20 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 20 tests du Crackdown 2. Les experts notent Crackdown 2 6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Crackdown 2 et d'autres Jeux Xbox 360.
, premier du nom, avait surpris en 2007. Intrigués par l'invitation à la bêta de incluse dans le jeu, de nombreux fans de la saga mythique s'étaient précipités sur le soft de Realtime Worlds et en avaient été agréablement surpris. Cette année, débarque. Les fans du premier volet l'attendent bien évidemment au tournant, espérant que les défauts rencontrés en 2007 ont été gommés malgré le changement de développeur effectué, Ruffian Games étant maintenant aux commandes du développement du titre. Voyons si les demandes des fans ont été entendues et mises en application. Dans premier du nom, il était demandé d'incarner un Agent afin de venir à bout de divers gangs semant la pagaille dans Pacific City. Rien de très pertinent scénaristiquement parlant donc. Dix ans plus tard, les membres de la Cellule, groupe de méchants qui en veulent à l'Agence, se sont organisés dans la ville afin d'y instaurer leur règne de terreur. Une seule solution pour l'Agence, réintroduire un agent, homme installé dans une armure lui permettant d'effectuer des sauts prodigieux, de courir à une vitesse remarquable, de résister aux balles et missiles grâce à son bouclier, ou bien encore de planer.
Univers Consoles
Ajouté le : 08/2010
Plus accessible...
Après un sympathique premier épisode, Crackdown remet le couvert et nous propose de replonger dans les rues infestés de criminels et même des zombies de Pacific City, pour une aventure orchestrée non plus par les gars de Realtime Worlds (qui bossait alors sur All Points Bulletin), mais par les mains innocentes de Ruffian Games. Si pour beaucoup Crackdown premier du nom rime avec bêta multijoueur de Halo 3, pour bien d'autres la mélodie est différente. Une suite qui fait malheureusement « crack » bien trop rapidement... Papa du premier volet, Realtime Worlds ne s'est pas occupé du second épisode et a donc laissé la suite du titre entre les mains de Ruffian Games, composée en très grande partie d'anciens de Realtime Worlds ainsi que des développeurs ayant travaillés sur des titres comme Fable II ou encore Project Gotham Racing. C'est lors de l'E3 2009 que le studio écossais a annoncé pour la première fois, en grande pompe, la venue du second épisode Crackdown. Un premier volet pas particulièrement inoubliable, mais relativement défoulant. On se souvient surtout de Crackdown pour le code présent dans la boite du jeu : celui de la bêta multijoueur de Halo 3.
Plus de trois ans après, les joueurs gardent toujours un bon souvenir du titre de Realtime Worlds. Sans être extraordinaire, ce jeu-là donnait le la d’une génération qui accueillerait par la suite de nombreux jeux typés « bac à sable ». Du coup, quand Microsoft a annoncé Crackdown 2, l’enthousiasme était plus que jamais de mise, même si le studio qui avait accouché du premier épisode était focalisé sur un autre projet (All Points Bulletin). Ce sont donc les inconnus de Ruffian Games qui ont hérité du bébé. Un pari osé, voire même risqué et qui au final ne se révèle pas des plus judicieux, au vu des gros défauts du jeu. Explications. L’action de Crackdown 2 se déroule toujours à Pacific City. Dix ans après les événements du premier volet, la ville fictive est toujours peuplée de crapules de la pire espèce. On y trouve des terroristes qui sévissent pendant la journée. Oui, parce que la nuit venue, toute la métropole est envahie par les Freaks, des mutants féroces qui se regroupent en hordes comme de vulgaires zombies. La situation ne peut plus durer. Vous devez intervenir, vous, l’agent génétiquement modifié, capable de faire des sauts de cinquante mètres sans se fouler la cheville.
Du premier Crackdown, certains ne se souviennent sans doute que de l'accès privilégié à la bêta multijoueur d'Halo 3 disponible sur la galette. D'autres en revanche avaient tout de même donné sa chance au titre de Realtime Worlds et étaient ressortis de Pacific City avec un large sourire de satisfaction sur le visage. Car quoi qu'on dise, Crackdown ne manquait pas de qualités et offrait un gameplay simple, bourrinissime même, mais incroyablement addictif. Aussi, nous n'avons guère été surpris de voir que le bougre serait doté d'une suite, une suite confiée aux bons soins de Ruffian Games et dont nous allons maintenant vous dire si elle a su conserver l'essence de son généreux grand frère. Rien ne va plus à Pacific City ! L'Agence, l'organisme "policier" qui assurait la sécurité des citoyens à grands coups de roquettes, a complètement perdu le contrôle de la ville. Car s'il fut un temps question de démanteler (dans tous les sens du terme) de multiples gangs de malfrats, l'heure est maintenant venue de se frotter à de plus grands périls ! Le meilleur exemple de la déchéance de Pacific City, c'est l'invasion des Freaks, sortes de mutants qui, dès que la nuit s'avance, s'extirpent avec moult bruits de succion des entrailles de la ville afin d'agresser les grands-mères, de violer des caniches, de subtiliser des nains de jardin, de faire pipi dans les ascenseurs et de dévaliser les magasins de tongs.
Très bonne surprise pour beaucoup de joueurs, Crackdown premier du nom a su s'attirer les faveurs des joueurs non pas seulement parce que chaque copie contenait un précieux sésame pour la bêta de Halo 3, mais aussi grâce à un cocktail diablement fun. Quelques trois années se sont écoulées et le protégé de Real Time Worlds, qui s'est depuis occupé d'un certain All Points Bulletin, est passé entre les mains des écossais de Ruffian Games. Le nouveau parrainage donne du coup naissance à un Crackdown 2 aussi attendu que craint. A tort ou à raison ? Pacific City porte décidément bien mal son nom. Après les évènements qui se sont déroulés dans le premier opus, une décennie auparavant, la ville est désormais la proie d'une double menace. D'un côté la Cellule, une sorte de groupe de résistance qui s'est emparé des lieux clés de toute la ville, et de l'autre les Freaks, des créatures qui ressemblent fortement à des zombies, résultat d'un virus qui décime la population, et qui ne sortent que la nuit. Pour palier à ce double problème, l'Agence met les petits plats dans les grands et s'apprête à lancer une nouvelle génération de soldats clones génétiquement modifiés que le joueur est invité à incarner.
Ceux et celles qui ont déjà parcouru la ville de Pacific City dans le premier épisode de Crackdown se souviendront sans nul doute des nombreux gangs qu'il fallait exterminer. Vous incarniez un super agent aux capacités physiques impressionnantes. À terme, la ville était totalement « nettoyée » des marginaux et autres fauteurs de troubles. L'Agence, l'organisme faisant respecter la paix en ville, avait gagné. Crackdown 2 permet de revenir dans les mêmes lieux que le premier épisode, dix ans après la fin du premier volet. Première constatation, la ville est strictement la même, ce qui étouffe tout surprise pour les fans de la série. Pour l'occasion, vous reprendrez vos fonctions en tant que clone d'agent spécial de l'Agence, afin de soutenir les actions des pacificateurs contre une nouvelle menace terroriste appelée la Cellule. Ces derniers tentent de renverser le gouvernement par la force et la violence. En parallèle, un virus transforme petit à petit la population de la ville en monstres difformes et hautement dangereux appelés Freaks. Ces derniers peuvent d'ailleurs se comparer à des zombies. Bref, il est temps pour l'Agence de reprendre les choses en main, afin de secourir les civils.
Trois ans après la sortie du premier opus en exclusivité sur Xbox 360, Crackdown revient dans un second épisode boosté à la testostérone. Les développeurs de Ruffian Games transforment une nouvelle fois le joueur en soldat du futur. Sa mission : nettoyer les rues de Pacific City des Freaks qui l’envahissent. Pacific City coule des jours heureux après que l’Agence, une organisation qui assure la sécurité, ait vaincu le crime organisé dans le premier Crackdown. Mais le repos est de courte durée. En effet, Catalina Thorne, une ancienne scientifique de l’Agence met au point un virus qui transforme les hommes en Freaks. Des sortes de zombis à la Left 4 Dead. Pacific City est rapidement gagnée par cette épidémie. L’Agence envoie alors ses meilleurs éléments sur le terrain : les Agents. Soldats génétiquement modifiés, ils sautent comme des fusées, courent plus vite qu’un Concorde (en plus ils atterrissent mieux) et frappent avec la puissance de Hulk. Ils doivent mettre un terme à l’infection des Freaks provoquée par la Cellule, un groupuscule armé, dirigé par Catalina. Cette dernière s’est entourée de soldats sans foi ni loi pour se défendre.
Bien occupé par leur nouveau projet MMO, All Points Bulletin, Realtime Worlds a laissé son Crackdown filer dans les bureaux tout neufs de Ruffian Games, qui s'est donc vu confier la suite de cette exclusivité Xbox 360 en guise de premier jeu. Les Ecossais avaient donc beaucoup à prouver et l'on peut imaginer qu'ils ont tout fait pour emmener la série encore plus loin, corriger ses lacunes, repenser l'aventure, booster le gameplay. Bref, faire de Crackdown 2 une véritable référence du genre. Pari réussi ? Dix années ont passé depuis les événements du premier Crackdown et le moins que l'on puisse dire, c'est que les choses ne se sont pas vraiment arrangées à Pacific City. Si les gangs ont bel et bien été écrabouillés par l'Agence, celle-ci est bien à la peine face à deux nouvelles menaces qui sèment actuellement le chaos dans la ville. D'un côté, un virus contamine les habitants, les transformant en zombies cruels et agressifs qui ne sortent de leur tanière qu'à la tombée de la nuit. De l'autre, une faction terroriste surnommée la Cellule a pris possession de la ville et fait régner la terreur à prompts renforts de kalachnikovs. "Pacific City a peur" pourrait donc asséner avec gravité le Roger Gicquel local et elle a surtout besoin d'un vrai héros pour la sortir de ce pétrin sanguinolent.
Alors qu'en général l'humain tend à voir les choses de plus en plus grandes et à impressionner ses congénères par son talent ou ses performances, l'on constate avec Crackdown 2 que ce n'est pas exactement avec cette philosophie qu'il a été développé. Même ville, à peu de choses près même intrigue et même aspect visuel ; il n'y a que le fun qui lui non plus n'a pas changé pour remonter la barre. Un titre presque décevant mais qui a malgré tout quelques atouts bien à lui. Forcément l'un de ces atouts, incontournable aujourd'hui à l'ère du multijoueur massif et de l'expansion du Xbox LIVE, c'est la coopération à quatre. Avec cela viennent s'ajouter quelques nouvelles armes et ennemis, véhicules et missions, ainsi qu'un mode Arène où seize joueurs s'affrontent simultanément. Et bien sûr, des orbes, des tonnes d'orbes, avec là aussi quelques nouveautés. Pas la peine de chercher plus loin, Crackdown 2 ne se résume pratiquement qu'à ça ! Le scénario qui justifie en quelque sorte cette suite nous place quelques années après les événements de Crackdown 1. Les mutants ont quasiment détruit la belle Pacific City, bien aidés par des terroristes membres de la Cellule qui cherchent à semer le chaos là où les monstres ne l'ont pas encore fait.
La semaine dernière (vendredi en fait), on a reçu à la rédac un code pour télécharger Crackdown 2... Au début on s'est dit qu'un code pour récupérer la démo franchement, il ne fallait pas... Sauf qu'il ne s'agissait pas de la démo, mais bel et bien du jeu dans sa version complète, en Games on Demand. Donc forcément, je me suis acharné dessus une partie du WE (avant d'aller faire un tour du côté de l'ESWC), et je vous livre mes impressions sur la suite d'un de mes titres favoris sur Xbox 360. N'oubliez pas, la sortie du titre est toujours prévue pour le 9 juillet en France ! Si la ville de Pacific City n'avait déjà rien de très reposant dans le premier opus, Crackdown 2 donne immédiatement le ton en nous propulsant dans la même ville, cette fois infestées par un virus transformant les habitants en monstre plutôt belliqueux (bien que largement décérébrés) nommés les Freaks. Évidemment, ces monstres ne seront pas votre seul et unique soucis. Entre temps, un groupement du nom de Cell (Cellule) a décidé de prendre les armes contre l'Agence, qu'ils jugent responsable de la propagation bien rapide du dit Virus. Et vous dans tous ça ? Ben vous êtes un agent...
J'aime cet article 3 personnes aiment cet articleTrès honnêtement, on était loin de penser qu'une suite à Crackdown allait voir le jour... Et pourtant ! Fort d'une très bonne réussite commerciale, Microsoft remet les bouchées doubles et nous propose de passer l'été au frais du côté de Pacific City. Pour ce second opus, c'est le studio Ruffian Games qui s'y colle en se contentant de reprendre l'univers ouvert et le gameplay orienté beat'em all pour nous offrir une expérience de jeu quasi similaire qu'en 2007. Autant vous le dire tout de go, on va vous parler ici d'un Crackdown 1.5 plutôt que d'une véritable suite, avec ses défauts et ses qualités...Trop occupés à mettre sur pied leur All Points Bulletin, les gars de chez RealTime Worlds (les développeurs du premier Crackdown), ont donc passé le relais à Ruffian Games, une jeune société d'origine écossaise, employée par Microsoft pour relancer une licence un peu oubliée de tous, il faut bien l'avouer. Si Crackdown premier du nom a divisé les foules mais aussi la critique, le titre a connu un véritable succès grâce au fait qu'il était accompagné de la bêta multijoueur de Halo 3, attendu par tous comme le Messie à l'époque.
Voilà un jeu bien compliqué à tester... Pour résumer, plus j'y ai joué, plus des choses se sont ouvertes, des choses de plus en plus spectaculaires et plus ça devenait un peu fun. Ce qui est contraire à la courbe de progression de l'intérêt de tous les jeux qui nous en mettent plein la vue dès les premières minutes jusqu'à ce que ça se tasse. Là, le problème, c'est que je n'ai pas pu m'empêcher de penser à ce début de jeu catastrophique, encore maintenant, en écrivant ces mots. Nous reviendrons longuement là-dessus, sur ces deux aspects.Je n'ai pas joué au premier, mais vu la gueule du scénario de cette suite, je ne suis pas sûr d'avoir loupé grand-chose. Le résumé de l'histoire tient en deux lignes : la ville de Pacific City est la cible d'attaques terroristes et de zombies ; le super soldat cloné que vous êtes les mettra tous à mal. Voilà le programme. Les mécanismes du jeu relèvent un peu le niveau. La première bonne nouvelle, c'est que c'est un environnement ouvert.Et la ville est vraiment super grande. Plus ou moins du GTA. Mais la comparaison s'arrête là. En commençant la partie, vous découvrez que toutes les autorités ont perdu toute légitimité sur la cité. Votre rôle consistera à reprendre des points de contrôle pour annihiler toute menace.
Des terroristes et des monstres/zombies Loin de posséder un scénario digne du dernier Jason Bourne, Crackdown 2 peut se targuer d'être complet du coté des méchants puisqu'il y en a constamment. La journée les terroristes de la Cellule combattent les Pacificateurs de l'Agence dans les rues de la ville. Armer de mitrailleuses, snipers ou autres fusils à pompe, ils gardent des avant poste vous empêchant de vous balader tranquillement. Votre mission (si vous l'acceptez) de de sécuriser des positions en faisant le ménage à grands coups d'armes à feu et de barils enflammés. Une fois l'opération effectuée vous obtiendrez un nouveau spot de largage et l'Agence pourra ainsi vous déposer vous et votre matériel aux 4 coins de Pacific City. La nuit les terroristes laissent la place aux Freaks, des humains contaminés par une maladie transformés en une sorte de zombie/flood (à la Halo). Ces derniers n'ont qu'un seul but dans la vie: errer. Du coup ils passent leurs nuits dans les rues à ne rien faire d'autre que se balader. Si vous passez dans le coin par contre, vous serez rapidement attaqué, normal.
Un peu plus de trois ans après la sortie de Crackdown premier du nom, Microsoft Games Studios et Ruffian Games remettent le couvert avec Crackdown 2, un jeu d'action à la troisième personne disponible uniquement sur Xbox 360. Une fois encore, nous allons jouer le rôle d'un Agent survitaminé aux côtés de pacificateurs débordés par les attaques adverses. Mais aujourd'hui notre ennemi a changé ! Face à la Cellule, un groupe terroriste, la journée, et aux Freaks la nuit, nous allons avoir du pain sur la planche. De l'eau a coulé sous les ponts depuis notre dernière virée dans les rues de Pacific City. Complètement dévastés par endroits, bon nombre de ses quartiers sont occupés par la Cellule, le jour, tandis qu'à la nuit tombée, les Freaks, sorte de zombies, envahissent les rues à la recherche de proies faciles. Notre mission consiste donc à exterminer la menace Freaks en mettant la main sur différentes unités d'absorption, protégées par des groupes de la Cellule, à les activer, avant de plonger en plein c?ur d'une zone remplie de vilaines bestioles et d'armer une balise. Des orbes verts pour l'Agilité Pour cela nous endossons donc le rôle d'un membre de l'Agence entrainé à tuer.
Crackdown fût un des titres les plus attirants de la Xbox 360 lorsqu'il se fit connaitre en 2007. Un jeu bac à sable dans lequel vous dirigez un policier du futur aux capacités ultra développées pour reprendre le contrôle d'une ville, Pacific City, en proie à de terribles gangs. Le résultat final fût mitigé... Aujourd'hui, Ruffian Games nous propose de redécouvrir cette même cité en proie au mal mais dans une version légèrement différente. Légèrement, j'insiste...Premier contact, premier constat, la ville de Pacific City n'a quasiment pas changé. En effet, les habitués du premier opus retrouveront facilement leurs marques tant l'architecture ainsi que l'enchevêtrement de rues sont identiques. A tel point d'ailleurs que cela en est choquant sur certaines missions. On reconnait plusieurs zones au premier coup d'oeil et on se demande quels efforts ont fait les développeurs pour nous proposer quelque chose de réellement nouveau. Pour résumer, c'est la même ville mais dans une version délabrée par endroits. En effet, depuis le premier opus, les "Freaks", des monstres s'apparentant à des zombies, infestent la ville et sortent toutes les nuits (le jour, vous êtes peinard !) pour casser de l'humain.
Sans surprise et malgré le changement de studio, Crackdown 2 reste étonnement proche de son illustre prédécesseur et poussera donc le joueur à explorer une vaste ville. Cette expédition se fera dans l'espoir de contrer une menace bactériologique qui a plongé la ville de Pacific City dans le chaos le plus total. L'objectif est simple, accomplir une flopée de missions principales et secondaires.Elles mettent en avant l'ensemble des qualités du héros dotés de capacités surhumaines. Ces dernières pourront évoluer au cours de l'histoire via la collecte d'orbes affectant à terme la vitesse de déplacement ou encore la hauteur de saut. On retrouve cette évolutivité au niveau des armes possibles en tuant tout simplement des ennemis. C'est à la troisième personne que le titre se déroule, une troisième personne qui souligne aussi les faiblesses visuelles du titre visiblement sujet à peu d'améliorations technologiques Les développeurs ont repris la ville du premier Crackdown, les fans n'auront par conséquent aucun mal à se repérer et évoluer au travers de cette ville néanmoins ravagée de toute part. Des changements artistiques se font heureusement sentir, des changements pas forcement du goût de tous.
Qui se rappelle réellement du premier Crackdown? Exclusif à la Xbox 360 lors de sa prime jeunesse, le jeu bac à sable de Realtime Worlds (actuellement sur APB) s’était révélé une bonne surprise, mais n’a pas non plus marqué les esprits. La faute à qui, à quoi? Sans doute un léger manque d’ambition et de scénarisation. Aux commandes de cette suite, le studio Ruffian Games entend bien marcher dans les traces de son ainé, tout en dépoussiérant quelque peu le concept. C’est en tout cas ce que James Cope, producteur, s’est attaché à nous démontrer lors d’une longue démonstration. Le contexte tout d’abord: nous sommes dix ans après le premier épisode, toujours à Pacific City. Le climat n’est cependant plus vraiment le même, puisque l’Agence (qui tenait la ville d’une main de fer) a totalement perdu le contrôle. Résultat: les rues de la mégalopole sont parsemées de combats urbains entre gangs, qui ne s’arrêtent que la nuit. Mais la nuit, c’est encore pire: les «Freaks» sortent des égouts et s’attaquent à quiconque a le malheur de trainer dehors. Sortes de mutants rappelant vaguement les infectés de Left 4 Dead, les Freaks sortent toujours en groupe et peuvent être sacrément agressifs. Bref, voilà assurément LE nouvel ennemi de la ville.
Annoncé en plein E3 2009, Crackdown 2 reste néanmoins un titre qui se fait assez discret. Hormis une apparition furtive â?? et futile â?? au dernier Tokyo Game Show, le GTA-like de Microsoft et du studio Ruffian Games attend certainement les beaux jours pour se laisser complètement approcher. Présent mais pas jouable au X10 à San Francisco, Crackdown 2 se veut une suite encore plus décomplexée que son aîné. Explications.Il est évident que le premier Crackdown n'a pas marqué les esprits par son scénario et ce n'est pas sa suite qui renversera la vapeur. Toutefois, le studio Ruffian Games s'est efforcé de construire une nouvelle histoire qui nous emmènera une fois de plus dans la ville de Pacific City, qui avait déjà servi de théâtre de guerre dans le premier épisode. La métropole a bien changé et une décennie après les événements du premier Crackdown, on note l'apparition de créatures envahissant les rues de la ville une fois la nuit tombée. Ces bêtes, on les appelle les Freaks, des zombies qui peuvent choquer au premier abord. Si elles fuient toute source lumineuse, la nuit, elles se montrent pour le moins féroce.
Cruel dilemme que celui qui étreint les développeurs au moment de mettre en chantier la suite d'un jeu marquant. Faut-il donner dans la continuité et, ainsi, ne pas risquer de décevoir les fans du jeu d'origine ? Ou, au contraire, faut-il tenter l'innovation à tout prix et, de cette manière, améliorer ce qui ne marchait pas vraiment dans le premier opus, mais aussi faire la preuve de son talent de créateur ? Et, qu'on le veuille ou non, le premier Crackdown a été un des jeux marquants de la Xbox 360 car il fut le premier titre en haute définition de cette machine. Nous sommes donc allés au studio Ruffian en Ecosse pour faire le point sur sa suite et découvrir si ses développeurs avaient opté pour le changement ou la continuité. Début de réponse. D'emblée, les joueurs qui avaient pratiqué le premier Crackdown ne seront pas dépaysés. En effet, l'action se déroulera à Pacific City, la mégapole futuriste qu'ils ont déjà visitée de haut en bas. Toutefois, ce deuxième Crackdown débute dix ans après le premier et le moins qu'on puisse dire, c'est que la situation a bien changé. L'Agence, l'organisme policier qui assurait la sécurité dans les rues, a complètement perdu le contrôle de la ville.
Faire la suite d'un succès commercial doit être difficile. D'une part, il faut continuer à satisfaire les fans existant en leur en donnant plus que ce qui avait fait le succès du jeu. D'un autre côté, on s'attend à ce que vous soyez innovants et audacieux, et que vous ameniez des idées nouvelles qui vous vaudront de nouveaux admirateurs sans froisser les anciens. En plus de cela, il faut remédier à tout ce qui n'allait pas dans l'original, rendre les graphismes plus jolis, concocter une nouvelle intrigue, créer de nouveaux personnages, inventer de nouvelles armes... Pas étonnant que George Lucas ait été à la peine. Ruffian Games est-il à la hauteur du défi ? Le studio lui-même est un peu un dérivé car son équipe est majoritairement constituée d'anciens employés de Realtime Worlds. Ils ont tous travaillé sur le premier Crackdown, ce qui devrait leur donner un avantage pour développer la suite. Le producteur James Cope et le designer en chef Steve Iannetta, qui ont présenté une démo au Tokyo Game Show, semblent en tout cas savoir parfaitement de quoi ils parlent – et connaissent les objectifs à atteindre.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Crackdown 2. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Crackdown 2.