Dragon Age 2
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Nous avons réuni 15 tests du Dragon Age 2. Les experts notent Dragon Age 2 5.6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Dragon Age 2 et d'autres Jeux PC.
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Test Dragon Age 2
Dragon Age 2
Essayons de retracer un petit peu l’histoire de Bioware au cours de ces quelques dernières années. Bioware a réalisé de très bons jeux, tels que Star Wars : Knights of the Old Republic ou Neverwinter Nights (encore que pour ce dernier, la qualité vient plutôt des extensions que de la campagne d’origine). Le problème quand on fait des jeux basés sur des licences juteuses, c’est qu’elles sont justement juteuses parce que ses propriétaires - Lucas et Wizards of the Coast en l’occurrence – les gèrent d’une main de fer dans un gant de velours. Et quand on est créatif, on a un peu envie de faire ce qu’on veut de ses idées, ne pas être contraint par des étranges personnes qu’on ne voit jamais. La solution est donc de bosser pour eux un peu, gagner plein de sous, et développer ses propres licences. Star Wars nous a ainsi donné Mass Effect ; Donjons & Dragons nous a donné Dragon Age. Jusqu’ici, tout allait bien. ME était supposé être la partie « Action RPG » du studio, tandis que DA la partie « Tactical RPG » descendante de Baldur’s Gate. Bioware a bossé de longues années sur Dragon Age.
Test Dragon Age II : Rise to Power
Après un premier opus, digne fils spirituel de Baldur’s Gate, BioWare revient avec Dragon Age 2. Les développeurs nous avaient prévenus du changement d’orientation de la licence vers l’action et l’accessibilité mais il n’en reste pas moins que le choc est de taille. A la mesure de la déception en somme. Dans Dragon Age 2, le joueur incarne Hawke, un futur héros dont l’histoire nous est contée par un de ses compagnons, Varric le nain. L’aventure débute alors que l’Enclin fait encore rage et que des hordes d’engeances s’en prennent à notre personnage et sa famille. Après quelques combats, sa sœur ou son frère (selon la classe choisie) passe l’arme à gauche. La situation semble désespérée mais un dragon leur vient en aide. Il s’agit en fait d’une sorcière dont l’intervention salvatrice permet au petit groupe de rejoindre la ville de Kirkwall. Une cité encore en paix mais connaissant des déboires internes avec toutes les races représentées et le racisme dont elles font preuve les unes envers les autres. Il va toutefois falloir tirer son épingle du jeu en réalisant diverses missions pour la population et ainsi ramasser assez d’or pour partir en expédition dans les tréfonds, lieu de résidence des engeances et pourvoyeur de trésor s’il en est.
Dragon Age 2
La saga Dragon Age change clairement de cap, cherchant à plaire au grand public et optant pour plus d'action. Qui aime bien Dragon Age : Origins, châtie bien Dragon Age II ! Ce proverbe ici improvisé trouve sa source dans la nouvelle orientation de la série, qui cherche à tout prix à draguer le sacro-saint grand public. Et cela commence par une restriction des libertés du joueur perfectionniste, qui ne peut plus réellement façonner le personnage de ses rêves. Certes, il peut choisir le sexe, l'apparence physique, le prénom et la classe (guerrier, mage ou voleur), mais plus question de sélectionner la race ou le passé du héros ! Vous incarnerez M. ou Mlle Hawke, humain(e) de son état, fuyant sa ville natale ravagée par les Engeances, finissant par trouver refuge avec les survivants de sa famille dans la cité de Kirkwall. Un postulat pas foncièrement désagréable, mais forcément restrictif. Vient l'heure de découvrir les premières quêtes, de se rendre compte qu'elles se résolvent quasiment toutes par la force. Dragon Age II tiendrait-il plus du jeu d'action que du véritable jeu de rôle ? Cela se confirme lors des combats, qui ont subi plusieurs aménagements pas aussi anecdotiques qu'on pourrait le croire.
Dragon Age II
Voilà. Dragon Age II est arrivé il y a quelques jours, et je me mets à l'écriture de ce test tout en contraste... A sa lecture, vous vous rendrez compte que contre toute attente, et malgré une mauvaise impression acquise dès la preview du jeu, les qualités l'emportent de peu sur les nombreux défauts.Nous avons testé le jeu sur Xbox et sur PC, ce qui explique pourquoi ce test arrive un peu tardivement.Reprenons l'Histoire de dragon Age là où nous l'avons laissée. Le royaume de Thédas a été sauvé de l'archi-démon qui, sous sa forme de dragon, avait pris la tête de l'armée des engeances, créatures mutantes démoniaques et carnassières, afin de détruire toute vie humaine. Le joueur, engagé de force dans le corps d'élite des gardiens de l'ombre, avait triomphé, et une autorité avait été remise bien vite en place. Seulement voilà, le nouveau roi est mort. Au bout de quelques années, le chaos reprend ses droits : les Engeances sont de retour, profitant de ce flou politique pour saigner des contrées entières du Royaume de Thédas. Férelden, la capitale, a été rayée de la carte, la terreur et le désarroi sont le lot quotidien d'une population lancée sur les routes d'un exode désespéré.
Test Dragon Age II
Première déception pour qui n'a pas suivi l'actualité du jeu avant sa sortie : les "origines" qui donnaient son sous-titre au premier volet ne sont plus. Comprenez par là qu'il n'est plus question de choisir sa race et de bénéficier d'un début d'aventure différent selon cette sélection initiale. Les adeptes des nains et des elfes sont les grands laissés pour compte de ce scénario imposé, même s'ils pourront heureusement enrôler quelques compagnons de petite taille ou à grandes oreilles pour épauler le héros humain. Dans ces conditions, il n'est évidemment pas question de réutiliser un personnage créé lors du premier épisode. Cependant, il reste possible d'importer sa sauvegarde de Dragon Age : Origins, afin que les évènements décrits restent cohérents avec l'aventure vécue dans le passé. Les nouveaux joueurs pourront quant à eux choisir entre trois contextes prédéfinis. Reste donc que tout le monde doit au final incarner un humain du nom de Hawke. Il nous est tout de même permis de choisir son sexe ainsi que sa classe (guerrier, mage ou voleur). Par la suite, son histoire se déroule sur plusieurs années, sous forme de flashbacks narrés par son compagnon nain.
Test de Dragon Age II
Certains l’ont vu venir, mais chez JVN, nous avons décidé d’être confiants. Malgré quelques signaux d’alarme, Dragon Age II nous faisait envie. Un système de combat orienté vers l’action, des choix de design sans doute douteux et quelques défauts techniques? Peu importe, Bioware est bien capable de dépasser ces futiles considérations et doit nous offrir une nouvelle aventure bien écrite et palpitante, au casting en or. Bref, Dragon Age II se devait d’être le digne successeur d’Origins. Mais le résultat est différent et, après plusieurs dizaines d’heures de jeu, le couperet tombe: Dragon Age II ne mérite pas plus qu’un 14/20, alors que les RPG du studio canadien ont pour habitude d’atteindre le 18, sans forcer. Comment a-t-on pu en arriver là? Essayons de repartir quelques mois en arrière afin de mieux cerner le problème. Novembre 2009: Dragon Age Origins débarque, attendu par des millions de rôlistes, qui rêvent de pouvoir jouer à une «suite» du mythique Baldur’s Gate. Le résultat est excellent, comme souvent avec Bioware et on peut alors dormir tranquille en attendant de découvrir sa suite.
Dragon Age II
Fin 2009, Dragon Age : Origins est venu enchanter les amateurs de fresques épiques et de combats tactiques. Son succès a entraîné une série de DLC tous plus insignifiants les uns que les autres, ainsi qu'une extension, Awakening, solide mais pas inoubliable. Tous ces contenus additionnels ont vu le jour en 2010, si bien qu'on se demande où Bioware a trouvé le temps de développer ce Dragon Age II. Dragon Age II aura suscité la méfiance des fans dès son annonce officielle au cours de l'été dernier. Les trailers et les informations diffusés laissaient augurer un jeu de rôle tourné vers l'action et amputé d'un bon nombre des fonctionnalités qui avaient fait le succès du précédent volet, à commencer par le système des origines et l'aspect tactique des combats. La durée réduite de son développement (une grosse année) est venue renforcer ces craintes. Pourtant, on ne voulait pas trop y croire : De Baldur's Gate à Mass Effect en passant par Neverwinter Nights et Knight of the Old Republic, le parcours de Bioware est jalonné de titres d'une qualité indiscutable. Du coup, s'il était probable que l'orientation donnée à cette suite ne plaise pas à tout le monde, on s'attendait à être une fois de plus bluffé par le travail du studio canadien.
Dragon Age II (Preview)
Il y a un an, celui qu’on appelait "le successeur de Baldur’s Gate" sortait de l’écurie Bioware et le résultat s’est montré à la hauteur des attentes, malgré quelques petits défauts de jeunesse. Développé en moins d’une année, Dragon Age II a beaucoup fait parler de lui ces derniers mois, mais pas nécessairement en bien. L’orientation plus "action" des affrontements a clairement refroidi les amateurs de tactiques, surtout s’ils jouent sur PC. Mais, alors que Bioware souhaitait tout simplement supprimer la vue aérienne, chère aux rôlistes pur et dur, le tollé général causé par ce choix les a heureusement fait changer d’avis. Au final, la version PC retrouve la possibilité de placer la caméra au dessus, bien que l’angle de vue parait moins pratique qu’auparavant. C’est donc sur consoles que les affrontements de Dragon Age II deviennent plus nerveux et font la part belle aux réflexes. À première vue, rien ne bouge : on passe d’un personnage à l’autre via une touche, on programme telle ou telle action et on surveille constamment l’état de santé de son groupe. En revanche, dès que la baston commence, le feeling est différent : le bouton A ou X peut désormais être utilisé à volonté pour noyer l’ennemi sous les attaques, à peine ralenties par un temps de recharge revu à la baisse. Les autres touches sont attribuées aux sorts et aptitudes spéciales. Au final, on se retrouve devant un système de combat qui évolue subtilement vers quelque chose de plus dynamique et nerveux ce qui, avouons-le, correspond davantage au support consoles.
Dragon Age II (Preview)
Plutôt convaincant lors de sa dernière apparition à la Gamescom de l'an dernier, Dragon Age II : Rise to Power nous revient en ce début d'année dans une nouvelle version jouable sur PC. L'occasion de retourner dans l'univers créé par BioWare en 2009 et découvrir que le changement, ça n'a finalement pas toujours que du bon. Historiquement coutumier des présentations riches en spoilers, BioWare a visiblement changé de politique avec cette démo de Dragon Age II : Rise to Power qui nous plaçait à un endroit inconnu du scénario du JdR, alors que Hawke (qui était une Hawkette cette fois-ci) est enfermé dans des catacombes en compagnie de son groupe. On se retrouvait du coup accompagné par un guerrier elfe arborant une épée gigantesque qui aurait clairement eu sa place dans un Final Fantasy, par une voleuse aux allures de bohémienne armée de deux dagues et d'un nain charmeur (si, si) équipé d'une grosse arbalète, le tout dans un labyrinthe de pierre forcément mal fréquenté. Si cette phase de jeu n'était pas franchement riche en dialogue, elle ne manquait en tous cas pas de combats puisque l'on a pu croiser quelques anciennes connaissances du bestiaire de la série et les passer au fil de la boule de feu (notre Hawke étant mage) par grappes de douze. Le joueur du premier épisode retrouvait évidemment certaines de ses habitudes en abusant de la pause pour placer chaque membre du groupe au millimètre et faire pleuvoir la mort lorsque l'action reprenait son cours. Au passage, on découvrait quelques bonnes nouvelles, comme l'efficacité redoublée de notre arbalétrier qui causait quasiment autant de dégâts qu'un mage. Voilà qui devrait nous changer d'un premier épisode où les armes à distance n'étaient pas toujours très efficaces.
Dragon Age II (Preview)
Ça commence un peu comme une pièce de Shakespeare : « Voici venu l'hiver de notre déplaisir changé en glorieux été par ce soleil d'York ». Tout est dans cette phrase de Richard III. L'hiver froid, humide et précoce, qui s'est abattu comme un poing de glace sur nos contrées, semble disparaître magiquement devant une douceur presque printanière et un soleil étrangement plus chaleureux que d'habitude, au même moment où s'annonce Dragon Age 2... Si on aime les symboles et les coïncidences, on peut difficilement faire mieux. Mais n'oublions pas que Richard III a la réputation d'être un type plutôt abject, option « carrément salopard » et que de l'autre côté de conte, on ne sait, finalement, pas grand-chose de Dragon Age 2. Enfin... Je dis « on ne sait pas » mais « on ne savait pas » serait plus approprié. On a pu en effet prendre en main Dragon Age 2 récemment. Donc, on peut dire aujourd'hui « on connaît un peu plus ».Ainsi, il nous a été non seulement possible de taquiner le jeu sur quelques sauvegardes, mais aussi, il nous a été possible de créer un personnage, et de le faire arpenter quelques kilomètres très virtuels, mais néanmoins très instructifs quant à l'orientation globale que va prendre le gameplay de cette suite de Dragon Age : Origins. Ceci est une publicité. Cliquez sur suivant pour continuer. Précédent Suivant Voir tout ▸ 1/4 D'ailleurs, il est bon de revenir un bref moment sur le premier opus pour mieux comprendre le deuxième tant dans son scénario que dans son gameplay.
Dragon Age II (Preview)
BioWare figure assurément parmi les studios les plus doués de sa génération. Depuis sa création en 1995, le développeur canadien a livré un grand nombre de jeux de rôle de très haute qualité. Au panthéon de ses plus belles réussites, Dragon Age : Origins tient une place de choix. Avec ses mécaniques de gameplay efficaces et sa narration soignée, le titre a en plus fort logiquement rencontré un joli succès commercial. Forcément, sa suite cristallise les espoirs mais aussi les craintes d'un nombre important de joueurs. Toutefois, au regard de la nouvelle présentation faite par BioWare, sur une version console uniquement, il paraît évident que Dragon Age II ne devrait pas décevoir grand monde. Etant donné les excellentes ventes du premier épisode, Dragon Age II représente potentiellement pour BioWare une manne financière conséquente. Le studio a donc dû penser et repenser chaque modification apportée à cette suite. Le premier gros changement concerne le déroulement du scénario. Ce deuxième volet propose en effet une mise en abîme assez osée.
Dragon Age 2 (Preview)
Il ne faut pas lire les choses que les gens écrivent sur vous sur Internet. Comme le disait Peter Mannion dans «Au coeur de l'action », c'est comme ouvrir la porte d'une pièce où tout le monde vous dit que vous êtes une sombre merde. Malgré tout, ragaillardi par l'accueil extrêmement positif fait à Dragon Age : Origins, BioWare est allé sur les forums pour chercher de l'inspiration pour la suite. Apparemment, cela a débouché sur un principe de base unique qui est au coeur de Dragon Age 2 . L'idée est d'améliorer les choses qui fonctionnaient, de remédier à ce qui ne fonctionnait pas, et d'utiliser les commentaires que vous avez faits sur le jeu cours de l'année dernière comme point de départ. En d'autres termes, si vous n'aimez pas le résultat, vous ne pourrez vous en prendre qu'à vous-même. Dragon Age 2 est beaucoup plus qu'un correctif pour le premier jeu. C'est une toute nouvelle histoire qui suit l'ascension du héros Hawke à partir de l'époque de son évasion de Lothering jusqu'à sa victoire à Kirkwall dans les Free Marshes - des actions qui, d'après les développeurs, font de lui le personnage le plus important de l'univers de Dragon Age.
Dragon Age II (Preview)
La présentation de Dragon Age 2 de la Gamescom a débuté par un long speech pointant les défauts d’Origins. Selon Bioware trois points sont à améliorer. La réalisation graphique, tout d’abord, manquait d’une certaine cohérence. Trop de lieux à l’esthétique opposée, pas assez d’unité. Pour cette suite, les développeurs canadiens nous promettent monts et merveilles. Mais impossible de vérifier leurs paroles, puisque les deux lieux dévoilés proposaient une ambiance de mornes plaines, maintes fois vues dans un JDR. Second aspect perfectible du premier Dragon Age : la narration. Non pas qu’elle soit mauvaise, mais Bioware estime qu’elle a trop tendance à s’étaler et a du mal à maintenir un rythme réellement palpitant. Pour remédier à cela, un seul terme : « frame narrative ». Sous cet obscur terme anglophone se cache une manière originale de conter une histoire. Dragon Age 2 se dote désormais d’un narrateur, qui dévoilera les grands moments de la vie de Hawke, le nouveau héros de cet épisode. Il faut savoir que l’aventure s’étale sur dix ans et fait la part belle au drame familial. Hawke n’a plus rien à voir avec un Grey Warden et vit dans une toute nouvelle région.
Gamekult
Ajouté le : 08/2010
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Dragon Age 2 : Rise to Power (Preview)
Dragon Age : Origins fut en 2009 la nouvelle franchise la mieux vendue pour BioWare. On ne s'étonne donc pas vraiment de voir arriver une suite, même si les développeurs canadiens ont décidé de ne pas reprendre l'histoire de Ferelden là où ils l'avaient laissée mais plutôt de nous conter l'ascension au pouvoir d'un certain Hawke. L'enjeu pour BioWare est simple : donner naissance à un jeu heroic fantasy non-générique et "occuper un espace dans le milieu de l'action-RPG". Pour comprendre le parti pris narratif de Dragon Age 2 : Rise to Power, il faut avant tout savoir que l'on ne vivra pas l'héroïque épopée de Hawke en temps réel mais que l'on jouera plutôt des passages de sa vie (étalés sur plusieurs années), racontés par certaines des personnes ayant croisé son chemin ou entendu sa légende. Cette mise en abyme aura d'ailleurs une influence sur les éléments que l'on jouera, puisque certains conteurs auront une fâcheuse tendance à embellir et/ou à altérer les faits afin de les rendre un peu plus dignes de celui qui est depuis devenu le champion d'un pays tout entier. On a pu découvrir cet intéressant procédé lorsque Hawke et sa soeur Bethany se retrouvaient face à un large groupe d'Engeances lors de leur fuite de Lothering (ce moment de l'histoire se passant à peu près en même temps que les évènements de Dragon Age premier du nom).
Dragon Age II (Preview)
A la fin de l'année 2009, Dragon Age Origins avait su rallier à sa cause une grande partie des amateurs de jeux de rôle heroic fantasy grâce à son histoire intéressante et à son gameplay cohérent. Sa suite compte bien faire encore mieux, tout en essayant de corriger quelques lacunes du premier opus comme le système de combat des versions consoles très inférieur à celui du PC. Aussi, Bioware a fait un choix simple : bien séparer les deux versions pour offrir aux joueurs deux gameplay bien distincts. C'est en effet l'un des problèmes auxquels se heurtent bien des développeurs de jeux multi-plates-formes : comment retranscrire au mieux les contrôles du clavier et de la souris du PC sur un pad console ? Dans le premier Dragon Age, les contrôles sur consoles étaient quelques peu alambiqués et Bioware a donc décidé de changer ça en optant pour une approche bien moins tactique et plus action. Le but est de faire en sorte que le joueur console soit au coeur du combat avec un gameplay plus direct, plus réactif. Ainsi, il vous sera possible de prendre le contrôle d'un personnage et de lui faire faire telle ou telle action par une simple pression sur une touche du pad, sans qu'il y ait besoin de faire appel à un menu radial compliqué.
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Dragon Age 2 : (5.6/10)
15 tests d’experts
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