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Nous avons réuni 7 tests du DeathSpank. Les experts notent DeathSpank 7.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du DeathSpank et d'autres Jeux Xbox 360.
Un antihéros plutôt comique, un univers coloré et surtout déluré, voilà le nouveau RPG concocté par les créateurs de Monkey Island. DeathSpank joue dans la satire, parfois subtile et parfois grossière, mais toujours juste. L'histoire d'un mec normal qui un jour a pour mission de partir à la recherche de « L'Artefact ». Là encore, ce seront 1200 MS Points intelligemment dépensés. L'Artefact. Pas très original comme nom, mais il n'en a pas d'autre pour la simple et bonne raison que DeathSpank n'a aucune idée ce qu'il cherche ! DeathSpank, c'est bien entendu le nom du personnage principal du jeu, celui que vous contrôlez. Tout au long de l'histoire, de nombreuses quêtes, plutôt caractéristiques du genre RPG, se glissent sur votre chemin. Aller d'un point A à un point B, tuer plein de méchants monstres pas gentils pas beaux, et bien sûr récolter de nouveaux équipements et une tonne de points d'expérience pour gagner des niveaux. Des mécaniques solides et très classiques, cependant tournées à la dérision grâce à un humour extrêmement efficace. La première chose que l'on remarque en démarrant la partie, c'est le style graphique de DeathSpank.
Quand on évoque le nom de Ron Gilbert, difficile de ne pas faire allusion aux deux premiers épisodes de Monkey Island et au succès qu'on leur associe. Alors quand l'homme et le studio de Hothead Games (qu'il a depuis quitté) présentent leur dernier projet, c'est une certaine attente qui se forme autour du titre en question. Baptisé DeathSpank, le jeu a atterri il y a peu sur les services online de la PS3 et de la Xbox 360. Tient-il toutes ses promesses ? Parce que c'est un héros et parce qu'il est prêt à tout pour aider la veuve et l'orphelin, le personnage principal de DeathSpank n'hésite pas une seconde quand on lui apprend que sa destinée est de mettre la main sur The Artefact. Bien évidemment, la tâche n'est pas si aisée et pour mener à bien sa mission, notre ami va devoir aider une mystérieuse Demon Witch à mettre la main sur des ingrédients précis qui lui ouvriront la voie vers le précieux objet. Une quête qui va permettre de découvrir un monde aussi étrange qu'intriguant où une pléiade de PNJ n'hésiteront pas à confier au héros des missions toutes aussi improbables et débiles les unes que les autres.
Ron Gilbert, un nom qui donne des frissons à beaucoup de joueurs amateurs notamment de jeux d'aventures. En effet, le gaillard n'est rien d'autre que le concepteur du système SCUMM qui a permis aux deux premiers épisodes de la série Monkey Island de voir le jour. Son travail sur la série s'est arrêté à ces deux opus. Le voici qui revient sur le devant de la scène dans une production conforme à sa vision décalée du jeu vidéo avec DeathSpank, un mélange improbable entre Diablo et Monkey Island. Le Xbox Live Arcade et le PlayStation Network sont souvent sources d'innovations, de prises de risques créatives et parfois le résultat est décevant. Ici, pas de soucis à se faire, cette production est un petit bijou. DeathSpank, Dispensateur de Justice, Vainqueur des Forces du Mal, Héros des Opprimés, s'est vu confier l'immense tâche de retrouver un puissant artefact aux pouvoirs mystérieux répondant au nom de... l'Artefact. Cette quête va le conduire à parcourir le vaste monde et à exterminer toutes les créatures qui oseront se mettre en travers de son chemin. Ce qui est sûr, c'est que DeathSpank ne fait pas dans la finesse.
Cela faisait presque 15 ans que Ron Gilbert, le talentueux créateur de la série Monkey Island, n’avait pas pris le temps de faire un jeu. Alors quand on a appris que ce dernier travaillait sur un hack and slash, forcément, on était pris de curiosité. Deathspank, c’est un peu la rencontre de Monkey Island avec le hack and slash. L’univers et le scénario sont complètement barrés. Et c’est un euphémisme, jugez plutôt. Le joueur incarne Deathspank, un légendaire héros parti à la recherche d’un puissant artefact nommé l’Artefact. Pourquoi ? Parce qu’une belle rousse le lui a demandé, tout simplement. Deathspank est un héros stupide. Il fait ce qu’on lui demande parce que c’est un héros, et parce qu’il faut écharper et décapiter. Et si cela vous semble absurde, sachez que les PNJ et le monde dans lequel on va évoluer sont du même acabit. Entre le maire d’une petite ville qui vous demande d’aller sauver des orphelins pour redorer son image à la veille des élections (mais qui précise qu’il faut les mettre dans un sac à orphelin pour les garder propre, parce que sinon c’est mauvais pour l’image), un ancien héros à la retraite qui veut bien réparer votre épée à la seule condition de lui ramener un taco avec des tripes, des haricots et le tout bien épicé (en fait, c’était ça ou lui ramener un tank) ou un spéléologue claustrophobe et kénophobe, la galerie des personnages est directement inspirée des meilleurs point and click de monsieur Gilbert.
Dans DeathSpank, vous prenez le contrôle de DeathSpank, justement, dispensateur de justice, vainqueur du mal et héros des opprimés de son état ; un personnage haut en couleurs, tant par ses répliques aussi grandiloquentes que débiles, que par son slip mauve. En bon héros qu'il est, DeathSpank est lancé dans une quête, en l'occurrence la recherche d'un artefact légendaire connu sous le nom de l'Artefact, également convoité par le maléfique Lord Von Prong. DeathSpank va donc devoir accomplir des missions d'importances diverses afin de mettre la main sur cet artefact et triompher de Von Prong et de ses sombres desseins. L'univers heroic-fantasy dans lequel se déroule l'aventure se veut assez classique, et vous croiserez donc la route de gobelins, orques, magicien, forêt enchantée, sorcière, arbre parlant et autres saloperies de licornes. Néanmoins, tout ces poncifs se font gentiment malmener dans cet univers complètement décalé, notamment au travers des dialogues, les plus drôles depuis bien longtemps, baignant dans un humour joyeusement potache et parsemé de blague bien grasses. Il serait cruel de vous spoiler quoi que ce soit tant les dialogues entre DeathSpank et les différents NPC sont pour beaucoup dans le plaisir que l'on a à progresser dans l'aventure, mais sachez qu'à moins d'être mormons, vous ne risquez pas de vous ennuyer.
Sur Xbox Live Arcade, il y a des jeux qui marqueront durablement les joueurs et d'autres moins. Par chance, DeathSpank : Episode 1 : Orphans of Justice appartient justement à la première catégorie. Bénéficiant d'un design unique et d'un gameplay accessible, ce hack'n slash délirant signé Ron Gilbert (le créateur des Monkey Island) mérite vraiment le détour comme nous allons le voir sans tarder. Depuis les deux premiers épisodes de l'excellente série Monkey Island, Ron Gilbert n'avait guère fait parler de lui. Début 2008 cependant, le génial game designer annonçait son intention de se lancer dans un nouveau jeu d'aventure inspiré à la fois de Monkey Island et de Diablo. Se heurtant au refus incompréhensible de nombreux éditeurs, Ron Gilbert a dû batailler ferme pour mener son projet à bien et on ne peut que l'en féliciter car le résultat, aujourd'hui disponible sur Xbox Live Arcade et PSN, est tout simplement fantastique. Pourfendeur du mal, défenseur des opprimés, DeathSpank (fessée de la mort en français) est un héros à l'ancienne. Pourtant, dès les premiers dialogues du jeu doublés par des acteurs en grande forme, on remarquera que c'est bien l'humour et non l'idéal chevaleresque qui va caractériser sa longue quête pour retrouver un puissant artefact nommé avec beaucoup d'à-propos... l'Artefact.
Dernière production de Hothead Games à voir le jour sous la direction de Ron Gilbert, DeathSpank revisite le hack and slash en y injectant une bonne dose d'humour et en emballant le tout dans un paquet cadeau coloré et franchement singulier. La direction artistique du jeu ne fera sans doute pas l'unanimité, mais elle reste réussie avec son style pétillant et rondelet qui n'hésite pas à mélanger 2D et 3D. Toutefois, c'est surtout l'humour omniprésent qui illumine littéralement DeathSpank avec son héros d'une idiote grandiloquence et les nombreux PNJ qui nous offrent de croustillants dialogues, bourrés de clins d'oeil pour nerd et de blagues potaches. Face à cette légèreté ambiante, le gameplay réussit à se montrer suffisamment profond pour donner envie de filer dans une aventure parsemée de quêtes assez basiques. Après avoir dédié les quatre boutons de façade aux armes de son choix (épée, hache, arbalète...), on fonce vers des poignées d'ennemis en se protégeant grâce au bouclier (gâchette droite) et en utilisant les objets assignés à la croix directionnelle (pour se soigner ou faire quelques feux d'artifice qui nettoient bien).
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour DeathSpank. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce DeathSpank.