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Nous avons réuni 15 tests du Dead Space 2. Les experts notent Dead Space 2 8.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Dead Space 2 et d'autres Jeux Xbox 360.
Adulé par la critique et les joueurs avides de sensations fortes, Dead Space premier du nom a marqué le commencement d’une nouvelle franchise bien décidée à s’imposer comme la nouvelle référence du survival-horror. Deux ans après avoir fait frémir le monde entier, Visceral Games, en charge du monstre, nous offre enfin sa suite. Isaac Clarke reprend donc officiellement les armes pour une aventure synonymes de quelques changements. Si dans sa première aventure, notre héros au nom inspiré découvrait un vaisseau « abandonné » (en langage de film d’horreur ça signifie « rempli de bestioles répugnantes ») après divers évènements, cette fois-ci, il vivra le début du cauchemar et non juste sa finalité. Réveillé après un coma de trois ans, le bougre a perdu quelques neurones au passage, souffrant d’une certaine démence causée par le Monolithe, cet artefact extraterrestre d’apparence phallique. Pas le temps de s’apitoyer, d’autant plus qu’il n’y a pas grand monde sur qui pleurer. Les nécromorphs se répandent dans la station Méduse, se trouvant sur Titan, satellite de notre bonne vieille Saturne.
Étrangement boudé par le public, Dead Space premier du nom a pourtant su redonner ses lettres de noblesse à un genre en perdition : le survival horror. Malgré son ambiance particulièrement soignée et sa réalisation de haute volée, le jeu de Visceral Games n'a pas obtenu le succès escompté. Pas découragé par ce pseudo-échec, le studio américain, qui a su garder le soutient d'Electronic Arts, nous propose aujourd'hui de retrouver l'ingénieur le plus maltraité de l'histoire du jeu vidéo pour poursuivre son épopée spatiale dans un nouvel épisode que l'on nous a promis plus dynamique et plus ambitieux. Le moment est donc venu pour Isaac de reprendre du service et de retourner jouer les bouchers au fin fond de l'espace. Alors qu'il se croyait tiré d'affaire, Isaac Clark reprend donc du service pour une nouvelle aventure. Exit les espaces restreints et exigus de l'USG Ishimura, notre ingénieur se réveille sur Méduse, une métropole spatiale implantée sur Titan, satellite de Saturne, trois ans après les évènements survenus sur le vaisseau fantôme de la CEC. Loin du départ tranquille du premier épisode, l'aventure démarre ici sur les chapeaux de roues alors que les nécromorphes ont envahi la station.
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Ajouté le : 01/2011
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Après une première échappée dantesque (ou presque), Dead Space n'a plus rien à prouver côté frayeur. Et pourtant, pris en main, le second rejeton spatial d'EA a dévoilé des trésors de profondeur et moult surprises, en solo comme, oui, en multi Il ne va pas très fort Issac Clarke. Lui, le pourfendeur de nécromorphes, ingénieur à tout faire, garçon de courses légendaire et survivant de l'enfer, est bel et bien sorti en un seul morceau de son séjour sur l'USG Ishimura... Mais dans quel état. Une victoire à la Lovecraft, qui laisse le malheureux champion plus ou moins sur pied, mais condamné. Au bord de la démence, sinon déjà un peu dément sur les bords. Si vous pensiez que le scaphandrier de Dead Space avait réussi à passer entre les mailles du filet, à déjouer les mauvais tours causés sur le mental par ce maudit Monolithe, repensez-y. Les hallu, la déprime, ça a plus que commencé. Le coma a suivi, et c'est dans un lit d'hôpital, sur un bout de croûte planétaire en pleine odyssée spatiale nommée The Sprawl, que le héros malgré lui se réveille. Accessoirement, l'église de l'Unitologie le voit d'un mauvais oeil, et le gouvernement terrien est à ses trousses... Oh, bien sûr, ça peut toujours être pire. Clarke pourrait être en train de se faire téter les yeux, mâchouiller les amygdales ou dérouler les intestins par quelque zombi du coin.
A l'image de Ripley, Isaac Clarke semble voué à affronter une menace venue d'ailleurs et ce jusqu'à son dernier souffle. En 2008, Visceral Games nous avait prouvé qu'on pouvait bel et bien nous entendre crier dans l'espace. Deux ans plus tard, le résultat est encore pire puisque les cris ont cédé leur place à des hurlements. Récit d'une aventure tétanisante aux confins du système solaire. Le doute, la colère, la peur, la culpabilité. Tous ces sentiments habitèrent Isaac avant que le vide glacial de l'espace ne le happe pour l'offrir aux ténèbres échappées de l'Ishimura... Station de la Méduse, en orbite autour de Saturne, quelques années plus tard. Rescapé miraculeux d'un massacre sans nom, l'ingénieur muet revient à la vie et s'il récupère en passant l'usage de la parole, il n'en aura pas moins le souffle coupé en découvrant ce qui l'attend à nouveau. Vous l'aurez certainement compris, Isaac Clarke fait partie de ces héros maudits, de ceux qui vivent par la souffrance en cherchant désespérément un moyen d'en éliminer la cause. Malheureusement, avec des pères comme ceux de Visceral Games, l'homme ne semble pas près de trouver le repos mérité. Mais ne brûlons pas les étapes et revenons quelque temps en arrière.
Acclamé par la critique mais boudé par le public, le premier Dead Space avait su renouveler un genre en sérieuse perte de vitesse : le survival horror. Quand on voit ce que sont devenus les séries telles que Resident Evil ou Silent Hill, il y a de quoi éprouver quelques regrets. C'est ainsi que les développeurs de chez Visceral Games nous proposèrent leur jeu qui revenait tout simplement aux bases : une ambiance oppressante à souhait, des monstres assoiffés de sang et un héros loin des gros stéréotypes du genre. Cette suite très attendue saura-t-elle réitérer l'exploit ? Réponse dans ce test.Premièrement, tous ceux qui n'auraient pas joué aux premiers opus (et sincèrement, honte à eux !) pourront rattraper leur retard grâce au résumé de l'épisode précédent, plutôt clair et concis, disponible dans les menus du jeu. Pour laisser la surprise aux prochains acquéreurs, je ne dévoilerais rien d'important sur le scénario qui est bien plus mis en avant que lors du premier opus. En effet, alors que dans le premier épisode notre cher Isaac ne pipait mot, notre héros se voit désormais doté de parole, et Dieu sait que le joueur l'entendra durant la partie. Cela le rend ainsi plus vivant et également plus humain (si l'on excepte le fait qu'il passe ses journées à démembrer des gens, évidemment).
L'horreur a changé de camp. Les zombies de Resident Evil ne font plus peur, surtout ceux qui se baladent en Afrique avec un AK-47 dans les mains. Pour claquer des fesses et avoir des sueurs froides, c'est du coté de Dead Space qu'il faut désormais regarder, avec les péripéties d'Isaac Clarke à bord de l'USG Ishimura qui ont incontestablement marqué les esprits. La fin du premier volet annonçait clairement une suite, et Dead Space 2 débute cette fois-ci sur la station spatiale La Méduse, le nouveau terrain de chasse - ou de jeu, c'est selon - des Nécromorphes toujours aussi sanguinaires, trois ans après les événements survenus dans le brise-surface. Clarke y a été interné parce qu'il est en proie à des hallucinations provoquées par le Monolithe. Alors qu'un spécialiste tente d'en décrypter le sens, l'hôpital psychiatrique se retrouve subitement attaqué par des Nécromorphes, ne laissant que quelques secondes à l'ex-ingénieur pour se mettre à l'abri. Ce n'est qu'une fois débarrassé de sa camisole qu'Isaac Clarke retrouve la pleine possession de ses moyens, avec comme unique objectif d'échapper au massacre. Naturellement, le scénario de Dead Space 2 offre sont lot de rebondissements basiques et archi prévisibles, mais le plus important c'est qu'il ait réussi là où Resident Evil 5 et Capcom se sont lamentablement plantés.
Dead Space premier du nom avait marqué les esprits de bon nombre de joueurs grâce à un gameplay et une ambiance horrifique à toute épreuve. Là où désormais le jeu survival-horror ne signifiait plus qu'un jeu d'action gore, Dead Space remettait les choses dans l'ordre en nous faisant salir plus d'un caleçon, assis sur un canapé devant notre télé plongé dans l'obscurité. Il est clair que pour un coup d'essai de la part de Visceral Games, celui-ci s'est vite avéré être un coup de maître. Malheureusement il arrive (trop souvent) que même un jeu de grande qualité ne connaisse pas le succès escompté... Mais pourtant une suite verra le jour, pour notre plus grand plaisir. Pour cette preview, nous avons eu la chance de tester les épisodes 2 et 3 du jeu. Premières impressions. L'avis de MaximeTout d'abord, et comme vous avez pu sûrement vous en rendre compte si vous avez joué à la démo, le fan du premier épisode restera en terrain connu. Interface identique au premier opus, et qui ne met donc pas le jeu en pause lorsque l'on fouille dans notre inventaire (histoire de toujours être sous pression), système de sauvegarde, stock, plan, jouabilité, etc...
Avec Dead Space, Visceral Games avait délivré en 2008 l'une des aventures solos les plus terrifiantes de ces dernières années. Pour le retour aux affaires d'Isaac Clarke, le studio américain a cette fois décidé d'ajouter un atout supplémentaire dans la manche de sa série phare : un mode multijoueur. Et c'est ce dernier qui a récemment mis nos nerfs à rude épreuve lors de quelques parties intenses au cours desquelles nous avons tour à tour incarné humain et Nécromorphe. Difficile de concevoir de nos jours un jeu sans y implémenter un aspect multijoueur. En plus de diversifier le contenu de leur titre, les développeurs augmentent également sensiblement sa durée de vie. Un choix que n'avait pourtant pas fait Visceral Games pour Dead Space premier du nom. Ce qui ne l'avait pas empêché de remporter un franc succès auprès de la critique. Pour le deuxième épisode de la série, la donne a changé puisqu'un mode multi fait son apparition. Il vous propose d'incarner à la fois les forces de sécurité de The Sprawl, la station minière sur laquelle se déroulent les évènements de Dead Space 2, et les répugnants Nécromorphes.
Dead Space était l'une des belles surprises d'Electronic Arts et de son envie de laisser leur chance à des projets originaux en lançant de nouvelles licences. Dès son premier épisode, la série obtient un succès critique et public le propulsant comme la nouvelle référence du Survival Horror. Ce titre nous narrait l’histoire d’Isaac Clarke, un ingénieur devant rétablir le contact avec un croiseur spatial. Le problème est qu’une fois arrivé sur place, il se rend compte que tout l’équipage a été décimé par des monstres, et qu’ils sont toujours présents. Bien qu’il ait fui, il semble que Isaac ne soit pas encore débarrassé des nécromorphes. Un deuxième épisode donnant l’occasion à Visceral Games de confirmer l'essai. Présent au centre du stand Electronic Arts de la Paris Games Week, Dead Space 2 accueillait les nombreux amateurs de frissons dans une petite salle sombre autour de cette suite très attendue. Précisons tout de suite que, étant donné le bruit du salon, nous ne pouvions pas profiter au mieux de la bande-son du titre, élément à part entière de l'ambiance. Heureusement que les animateurs n'hésitaient pas à venir nous faire sursauter grâce à quelques cris alors que nous étions plongés dans l'aventure.
Détenteurs du record de la présentation la plus courte de la gamescom 2010, les développeurs de Dead Space 2 nous ont invités à découvrir très brièvement le côté spectaculaire des nouvelles aventures d'Isaac Clarke à la surface de The Sprawl. Ne clignez pas des yeux, ça va aller très vite. Perché à plusieurs kilomètres au-dessus de The Sprawl au début de cette présentation, ce bon vieux Isaac cherchait à rétablir le courant dans la colonie minière qui servira de théâtre principal aux évènements de Dead Space 2. On retrouvait du coup notre héros en scaphandre alors qu'il se dirigeait dans le vide de l'espace à l'aide d'une poignée de petits propulseurs placés aux endroits stratégiques de sa combinaison et qu'il se chargeait d'aligner les panneaux solaires de la station grâce à ses capacités télékinétiques avant d'arriver à cours d'oxygène. Cette petite opération de réparation sauvage en apesanteur se retrouvait évidemment interrompue par l'intervention d'un des éminents membres du bestiaire de Dead Space 2, à savoir un gros furoncle convulsé qui crachait des projectiles particulièrement dangereux.
Loin des entrailles glacées de l'Ishimura, Isaac poursuit bien malgré lui son chemin sanglant à travers l'espace. Son talent inné pour s'attirer des ennuis le conduit en effet dans une gigantesque station minière située sur Titan, l'une des lunes de Saturne. L'endroit est vaste, sinistre et peuplé de vieilles connaissances qu'Isaac se serait volontiers passer de retrouver. Ainsi, si comme Ripley en son temps, le bougre plonge une nouvelle fis en plein cauchemar, l'amateur éclairé de survival-horror peut d'ores et déjà se frotter les mains... Dead Space 2, vous l'avez compris, compte jouer à plein de son nouvel environnement. Plus vaste, le jeu paraît déjà bien plus varié que son aîné, sans pour autant se départir de l'ambiance poisseuse et oppressante qui fit de ce dernier une telle réussite. Cela dit, la présentation à laquelle nous avons eu le privilège d'assister s'évertuait davantage à nous montrer les progrès effectués dans le domaine de la mise en scène. Calquée sur la démonstration du jeu effectuée lors de la conférence d'Electronic Arts, la démo voyait effectivement Isaac tenter de rétablir le courant dans toute la station.
Le pauvre Isaac Clarke n'est pas tout à fait sorti indemne de l'épave de l'Ishimura. Ce qu'il y a vu continuera certainement de le hanter jusqu'à la fin de ses jours. Mais cette expérience lui permettra peut-être aussi de savoir un peu mieux se défendre face aux dangereux nécromorphes. Le soudeur le plus intrépide de l'espace va en effet reprendre du service dans Dead Space 2. On se souvient que le premier Dead Space avait bousculé le petit monde du survival-horror lors de sa sortie il y a un peu moins de deux ans. Il n'était plus question d'explorer une bonne vieille maison hantée ou de lutter contre des araignées géantes : le frisson était cette fois-ci accommodé à la sauce spatiale. Le résultat était tout simplement grandiose. Dans la foulée, la licence a même donné naissance à un rail-shooter exclusif à la Wii qui était lui aussi particulièrement soigné. Le studio Visceral Games s'apprête à revenir à l'attaque en mettant une nouvelle fois en selle Isaac Clarke, le héros du premier volet. Trois ans se sont écoulés depuis son aventure à bord de l'Ishimura, il tente désormais tant bien que mal de reprendre une vie normale et d'oublier les horreurs dont il a été témoin.
Univers Consoles
Ajouté le : 06/2010
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Isaac a bien changé depuis Dead Space. L'idée directrice derrière ce changement, c'est un constat tiré du premier épisode. Trop effrayant ? La question est plus complexe que ça, mais les développeurs ont jugé que les joueurs avaient quand même droit à une revanche sur la trouille. D'où la décision de renverser la tendance pour plus d'action, de faire du joueur autre chose qu'une petite créature apeurée, soit lui accorder un peu du pouvoir de ses ennemis. Là où Isaac ne faisait que réagir aux événements, maintenant il planifie. Du survival pur, on glisse vers le Survival/action, avec des séquences uniquement au shoot. Et si Dead Space avait aussi marqué par son ambiance, son atmosphère, celle-ci était peut-être un peu trop uniforme, pas assez variée sur l'ensemble de l'aventure. Lieux visités, ennemis rencontrés, combinaisons portées, la diversité sera au rendez-vous. Plus étonnante, l'autocritique sur les contrôles, jugés insuffisamment réactifs, notamment sur les coups de mêlée. La question est donc à l'étude en ce moment. Tout comme les combats au corps qui suivent les cinématiques : faut-il envisager la possibilité de les initier manuellement ?
Trois ans se sont écoulés depuis les funestes événements décrits dans le premier Dead Space. Trois longues années pendant lesquelles Isaac, le survivant de cette rencontre avec les nécromorphes, a sans doute fait son possible pour effacer de sa mémoire les horreurs dont il a été témoin. Mais on le sait, les cauchemars sont tenaces et plus on tente de les oublier, plus ces ce derniers semblent nous poursuivre avec acharnement. Isaac pourrait bien faire figure d'homme le plus malchanceux de l'univers, car après s'être extirpé à grand peine des entrailles glacées de l'Ishimura, le bougre va une nouvelle fois se retrouver plongé en enfer. Maintenant doté d'une voix et d'un visage (même s'il ne nous a pas été donné de les découvrir lors de la présentation), le technicien de charme et de choc est cette fois chargé d'aller remettre en état les installations d'une station minière située sur Titan, l'une des lunes de Saturne. The Sprawl, puisque c'est là le nom de l'installation, est effectivement confronté à quelques petits soucis divers et variés suite à une mystérieuse explosion peut-être causée par une des opérations de forage, peut-être par autre chose. Mais cette mission en apparence classique va bien évidemment tourner à la foire au pâté lorsqu'au détour d'un couloir, on apercevra l'ombre difforme d'un de nos chers nécromorphes...
Gamekult
Ajouté le : 05/2010
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Bonne surprise de la fin 2008, Dead Space nous reviendra l'année prochaine dans un nouvel épisode toujours placé sous le signe de la terreur au fin fond de l'espace. Pour mieux faire grimper la tension jusqu'à cette sortie tout de même assez lointaine, Electronic Arts a tenu à nous présenter la nouvelle aventure d'Isaac Clarke pour la toute première fois. Trois ans après les évènements de Dead Space premier du nom, Visceral Games nous invite sur The Sprawl, une colonie minière fondée sur les restes de Titan à laquelle s'est progressivement greffée une gigantesque mégalopole sur fond d'espace étoilé. Pas le temps de faire du tourisme, puisque l'on retrouve notre cher Isaac Clarke pour un plongeon littéral dans les entrailles de l'endroit afin de faire face à une armada de sale bestioles pas spécialement bien intentionnées. Notre héros-malgré-lui a d'ailleurs bien évolué depuis 2008 avec l'arrivée notable de nouvelles combinaisons, de contrôles beaucoup plus souples pour toutes ses capacités (kinesis, stasis, etc.) et de l'intégration d'une voix et d'un visage destinés à lui donner un peu plus de personnalité.
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