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Nous avons réuni 11 tests du Enslaved. Les experts notent Enslaved 7.1/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Enslaved et d'autres Jeux Xbox 360.
Bienvenue dans une époque qui survient des années après notre civilisation. Bienvenue à New York où les ruines des grands buildings se perdent sous la végétation. La nature semble reprendre ses droits sur une ville complètement dévastée, où les Hommes ne sont apparemment que de l'histoire ancienne. Si la nature luxuriante s'exprime dans toute sa splendeur, si les petites fleures rouges parsèment les rues et si les libellules s'amusent dans les branches des arbres, l'environnement n'est pas tranquille pour autant. Ce sont les robots qui règnent en maître, qui chassent toute vie humaine pour en faire des esclaves. On ne connaît pas l'origine de cette hégémonie au lancement du jeu. Seule certitude, il ne fait pas bon flâner sur Brodway et nos deux héros n'y passeront certainement pas leur premier week end en amoureux. L'aventure débute dans un vaisseau volant, une sorte de prison mobile où les robots retiennent une poignée d'humains. Parmi eux quelques irréductibles ont décidé de résister à l'envahisseur. Vous ferez donc rapidement connaissance avec Trip, la jeune femme esseulée du jeu puis de Monkey, homme athlétique très bourru.
Découvrez un New York désolé et verdoyant, où une brute, Monkey, doit protéger des robots la frêle et jolie Trip. Il y a quelque chose d'éminemment cinématographique dans l'univers proposé par Enslaved. Comment ne pas penser à Je suis une légende, de Will Smith, pour cette évocation écrasante d'un New-York dévasté, déserté, où les héros errent solitaires ? Les décors sont sublimes, les teintes irréelles, le dépaysement étonnant, mais le jeu parvient tout de même à faire naître un sentiment d'isolement et d'hostilité permanent. Car il y a également un peu de Terminator 4 : Renaissance, dans ces robots vigilants qui somnolent, qui à votre approche se réveillent et se transforment en implacables machines à tuer. Sous la mousse verdoyante de ce monde laissé à l'abandon sourde ainsi la menace froide et constante de ces sentinelles d'acier, boîtes de conserve tueuses dans un écosystème foisonnant. Pourtant, à l'origine de ce monde atypique, tout, sauf de la science-fiction hollywoodienne, mais un conte chinois millénaire, Le Voyage en Occident, qui raconte les péripéties d'un homme-singe élevé loin de la civilisation, se bat avec un bâton et marche sur les nuages.
Après avoir offert à la Playstation 3 une exclusivité plus ou moins contrastée avec Heavenly Sword, le studio de développement Ninja Theory s'est attelé à la création d'un nouveau titre attendu cette fois sur PS3 et Xbox 360. Après plusieurs mois de développement, Enslaved : Odyssey To The West voit enfin le jour. Le résultat se montre t-il à la hauteur ? Réponse dans les lignes qui suivent !Le nom de Ninja Theory ne vous dit peut-être pas grand chose. Il faut dire que le studio ne s'est pas vraiment illustré par le nombre astronomique de ses sorties. La première d'entre elles fut d'ailleurs une exclusivité Xbox et plus précisément Kung Fu Chaos, un party games déjanté sorti en 2003 et qui trouva rapidement de nombreux adeptes. Malgré la réussite de ce premier jeu, les développeurs ont néanmoins pris le temps de la réflexion avant de se lancer dans un nouveau projet. Si beaucoup attendaient une suite à leur premier jeu, le studio surprit tout le monde en annonçant travailler sur un titre nouvelle génération qui allait rapidement devenir une exclusivité Playstation 3. Fort d'une réalisation graphique époustouflante, Heavenly Sword récupéra quasiment instantanément l'étiquette de « killer-app », comprenez par là qu'il incarna très vite l'un des jeux susceptibles de faire vendre la console sur son seul nom.
Egalement disponible sur : Après Heavenly Sword et en attendant le très attendu reboot de Devil May Cry (DmC), le studio Ninja Theory s'est décarcassé pour nous sortir une toute nouvelle licence baptisée Enslaved. Une réalisation soignée, une ambiance immersive, des personnages forts et un gameplay aux petits oignons, voilà les qualités que l'on avait repérées lors des différentes présentations du jeu. Ce dernier étant aujourd'hui en vente libre, voyons de quoi il en retourne exactement.Son existence a beau être assez récente, le studio Ninja Theory fait partie de ceux qui comptent dans le jeu vidéo. S'il a été à l'origine de Kung-Fu Chaos sur Xbox, c'est Heavenly Sword qui lui a permis de gagner quelques galons, malgré des critiques sur le jeu pas toujours très élogieuses. Alors que le développement d'Enslaved : Odyssey to the West battait son plein, Capcom s'est rapproché du studio anglais pour relancer la franchise Devil May Cry, qui à en croire Keiji Inafune avait besoin d'un petit coup de Swiffer. En quelques années, Ninja Theory est donc devenu un acteur incontournable de notre industrie, avec en prime des projets ambitieux et captivants comme peut l'être cet Enslaved : Odyssey to the West.
Auteur du moyen mais amusant Heavenly Sword, et avant de se jeter corps et âmes dans le développement du prochain épisode de la série Devil May Cry, Ninja Theory nous propose aujourd'hui de suivre l'aventure de deux personnages atypiques, liés l'un à l'autre par d'étranges relations. Une aventure en couple qui se joue uniquement en solo se déroulant dans un monde post-apocalyptique, voilà les ingrédients principaux de cette histoire pas banale qui emmènera le joueur au delà de son imagination. Malheureusement, si la carte postale donne envie, la réalité est tout autre une fois le pad en main. À l'instar d'un certain Terminator, l'histoire d'Enslaved : Odyssey to the West, débute par un état des lieux peu réjouissant sur la condition humaine. Les machines, jadis utilisées par les humains eux-mêmes, ont pris le pouvoir sur Terre, et, dirigées par une organisation mystérieuse répondant au nom de Pyramid, parcourent notre chère planète à la recherche des rares survivants pour les exploiter à leur manière. L'aventure commence à bord d'un vaisseau, alors que Monkey, le personnage incarné par le joueur, est prisonnier dans une cellule et est destiné à servir les machines.
Le studio anglais Ninja Theory a récemment fait parler de lui en reprenant le flambeau de la série des Devil May Cry. La nouvelle avait de quoi en surprendre plus d'un mais ce développeur n'est toutefois pas un inconnu dans le petit monde des jeux vidéo. On lui doit en effet Heavenly Sword, une exclusivité PS3 prometteuse mais qui ne s'était pas montrée tout à fait à la hauteur des attentes qu'elle avait suscitées. Enslaved a certainement profité d'une promotion plus discrète mais s'avère finalement autrement plus alléchant. Ce n'est pas tout à fait par hasard si Namco, éditeur éminemment japonais s'il en est, s'est associé au studio anglais Ninja Theory pour accoucher de ce fameux Enslaved. En effet, l'éditeur ne se cache pas de viser de plus en plus le public occidental. Dans ces circonstances, il est forcément lourd de sens de proposer une relecture très libre du Voyage en Occident et de ne pas situer l'action dans la Chine médiévale du roman mais dans une Amérique futuriste. Ce point de départ est d'autant plus surprenant que l'univers qui nous est proposé est à mille lieues des mondes post-apocalyptiques traditionnels.
Découvert avec le sympathique Kung Fu Chaos sur Xbox, suivi cinq ans plus tard par un Heavenly Sword exclusif à la PS3 et plutôt moyen, Ninja Theory est enfin passé au développement multi plates-formes avec Enslaved : Odyssey to the West. Aujourd'hui dans les étalages, ce jeu d'action-aventure très librement inspiré du Voyage en Occident mérite-t-il qu'on devienne son esclave ? Pas totalement, malheureusement... Un siècle et demi après notre époque, les humains ont réussi à devenir une espèce en voie d'extinction, traqués par les machines qu'ils avaient créées pour s'entretuer joyeusement à l'échelle mondiale. Si quelques individus ont réussi à survivre seuls ou en communauté, peu arrivent à éviter d'être capturés par les sentinelles mécaniques de Pyramid, une entité mystérieuse à peu près aussi efficace que Cyberdyne et Skynet pour engendrer la désolation sur Terre. Prisonnier d'un vaisseau au début de l'aventure, le héros Monkey va profiter du sabotage d'une dénommée Trip pour s'échapper de sa cellule-oeuf et atterrir douloureusement à New York, en s'accrochant à la dernière capsule de sauvetage que sa libératrice refusait de partager.
Enslaved : Odyssey to the West nous plonge dans la peau de Monkey, une brute épaisse sauvage et solitaire, qui réussit à s’évader d’un vaisseau de transport de futurs esclaves. Il y rencontre Trip, une jolie nana férue de technologie qui lui joue un vilain tour : elle lui place une couronne qui le lie à elle par un lien utilisé par les esclavagistes. Il doit obéir à ses ordres et ne pas oublier que si elle meurt, il meurt également instantanément. Voila le destin de nos deux héros liés, au moins jusqu’à ce que Monkey ramène la jeune femme chez elle. L’histoire et l’univers piochent allégrement un peu partout, allant du conte chinois Le Voyage en Occident au film Terminator Renaissance en passant des d’autres jeux, tels Beyond Good and Evil ou Jak and Daxter par exemple. La bande son est au diapason, avec des scores superbes, même si on mettra un petit bémol sur la localisation française, et notamment le son des voix étonnament bas pendant les cinématiques.L’univers coloré rappelle les meilleurs jeux de Naughty Dog. La première partie du jeu se déroule dans un New York méconnaissable, avec des immeubles dévastés et la nature qui a repris les dessus. Le tableau inspiré est très réussi, sublimé par des décors de qualité sur cette première partie du jeu.
Après un plutôt décrié, peut-être parce qu'il ne remplissait pas les attentes que les joueurs avaient mises en lui, Ninja Theory revient avec un nouveau projet nommé . Le jeu est inspiré d'un livre plutôt ancien comptant les pérégrinations en Inde d'un voyageur qui sera amené à rencontrer divers monstres pendant son voyage. Si vous ne connaissez pas cette oeuvre, sachez qu'elle a fait l'objet de plusieurs adaptations plus ou moins libres, dont Dragon Ball qui s'inspire de l'histoire. Le titre de Ninja Theory saura-t-il convaincre ou non ? Nous en avons eu un premier aperçu et vous livrons dès à présent nos impressions. Tout d'abord, sachez que fait plutôt partie des adaptations libres du roman de Wu Cheng'en. L'histoire se déroule en effet dans le futur et plus particulièrement dans un monde post-apocalyptique, ravagé par les guerres et les conflits nucléaires. C'est dans cette atmosphère où seuls les robots ont survécu ou presque, que Monkey, accompagné de la jolie Trip, va devoir aller d'un point A à un point B en essayant de survivre. Pour être plus précis, la demoiselle a en fait pris le contrôle de son compagnon à l'aide d'un diadème magique afin qu'il se batte pour elle.
Gamekult
Ajouté le : 05/2010
Plus accessible...
Exclusivité PS3 particulièrement soutenue par Sony, Heavenly Sword avait beaucoup fait parler de lui pour sa plastique, au détriment d'un gameplay un peu trop mollasson et d'une durée de vie trop juste. Trois ans plus tard, les développeurs de Ninja Theory reviennent avec Enslaved : Odyssey to the West, un jeu d'action-aventure très librement inspiré par Le Voyage en Occident, un roman chinois déjà adapté à toutes les sauces. Conçu cette fois sur PS3 et Xbox 360, le titre s'est laissé découvrir au Level Up barcelonien de Namco Bandai et de ce qu'on a pu en voir, il s'annonce plutôt prometteur. Petite séance de rattrapage pour les personnes ayant loupé l'annonce d'Enslaved : un siècle et demi après notre époque, l'humanité a quasiment disparu de la surface de la Terre après un conflit mondial ravageur à coups de drones ultra-sophistiqués. Si le règne végétal a repris ses droits sur les ruines de la civilisation, les machines de guerre autonomes sont toujours actives et chassent les survivants pour en faire des esclaves. C'est d'ailleurs ce qui est arrivé à Monkey, membre musclé d'une communauté américaine vivant des ressources de la nature et n'hésitant pas à démanteler les carcasses de robots pour se défendre contre les agressions mécaniques.
Ninja Theory, le studio à qui l'on doit Heavenly Sword, s'apprête à revenir sur le devant de la scène avec un titre destiné aussi bien à la Xbox 360 qu'à la PS3. Enslaved est une adaptation très libre du Voyage en Occident, le célèbre roman traditionnel chinois. Le rapport avec la légende en question ne saute pas vraiment aux yeux puisqu'il s'agira ici d'un jeu alliant l'action et la plate-forme dans un univers post-apocalyptique. Le background d'Enslaved n'est pas vraiment joyeux : vous êtes projeté 150 ans dans le futur alors que notre belle planète a été totalement ravagée par la guerre et les catastrophes écologiques. L'humanité vit vraisemblablement ses derniers instants mais quelques communautés continuent d'organiser leur survie ici ou là. Il n'est en effet pas évident de se débrouiller seul dans ce monde qui grouille de dangers : de nombreux drones et d'autres créatures mécaniques qui servaient autrefois à faire la guerre sont restés en activité et attaquent désormais tout ce qui passe à leur portée. Monkey, le personnage que vous incarnez dans Enslaved, est certainement le seul humain assez fou ou téméraire pour essayer de faire face seul à ces monstres.
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