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Nous avons réuni 9 tests du Splatterhouse. Les experts notent Splatterhouse 5.1/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Splatterhouse et d'autres Jeux Playstation 3.
PlayLipse
Ajouté le : 01/2011
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Pour booster ses parts de marché, Namco Bandai a décidé de mettre l'accent sur l'originalité. On l'a vu ces derniers mois, l'éditeur a lancé tout un tas de nouvelles franchises. Mais, outre les nouvelles IP, le géant a également décidé de remettre au goût du jour de vieilles franchises. C'est ainsi qu'est né le reboot de Splatterhouse, un beat them all ultra violent qui a souffert d'un développement pour le moins laborieux. Reste donc à voir si ce développement vivement critiqué par la division menant le groupe Namco-Bandai a influé sur la qualité globale du soft? Lorsqu'un studio décide de repenser de A à Z une franchise, sur base d'une trilogie vieille d'une dizaine d'années, cela donne forcément un mélange qui ne convient pas nécessairement à l'époque actuelle. Dans le cas de Splatterhouse, Namco a décidé de miser sur un cocktail de genres puisque le soft intègre deux types différents de gameplay : les séquences nostalgiques sur un plan 2D dans lesquelles on massacre des monstres à la chaîne et évite des pièges, et les séquences de beat them all 3D archi-classiques à l'heure actuelle. Des deux types, seules les séquences 3D parviennent à s'en tirer, les séquences 2D étant courtes, ultra basiques et sans réel intérêt si ce n'est de nous rappeler à quel point il est difficile de nos jours de remettre au goût du jour de vieux concepts.
Après avoir traumatisé des milliers de joueurs à la fin des années 80 et au début des années 90, la série Splatterhouse s'est étrangement fait discrète jusqu'à la fin de cette année 2010. Suite à un développement chaotique qui aura vu Namco reprendre le jeu en interne, voici en effet que débarque Splatterhouse sur consoles HD. La formule ultra gore de la licence fait-elle encore mouche ? Derrière un scénario tenant sur pas grand chose, le joueur se retrouve rapidement propulsé dans la peau de Rick, un jeune étudiant cherchant à sauver sa tendre et douce kidnappée par un scientifique complètement barjot. Seul problème, et non des moindres, le manoir dans lequel se trouve notre acolyte est rempli de monstres plus violents les uns que les autres. Heureusement pour lui, Rick tombe sur un masque aux pouvoirs stupéfiants, le transformant en véritable machine de guerre capable de se régénérer. Autant le dire tout de suite, ce Splatterhouse perd tout le côté flippant/Vendredi 13 des épisodes 2D. Les développeurs nous offrent à la place de ça un bon gros beat'em all bien bourrin, avec la finesse d'un éléphant.
Univers Consoles
Ajouté le : 12/2010
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Sorti en 1988, le premier Splatterhouse n'était pas le jeu du siècle, mais c'était certainement un beat'em all efficace, suffisamment tout du moins pour donner lieu à deux suites. Alors, Namco surfe sur la vague du remake (original, non ?), nous voici avec ce Splatterhouse sauce 2010. Alors, y a-t-il matière à arracher des bras, ou juste ses propres cheveux ? Mentionnons tout d'abord le scénario (ou l'excuse qui sert de scénario) : le personnage principal se retrouve on ne sait trop comment affecter d'une situation peut pratique : être mort. Heureusement pour lui, un démon qui passait par là lui propose de le ramener à la vie pour récupérer sa copine (eh oui), s'il accepte de mettre son masque. Comme vous pouvez l'imaginer, ce dernier s'exécute et se transforme alors entre un hybride de Hulk et Jason Voorhees. Grâce aux pouvoirs acquis de la sorte, il lui en incombe de se frayer un chemin à travers des hordes de démons, mort-vivants ou autres créatures moyennement inspirées tout droit sortis de "Les Méchants de Jeux Vidéo Pour les Nuls" qui devait traîner sur la table de nuit des développeurs. Une sorte de remake du film The Mask, Tex Avery en moins et les démembrements en plus.
Faisant partie des titres qui ont bercé toute une génération de joueurs, Splatterhouse se décide à profiter de l’arrivée des consoles HD pour tenter de se refaire une jeunesse. Nous allons donc voir aujourd’hui si le jeu est un simple coup marketing ou bien s’il mérite qu’on déverse pour lui quelques litres de sang dans notre salon. En parlant de sang, l’aventure commencera dans une mare de votre propre sang. Vous incarnez Rick Taylor, un étudiant qui a eu la mauvaise idée d’accompagner sa copine dans la demeure d’un docteur à l’esprit assez dérangé. Une fois arrivé sur place, celui-ci fait apparaître de drôles de créatures qui vous aideront à vous vider de votre sang pendant qu’il s’enfuit avec votre fiancée. Suite à ce massacre, alors que vous êtes prêt à pousser votre dernier soupir, un masque vous appelle. Vu l’état dans lequel vous êtes, vous n’hésitez pas une seule seconde et passez donc le fameux masque sur votre visage sans savoir de quoi il retourne. Il s’avère qu'il est possédé par un esprit maléfique qui va vous permettre de rester en vie tout en vous confèrant des capacités particulières.
C'est à la fin des années 80 que Splatterhouse sort en Arcade. Influencé par la série Vendredi 13, du moins par son personnage vedette, ce jeu d'action se veut un défouloir tout ce qu'il y a de plus gore. Fort logiquement, son remake opte pour le même chemin en maximisant une fois de plus sur un aspect trash synonyme de tripailles sanguinolentes. Pour ceux qui auraient loupé le train en marche, reprenons depuis le début. Comme son nom ne l'indique pas nécessairement, Splatterhouse est un beat'em all militant pour une action gore de chez gore. Ici, chaque coup est prétexte à une gerbe de sang et chaque finish move à un démembrement en règle. En somme, si l'aspect craspec ne vous dérange pas, vous avez sonné à la bonne porte. Oui, enfin, ça c'est ce qu'on aurait aimé vous dire sauf que ce n'est pas vraiment le cas. En effet, après quelques minutes passées en la compagnie d'un Rick boosté aux hormones, on se rend compte que le soft ici présent n'affiche aucune ambition digne de ce nom si ce n'est faire plaisir aux fans peu exigeants en leur balançant à intervalles réguliers des phases en scrolling horizontal renvoyant aux jeux originaux.
Considéré à juste titre comme un classique de l'horreur en 2D, Splatterhouse hérite d'une nouvelle version en 3D et en haute définition. Est-elle à la hauteur du mythe ?Avec son masque de hockey sur le visage façon Jason Voorhees, le héros du premier Splatterhouse mettait tout de suite dans l'ambiance horrifique du jeu d'action 2D qu'il était. Deux suites plus tard, la trilogie s'est petit à petit retirée du devant de la scène jusqu'à disparaitre complètement des consoles. C'était sans compter sur la bonne volonté de Namco de ressusciter la licence en cette fin d'année 2010, sur consoles haute définition qui plus est. Si l'intention est louable, le résultat est-il à la hauteur des standards actuels du genre ? Réponse dans ce test.Le jeu commence dans une marre de sang. Ce sang, c'est le vôtre. Enfin, celui de Rick, un jeune américain qui se vide sur le parquet d'une vieille bâtisse façon maison hantée. Alors que la mort semble prête à l'accueillir, sa main se pose sur un étrange masque placé à côté de lui. L'objet semble parler à Rick, lui implorant de le porter s'il veut retrouver assez de forces pour sauver sa petite amie Jen, disparue dans le manoir.
Il a connu l'enfer, mais il en est revenu. On ne parle pas seulement ici de Rick, personnage plus ou moins zombifié de la série Splatterhouse, mais aussi de ce remake rescapé d'un véritable « development hell ». Alors que la conception du jeu avait été à l'origine confiée à un studio externe qui a fermé ses portes depuis, Namco Bandai avait décidé début 2009 de reprendre en main le développement d'un projet qui ne répondait visiblement pas aux attentes. Rarement de bon augure pour le résultat final, ce genre de péripéties laissait craindre le pire pour cette résurrection d'une série appréciée par les amateurs d'hémoglobine pixélisée. Alors, happy end ou pas ? En 1990, la PC Engine de Nec accueillait dans sa logithèque florissante et plutôt colorée, un jeu qui faisait tache dans le bon sens du terme. Splatterhouse proposait d'incarner un fou furieux tabassant des hordes de zombies et autres créatures démoniaques dans des gerbes de sang jamais vues sur consoles de salon à l'époque, mais aussi en arcade où le jeu est apparu. Développé par des Japonais, le jeu assumait de nombreuses inspirations en provenance du cinéma d'horreur occidental (le masque de Jason de Vendredi 13, des ennemis évoquant le bestiaire de Evil Dead 2, etc.).
A la fin des années 80, Splatterhouse fait son apparition sur 8 et 16 bits. Pour un public habitué à Alex Kidd et Mario Bros, ce nouveau venu est un électrochoc. Si on retrouve bien les codes de l’action/plateforme 2D (un scrolling horizontal, quelques sauts et des ennemis à la pelle), . S’en suivront un deuxième et un troisième épisode, un peu plus riches mais tout aussi violents. Dans l’esprit, , simplement remis au goût du jour. Le scénario reste ainsi identique. Rick et sa petite amie Jennifer se rendent au manoir du Docteur West, un éminent scientifique. Evidemment, les choses tournent mal. Evidemment, le savant fou enlève Jenny et laisse Rick pour mort. Et évidemment, un étrange masque aztèque conclut alors un pacte avec le jeune homme : la résurrection et la chance de sauver sa fiancée en échange de sang, de beaucoup de sang… Bon, on ne va pas y aller par quatre chemins, Splatterhouse est ce qu’on appelle dans notre jargon . Un jeu sympa, pas raffiné pour deux sous, à la fois attachant et bourré de défauts. Le level design est inexistant, les ennemis –peu inspirés- se clonent par dizaines et les sauts des séquences de plate-forme incitent parfois au meurtre.
Une envie de jeu d'action bas du front, sur fond de métal au rabais dans un déluge de tripes ensanglantées ? Splatterhouse a été développé pour vous. Est-ce que ça en fait un bon jeu pour autant ? Disons qu'il est loin des standards du genre, mais meilleur que prévu.C'est dans une marre de votre propre sang que vous commencerez l'aventure de Splatterhouse, incarnant Rick Taylor. C'est un simple étudiant qui a eu le malheur d'accompagner sa fiancée Jenny dans le manoir d'un savant fou. Résultat des courses, Jenny se fait enlever, et vous êtes laissé pour mort jusqu'à ce que dans un dernier effort, vous placiez sur votre visage un masque démoniaque. Si le pitch n'a pas changé des masses depuis les classiques éponymes de l'arcade, le beat'em all, lui, a fait des progrès... mais Splatterhouse reste très old school, pour ne pas dire archaïque à certains égards. Pas de grosse prise de tête dans Splatterhouse. C'est un déluge de combats plus gores encore que dans un MadWorld, avec des tsunamis de sang à récolter pour satisfaire la soif du masque qui a transformé Rick en une brute épaisse et particulièrement résistante.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Splatterhouse. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Splatterhouse.