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Nous avons réuni 14 tests du F1 2012. Les experts notent F1 2012 7.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du F1 2012 et d'autres Jeux Playstation 3.
La Formule 1 connait un renouveau sur console de salon grâce à Codemasters. Un monopole qui pourrait finir par lasser les joueurs si les nouveautés ne sont pas au rendez-vous. Faisons un tour, pour voir.La Formule 1 est un sport automobile qui divise. Certains y voient l'excellence, d'autres n'en saisissent pas l'intérêt. Dans tous les cas, c'est technique, précis, puissant, et assez complexe à retranscrire dans l'univers des jeux vidéo.Dans l'édition précédente, Codemasters s'en était plutôt bien sorti, tellement bien que les amateurs attendaient impatiemment ce nouvel opus et son lot de nouveautés. Cependant, à force de mener la danse, on pouvait craindre que celles-ci soient maigres. Et avouons-le, c'est un peu le cas.Ce qui étonne en premier lieu, c'est la sobriété de l'interface. Des menus peu nombreux, présentés simplement sans fioritures, et d'une rapidité d'accès qui finit par convaincre. Car si l'on regrette au départ l'ambiance sport mécanique qu'on a pu connaître dans le passé, cela nous donne finalement l'impression de faire partie d'un club select. La Formule 1, c'est aussi un peu ça.Passé cette première découverte, on fait le tour des modes de jeu, et autant dire qu'il est vite fait.
Après avoir repris de belle manière la licence de F1 sur console avec F1 2010, Codemasters est désormais attendu chaque année. Son nouvel opus est passé à la loupe, quelles sont les nouveautés ? Les points forts ? Les points faibles ? Découvrez tout ça dans notre test. À votre avis qu'est-ce qui différencie une saison de F1 d'une année sur l'autre ? Outre les transferts de pilotes, ce sont surtout les changements de règlementation ! Et oui la FIA ne cesse de se creuser les méninges pour optimiser et rendre toujours plus attrayante sa discipline reine ce qui donne lieu très souvent à des changements dans le règlement … Or cette année, la FIA a été plus conservatrice que les années précédentes et à ce niveau-là, les différences sont peu nombreuses. Vous l'aurez donc compris, ce F1 2012 est plutôt semblable à l'opus 2011 en ce qui concerne les règlementations et donc dans les nouveautés apportées au jeu lui-même. Rassurez-vous, le jeu bénéficie tout de même d'un certain nombre d'ajustements, à commencer bien sûr par la mise à jour des pilotes et écuries, l'ajout d'un nouveau tracé (celui d'Austin) et au niveau réglementation : une sévérité accrue pour les pilotes qui ne respectent pas un comportement approprié sur la piste.
Les grands bonhommes, on les reconnaît surtout par leur capacité à se recycler malgré une domination déjà écrasante. C'est le cas des développeurs de Codemasters Birmingham qui promettent une nouvelle fois du lourd avec F1 2012, et même s'il ne faut pas non plus s'attendre à des bouleversements majeurs cette saison, on sait que l'authenticité sera au rendez-vous. En fait, le seul motif d'inquiétude est de savoir si Romain Grosjean sera aussi mauvais que la version originale du pilote français.Conscients que la série n'a plus rien à prouver en termes de gameplay, les développeurs de F1 2012 se sont focalisés sur le contenu qui dispose de quelques innovations bienvenues. A commencer par le mode "Champions" avec lequel le joueur se voit offrir l'opportunité de défier les six derniers pilotes (Lewis Hamilton, Jenson Button, Michael Schumacher, Fernando Alonso, Sebastian Vettel, Kimi Räikkönen) à avoir été couronnés, à travers des défis répartis sur trois niveaux de difficulté. Refaire son retard sur piste humide, remporter la course en signant le meilleur temps, ou encore empêcher l'adversaire de nous dépasser, voilà un exemple des challenges qu'il va falloir relever, sachant que l'ultime épreuve nous opposera aux six darons de la discipline.
Depuis l'an de grâce 2010, la série officielle de Formule 1, a tout simplement gagné en XP. Confié à Codemasters Birmingham, le titre de F1 2010 à F1 2012, a très sensiblement progressé, pour offrir aujourd'hui le meilleur de la discipline, sans aucune contestation. Forcément, le jeu officiel de F1 confié à ce studio féru de course automobile, ne pouvait pas faire mauvais ménage, bien au contraire. Cette nouvelle version, bien qu'elle ne révolutionne pas le genre, arrive toutefois à un niveau de qualité très élevé, qui ne pourra qu'être apprécié par les fans de course auto virtuelle.Ah ben oui, tiens une nouvelle saison de Formule 1 et hop un tout nouveau tout beau jeu signé Codemasters, dans la lignée des deux précédents. Il aut dire que depuis le premier volet, initié dès l'an de grâce 2010, pour un renouveau au sommet, les promesses ont été tenues. Et il faut bien dire que depuis, les améliorations se sont succédées à vitesse grand V. Peaufinage plus que révolution, cela va sans dire. Mais pouvait-il en être autrement pour ce F1 2012 ? Après quelques téléchargements (mise à jour et cie), il es temps de mettre le titre sur le disque dur, histoire d'accélérer les chargements durant les parties.
Alors que le championnat de Formule 1 entame le dernier tiers de la saison, Codemasters lâche enfin les gaz et sort son édition 2012 en cette fin de mois. Un épisode crucial pour l'équipe de Birmingham qui doit consolider ses récentes bases tout en justifiant ce nouveau volet par un contenu inédit. Encore une réussite après deux belles tentatives ? Si l'édition 2011 a focalisé une bonne partie de l' équipe de développement à peaufiner le multijoueur en ligne, cette année, les anglais de Birmingham, avec l'aide de Gobo Games (des anciens de Black Rock Studio connus pour Split/Second et Pure), se sont de nouveau penchés sur l'expérience solo pour F1 2012. Exit de prime abord le menu 3D nous permettant de naviguer dans le paddock de chaque GP, on est cette fois dans un menu un peu plus austère et classique où l'on voit une des monoplaces placée dans une soufflerie. Ce menu assez froid, mais classe, qui remémore quelque peu ceux de la série Forza Motorsport introduit deux nouveautés avec le Test de jeunes pilotes ainsi que le mode Champions.
S'il s'en trouvera pour contester cette affirmation, la série F1 de Codemasters est pour nombre de joueurs la simulation de Formule 1 la plus aboutie, tous supports confondus. Malgré cette réussite, l'éditeur britannique tient à rester sur le rythme d'un titre par an et, réglé comme une horloge, il nous propose F1 2012 exactement douze mois après l'opus 2011. Comment Codemasters parvient-il à justifier ces mises à jour annuelles ? Quels points l'éditeur a-t-il retravaillé pour convaincre une fois encore les joueurs de mettre la main à la poche ? Des médailles à débloquerDepuis les premières annonces, Codemasters avait évoqué l'accessibilité du jeu et afin de populariser la Formule 1, le studio a intégré le Young Drivers Test (YDT). Il s'agit - à la manière du License Test de Gran Turismo - d'habituer les nouveaux venus petit à petit en leur apprenant bien sûr le b.a.-ba, mais aussi des le fonctionnement du SREC (le KERS en anglais) ou du DRS. Hélas, cet apprentissage n'est guère poussé et nous n'aurions pas été contre quelques objectifs en plus alors que les habitués - sans rien apprendre - devront en passer par cette séance avant d'aller plus loin ! Plus loin, c'est bien sûr le mode Carrière qui une fois encore constitue le gros morceau du jeu.
Depuis son retour en 2010, la série F1 ne cesse d'éblouir joueurs comme critiques. Espérons alors que l'opus 2012, qui nous parvient aujourd'hui, saura préserver cette excellence tout en évitant l'aspect mise à jour propre à certains jeux de sport à sortie annuelle. Alors, verdict ? Comme l'an passé, Codemasters n'a pas souhaité bouleverser complètement sa formule et n'a donc apporté que très peu de modifications à son titre. Ainsi, outre les habituelles mises à jour des licences (dont le circuit d'Austin), F1 2012 ne comprend que peu de contenu supplémentaire et des optimisations discrètes. Parmi celles-ci on peut toutefois citer une physique légèrement améliorée, conférant aux monoplaces un comportement toujours plus crédible, notamment sur les vibreurs. La traction et l'adhérence ont également été revues afin de coller toujours plus aux spécificités des différents trains de pneu. Le résultat s'avère plutôt sympathique et plus réaliste, à condition bien sûr de désactiver les nombreuses aides proposées aux néophytes. Il ne faut évidemment pas s'attendre à la claque du siècle, mais compte tenu de la qualité des opus précédents on pouvait difficilement en demander davantage.
Après une version preview très prometteuse, mais aussi très bridée, il y a quelques semaines, nous attendions avec une érectile impatience la version définitive de F1 2012. C'est désormais chose faite. L'occasion de s'installer au volant et de se plonger de la meilleure manière qui soit dans une Formule 1 virtuelle, pour prendre pleinement la mesure du gameplay, clé de voûte d'un bon jeu de simulation automobile et donc forcément de ce nouveau volet. C'est parti. Please, fasten your seatbelts. On ne change pas un rituel qui fonctionne bien à Gamekult. Lorsqu'un jeu de simulation automobile arrive, la première chose à faire, c'est d'aller chercher le meilleur volant qu'on a sous la main (un Thrustmaster Ferrari F1 T500 RS, cette fois-ci), de s'installer confortablement, enfin du mieux qu'on peut, et d'aller courir dans le menu des options pour désactiver toutes les aides, histoire de se mettre de suite dans le bain. Sans tous ces garde-fous, les choses sérieuses peuvent commencer. Ou presque. Car en toute humilité, on fera dans F1 2012 un petit tour à l'école de pilotage, une nouveauté baptisée "Test des jeunes pilotes", histoire d'apprivoiser progressivement les monstres que sont les F1.
F1 2012 débarque dans moins de trois semaines chez votre revendeur préféré. Et si nous ne manquerons pas de vous proposer un test complet peu avant sa sortie, nous avons l'occasion de vous donner nos impressions sur une première version que Codemasters a mis à notre disposition. Loin d'être définitive et très incomplète, la version de F1 2012 à laquelle nous avons pu jouer nous a permis d'établir un premier contact avec la bête. Et s'il ne faut pas s'attendre à une refonte totale, ni du gameplay, ni du contenu, cet épisode n'en reste pas moins l'une des priorités de Codemasters, qui a notamment redesigné l'interface et modifié une multitude de petits détails dont nous vous exposerons l'importance lors de notre test. De fait, nous avons consacré notre session de jeu à quelques points particuliers, en réalité les rares qui étaient accessibles. Le but était donc de découvrir deux des nouveautés les plus marquantes de ce cru, à savoir le Test des jeunes pilotes et le mode Champions. Nous nous garderons donc de vous parler de la réalisation technique ou de la stabilité du jeu, en plein chantier et pas encore optimisées. Idem concernant le multijoueur, qui ne nous sera ouvert que dans quelques temps.
Gamekult
Ajouté le : 09/2012
Plus accessible...
Comme tout bon titre sportif à licence basé sur un championnat qui a lieu chaque année, F1 2012 s'apprête à pointer de nouveau le bout de son nez fin septembre. Les éternelles questions restent évidemment d'actualité : est-ce une simple mise à jour des écuries et des pilotes ? Aurons-nous droit à un nouveau moteur de jeu ? Qu'apporte ce nouvel épisode depuis le précédent ? Des interrogations que nous allons essayer de lever grâce à une version preview, malheureusement encore assez bridée. Lol Seul nouveau mode accessible dans cette preview, le tout nouveau mode "Test Jeune Pilote" propose une petite poignée d'épreuves, façon permis à la Gran Turismo, histoire de nous familiariser avec le gameplay. Pas de bol, la carrière et les défis saison sont eux inaccessibles, tout comme le mode multijoueur. Il reste tout de même dans cette partie "Banc d'essai" le mode Champion, qui nous propose des petits défis comme remonter un pilote dans une course lancée, avec un nombre de tour limités, ou battre la crème des pilotes à la régulière en partant dernier de la grille de départ.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 08/2012
Plus accessible...
Spécialiste de la simulation automobile depuis de très nombreuses années, Codemasters est aujourd'hui un peu seul sur le créneau de la Formule 1. Seul détenteur des droits d'utilisation de la fameuse discipline, l'éditeur ne s'est toutefois pas endormi sur ses lauriers et après un très chouette opus 2011, il s'est remis au travail. Une version 2012 nous arrivera très prochainement et nous avons profité de la tenue de la GamesCom 2012 pour faire le point, volant entre les mains. Impressions. Au moment de débuter sa présentation, Paul Jeal semble avoir un discours rodé qui débute par une question de pure forme : Comment améliorer un jeu unanimement salué par la critique ? En réalité, le responsable du projet sait bien comment et il ne tarde pas à nous l'expliquer... le temps que la version démo soit chargée et nous en avons un aperçu. La première des améliorations apportées au jeu est cosmétique, le studio ayant décidé de revoir complètement l'interface de son titre suite à de nombreuses remarques concernant le manque de lisibilité, le manque de clarté.
F1 2010 et F1 2011 avaient tous deux relevé le niveau d'une certaine manière, mais pour ce troisième opus de la série HD, Codemasters doit faire plus. Le studio de Birmingham nous promet que F1 2012 constitue un bond en avant beaucoup plus conséquent que les deux précédents jeux. L'autre nouveauté de cette année, le test Young Driver, est un tutoriel qui possède tout l'appareillage du circuit d'essai officiel de F1 à Abu Dhabi. Il aide naturellement que la saison à simuler ait été une des plus bizarres et souvent une des plus totalement excitantes que nous ait jamais données ce sport. Ces dernières années, la F1 n'avait pas été avare en championnats sans relief et Codemasters a eu le bonheur de reprendre ce sport juste au moment où elle s'extirpait de sa somnolence. Les sept premières courses ont connu sept vainqueurs différents, parmi lesquels on trouvait même le fantasque vénézuélien Pastor Maldonado. C'est selon moi le pilote le plus médiocre à gagner une course de F1 depuis Vittorio Brambilla, un homme tellement heureux de cette victoire qu'il sortit du circuit dès que le drapeau indiqua la fin de course. Cette année a été marquée par une certaine imprévisibilité, due en grande partie au composé nouveau des pneus fournis par Pirelli.
Trois ans plus tard, Codemasters Birmingham s'est établi comme étant une des étoiles les plus brillantes du jeu de course. F1 2010 et 2011 furent des succès publics et critiques mérités et peuvent se vanter d'être ce qui s'est fait de mieux dans ce sport depuis l'époque de Geoff Crammond. Avec cette troisième mouture, on peut cependant commencer à s'inquiéter du fait que la F1 ne soit peut-être pas une expérience suffisamment diversifiée pour justifier la version annuelle qu'exige une grande licence de sport de ce calibre - et Codemasters n'a sans doute pas le même niveau de ressources à consacrer à la série qu'EA à FIFA, ce qui aboutit à un jeu qui risque de s'enliser dans le confort de sa petite ornière personnelle. C'est une impression contre laquelle F1 2012 devra lutter dès maintenant, jusqu'au jour de sa sortie, mais c'est un combat que Codemasters aborde avec un mental d'acier. On a véritablement l'impression que le directeur de création Stephen Hood s'est lancé dans la bagarre depuis le premier jour. « Les gens nous demandent ça depuis le jour où nous avons annoncé que nous allions faire un jeu F1 chez Codemasters », répond Hood aux questions lui demandant si ce dernier jeu peut ajouter quelque chose de significatif à la formule existante.
Fort des louanges qui lui ont été adressées au sujet des volets 2010 et 2011, Codemasters prépare tranquillement l'arrivée prochaine de F1 2012. Si on ne doute plus depuis fort longtemps du talent du studio britannique lorsqu'il s'agit de concevoir des jeux de courses automobiles, ce rythme de sortie annuel nous amène tout de même à nous poser une question essentielle. Celle du renouvellement de la série. Une problématique qui semble plus que jamais d'actualité cette année au regard de la présentation du jeu à laquelle nous avons pu assister il y a peu. Laissée à l'abandon pendant plusieurs années, la licence Formula 1 a retrouvé le chemin du succès grâce à Codemasters. Dès sa première tentative sur consoles HD en 2010, la société britannique s'est appliquée pour livrer un épisode brillant. D'un point de vue commercial, la performance a également été remarquable. Plus de 2,5 millions d'exemplaires du jeu auraient été écoulés. Sa suite, F1 2011, a su mettre la barre un cran plus haut encore en se montrant plus convaincante que son aîné à tous les niveaux. Deux titres qui constituent donc des succès indéniables. Puisque la formule semble fonctionner, Codemasters poursuit sur sa lancée et proposera cette année une nouvelle mouture de son jeu de Formule 1.
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