doit de rappeler que la licence F.E.A.R. est synonyme de grand jeu, après les mitigés Extraction Point et Perseus Mandate. Bombardé dans les bottes d'un bidasse du nom de Michael Beckett, le joueur de F.E.A.R. 2 est chargé d'une mission de routine dans les locaux d'Armacham Tech, environ une demi-heure avant la fin de F.E.A.R. premier du nom. L'objectif est simple : récupérer Genevieve Aristide et l'escorter en dehors de la ville afin d'échapper aux ravages causés par Paxton Fettel et son armée de clones. Comme un plan qui se déroule sans accroc ne donnerait sans doute pas un jeu vidéo bien captivant (n'en déplaise à Hannibal), on va rapidement se retrouver dans la mouise jusqu'au cou, dès lors que l'explosion nucléaire qui servait de conclusion au premier jeu lancera le véritable début de cette suite.
Lorsque Monolith décide de reprendre en main son bébé, F.E.A.R. est voué à renaître de ses cendres. Faisant table rase des deux add-on de TimeGate, certes sympathiques mais ayant troqué le scénario contre une surenchère d'action, Project Origin débute là où le premier épisode s'achevait. Une entrée en matière cataclysmique puisque se déroulant dans l'ombre d'une gigantesque explosion dont vous, Michael Becket, venait juste d'échapper. Les acteurs sont en place, le rideau vient de tomber, la tragédie d'Alma peut continuer. Sans faire montre d'une originalité hors normes, F.E.A.R. aura marqué les esprits à l'aide d'une IA d'une redoutable efficacité mais aussi et surtout grâce à son ambiance, digne héritière de films d'action hollywoodiens et du cinéma d'horreur made in Japan. Pourtant opposés, ces deux univers parvinrent malgré tout à fusionner pour nous donner un FPS aussi énergique que terrifiant. Si les deux suites tentaient tant bien que mal de poursuivre l'oeuvre de Monolith, le résultat s'avéra quelque peu décevant.
Gamekult
Ajouté le : 12/2008
Plus accessible...
Sorti en 2005 chez Vivendi, l'excellent F.E.A.R. avait ensuite été arraché aux mains de ses créateurs pour donner naissance à des extensions (Extraction Point et Perseus Mandate) qui ne faisaient pas vraiment honneur à la qualité du titre original. Dépossédés de leur licence, les développeurs de Monolith comptaient heureusement donner une suite à leur bébé avec Project Origin qui, après le fameux ménage d'automne de la fusion Activision Blizzard, regagna sa légitimité pour devenir F.E.A.R. 2 : Project Origin. Autant dire que le retour d'Alma n'a jamais été autant attendu, et un nouveau petit tour dans les méandres de la peur s'imposait donc suite à la réception d'une version preview de ce FPS attendu pour le mois de février 2009. D'un point de vue purement chronologique, F.E.A.R. 2 : Project Origin commence quelques heures à peine avant la fin du premier épisode de la série. Bombardé dans les bottes d'un nouveau personnage - forcément surentrainé et armé jusqu'aux dents - le joueur doit simplement porter secours à un V.I.P.
Gamekult
Ajouté le : 07/2008
Plus accessible...
Dépouillé de la licence F.E.A.R. suite à leur séparation avec Vivendi, les développeurs de Monolith ne se sont pas pour autant laissés abattre et nous préparent une suite spirituelle à leur FPS avec Project Origin. Prévu pour la fin de l'année, celui-ci était déjà présenté dans une version jouable lors de cet E3 et en voici d'ailleurs nos premières impressions après une petite demi-heure de jeu. Malgré le changement de personnage principal et l'arrivée de nouveaux collègues, l'ambiance de Project Origin rappelait immédiatement F.E.A.R. grâce à la présence en tout début de démo d'un bon vieux "bad trip mystique" comme seule la petite Alma en a le secret. Toujours au centre du scénario encore mystérieux du FPS, la gamine bien flippante qui nous terrorisait déjà en 2005 utilisait en plus quelques méthodes inédites pour nous coller les foies et l'on avait bien du mal à séparer l'imaginaire du réel durant les toutes premières secondes d'essai.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour FEAR 2 : Project Origin. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce FEAR 2 : Project Origin.