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Nous avons réuni 10 tests du F.3.A.R.. Les experts notent F.3.A.R. 6.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du F.3.A.R. et d'autres Jeux Xbox 360.
Le grand retour de F.E.A.R., on le doit aux développeurs de Day 1 Studios qui, avec l'aide de John Carpenter et de Steve Niles, rien que ça, nous proposent depuis peu le bien nommé F.3.A.R.. Un troisième épisode censé nous plonger dans l'univers cauchemardesque généré par l'esprit assez torturé d'Alma, le tout dans une formule qui tente d'allier plaisir solitaire et jeu en coopération. Retour gagnant pour les frangins Point Man et Paxton Fettel ? L'heure est grave. Alma, la fillette terrible de F.E.A.R., s'apprête à donner naissance à un nouvel enfant. L'évènement pourrait presque paraître heureux si Alma n'était pas aussi imprégnée par le mal et si chacune de ses contractions n'était pas synonyme d'autant de vagues de chaos s'abattant sur le monde. Le joueur contrôle alors Point Man, dont le but va être de retrouver celle qui lui sert de mère afin de stopper l'accouchement et ainsi éviter une véritable apocalypse. Paxton Fettel, quant à lui, pense plutôt à réunir la petite famille avec l'idée d'accroître sa puissance et devenir un véritable dieu. Pas étonnant donc que le frangin de notre héros, ou plutôt son esprit, mette à profit ses pouvoirs télékinésiques pour aider son frère tout en lâchant régulièrement quelques répliques salaces dans l'idée de corrompre ses intentions.
A sa sortie en 2006, F.E.A.R. a fait son petit effet, proposant un mélange astucieux entre fps et film d'horreur. Au programme, il y avait un background fouillé, de l'action, mais aussi une très bonne utilisation des ficelles des films d'épouvante américains et japonais. Après un deuxième épisode se concentrant sur l'action avant tout, la franchise qui ne doit pas être jouée dans le noir est de retour… Commençons ce test par un aveu : si j'ai joué au premier jeu il y a bien longtemps, j'avoue ne pas avoir touché au deuxième. Peut-être est-ce la raison pour laquelle je n'ai pas compris grand-chose à l'histoire bien confuse qui nous est racontée. Alma, la gamine aux cheveux sales tout droit sortie d'un ersatz de Ring, veut toujours soumettre le monde à son emprise, accompagnée des troupes agressives d'Armacham. On prendra le contrôle de vieilles connaissances du premier épisode avec Point Man, soldat surpuissant ayant la capacité de ralentir le temps, ou bien de son frangin Paxton, ectoplasme adepte de la télékinésie et ayant le pouvoir de prendre le contrôle de n'importe qui pourvu qu'il soit au préalable affaibli. La menace ne vient pas directement d’Alma, très discrète, mais plutôt de son dernier rejeton en date et nouveau frérot de nos deux héros.
Les fans de FPS le savent, il y a différentes catégories dans le genre. Et l'une d'entre elles est parfaitement représentée par F.E.A.R, premier du nom, dans lequel, vous l'aurez compris, la peur prédomine. C'est d'ailleurs devenu la marque de fabrique de cette série, à l'origine développée par Monolith Productions (Condemned). Alors si ce FPS a bien quelques atouts à faire valoir, la notion de peur et de stress a laissé la place au gore et à l'action non stop. Un choix d'époque qui ne réussit qu'en partie à ce troisième volet, comme vous allez le voir...Alma, le démoniaque mère de Point Man et Fettel, revient pour enfanter une troisième aberration de la nature à l'aube de l'apocalypse. En conséquence, ses deux premiers fils vont tenter de la dénicher pour une réunion familiale d'anthologie en bonne et due forme. Enfin, c'est ce qu'on croyait ! En effet, les hostilités dans F.3.A.R sont lancées dès les premières minutes de jeu. Nous sommes loin des standards techniques de notre époque et plusieurs détails viennent salir les environnements. Certaines textures manquent de finesse, les couleurs bavent et un sang assez peu convainquant envahit systématiquement l'écran. Bref, ce n'est pas super joli d'un point de vue graphique et cela dessert finalement une ambiance déjà assez décevante.
Alma est de retour et elle n'est pas contente. C'est Day 1 Studios qui se charge de nous retransmettre les derniers caprices de la donzelle cette fois-ci avec un F.E.A.R. 3 (ou F.3.A.R. pour les intimes) qui ne manque pas d'hémoglobine. Dommage que ce troisième épisode de la série née en 2005 chez Monolith Productions ne soit pas exactement digne du pedigree de ses aînés. F.3.A.R... Après un court détour par le point de vue d'un certain agent Becket il y a deux ans, la série F.E.A.R. revient aux sources avec ce troisième épisode qui nous placera aux commandes de l'ami Point Man. S'il a pas mal changé physiquement depuis le premier épisode de la franchise, le bonhomme reste finalement égal à lui-même en étant aussi mortel que peu bavard. Ce mutisme assumé du protagoniste barbu ne nous condamnera toutefois pas au silence puisque le fantôme de son frère Paxton Fettel - qui a lui aussi eu droit à un lifting depuis F.E.A.R. et ressemble maintenant à un post-adolescent emocore - hantera notre héros pendant qu'il cherche à retrouver sa mère avant son accouchement apocalyptique.
C’est l’une des rares séries à avoir vraiment fait trembler les joueurs, F.E.A.R. a réussi à s’imposer comme une référence du FPS flippant. Alors en apprenant que le troisième épisode passait des mains de Monolith (qui a réalisé les deux premiers épisodes) à celles de Day 1 Studios, on s’inquiétait de la qualité de F.E.A.R. 3. Il faut aussi bien avouer que les premiers trailers diffusés étaient tellement kitsch qu’on craignait le pire… Soyez partiellement rassuré, F.E.A.R. 3 ne démérite pas autant que sa communication. Le scénario de F.E.A.R. 3 reprend quelques heures après la fin de F.E.A.R. II : Project Origin. Sans dévoiler ce qu’il s’est passé, Alma, la fillette horrifique qui vient hanter les visions du joueur a réussi à échapper aux forces d’Armacham (la société qui l’avait enfermée pour réaliser des expériences sur elle) et s’est retrouvée enceinte. L’histoire de F.E.A.R. 3 commence alors dans une prison aux mains d’Armacham. Celle-ci détient le PointMan, le héros du premier épisode et fils d’Alma, qui va parvenir à s’échapper à l’aide du fantôme de Paxton Fettel, deuxième fils d’Alma et ex-grand méchant de F.E.A.R.
Le Mal est immortel et revient quand on s'y attend le moins. Alma, elle, mettait déjà les pendules à l'heure en 2006 en affichant sa volonté de réduire le monde à l'état de cendres. Cinq ans plus tard, la turbulente fillette n'a pas lâché un pouce de terrain et se montre même plus véhémente que jamais. L'ambiance devient dès lors apocalyptique tout en étant synonyme de troisième épisode plus énergique. Pour autant, John Carpenter est là pour assurer une certaine respectabilité au scénario mais le résultat est-il finalement à la hauteur ? Les lignes ci-dessous vous livrent quelques clés pour vous permettre d'y voir plus clair. A la base, F.E.A.R. fut pensé comme un juste équilibre entre survival-horror et FPS pur et dur. Sur ce plan, les p'tits gars de Monolith s'en étaient brillamment sortis et ce malgré les quelques défauts émaillant l'oeuvre. Une fois mis en place les protagonistes, l'intrigue et les enjeux, les équipes de production purent faire parler leurs bas instincts via un deuxième épisode bien plus orienté action. Nerveuse, rythmée et s'appuyant sur une mise en scène efficace, la franchise vécut de beaux jours à l'inverse des personnages de l'histoire condamnés à courir encore et encore pour arrêter Alma et les équipes d'Armacham.
Après deux reports de sortie, F.3.A.R (ou Fear 3 pour les non initiés) est enfin dans les starting-blocks. Outre deux campagnes (solo et coop), le jeu compte quatre modes multijoueurs inédits qui viennent de nous être dévoilés. Voici nos impressions à quelques semaines de la sortie. La licence Fear, en tombant dans l'escarcelle de Day 1 Studios, le développeur en charge du portage sur console du premier titre de la saga, semble négocier un virage sans pour autant renier le caractère gore/paranormal qui caractérise le titre. En effet, la campagne solo est doublée d'une campagne en coop inédite mettant en scène deux personnages emblématiques de la série (Paxton Fettel et Point Man). Surtout, les modes multijoueurs sont entièrement repensés. Une remise à plat qui se traduit par quatre modes multijoueurs de deathmatchs, pour quatre joueurs maximum, qui ont le mérite de proposer des expériences très différentes les unes des autres. Le tout est judicieusement placé sous le patronage d'Alma et de ses pouvoirs destructeurs, ce qui permet de faire le lien avec les campagnes solo et coop. Le premier, intitulé “Fu**ing Run !” (non, ça n'est pas une censure de Jeuxvideo.com mais bel et bien le nom du mode), fait appel à la collaboration entre joueurs, et il est un des plus prometteurs.
Univers Consoles
Ajouté le : 09/2010
Plus accessible...
Petite piqûre de rappel pour ceux qui auraient raté les épisodes précédents. Lancé en grande pompe en 2005 par Vivendi, F.E.A.R. ( pour Fisrt Encounter Assault Recon) avait connu un franc succès aussi bien du côté des joueurs que de la presse spécialisée. Et pour cause, ce FPS original explorait une direction encore peu exploitée : celle de l'horreur et du paranormal, donnant au jeu un rythme difficilement soutenable et une intrigue aux ramifications complexes. Si le titre n'hésitait pas à multiplier les références aussi bien aux meilleurs films films d'horreur made in Japan qu'aux films d'action façon John Woo, c'était pour mieux plonger le joueur dans un univers très dense, parfaitement assumé et contrôlé, qui racontait les souffrances d'Alma, jeune fille de seize ans, victime des recherches de son père et revenue d'entre les morts pour se venger d'Amarcham, le consortium militaire à l'origine de ses souffrances. Dans le premier épisode, vous incarniez PointMan, un soldat d'élite aux pouvoirs paranormaux, qui avait pour mission d'arrêter la propagation de l'Almaverse, un monde parallèle plein de bruit de fureur.
Bien qu'il a été repoussé à la fin du mois de janvier, F.3.A.R. était au rendez-vous de la gamescom. L'occasion pour l'équipe de développement de nous présenter ce qui fera le charme de ce troisième opus : l'aventure en coopération. Fini l'incarnation d'un soldat effacé ou dont la personnalité n'a aucune incidence sur l'histoire. Dans F.3.A.R., les joueurs auront la chance d'incarner MM. Point Man et Paxton Fettel, deux frères ennemis que tout oppose et dont l'absence totale de confiance ne va pas empêcher de les voir évoluer en coopération. C'est là l'originalité de ce volet : il compte une campagne solo et une autre jouable en coopération, mais uniquement humaine. Comprenez qu'il ne vous sera pas possible de vivre l'aventure à deux avec l'aide de l'IA, les développeurs ayant jugé inopportun que le joueur soit suivi par un allié, ôtant par la même occasion le sentiment de solitude et d'oppression qui émane généralement des F.E.A.R., lorsque l'on progresse isolé. Pourtant, la remarque ne vaut visiblement pas pour la coopération entre deux humains, tout simplement parce qu'il nous a été répété que les deux personnages en question s'opposent et se détestent et qu'il sera tout à fait possible de transformer cette coopération en chacun pour sa poire dans une certaine limite.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
Plus accessible...
On le sait depuis un petit moment maintenant, le troisième épisode de la saga F.E.A.R. n'est plus développé par Monolith Productions mais plutôt par Day 1 Studios, à qui l'on devait le portage console du premier volet de la série. Toujours inquiétant pour les fans de la première heure, ce genre de changement de casting devait impérativement se justifier lors de cette première rencontre avec le FPS à l'E3 2010 de Los Angeles. Ou pas. Qu'on se le dise, les sacrosaintes errances solitaires de la série F.E.A.R. font partie du passé, ce troisième épisode étant ouvertement présenté comme un titre 100% coopératif par ses créateurs. L'idée de jouer à F.3.A.R. en solo semblait presque tenir de l'aberration pour les développeurs présents à l'E3, qui nous ont clairement fait comprendre par un martelage systématique proche de la propagande qu'il fallait absolument jouer à deux pour "exploiter tout le potentiel de F.3.A.R.". Soit. On retrouve du coup un duo composé des fils maudits d'Alma avec d'un côté le très barbu Pointman (héros du premier F.E.A.R.) et de l'autre son charmant frère Paxton Fettel, revenu d'entre les morts pour l'occasion.
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