DarkSpore
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Nous avons réuni 9 tests du DarkSpore. Les experts notent DarkSpore 6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du DarkSpore et d'autres Jeux PC.
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Test DarkSpore
Test DarkSpore
Plus un concept qu'un véritable jeu, Spore avait laissé un sérieux goût d'inachevé à nombre de joueurs et Maxis a donc décidé de revoir sa copie pour la venue de ce DarkSpore qui n'a finalement plus grand-chose à voir avec le jeu imaginé par Will Wright. Les notions d'ADN et d'amélioration de créatures sont toujours au programme, mais c'est à peu près tout ce qu'il subsiste du titre de 2009. Véritable hack & slash, DarkSpore s'inscrit effectivement bien davantage dans le prolongement d'un Diablo et nous invite donc à écumer des dizaines de niveaux à la recherche d'artefacts disséminés à travers toute la galaxie. Au commencement de DarkSpore, il est évidemment question de manipulations génétiques... C'est qu'il faut tout de même justifier l'emploi de la licence ! Le scénario débute donc par les expériences farfelues d'un peuple expert en ADN, les Crogéniteurs. Sans surprise, les experts en question se sont retrouvés incapables de maîtriser leurs créations et plutôt que de tenter de résoudre le problème, la plupart d'entre-eux ont choisi la fuite. Plusieurs siècles plus tard, nous sommes réveillés par l'intelligence artificielle de notre vaisseau qui nous explique la situation.
Test Darkspore
Alors que Spore n'aura finalement pas eu droit à toute une collection d'extensions comme Les Sims, l'autre célèbre bébé de Maxis, voici venir une déclinaison du principe original. Darkspore s'approprie en effet l'éditeur de créatures, la seule véritable originalité de Spore, et l'intègre à un hack and slash spatial. Malheureusement, c'est bien loin d'être suffisant. Ministre des spores Contrairement à Spore qui était un grand bac-à-sable où le joueur créait sa propre aventure et modelait ses créatures, Darkspore repose sur un scénario. Les Crogéniteurs, des scientifiques adeptes de la manipulation génétique, ont malheureusement créé un virus lors de leurs expériences : l'éponyme darkspore. Et ce virus capable de faire muter l'ADN des créatures qu'il infecte s'est répandu dans toute la galaxie. Des hordes de mutants hantent désormais les différentes planètes, et c'est bien évidemment au joueur de régler le problème. Rien de très original. Pour mener à bien sa tâche, il suffit au joueur de diriger une escouade de héros depuis son vaisseau pour nettoyer progressivement les planètes infestées de mutants. Et ces héros, ce ne sont ni plus ni moins que des créatures comme il était possible d'en créer dans le jeu Spore.
Test Darkspore
Le studio Maxis ne sort que très rarement des sentiers battus et rassurants des Sims. Le plus marquant de ces écarts est sans aucun doute Spore, une franchise grâce à laquelle notre imagination donnait naissance à des bestioles plus improbables les unes que les autres. Un jeu sans grand succès toutefois. Aujourd’hui, Maxis revient avec Darkspore, un hack and slash d’un tout nouveau genre, que l’on accueille sans retenue dans l’attente du géant Diablo. Aussi fin dans son scénario que dans son principe, le genre hack and slash ne s’encombre pas d’une histoire très poussé. Darkspore encore moins. Pour le pitch, vous incarnez un Crogéniteur, membre d’une caste de scientifiques qui découvrent l’E-ADN, cette vilaine molécule transformant tout ce qu’elle touche en Darkspore. Le truc, c’est qu’un Darkspore (en plus d’avoir un nom kikoo), ça a très mauvais caractère et ça transforme tout ce qu’il croise en… Darkspore. Ni une, ni deux, vous voici propulsé dans une quête pour éradiquer la menace interplanétaire. Mais cette fois, finis les calculs et les expériences de labo, vous allez devoir sortir vos Spores les plus fidèles pour aller briser les rotules de ces dark manants.
Test Darkspore
Le genre action-RPG, également appelé hack 'n' slash en raison de sa tendance à nous faire décimer du monstre à la chaîne, possède quelques très beaux représentants. L'incontournable Diablo bien sûr, mais également le récent Torchlight. C'est à ce dernier que Darkspore fait penser dans un premier temps, en raison de graphismes très cartoon. Il faut dire que le jeu reprend à son compte les créatures aussi monstrueuses que mignonnes du surestimé Spore. Il y en a une centaine à débloquer (en vérité 25 types de base, chacun d'entre eux étant décliné en quatre variations) et à personnaliser. Sur ce point précis, Darkspore commence déjà à souffler le chaud et le froid. Si l'on apprécie de pouvoir ramasser un grand nombre d'améliorations génétiques sur les champs de bataille, et de pouvoir les placer un peu comme bon nous semble sur nos héros, on regrette que l'éditeur de créatures de Spore ait été autant bridé. Il est en effet impossible de partir de zéro et de créer sa propre bestiole. On peut toujours se consoler en se disant qu'avec des créatures générées à l'avance, le jeu se montre très accessible. Peut-être même un peu trop puisque les premiers niveaux ne proposent absolument aucun challenge.
DarkSpore
Passé maître dans l'art de décliner ses licences à toutes les sauces et sur tous les supports, Maxis nous offre aujourd'hui Darkspore, la rencontre improbable entre Spore et Diablo. Improbable ? Pas tant que ça si l'on considère que l'un et l'autre sont basés sur le même concept : l'évolution. Les Darwin en herbe vont pouvoir exercer la sélection naturelle à grands coups de Hache à Deux Mains Rutilante du Corbeau + 4. Contrairement à ce que voudrait vous faire croire l'intelligence artificielle à la voix féminine qui vous sort de votre sommeil cryogénique et vous expose la situation, le scénario de Darkspore tient sur un timbre-poste. Alors que différentes espèces vivaient plus ou moins en harmonie dans la galaxie, les Crogéniteurs, un peuple rompu aux modifications génétiques, a eu l'idée géniale de se livrer à d'audacieuses manipulations sur un ADN plus évolué découvert par hasard : l'ADN exponentiel ou E-ADN. Et comme de bien entendu, les joyeusetés issues de ces expérimentations se sont retournées contre leur créateurs, qui ont préféré prendre la tangente quand ça a mal tourné, laissant leurs abominations infester les planètes alentour.
Darkspore (Preview)
Remplaçant l'évolution généralisée par une simple augmentation de l'équipement et des caractéristiques des différentes créatures disponibles, Darkspore met clairement l'accent sur la compétition et l'affrontement. Un changement de cap qui passe par une simplification du gameplay afin de rendre cet Action RPG accessible et surtout plus nerveux que ne l'était son grand-frère dans ses séances d'extermination spatiale. De fait, la prise en main est extrêmement simple et repose presque uniquement sur la souris, secondée de quelques raccourcis clavier qui permettent d'accéder plus aisément aux sorts de vos guerriers griffus. Un fonctionnement très proche du Spore original qui ne devrait donc pas surprendre les habitués et parallèlement donner l'occasion aux joueurs occasionnels de se lancer dans l'aventure sans grande difficulté. Ce qui ne signifie pas le sacrifice de la réflexion, comme le mode PvP l'a démontré.A la tête d'un groupe composé de trois créatures différentes, dans le cadre d'une sorte de Deathmatch, votre objectif est logiquement de mettre en déroute votre ou vos adversaire(s) humain(s) que ce soit dans une configuration en 1 contre 1 ou 2 contre 2.
Darkspore (Preview)
J'aime cet article 1 personne aime cet articleDeux ans après avoir créé le buzz avec Spore, le fameux jeu de simulation de vie, Maxis nous a présenté son nouveau bébé durant la gamescom 2010, le dénommé Darkspore, attendu sur PC d'ici le mois de février prochain. Suite ou préquelle de Spore ? Que nenni, ce titre n'a pas grand-chose en commun avec son grand frère, car, ô surprise, Will Wright nous offre aujourd'hui un jeu résolument orienté action-RPG, où l'atelier de créatures permet surtout de mettre au point l'armée idéale pour vaincre le maléfique Darkspore. Car si Spore nous glissait dans la peau de Dieu, Darkspore nous promet celle d'Arès : le but est désormais de dégommer des bestioles à toute berzingue sur des planètes hostiles et inconnues. Étonnant ? Oui. Excitant ? Sans aucun doute.Electronic Arts nous avait prévenu : alors que Maxis n'en finit plus de faire vivre des aventures plus rocambolesques les unes que les autres à ses Sims, le studio a décidé de changer d'air. Le voilà donc qui débarque dans un registre dans lequel on ne l'attendait pas : le RPG futuriste multijoueur.
Gamekult
Ajouté le : 08/2010
Plus accessible...
Darkspore (Preview)
Plongé dans une léthargie relativement profonde depuis des années, le genre du hack and slash connait un certain regain d'activité depuis l'annonce de Diablo III par Blizzard Entertainment. Entre les Torchlight et Dungeon Siege III, Electronic Arts compte bien se tailler une petite place avec Darkspore, le prochain titre de Maxis que l'on a pu découvrir et même essayer à la gamescom de Cologne en Allemagne. Premier détail dévoilé par l'équipe du jeu lors de cette présentation : Darkspore n'est pas une suite ou même une extension de Spore. Les développeurs ont juste voulu exploiter les outils technologiques créés pour Spore dans un autre type de jeu et ont décidé de se lancer avec un hack and slash. On ne devrait donc pas trouver le moindre point commun entre Darkspore et Spore d'un point de vue gameplay, ce qui est plutôt une bonne nouvelle à vrai dire. On ignore même s'il existera le moindre lien scénaristique entre les deux produits, puisque le contexte de Darkspore ne nous a pas vraiment été révélé. Tout juste sait-on qu'il s'agira là de science-fiction et que nos missions nous trimballeront sur tout un tas de planètes peuplées de créatures belliqueuses.
DarkSpore (Preview)
Lors de sa sortie en septembre 2008, Spore avait marqué les esprits grâce à son concept de simulation de vie évolutionniste. Aujourd'hui, le studio de développement Maxis est de retour avec un nouveau titre qui, tout en conservant certains éléments de Spore, prend la forme d'un action-RPG des plus prometteurs... D'abord, une précision qui s'impose : Darkspore n'est en rien une extension de Spore mais bien un jeu à part entière. D'ailleurs, l'ambition affichée des développeurs est clairement de toucher un nouveau public grâce à un savant mélange d'action et de jeu de rôle (Diablo et Magic The Gathering représentent ainsi des sources d'inspiration), le tout clairement orienté vers le multijoueur et mâtiné d'une pointe d'exploration/collection à la Pokémon ! Cette mixture improbable de genres pourrait paraître indigeste sur le papier, d'autant que Will Wright, le génial créateur des Sims à l'origine également de Spore, n'a pas collaboré au jeu. Et pourtant, après avoir assisté à plusieurs phases de jeu et même avoir essayé un niveau, on peut d'ores et déjà vous dire qu'il n'en est rien. Et que Darkspore risque fort de rendre accro des milliers de joueurs dès sa sortie programmée au printemps 2011...
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