Call of Juarez : The Cartel
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Nous avons réuni 9 tests du Call of Juarez : The Cartel. Les experts notent Call of Juarez : The Cartel 4.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Call of Juarez : The Cartel et d'autres Jeux Playstation 3.
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Test Call of Juarez : The Cartel
Call of Juarez : The Cartel
Si la licence Call of Juarez a connu un petit succès au point d'en arriver à son troisième épisode, c'est avant tout grâce à son univers original et à son ambiance Far West parfaitement représentée. Du coup, quand nous avons découvert en février dernier que le nouveau volet se déroulerait dans le présent, nous étions plus que réservés. Certes, Call of Duty a magnifiquement réussi sa transition, abandonnant la Seconde Guerre Mondiale d'origine pour se consacrer aux conflits modernes, mais la qualité était au rendez-vous. On ne pas en dire autant de The Cartel, dont même Ubisoft reconnait la médiocrité au point de le proposer à 45 euros dès sa sortie. Tout est dit.A l'heure où le pouvoir d'achat des ménages s'effrite de jour en jour, voir le troisième volet d'une licence connue proposé à prix discount à sa sortie peut paraitre louche. Sauf erreur de générosité, c'est souvent qu'il y a anguille sous roche. C'est effectivement le cas pour Call of Juarez : The Cartel dont la transposition aux temps modernes ne fonctionne pas. Avant tout pensé pour être joué à trois en coopération en ligne dans des parties publiques ou privées, le jeu propose de mettre la main sur trois flics à la morale douteuse : Evans, Guerra et Mc Call.
Test de Call of Juarez : The Cartel
S'ils n'ont pas laissé un souvenir impérissable dans le paysage vidéoludique, les deux premiers Call of Juarez ont suffisamment convaincu d'adeptes de FPS et autres adorateurs du Far West pour donner l'envie à Ubisoft de proposer un troisième volet. Baptisé Call of Juarez : The Cartel et toujours développé par les polonais de Techland, ce nouvel opus fait toutefois le choix très discutable d'abandonner l'aspect western classique de ses aînés pour transposer l'action dans un Mexique et une ville de Los Angeles des temps modernes. « C'est ma mission dans la vie : péter les couilles des fils de pute de racaille de ces deux merdeux-là ».Voilà une manière bien grossière de débuter ce test de Call of Juarez : The Cartel et pourtant, cette phrase lâchée par McCall résume à elle-seule l'ambiance du jeu. En transposant l'action dans un contexte moderne, Techland a également limité les dialogues de son soft à une poignée d'injures répétées inlassablement durant toute l'aventure. Tout simplement ridicule, surtout que le reste des paroles débitées par nos trois héros a des allures de répliques d'un bon nanar des années 80, là où les ennemis, qui partagent tous la même voix (ou presque), ne sont capables d'aligner que deux ou trois phrases différentes.
Call of Juarez : The Cartel
Call of Juarez a troqué son chapeau de cowboy contre une casquette de gangsta. Un constat qui en dit long sur la teneur de l'univers de ce FPS coopératif développé par Techland... Alors que s'est il passé ? C'est à la mode de traquer les trafiquants de drogue entre Los Angeles et le Mexique, c'est ça ? Eh ben dommage, transposer la licence dans cet univers était une erreur, que ce soit bien clair !L'une des grandes forces de la saga Call of Juarez tient dans ses personnages. Et même son ambiance ! Dans The Cartel, ces atouts ont été remplacés par des clichés du monde moderne. Ou plutôt par des stéréotypes que l'on doit à certaines séries américaines. McCall sera donc tout ce qu'il reste des cowboys des épisodes précédents, et il sera forcément en décalage avec son époque. Guerra est le flic ripoux américain de base, criblé de dettes et pas crédible. Enfin, Kim sera la demoiselle au grand coeur, qui a encore tout à apprendre. Ces trois héros iront se frotter aux pontes de la drogue dans le sud des Etats-Unis. A vous de choisir lequel vous conviendra... Ce qui peut motiver dans The Cartel, c'est sa campagne, dont on peut profiter en coopération et donc bourgeoisement entre amis. Trois joueurs peuvent ainsi se frayer un chemin à plusieurs au milieu des centaines d'ennemis à abattre.
Test Call of Juarez : The Cartel
Apparue en 2006 sur PC, la série des Call of Juarez avait su éveiller l'intérêt des amateurs de FPS, malgré des défauts certains, en éloignant le genre des poncifs habituels pour un univers plus atypique : celui du western poussiéreux et puant le canasson. Cinq années et un épisode plus tard, le troisième volet de la saga, toujours sous la houlette des Polonais de Techland, fait table rase du passé en proposant une aventure plus moderne, forcément plus classique et malheureusement en totale rupture avec ce qui faisait, jusqu'à maintenant, son identité. Autopsie d'un mauvais choix. La bonne, la brute et le truand "In the eyes of the ranger, the unsuspecting stranger, had better know the truth of wrong from right..." Si ces quelques paroles sont avant tout synonyme de dimanche oisif, la raie solidement calée au fond du canapé en cuir vachette, ils ne manquent pas de rappeler aux amateurs à quel point l'Ouest sauvage n'en finit pas, même à notre époque, d'être... sauvage, justement. Preuve en est, s'il en était encore besoin, avec Call of Juarez : The Cartel. En effet, il suffit qu'un puissant cartel mexicain fasse du rififi sur le sol américain pour que le Gouvernement envisage ni plus ni moins d'envoyer l'armée de l'autre côté du Rio Grande pour régler le problème à grands coups de tomahawks, et on ne parle pas, ici, des petites hachettes en silex.
Test de Call of Juarez : The Cartel
Bien que le tout premier Call of Juarez ne soit pas vraiment resté dans les mémoires, sa suite fit nettement plus parler d’elle. Sous-titré Bound in Blood, cet épisode sorti à l’été 2009 était parvenu à séduire de manière assez inattendue. Grâce à un contexte passionnant tout d’abord, avec ces deux frères engagés dans la guerre de Sécession qui désertaient pour voler au chevet du reste de leur famille. Par ailleurs, le jeu des fusillades dynamiques ainsi que des paysages arides, gigantesques et vraiment jolis. Définitivement, Bound in Blood était une franche réussite, récompensée par un 16/20 dans nos colonnes. Quant à la série Call of Juarez en tant que telle, elle avait démontré qu’elle avait le potentiel pour s’imposer sur le segment des FPS à l’ambiance western. Au moment de plancher sur le troisième volet intitulé The Cartel, le studio polonais Techland pouvait donc se targuer d’avoir un véritable boulevard devant lui. La route était dégagée, toute droite… Mais ça n’a pas empêché les développeurs d’aller s’emplâtrer sur le seul cactus qu’il y avait sur le côté. Inutile d’y aller par quatre chemins, Call of Juarez : The Cartel est un jeu méchamment raté. Raté à un point inimaginable quand on se souvient, la larme à l’œil, de ce qu’était Bound in Blood.
Call of Juarez : The Cartel
Quand on tient une bonne idée, il faut vite l'oublier. C'est sans doute ce qui a traversé l'esprit des développeurs de ce troisième volet de Call of Juarez qui abandonne ce qui faisait son charme au profit d'une enfilade de clichés sortis de la filmographie de Steven Seagal. Sans que l'on puisse franchement les qualifier de grands jeux, les deux premiers Call of Juarez savaient au moins se distinguer du reste de la famille des FPS par leur background original : le western. Avec en plus des personnages assez forts et capables de marquer le joueur au cours de son expédition dans le Grand Ouest. Oubliez tout ça, pour une raison qu'on s'explique mal, le studio Techland et Ubisoft ont choisi de nous exposer leurs visions du western moderne : la lutte contre le trafic de drogue entre la Californie et le Mexique. Et bien grande nouvelle : ça ne prend pas. Ce n'est pas une sorte de western moderne qu'on nous offre dans Call of Juarez : The Cartel, juste un très mauvais film d'action. L'histoire de The Cartel se déroule de nos jours et débute à Los Angeles. Dans l'espoir de faire tomber un cartel de drogue particulièrement actif et agressif, 3 agents sont invités à faire équipe. Et l'un d'eux, à votre guise, sera votre avatar.
Call Of Juarez The Cartel (Preview)
Call of Juarez fait partie de cette tranche de jeux disposant d'un intérêt notable évident sans pour autant bénéficier d'une médiatisation à outrance. C'est aussi l'un des rares FPS où l'univers du Far West est à l'honneur. Avec l'épisode baptisé « The Cartel », la série devient une trilogie et rompt avec l'époque des colons américains de la fin du XIXe siècle. Techland opte pour une période contemporaine comme théâtre des événements, mais la toile de fond ne change pas. En effet, tant qu'il a des armes à feu, qu'il porte un fardeau caché et qu'il dispose de motivations personnelles pour faire parler la poudre par temps chaud et sec, le cow-boy justicier peut être moderne... C'est cette ambivalence du personnage mythique américain - à la fois héros et pourriture - qui est au cœur du jeu, du scénario comme du gameplay. Call of Juarez The Cartel met en scène trois personnages bien différents qui font équipe afin de démanteler un réseau de trafic de stupéfiants. L'action débute sur le sol américain, dans les bas-fonds des quartiers les plus dangereux de Los Angeles (genre Crenshaw District), et progresse vers les plaines arides du Mexique dans la version actuelle de la tristement célèbre région de Juarez. Dans un premier temps, le trio de choc tente de monter les gangs locaux les uns contre les autres.
Call of Juarez : The Cartel (Preview)
C'est une certitude, Call of Juarez ne fait pas partie des séries majeures du catalogue d'Ubisoft. Et ce, en dépit du fait qu'elle appartient à un genre très prisé de nos jours : le FPS. Néanmoins, les deux premiers épisodes développés par les Polonais de Techland avaient eu le mérite de se démarquer de la concurrence en proposant notamment une ambiance western rafraîchissante avec une histoire ancrée en plein XIXe siècle. Un contexte que les développeurs ont choisi d'abandonner avec le troisième Call of Juarez, sous-titré The Cartel, le scénario du jeu prenant place cette fois dans un cadre contemporain. Terminé le charme aride des Call of Juarez version western. Avec The Cartel, le troisième épisode de la série, Techland a décidé de tourner une page en plaçant le joueur au centre d'une histoire se déroulant à notre époque. Red Dead Redemption avait pourtant prouvé récemment que le public ne nourrissait aucune réticence à l'idée de se lancer dans des chevauchées endiablées au cœur des étendues désertiques du Grand Ouest américain du XIXe siècle. Entre les deux premiers Call of Juarez, on avait en prime noté une certaine progression qui nous laissait à penser que le studio polonais possédait la capacité de concevoir une aventure cohérente et immersive dans ce contexte singulier.
Call of Juarez : The Cartel (Preview)
Le prochain Call of Juarez se déroulera bien dans l'ouest américain, comme il se doit, mais étrangement, à une époque moderne. Un “Call of Juarez : Modern Warfare” en quelque sorte dont une séquence nous a été dévoilée. Peut-on imaginer Lucky Luke sans son Jolly Jumper, les indiens, le saloon ou les diligences ? Si la question mérite d'être posée pour un des héros les plus célèbres de l'univers de la BD, elle l'est a fortiori pour le prochain Call of Juarez visiblement touché par le syndrome Call of Duty/Medal of Honor. Après deux aventures remarquées (surtout la deuxième) au temps de la conquête de l'ouest, Call of Juarez change en effet d'époque, même s'il en garde tout l'esprit, puisque selon l'éditeur et le développeur polonais Techland, « Le Far West, c'est avant tout un état d'esprit ». Pour rassurer la presse du bien-fondé de cette orientation (ou mieux, faire passer la pilule...), Ubisoft tente un tour de passe-passe, affirmant que le western est intemporel et que, bien plus que l'époque, ce sont cinq ingrédients précis qui le font (n'en déplaise à John Wayne...) : le lieu, c'est-à-dire l'ouest américain et le Mexique, la juste dose de “sans foi ni loi”, la présence de “vrais mecs”, un minimum d'espace de liberté et enfin un ton mature et sombre.
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Call of Juarez : The Cartel : (4.3/10)
9 tests d’experts
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