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Nous avons réuni 14 tests du Command and Conquer 4. Les experts notent Command and Conquer 4 5.2/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Command and Conquer 4 et d'autres Jeux PC.
Après le vénérable Dune 2, mais plus ou moins en même temps que le WarCraft de Blizzard, la série Command & Conquer a contribué à donner au genre du jeu de stratégie temps réel ses lettres de noblesse. Aujourd'hui, pas loin de quinze ans après le premier opus, Electronic Arts est bien décidé à donner une conclusion épique à ce que l'on appelle parfois la saga du tibérium. Une conclusion qui prend la forme d'un quatrième opus qui remet en cause tous les acquis de la série : pour le meilleur ou pour le pire ? Minerai fictif imaginé par les scénaristes du premier opus de la saga, le tibérium est également une prodigieuse source d'énergie à l'origine de l'interminable conflit opposant le GDI (Groupement de Défense Internationale) à la Confrérie du Nod. En 2062, l'heure n'est cependant plus aux querelles : en se répandant sur l'ensemble de la planète, le tibérium menace jusqu'à l'existence même de l'Humanité. Alors que Kane - leader du Nod - annonce avoir un moyen de résoudre la situation, les ennemis d'autrefois sont contraints de collaborer... Un certain Gédéon - séparatiste du Nod - ne l'entend toutefois pas de cette oreille et en tant que commandant du GDI, il va nous falloir éradiquer cette menace.
La saga des C&C touche à sa fin et tente de rompre avec les trois épisodes précédents. Entre bonnes idées et déceptions. Command & Conquer est une licence qui tient en haleine les stratèges de tout poil depuis quinze ans. Pour ceux qui auraient oublié, replantons brièvement le décor. Deux forces s'opposent depuis que le Tiberium - ressource minérale aux pouvoirs démentiels venue de l'espace - est apparu sur Terre. La Confrérie du NOD, secte de fanatiques menée par le charismatique et chauve Kane, et le GDI, regroupement international militaire, tentent par tous les moyens de maîtriser le Tiberium et ses formidables pouvoirs pour prendre l'avantage l'un sur l'autre. Lors du troisième volet, une race extraterrestre, les Scrins, a fait irruption dans ce conflit, déployant un arsenal dévastateur pour éradiquer la race humaine, s'emparer du Tiberium et surtout retrouver le Tacitus, un artefact renfermant des connaissances incroyables. Face à cette menace, le GDI et le NOD ont dû s'allier et, après avoir bouté l'envahisseur hors du globe, ils ont conservé cette alliance fragile, baptisée le Réseau de contrôle du Tiberium. Quinze ans plus tard, l'alliance s'étiole et le Machiavel chauve commence à nourrir des projets belliqueux.
Annoncé en catimini en juin dernier, le quatrième et ultime épisode de Command & Conquer s’était montré bien discret. Un fait étrange quand on connaît le statut culte de la série et que ce dernier opus devait clore en beauté ce précurseur du STR moderne. Et la raison, on la découvre brusquement une fois passées quelques heures sur Le Crépuscule du Tibérium. Command and Conquer 4 est le plus mauvais épisode de la glorieuse série, et, pire, il est certainement le plus mauvais STR de ce début d’année. Explications. Puisque ce quatrième épisode est censé mettre un terme à la série, il était naturellement attendu par tous les fans qui voulaient des réponses. Quel est le but ultime de Kane ? Comment le GDI va-t-il réussir à sauver l’humanité du péril du Tiberium ? Que cache l’alliance du NOD et du GDI en début de partie ? Rassurez-vous, C&C 4 répond à la majorité de ces questions mais en pose d’autres, ce qui n’est pas sans laisser présager d’une suite. D’une manière générale l’histoire de C&C 4 nous est narrée à travers de nombreuses cut-scènes à base de film avec des acteurs réels. Et autant on pouvait pardonner aisément le côté décalé et kitsch de ces mini-films dans Red Alert 3, autant ceux de C&C 4 sont insupportables tant les acteurs jouent et surjouent horriblement mal.
Série mythique du STR sur PC, Command & Conquer nous revient cette année avec un seul objectif en tête : donner une conclusion épique à la saga du Tibérium. On découvre donc un Command & Conquer 4 en pleine révolution, avec un Kane qui s'allie au GDI, un gameplay qui n'a plus rien à voir avec les traditions de la série et un bilan final indigne de la franchise créée par Westwood. A la base du scénario de Command & Conquer 4 est une alliance inattendue entre l'ami Kane et ses ennemis de toujours du GDI. Il faut dire que l'expansion exponentielle des champs de Tibérium à la surface de notre bonne vieille planète menace toute l'humanité et que ce compromis pourrait bien être le seul moyen d'éviter l'apocalypse. Cette trame nous est évidemment expliquée par l'intermédiaire des habituelles cut-scenes live action de la série, même si le côté cheap assumé de jadis a été remplacé par une approche nettement plus sérieuse et ambitieuse un peu gâchée par un cast pas franchement inspiré. A l'exception de Joe Kucan, qui s'éclate apparemment toujours autant dans le rôle de Kane, on se retrouve effectivement face à une équipe de têtes-à-claques pas convaincantes pour un sou (la femme du héros en tête de gondole) rendues encore moins supportables par une VF d'assez mauvaise facture.
Ce n'est pas tous les jours que cela arrive. Aujourd'hui, en effet, on nous propose la conclusion d'une saga qui a duré une quinzaine d'années. Personnellement, ça me fait un petit pincement au coeur dans la mesure où j'étais déjà pigiste dans la presse des jeux vidéo au moment où le premier opus est arrivé. Qu'on l'apprécie ou pas, il faut bien admettre que cette série a marqué. Heureusement, en nous proposant un jeu d'une telle médiocrité, EA a fait en sorte que ces adieux avec Kane ne soient pas trop déchirants.Bon, attention, si vous relisez la preview, vous découvrirez que ce n'est que l'univers de l'affrontement du NOD et du GDI qui s'achève, pas la série des Command and Conquer. EA n'est pas complètement fou !Déjà, à titre personnel, le titre me faisait peur. Le crépuscule de Tibérium. Quand j'entends le mot crépuscule, j'imagine un vieux en train de mourir de soif ou de faim dans son lit. Dans le cas présent, on n'est pas loin de ça. Le plus rageant, c'est que les intentions des développeurs étaient plutôt bonnes. Bien plus que pendant la dizaine d'années où la franchise s'est contenté de fournir un épisode de plus sans se poser trop de questions. Un petit résumé s'impose tout de même. Lorsqu'en 1996 C&C débarque dans les rédactions, même ceux qui ne sont pas en charge des tests perdent un temps fou avec ce titre.
Lorsque l’on s’intéresse à l’historique de Command & Conquer, mieux vaut prévoir son tube de Doliprane et se concentrer un maximum : invasion extra-terrestre, résurrection à tout va, trahison, complots… L’histoire est dense, abracadabrantesque et offre des idées de scénarios nanardesques à tous les Uwe Boll en herbe. Mais là, . Alors que la Terre se meurt à cause de la prolifération de Tibérium, le diabolique chef du NOD, Kane, propose une fragile alliance avec le GDI pour sauver la race humaine. Cette amicalité inhabituelle cache bien entendu de plus noirs desseins, que l’on découvrira tout au long des cinématiques qui rythment les deux campagnes. À travers les yeux d’un Commandant du GDI (qui devra néanmoins choisir son camp au bout de quelques missions), on assistera donc à moult briefings et discussions enflammées, dont la mise en scène fait honneur à la série: acteurs réels, décors plus vrais que nature… Autant dire qu’EA Los Angeles a mis le paquet pour nous proposer quelques moments cinématographiques sympathiques. . À titre de comparaison, le délire ultrakitsch d’un Alerte Rouge 3 reste bien plus marquant. Mais c’est une question de (mauvais) gout, après tout. Surtout que, on pinaille, mais l’omniprésence de Kane permet d’en apprendre plus sur cet emblématique personnage.
Véritable institution dans le monde du STR, la saga Tibérium vient aujourd'hui livrer son ultime bataille sur les écrans de nos PC. Avec ses grands airs de testament, ce nouveau volet entend en effet apporter une conclusion épique à la série et a choisi pour cela de modifier en profondeur le gameplay traditionnel de Command & Conquer. L'idée est volontaire et l'intention généreuse, mais les fans risquent probablement de grincer des dents en découvrant un système de jeu qui se révèle finalement très proche de celui d'un Dawn of War II. Remarquez, il y a tout de même bien pire comme référence. L'heure n'est plus aux demi-mesures ! La Terre est en pleine agonie ! Le Tibérium, ce minerai toxique pour lequel les fans se sont affrontés pendant des années, menace maintenant de recouvrir toute la surface de la planète et donc d'y rendre toute vie impossible. Face à la perspective de l'extinction pure et simple de la race humaine, les deux factions antagonistes que sont le GDI (Groupement de Défense Internationale) et la fraternité du NOD vont donc s'allier, à l'initiative de Kane, le dictateur immortel dont le crâne luisant et le bouc impeccablement taillé ont fait le tour du monde. Alors que les dirigeants du GDI nagent en plein désespoir, Kane annonce effectivement détenir la clé du salut de l'humanité.
Si le nouveau Command & Conquer n'est officiellement que le quatrième épisode de la saga, il constitue en réalité le dernier rejeton d'une famille extrêmement nombreuse. En effet, si l'on tient compte des multiples extensions ainsi que des déclinaisons Alerte Rouge et Generals, l'arbre généalogique de ce RTS mythique possède vraiment plus d'une branche à son tronc. Mais il ne saurait croître indéfiniment et Le Crépuscule du Tiberium nous est donc présenté comme le volet ultime, celui qui apportera le dénouement d'un scénario entamé il y a quinze ans. La promesse est-elle tenue ? Oui, mais...La cinématique d'introduction nous donne une première preuve que ce Command & Conquer 4 n'est pas tout à fait comme les autres, puisqu'elle nous montre Kane, le chef historique de la confrérie du NOD, proposer une alliance au GDI. Ce rapprochement inattendu ne bouleverse pas l'architecture du jeu, qui s'articule de manière classique en deux campagnes, respectivement dédiées à l'une et l'autre des deux factions. On peut d'ailleurs s'étonner de l'absence criante des Scrins, la race extra-terrestre apparue dans Command & Conquer 3. Ils jouent un certain rôle dans le scénario mais jamais le joueur n'a le plaisir de les affronter ni de les contrôler, contrairement à ce qu'on pouvait espérer.
Tiens, encore un RTS qui aura suscité la polémique avant même d'être disponible dans toutes les bonnes crèmeries. À l'instar d'un Supreme Commander 2, EA a voulu fluidifier le jeu en simplifiant une partie du gameplay. Mais au contraire du titre de GPG, il est légitime de se demander si cette nouvelle approche était absolument nécessaire. Verdict.Commençons par refaire le point sur les nouveautés de ce quatrième épisode, celles qui ont fait grincer des dents dans la communauté de fans. En premier lieu, terminées les phases de collecte de Tibérium. À la surprise générale, les célèbres Harversters, emblématiques de la série, ont purement et simplement été remisés au garage et disparu du jeu. En lieu et place de ces phases de collecte de ressources, C&C4 introduit un nouveau système : celui des points de commandement. On commence chaque partie avec un nombre fini de points qui permettront de construire certaines unités, chacune nécessitant un nombre précis de ces précieux points. Il s'avère donc rapidement nécessaire de lever ses troupes en gardant cette limite à l'esprit et en planifiant au mieux la composition de son armée.
Série mythique s'il en est, Command & Conquer s'apprête à accueillir son ultime chapitre avec Tiberian Twilight. Avec sa tronche de testament, le jeu n'entend pas se contenter de capitaliser sur les forces des ses prédécesseurs, mais définit au contraire une toute nouvelle formule, au risque de déstabiliser les fans. Ultime évolution d'une série que tous les joueurs du Monde ont approché au moins une fois dans leur vie, le bien nommé Tiberian Twilight risque en effet de bouleverser pas mal de petites choses. On commence tout d'abord par le scénario, qui voit l'alliance contre nature du GDI (Groupement de Défense Internationale) et de la fraternité du NOD, les deux principales factions antagonistes de cet univers. Pourquoi un tel sacrilège vous demandez-vous sans doute ? Eh bien tout simplement parce que la Terre agonise. Le tibérium, ce minerai indispensable mais toxique, menace en effet de s'étendre à toute la planète et d'y rendre la vie impossible. Alors que les dirigeants du GDI nagent en plein désespoir, Kane, le charismatique chef de l'organisation terroriste du NOD, annonce détenir la clé du salut de l'humanité et propose une trêve.
15 ans. C'est l'âge vénérable qu'aura atteint la série des Command & Conquer lorsque ce quatrième volet sortira en 2010. 15 ans de récolte du Tibérium, ce minerai toxique mais au combien précieux. 15 ans d'affrontements entre le GDI et le NOD, les 2 factions du jeu. 15 ans de stratégie diverses et variées élaborées par les joueurs pour venir à bout du camp adverse. Et tout cela va prendre fin avec ce quatrième et dernier volet de la saga Tiberium, un opus que les développeurs conçoivent comme un point final à la série. Et un point final en forme de feu d'artifice ! Il est toujours difficile de terminer une saga. C'est vrai pour les films au cinéma, c'est vrai pour les séries télévisées, c'est vrai pour les romans et c'est aussi vrai pour les jeux vidéo. Comment en effet clore quelque chose que des milliers voire des millions de gens ont aimé au fil des années ? C'est une pression énorme qui pèse sur les épaules des créateurs. Faut-il réutiliser les mêmes recettes que les épisodes précédents ou faut-il tenter d'apporter quelque chose de nouveau au risque de décevoir les fans de la première heure ?
Voilà une série qui n’a jamais déçu ses fans. Depuis 1995, les amateurs de stratégie en temps réel s’adonnent avec bonheur à ces titres qui nous content les prises de bec entre le NOD et le GDI. Il s’agit bien sûr de Command & Conquer, dont le quatrième épisode est actuellement en préparation chez Electronic Arts. Un best seller qui, s’il garde des bases solides, tente de changer pas mal de choses comme nous allons le voir. Les guerres incessantes entre les gentils du GDI et le NOD passionnent des millions de joueurs depuis près de quinze ans. A ceux-là, qui suivent l’épopée depuis sa genèse : tenez-vous bien. Les Guerres du Tiberium, troisième opus de la série marquent la fin d’une époque. Comme nous avons pu le voir dans ce teaser, Kane (le Kojak local) entre en contact avec les pontes du GDI avec une proposition encore bien mystérieuse. Les développeurs insistent, c’est un nouveau scénario qui commence ! Lequel ? On l’ignore encore pour le moment mais des surprises sont à prévoir. De là à imaginer une alliance du NOD et du GDI, il n’y a qu’un pas que nous ne franchirons pas. Tout simplement parce que la démo qui nous a été présentée (le cinquième niveau de la campagne solo) voyait s’affronter les ennemis de toujours.
Gamekult
Ajouté le : 08/2009
Plus accessible...
Annoncé il y a quelques semaines à peine, Command & Conquer 4 se présentait déjà en détails lors de la gamescom de Cologne en Allemagne. Chargé jusqu'à la gueule de changements assez importants, cet ultime épisode de la saga du Tibérium ne compte apparemment pas se reposer sur les lauriers de la série. Pas spécialement bavards sur le scénario de leur prochain titre (tout juste sait-on qu'il sera plus sérieux que d'habitude), les développeurs de Command & Conquer 4 nous ont tout de même révélé que ce nouvel épisode de la fameuse franchise s'organiserait autour d'une simple question : pourquoi Kane aide t-il le GDI ? Le sémillant (et plus ou moins immortel) dictateur s'est effectivement montré un peu plus amical que d'habitude avec ses ennemis de toujours sur le premier trailer du STR, et il faudra évidemment attendre de voir le dénouement - promis comme dantesque - de la campagne solo de Command & Conquer 4 pour découvrir quel plan secret l'increvable messie du NOD nous prépare cette fois-ci. Faute de révélations scénaristiques, on se contentera d'en apprendre un peu plus sur le gameplay de Command & Conquer 4, et ce n'est pas plus mal lorsque l'on voit à quel point celui-ci a changé.
Commençons par la fin, car c'est ce qu'est Command & Conquer 4 : la conclusion d'un immense succès sur PC, le dernier volet d'une saga classique et emberlificotée. Dans une petite salle de réunion du quartier général d'EA LA, l'équipe qui a produit la dernière bataille de Kane a passé les quelques dernières heures à nous détailler la trame narrative de la série dans son intégralité. Maintenant, ils vont nous dire comment ils se sentent au moment d'achever tout ça. « Nous n'avions pas envie de faire simplement une suite de plus », déclare Sam Bass, le responsable de la campagne et de l'histoire de C&C4, un homme dont la voix semble un mélange d'au moins quatre accents différents, ce qui laisse à penser qu'il est peut-être lui-même un homme du futur, venu d'une époque où les frontières entre les pays n'ont plus aucun sens. « Nous ne voulions pas terminer sur une ellipse énigmatique. Nous voulions vraiment donner une fin à l'histoire ». Nous sommes presque tentés de le croire, même si les conclusions des jeux vidéo sont à peu près aussi convaincantes et aussi artificielles que celle des films au cinéma, une chute dans Reichenbach Falls (là où meurt Sherlock Holmes dans « son dernier coup d’archet ») étant étrangement toujours susceptible d'être réécrite quand il y a suffisamment d'argent en jeu.
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