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Nous avons réuni 10 tests du Dragon Age : Origins. Les experts notent Dragon Age : Origins 7.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Dragon Age : Origins et d'autres Jeux Xbox 360.
Présenté comme le digne successeur de Baldur’s Gate, Dragon Age : Origins revient aux sources du RPG d’Interplay. BioWare intègre ainsi le fameux système de pause mais aussi des classes de personnage issues de la célèbre série des années 90 ainsi que son système de dialogue à choix multiples. Sans être un remake ou un revival, le titre d’Electronic Arts sent bon la nostalgie tout usant des dernières technologies. Dans Dragon Age : Origins vous incarnez au choix un humain, un elfe ou un nain. Selon la classe de départ choisie, vous pouvez également opter pour divers échelons selon votre race. Par exemple, un nain peut-être roturier ou noble. Ces choix changent radicalement le début du jeu. La zone de départ et votre histoire ainsi que vos liens familiaux et votre niveau de vie influent sur vos premiers pas. Dans tous les cas, vous serez appelé à devenir un membre de l’Ordre des Gardes des Ombres. Ces guerriers à la formation potentiellement mortelle disposent d’un lien particulier avec les Engeances. Ces monstres, ressemblant étrangement aux Orques et Uruk’Hai de la trilogie du Seigneur des Anneaux de Peter Jackson, sont des êtres corrompus par un mal vicieux.
Dragon Age Origins est l'adaptation du jeu de rôle bien connu des aficionados du genre. EA relève donc un défi ardu : adapter un jeu de rôle riche et complet en jeu vidéo qui invitera également les amateurs de RPG sur console. Avec son Dragon Age labellisé « Origins », nous sommes donc conviés dans le monde de Ferelden. Il convient de mentionner tout de suite que le jeu est interdit aux moins de 18 ans. En effet, nous sommes en face d'un jeu pour adultes où la violence fait partie du quotidien. Si vous ajoutez à cela, un univers lugubre et malveillant, vous obtenez un monde où les gentilles fées et les petits lutins n'ont pas leur place. Quel sera votre destin dans ce monde de chaos ? Le point d'orgue de ce titre est le choix de votre origine. Selon votre race (humaine, naine ou elfique) ou votre profession (guerrier, voleur ou mage), vous serez amené à faire vos premiers pas dans une partie différente de Ferelden. Ainsi, que vous soyez noble ou roturier, mage ou affranchi, votre destin va façonner votre façon de voir le monde et la manière dont vous êtes perçu. Les elfes citadins par exemple sont vus comme d'anciens esclaves, une sous race.
Annoncé et aussitôt disparu en l'an de grâce 2004, Dragon Age nous est revenu l'an dernier avec le sous-titre Origins et le poste auto-proclamé d'héritier officiel de Baldur's Gate sous le bras. Il ne faut donc pas s'étonner de voir ce nouveau né de chez BioWare cristalliser tous les espoirs des fans du genre, qui tenteront sans doute tant bien que mal d'effacer ce bien piètre portage Xbox 360 de leur mémoire. Au cas où certains auraient échappé à l'avalanche de trailers déclenchée par Electronic Arts depuis la réapparition de Dragon Age en 2008, on rappellera que ce retour attendu de BioWare à l'heroic fantasy nous invite dans un nouvel univers peuplé d'elfes, de nains et d'autres poncifs du genre pour une guerre contre l'Enclin, une armée de sales bestioles agressives regroupées par Engeance et motivées par on ne sait trop quoi. Avant de rejoindre les estimés Gardes des Ombres et de commencer à taillader de l'Engeance, il faudra tout de même passer par une formalité administrative immortelle dans le jeu de rôle : la création de personnage. Vu que l'on risque bien de passer les prochains jours/semaines/mois en compagnie de notre héros en devenir, il convient évidemment de prendre le temps de bien calculer nos choix, même si les différentes possibilités offertes par le titre de BioWare peuvent paraître un peu limitées à première vue.
Pour certains, l'aventure est une évidence. Voleurs nains, fiers archers elfes, humains nobles entrainés dès leur plus jeune âge. Aux autres, il faut une terrible tragédie. C'est le jour de ses épousailles que Ciella, habitante du quartier elfe de la capitale, embrassa sa destinée. Enlevée par un seigneur concupiscent, elle fit usage des enseignements de sa défunte mère et tua le nobliau. Pourchassée, elle fut recueillie par le commandant de la Garde des Ombres et rejoignit leur ordre au terme d'un terrible rituel. La jeune fille blessée se révéla plus forte que beaucoup. Elle su dépasser la vengeance là où d'autre seraient devenus des tueurs amers. Mais la royauté chuta lors d'une bataille contre l'Engeance. Elle partit, accompagnée d'Alistair le templier déchu et de Morrigan la Sorcière, pour unir les peuples face à l'Engeance. Chasser les créatures démoniaques de Ferelden, punir les félons ; sa quête ne faisait que commencer. Ciella arriva à un petit village du nom de Lothering. Des réfugiés chassés par les Engeances y mourraient de faim et de misère. Ciella vint en aide aux malheureux en acceptant diverses petites tâches, tout en sachant que cela ralentirait d'autant sa quête principale. Elle confectionna des cataplasmes qu'elle remit à l'ainée du village.
BioWare aime à dire qu'il prend son temps pour adapter ses jeux du mieux possible aux formats sur lesquels ils sortent. Depuis qu'il s'intéresse aux consoles – c'est-à-dire depuis le premier titre sur Xbox, Star Wars : Knights of the Old Republic en 2003 – cela s'est parfaitement vérifié. On peut légitimement se demander si le temps supplémentaire pris pour adapter KOTOR, Jade Empire et Mass Effect sur PC résultaient d'accords d'exclusivité avec Microsoft ou d'un véritable perfectionnisme pour s'adapter aux spécificités du format, mais le résultat final a toujours été le même. La firme, une fidèle de longue date du jeu sur PC, a été récompensée de sa patience par d'excellentes nouvelles versions proposant parfois de nouveaux contenus. Tout cela rend cette version de Dragon Age : Origins d'autant plus décevante. Dragon Age, qui marque le retour de la firme a ses racines Donjons & Dragons (même s'il n'en a pas la licence et les règles) et que l'on l’appelle souvent le successeur spirituel de Baldur's Gate, a toujours été un jeu PC dans son essence et sa conception. En fait, pendant les premières années, il a été exclusivement développé sur PC.
Nombreux sont les jeux de rôle à avoir été annoncés comme les successeurs spirituels de Baldur's Gate. Mais les titres en question ont, au final, rarement comblé les attentes des joueurs. Sauf que dans le cas de Dragon Age : Origins, le nouveau Bioware, on n'a sans doute jamais été aussi proche de la vérité. A croire que seul le studio qui avait créé le mythe pouvait réitérer cet exploit. Il y a onze ans, Bioware gratifiait les joueurs PC d'un jeu de rôle sous licence AD&D (Advanced Dungeons & Dragons) : Baldur's Gate. Ce titre ainsi que sa suite, plus linéaire mais aussi plus épique, devinrent très vite des références dans le genre, souvent copiées mais jamais égalées. Sorti quelques années plus tard, Neverwinter Nights du même studio constitua une vraie réussite sur le plan du multijoueur mais sa campagne solo fut jugée décevante. Aujourd'hui, après avoir visité d'autres horizons dans Knights of the Old Republic, Jade Empire ou Mass Effect, Bioware renoue avec ses premières amours, l'heroïc fantasy. Dans Dragon Age : Origins, son nouveau jeu de rôle, le studio nous propose cette fois un univers de son cru, loin du classicisme des Royaumes Oubliés (la licence Donjons & Dragons est restée la propriété d'Atari, éditeur de Neverwinter Nights).
Cette fin d'année 2009 voit débarquer plusieurs jeux de rôle très attendus, pour le plus grand plaisir des amateurs du genre qui ne sauront plus où donner de la tête. Dragon Age : Origins, le nouveau titre de Bioware, s'annonce tout de même comme le grand favori. Mais en a-t-il vraiment la carrure ? Nous vous proposons quelques éléments de réponse dans ce nouvel aperçu réalisé sur la version preview du jeu, déjà bien finalisée et même localisée en français. Si vous suivez de près Dragon Age : Origins, vous n'êtes pas sans savoir qu'il a été plus ou moins annoncé comme le nouveau Baldur's Gate. Cette promesse, les fans du genre l'ont déjà entendue à maintes reprises, concernant des jeux qui n'ont finalement pas comblé leurs attentes. Sauf que dans le cas présent, on n'a sans doute jamais été aussi proche de la vérité : à croire que seul le studio qui avait créé le mythe pouvait réitérer cet exploit. Pour ceux, et il y en a aussi, qui entendent parler pour la première fois de Dragon Age : Origins, sachez que contrairement à Mass Effect, le précédent jeu de Bioware, il ne s'agit pas d'un action-RPG. Les combats s'y déroulent bien en temps réel, mais la représentation aérienne et l'utilisation de la pause active, plus que conseillée si vous ne voulez pas mordre rapidement la poussière, les rendent particulièrement tactiques.
Gamekult
Ajouté le : 08/2009
Plus accessible...
Ouvertement présenté comme "Le Seigneur des Anneaux façon BioWare", Dragon Age : Origins nous revient (une fois de plus) pour un dernier petit tour de piste avant sa sortie en novembre prochain. Pour cette gamescom 2009, les développeurs nous invitent dans un donjon sacré pour une nouvelle présentation du système de choix, et un petit face à face avec un dragon pas commode. A la base de cette énième présentation de Dragon Age : Origins se trouve un roi mourant, empoisonné pour des raisons que l'on ne découvrira sans doute pas avant la sortie du JdR. Manque de pot, ledit dirigeant se trouve être l'un de nos alliés potentiels contre l'invasion maléfique qui nous fait face, et il faudra du coup débusquer un quelconque artefact magique pour guérir le bonhomme. Si l'on imagine que cette quête nous trimballe sans aucun doute aux quatre coins de l'univers de Dragon Age : Origins pendant un bon bout de temps, l'équipe du jeu nous a transporté directement en fin de périple, alors que notre héros se retrouve avec son groupe face à une relique ancestrale, l'urne des cendres sacrées. Recherchée telle le Saint Graal par un ordre religieux auquel appartiennent deux de nos compagnons, cet objet saint nous posait tout de même un sacré problème maintenant que tous ses gardiens avaient été envoyés ad patres.
A l'occasion de l'E3 2009, Bioware a choisi de dévoiler deux nouveaux aspects de son RPG Dragon Age Origins : la gestion des rapports sociaux et, oui, la présence des dragons. Si l'aperçu précédent de Dragon Age Origins avait déjà couvert quelques éléments du jeu, on se sera cette fois penchés sur la gestion des rapports humains. C'est donc au sein d'un campement que débute cette démo, campement où se trouve une certaine Leliana, charmante guerrière au coeur tendre avec laquelle le joueur a déjà pu longuement développer ses rapports de confiance et surtout amoureux. Légèrement à l'écart vit Morrigan, sorcière peu appréciée des autres habitants du camp et qui ne cache pas ses vues sur le personnage principal. Après que celui-ci lui ait remis un grimoire, façon commune d'améliorer ses rapports, la donzelle peu farouche n'attend guère pour accourir avec ses gros sabots, se plaignant du froid qui règne dans sa tente et de la façon dont elle pourrait réchauffer l'atmosphère.
Gamekult
Ajouté le : 06/2009
Plus accessible...
Déjà découvert à plusieurs reprises depuis son retour sur le devant de la scène, Dragon Age : Origins faisait évidemment partie du line-up d'Electronic Arts à cet E3 où il se présentait pour la première fois sur consoles. L'occasion où jamais de découvrir la maniabilité adoptée par les développeurs pour le portage du titre sur Xbox 360 et PS3, tandis que la nouvelle orientation marketing de cet héritier supposé à Baldur's Gate nous laissait un brin pantois. Si la direction qu'un éditeur décide de prendre pour le marketing d'un jeu nous indiffère complètement la plupart du temps, il faut bien avouer que la "nouvelle direction" prise par Electronic Arts pour Dragon Age : Origins depuis le mois de mai en a interloqué plus d'un dans l'assistance. De la diffusion d'une cinématique de poseur usant et abusant des ralentis stylisés avec du Marylin Manson en fond sonore à une présentation qui consacrait près de vingt minutes au sexe virtuel du jeu et à peine cinq minutes au reste, on avait plus l'impression qu'EA tentait de vendre Dragon Age à une bande d'adolescents voulant toucher du doigt les interdits de leur existence par l'intermédiaire du jeu vidéo plutôt qu'à des anciens fans de Baldur's Gate cherchant désespérément un nouveau jeu à idolâtrer.
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