18 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 18 tests du Call of Duty : Modern Warfare 3. Les experts notent Call of Duty : Modern Warfare 3 8.6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Call of Duty : Modern Warfare 3 et d'autres Jeux PC.
Après Battlefield 3, c'est à Modern Warfare 3 que nous nous sommes intéressés, l'autre grand FPS de l'année, ou peut-être LE FPS de l'année, Battlefield 3 prenant la place de "l'autre" selon les avis. Les campagnes promotionnelles et le tapage médiatique sur ces deux jeux ont rapidement créé deux camps, comme si finalement il était impossible de pouvoir apprécier les deux. Il est effectivement difficile de jouer aux deux, la distinction est là. Les deux titres demandent un budget, du temps aussi puisqu'ils offrent tous les deux un mode multijoueur essentiel. Deux arguments de poids qui ont imposé le choix. Peut-être, plus tard, les uns iront voir sur l'autre ce qu'il se passe, quand l'accalmie frappera à la porte. En attendant, et d'après les premiers chiffres de vente, les records, Modern Warfare 3 tire nettement son épingle du jeu. On ne rappellera pas les affres du lancement de Battlefield 3 qui ont pu jouer en sa défaveur. Mais Activision remporte la victoire des premières semaines de vie et la communauté s'annonce plus que jamais présente. A croire qu'il fallait réellement remporter une guerre et que les troupes se sont mobilisées...
GamePro.fr
Ajouté le : 11/2011
Plus accessible...
Modern Warfare 3 est un épisode primordial pour la série Call of Duty. Pire, sans doute celui de tous les dangers. Entre l'affaire West/Zampella et l'exode des talents d'Infinity Ward, l'apport de Sledgehammer Games pour un développement partagé, le lancement de la plateforme Elite et de son modèle en partie payant, sans oublier la concurrence affûtée imposée par Battlefield 3... De nombreux éléments sont réunis pour pousser Modern Warfare 3 dans le précipice, et peut-être même la licence Call of Duty avec lui. On exagère ? Bon, oui, peut-être un peu car la plupart des gens qui se ruent sur le jeu actuellement n'ont sans doute jamais entendu parler d'Infinity Ward... Et le marketing bulldozer d'Activision est de toute manière là pour aider à vendre des galettes par cargos entiers (ça marche, CoD MW3 en est à déjà plus de 12 millions de jeux vendus en une semaine). Si bien qu'au-delà des anti-CoD qui n'aiment ni sa campagne grand spectacle qui se boucle en 6 heures, ni son multi énervé pas toujours stratégique, ce sont les joueurs amateurs de « Call Of » - et eux seuls - qui peuvent déterminer la qualité de cet épisode. Ça tombe bien, depuis le débarquement en 2003, nous les avons tous faits.
Dans la vie il y a des choses immuables qui rythment les saisons : la migration des oiseaux, les grandes marées et la sortie depuis 2003 d'un Call of Duty en novembre, généralement d'ailleurs une semaine avant le Beaujolais nouveau. Coïncidence ? Avant d'attaquer le test faisons tout d'abord un état des lieux de la série sur ces 2 dernières années. Après un Modern Warfare 2 vendu a près de 19 millions d'exemplaires en 2009, Activision licenciait pour de sombres histoires d'argent les 2 fondateurs du studio Infinity Ward (le procès est d'ailleurs toujours en cours) et perdait en même temps une cinquantaine d'employés dégoûtés, partis se réfugier chez Electronic Arts. S'en suivait en 2010 un Call of Duty: Black Ops développé par Treyarch, un autre studio appartenant à Activision. Exit la guerre moderne et place à la guerre froide. Le succès est là aussi au rendez-vous avec 23 millions d’exemplaires vendus. 2011 : c'est à nouveau au tour d'Infinity Ward de faire perdurer la série avec son Modern Warfare 3. Mais au vu de l'état sinistré du studio, des renforts provenant de Sledgehammer Games (énième studio Activision fondé par des vétérans d'EA ayant bossé sur Dead Space) sont venus filer un coup de main pour la campagne solo, tandis que le mode multijoueur est lui confié à Raven Software, studio qui était jusqu'à présent en charge des DLCs de Black Ops.
Comme chaque année, le mois de novembre est celui de la grisaille, des grèves impromptues de la SNCF, du retour des rhumes carabinés et bien sûr de la série Call of Duty. La licence au budget marketing plus important que le budget de développement revient cette année accompagnée de son Modern Warfare dans un épisode toujours aussi solide et spectaculaire mais qui commence toutefois à s’essouffler un peu. Bonne nouvelle pour ceux qui n’avaient absolument rien compris aux scénarios des deux premiers Modern Warfare, Modern Warfare 3 est à la fois l’épisode qui va mettre un terme à la troisième guerre mondiale entamée dans le premier opus et celui qui se veut le plus limpide du côté de la narration. Exit les grandes introspections des personnages et les allers-retours aux quatre coins du globe à la limite de l’incompréhensible, ici il ne reste finalement plus que quelques personnages à savoir Price, Soap, Yuri (le petit nouveau de MW3) et le grand méchant Makarov. Toujours aussi cinglé, celui-ci veut tout simplement mettre la main sur le monde en se servant de la Russie comme d’un énorme porte-flingue.
Rituel immuable du mois de novembre - avec le Beaujolais nouveau - la sortie d'un nouvel épisode de Call of Duty est généralement l'occasion pour Activision d'affoler les compteurs. Blockbuster au succès insolent, cash machine à l'épreuve des balles, parangon du FPS à grand spectacle, objet de toutes les adorations comme de nombre de critiques, c'est, chaque année, le lancement capital pour l'éditeur américain, surtout lorsque celui-ci est estampillé Modern Warfare.Alors après l'affaire "West/Zampella" et un Black Ops auréolé d'un succès commercial mais qui n'aura pas forcément fait l'unanimité auprès des joueurs, ce n'est pas moins de deux studios de développement, Infinity Ward (ou tout du moins ce qu'il en reste) et Sledgehammer Games, qui se sont attelés à cette tâche. Le résultat ? Une nouvelle interprétation de la recette qui a fait la renommée de la licence : une campagne solo hollywoodienne, un multi frénétique et toujours une bonne grosse louche d'explosions en tous genres et de moments de bravoure. Quitte à frôler l'indigestion? A l'Est, rien de nouveau Faisons le compte. Zakhaev ? Dessoudé. Shepherd, le général renégat ?
Parfois, il faut des phrases entières pour définir une oeuvre. Au cinéma, on appelle ça un pitch et ça dure plusieurs phrases. Parfois, c'est plus court, plus dense, une simple suite de mots résumera une série (le quotidien de publicitaires dans les années 50, les aventures d'un prof de chimie cancéreux qui décide de produire de la méthamphétamine pour subvenir aux besoins de sa famille...). Parfois, il suffit d'un mot. C'est le cas pour parler de Modern Warfare 3. À chaque niveau, ce mot vous reviendra en tête, comme un boomerang.Ce mot, c'est "Waouh".C'est tellement "Waouh" que tous les points que nous devons habituellement prendre en compte s'effacent devant l'incroyable mise en scène, les incroyables séquences que propose le jeu de Sledgehammer. Certes, le contrat est rempli au niveau des graphismes, du gameplay, de l'ambiance sonore, mais devant un tel rythme... Modern Warfare 3 en chiffres Rien qu'en suivant l'histoire (de Manhattan à la Sierra Leone en passant par Paris, Londres, Hambourg, Mogadiscio), on est jet-lagué ! Le jeu impose donc un terrible état de tension permanent, avec des climax monstrueux, presque à chaque niveau.
Je suis mauvais joueur. Je déteste perdre. Je hais me faire humilier en multi. Et c'est ce qui s'est passé durant deux jours. Ah oui... Je ne vous ai pas raconté les conditions du ttest de Modern Warfare 3. C'est assez cocasse. Ça s'est passé à Londres (qui peut résister au London Calling, à sa battle qui come down...) la semaine dernière entre lundi et mercredi. De Londres, on n'a rien vu, vraiment que dalle. On est resté deux jours dans nos chambres, Xboxisées pour l'occasion ou dans un living, en sous-sol, dans lequel on trouvait une vingtaine d'Xbox.Si le solo de Modern Warfare 3 n'a pas posé de problème, le multi, c'était autre chose. Deux jours à me faire poutrer par des confrères français, anglais, des développeurs. Y'avait même un italien, je crois. Pour cette raison, je décerne à ce jeu la note de zéro. Je vous l'ai dit que j'étais mauvais joueur. J'en veux à la terre entière, au climat londonien, au fait que pendant deux jours je n'ai pas pu faire mes quêtes quotidiennes de WOW. Et cette putain de manette...Ah oui. C'est vrai. J'ai quand même ça comme circonstance atténuante. Sans clavier, sans souris, que faire, à part se prendre des bombardements sur le coin de la gueule, à tenter de gigoter la manette sans conviction, écoeuré. Ouais, mais bon.
Alors que Battlefield 3 continue de rendre fou de plaisir et de douleur mêlés les acharnés de FPS militaires, voilà que le seigneur des charts et des ventes stratosphériques s'avance à son tour dans les boutiques pour tenter de montrer que c'est encore lui le chef. Sorte de tour du monde guerrier, le soft reprend bien évidemment la formule de ses prédécesseurs sans réinventer la poudre. Mise en scène apocalyptique, action frénétique qui ne concède pas le moindre temps mort, multijoueur super complet pour les amateurs de bastons rapides sans prise de tête, mais également un moteur graphique qui commence vraiment à accuser son âge... La méthode de roulement est maintenant bien connue : après avoir laissé la place aux petits gars de Treyarch et leur Black Ops l'année dernière, c'est maintenant au tour d'Infinity Ward - ou ce qu'il en reste - de reprendre le flambeau et de balancer une nouvelle fois la sauce juste avant Noël. Mais le fait est qu'une grosse partie des forces vives du studio magique s'est joyeusement carapatée chez la concurrence.
Le 20 septembre dernier nous avons été conviés à un événement Call Of Duty Modern Warfare 3… Activision cherchant manifestement à maintenir la pression marketing avant la sortie, en novembre, de son titre phare de la fin d’année 2011. Nous avons pu découvrir une nouvelle mission du jeu, se déroulant à Paris, mais également glaner quelques infos concernant le titre. Le niveau en question se nomme « Iron Lady », ce qui est une référence évidente à la Tour Eiffel. La mission débute d’une manière assez classique pour un Modern Warfare, avec des soldats en pleins combats de rue… Mais comme ils sont un peu bloqués, on passe dans les airs, à bord de ce qui semble être un hercule, équipé comme il se doit de 3 types de canons, un de 25mm, un de 40mm et enfin un gros canon de 105mm. On dégage gentiment un rond-point très haussmannien, en dégommant des chars, des escouades de russes, mais également des hélicoptères ! A un moment, l’opérateur demande l’autorisation d’engager le combat contre une position située dans un bâtiment. Une fois l’accord donné, on pilonne le coin d’un immeuble, qui devient un tas de cendres fumant. Attention, on ne parle pas ici du même niveau de destruction que dans Battlefield 3 hein, le moteur de MW3 ne permet pas cela.
Il aura donc fallu attendre le coup d'envoi du Call of Duty XP pour que l'on puisse enfin mettre la main sur le mode multijoueur de Call of Duty : Modern Warfare 3. Avec une fanbase de plus de 30 millions de joueurs à travers le monde, autant vous dire que Infinity Ward et Sledgehammer Games sont attendus au tournant, d'autant que certains ajouts dans Call of Duty : Black Ops n'avaient pas réjouit l'ensemble de la communauté. Petit tour du propriétaire manette en mains pour vous dire si Modern Warfare 3 va s'imposer comme la nouvelle référence du FPS multijoueur."Easy to play, hard to master". Ces mots, sortis de la bouche d'Eric Hirshberg, le CEO d'Activision, lors de la conférence de presse du Call of Duty XP résume parfaitement l'état d'esprit du multijoueur de Call of Duty : Modern Warfare 3. Avec les millions de joueurs qui se connectent chaque jour pour fragguer du militaire, Infinity Ward et Sledgehammer Games ne pouvaient pas se contenter uniquement d'une simple mise à jour pour le multijoueur. L'ambition étant toujours de faire croître la communauté de Call of Duty, les développeurs ont revu quelques bases pour continuer à garder les fans avec eux, tout en faisant venir les néophytes effrayés par le niveau d'exigence que peut demander le jeu pour espérer rester en vie plus de 30 secondes dans une map.
Assister a un événement aussi démesuré que le Call Of Duty XP permet de prendre la mesure du phénomène qu'est devenue la franchise outre-Atlantique. Concert des Dropkick Murphys et de Kanye West, parties de paintball dont le theatre est une reproduction d'une map du premier Modern Warfare, affrontements entre stars de la NBA et soldats américains et bien d'autres activités encore : Activision a décide d'en mettre plein les yeux aux milliers de fans s'étant acquittés des 150 dollars de droit d'entrée. Les recettes confortables dégagées par l'événement serviront d'ailleurs a financer une initiative de l'éditeur en faveur de la réinsertion de vétérans de l'armée américaine. Plus que jamais les liens ténus entre la licence Call Of Duty et l'US Army étaient manifestes lors de cet événement. Il fallait voir ces fans équipés comme des soldats prêts au combat et sentir cette atmosphère étrange aux relents de culte guerrier. Aussi spectaculaire soit-il, le Call Of Duty XP avait quelque chose d'assez gênant dans le fond. Pour nous il fut surtout l'occasion de nous essayer pour la première fois au mode multijoueurs de Modern Warfare 3 avant que les espace de jeu ne soient assaillis par les fans avides de s'y frotter a leur tour.
Tout a commencé par une explosion nucléaire. La bombe lancée dans Call of Duty 4 a peut-être été l'arme fatale qui a conduit les jeux à la surenchère, comme le tristement célèbre assaut dans un aéroport russe de Modern Warfare 2. Cela dit, la violence brutale et l'horreur qui sont au coeur des campagnes solos d'Infinity Ward avaient commencé longtemps auparavant. Peut-être était-ce en septembre 1942, au cours de la campagne russe de Call of Duty 2, ou votre commandant vous disait qu'il n'y avait pas assez d'armes pour tout le monde et qu'il vous faudrait attendre que le camarade à côté de vous meure pour vous emparer de la sienne. Par conséquent, personne ne devrait être surpris de voir que pendant que d'autres séries d'action peinent à répondre aux attentes suscitées en se contentant de simplement « faire la même chose en plus gros » à chaque nouvel opus, la campagne de Modern Warfare 3 sait toujours comment provoquer un fort impact.
Vous en avez l'habitude désormais, chaque fin d'année est obligatoirement marquée par la sortie en grande pompe d'un nouvel épisode de Call of Duty. Or, le dernier représentant de cette noble famille s'est tout récemment laissé approcher afin de nous prouver toute l'étendue de sa puissance destructrice. Marqué par la volonté de ses développeurs de satisfaire et de récompenser tous les fans de la série pour leur dévotion, le bougre aligne notamment un multijoueur boosté aux amphétamines de guerre, que nous allons nous faire un plaisir de vous décrire dans les lignes qui suivent. Allez, autant l'avouer tout de suite, nous ne nous faisions guère d'illusions en partant à la découverte du mode multi du nouveau FPS d'Activision. En bons petits soldats formatés par les derniers épisodes, nous n'attendions finalement de lui que de nouvelles cartes, de nouvelles armes et éventuellement quelques nouveaux atouts pour nos fiers combattants virtuels. Ni plus, ni moins. Or si de ce côté là, nous n'avons effectivement pas été surpris, réduire le boulot des petits gars d'Infinity Ward et de Sledgehammer à une simple mise à jour de contenu serait en fait bien loin de la réalité.
Gamekult
Ajouté le : 08/2011
Plus accessible...
Machine à sou immortelle d'Activision, Call of Duty ne saurait manquer la fin de l'année pour réjouir les amoureux de guerre moderne avec un nouveau conflit aux dimensions homériques. Mais Call of Duty : Modern Warfare 3 ne se contentera pas de nous faire vivre la Troisième Guerre mondiale aux premières loges dans son mode solo puisqu'il tentera aussi de se renouveller un peu en multijoueur, notamment avec l'arrivée du survival en mode Special Ops. Ce mode de jeu à déguster en couple était d'ailleurs à la fête lors de cette gamescom 2011 et nous avons pu le découvrir manette et fusil en main. Jackpot Puisque la mode est apparemment à la destruction de notre chère (dans tous les sens du terme) capitale, cet essai du mode Special Ops Survival de Call of Duty : Modern Warfare 3 nous plongeait au milieu de rues parisiennes fictives (et accessoirement bien moches, il serait temps de changer de moteur graphique) pour un affrontement brutal comme la franchise en a le secret. En compagnie d'un coéquipier, on y était attaqué par quelques terroristes/insurgés/paramilitaires agressifs que l'on devait s'empresser d'éradiquer à l'aide de notre seul pistolet.
Deux ans déjà que nous avons quitté Soap et Price. Deux héros en fuite après la trahison de leur supérieur, le général Sheperd. De leur devenir depuis ces évènements, nous ne savons pour l’heure rien. Ce qui est acquis en revanche, c’est que la situation du monde s’est encore dégradée. . Aux commandes de différents personnages, Modern Warfare 3 va nous emmener au combat sur plusieurs fronts, à New-York, Washington, Londres, Paris et bien d’autres. Le but ? Tuer Makarov et sauver le monde. Pour cette première présentation, pas de multi, uniquement deux niveaux de la campagne solo que nous avons pu découvrir avec les équipes d’Infinity Ward et SledgeHammer. Pas un mot sur la récente fuite qui a vu le scénario du jeu filer sur le Net. Rien non plus sur les difficultés d’Infinity Ward qui auraient pu sceller le sort du titre et du studio. Pas d’interview non plus. A deux semaines de l’E3, la priorité était de nous immerger dans l’ambiance de fin du monde propre à Modern Warfare 3. Le premier niveau, « Black Tuesday », nous expédie à Wall Street, au cœur de Manhattan. La scène s’ouvre. La Delta Force, l’équipe à laquelle on appartient, tente de s’extraire d’un Humvee en flammes, détruit lors d’une explosion.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 05/2011
Plus accessible...
La licence Call of Duty aborde plus que jamais une étape charnière de son existence. Revenant aux commandes de sa franchise après le triomphe public du Black Ops de Treyarch, Infinity Ward a en effet dû composer avec le départ forcé d'une partie significative de son équipe suite à ses démêlés judiciaires avec Activision, son éditeur. La tâche est donc plus lourde que jamais pour Modern Warfare 3 puisqu'il lui incombe d'assurer la pérennité de la série tout en affrontant frontalement Battlefield 3, son concurrent direct au meilleur de sa forme. Travaillant avec le moteur de Modern Warfare 2 upgradé pour l'occasion, Infinity Ward nous a présenté sa méthode : porter le gameplay classique des MW à un degré de spectacle toujours plus grandiose. En guise de démonstration sur une version Xbox 360, un membre de l'équipe nous a présenté deux niveaux en intégralité manette en main : une session de guerre ouverte en plein cœur de Manhattan et une mission d’infiltration nocturne dans un quartier industriel. La première commençait par une séquence en passe de devenir le gimmick de la série Call of Duty : le crash de notre hélico en plein centre urbain.
Véritable rouleau compresseur à propulsion atomique dont le succès fait tourner la tête à tous les acteurs de l'industrie, Call of Duty entend bien en remettre une couche et asseoir encore un petit peu plus son indécente domination sur la "concurrence" grâce à un nouvel épisode de Modern Warfare. Sorte de tour du monde guerrier, le soft reprend bien évidemment la formule de ses illustres prédécesseurs avec une mise en scène apocalyptique, une action frénétique qui ne concède pas le moindre temps mort, mais également un moteur graphique souffreteux faisant penser à un octogénaire tentant de se lancer dans un triathlon en déambulateur... La méthode de roulement est maintenant bien connue : après avoir laissé la place aux petits gars de Treyarch et leur joli Black Ops l'année dernière, c'est maintenant au tour d'Infinity Ward - ou ce qu'il en reste - de reprendre le flambeau et de balancer une nouvelle fois la sauce en novembre prochain. Mais le fait est qu'une grosse partie des forces vives du studio magique s'est joyeusement carapatée chez la concurrence. Du coup, pour tenter de compenser ces lâches défections, Activision est donc allé chercher des renforts du côté de Sledgehammer afin de ne pas trop pénaliser le développement de ce nouvel opus.
Se déroulant quelques semaines après les événements de Call of Duty : Modern Warfare 2 et les légers problèmes oculaires de Sheperd, Call of Duty : Modern Warfare 3 poursuit le concept de l'extension du conflit sur plusieurs plans et différentes destinations, incluant très logiquement le sol américain. C'est d'ailleurs en plein coeur de Manhattan que débutait la mission d'ouverture de cette première présentation du titre développé conjointement par Infinity Ward et Sledgehammer Games. Aux commandes d'un guerrier lambda au sein d'un groupe de soldats composé de Grinch, Sandman et Grizzly, le but est de rejoindre les hauteurs de la ville afin de détruire une antenne relais visiblement utile pour l'armée russe. Cette dernière est d'ailleurs toujours bien décidée à régler ses comptes, non seulement avec les américains mais également avec quelques pays européens qui ont pris part directement au conflit, comme la France, l'Angleterre, l'Allemagne ou encore la République Tchèque. Un environnement de troisième guerre mondiale qui passe bien évidemment par des destructions massives comme les rues dévastées de New-York l'attestent, offrant un parallèle étonnant avec l'ambiance du récent Crysis 2.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Call of Duty : Modern Warfare 3. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Call of Duty : Modern Warfare 3.