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Nous avons réuni 14 tests du Call of Duty : Black Ops. Les experts notent Call of Duty : Black Ops 7.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Call of Duty : Black Ops et d'autres Jeux Playstation 3.
Comme chaque année, Call of Duty nous revient, et sur ce nouvel opus, c'est la team Treyarch, seul maître à bord connu depuis le démantèlement d'Infinity Ward, qui s'y colle comme un pain de C4. Après le raz-de-marée MW1 et MW2 du défunt soldat Ward, et son épisode World at War « intercalé », Treyarch nous emmène dans de multiples sites, par le biais de ce qui fût appelé du temps de la Guerre Froide (paraît-il finie) les opérations noires (ndlr : Black Ops). Les petits gars de Treyarch ont-ils réussi à faire mieux que leurs illustres prédécesseurs et ainsi faire oublier Infinity Ward ? Petite mise en situation : Vous incarnez Mason, un spécialiste de la CIA, souvent envoyé dans ces missions parallèles appelées « opérations noires », qui avaient pour but d'opérer en douce et « à l'insu » de beaucoup de monde, avec comme dans Mission Impossible, la fameuse clause écrite en tout petit dans le contrat : si vous mourrez ou êtes fait prisonnier, nous nierons votre existence et tout lien entre vous et nos services. Sympa. C'est donc avec un entrain certain que nous parcourons le monde via les yeux de Mason (normal pour un FPS) à partir du début des années 1960, et la tentative d'assassinat ratée sur un des plus fidèles adversaires des Etats-Unis de l'époque.
GamePro.fr
Ajouté le : 11/2010
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Treyarch, qui s'occupait jusque-là des épisodes de Call of Duty s'intéressant à la Seconde Guerre Mondiale, a-t-il avec ce Black Ops se déroulant sur fond de Guerre Froide réussi à résorber le gouffre existant entre ses production habituelles et les CoD d'Infinity Ward ? Une question déterminante pour l'avenir de la série poule aux oeufs d'or d'Activision, alors que l'affaire Infinity Ward a justement entaché la licence ces derniers mois, tandis que rien ne dit que sans ses cadres, le studio réussira à délivrer un Modern Warfare 3 qui puisse répondre aux attentes des fans. Heureusement pour ces derniers, Treyarch démontre avec Black Ops avoir réellement mûri dans son approche du FPS, réussissant à faire un peu mieux que copier la recette inventé par un autre. En effet, avec ce nouvelle épisode, le studio s'affirme, même s'il ne fait souvent que remettre à sa sauce l'archétype de tout ce qui est sensé faire un bon CoD. Résultat, sans s'imposer comme le meilleur jeu de la série, Black Ops réussit le pari de s'installer parmi les tous meilleurs épisodes, ce qui n'est pas rien. Car même s'il démarre timidement, Black Ops bénéficie dès les premiers instants d'un enrobage à la hauteur des ambitions du titre. Un jeu de guerre mature, assez froid, mais qui exploite assez habilement un contexte historique très particulier.
Tous les fans de la série et les fans de FPS multi-joueurs ont certainement déjà dû se ruer sur le nouveau Blockbuster Call of Duty : Black Ops. Un Blockbuster qui revient maintenant quasi tous les ans. Ce test est donc surtout pour les autres, ceux qui n’ont pas encore connu l’expérience que constitue les épisodes de cette série. Il est difficile d’écrire un test sur un titre de la série Call of Duty. Pourquoi ? Parce que la série, surtout depuis Modern Warfare (COD 4), est très « formatée ». Chaque épisode contient donc une partie solo calibrée comme un blockbuster hollywoodien (malheureusement de plus en plus de la même durée qu’un film) avec ce qu’il faut comme moyens de réalisation, les scènes d’actions s’enchaînant sans presqu’aucun moment calme… Ici le scénario s’intéresse à un membre des Black Ops de la CIA, effectuant des missions (avec un fil conducteur classique, à savoir retrouver le gros méchant de l’histoire) sur à peu près tous les théâtres de combats de la guerre froide (Laos, Vietnam, Russie, etc.). Parmi les nouveautés de cet opus, l’arbalète est jouissive, les armes sont assez classiques, avec d’ailleurs une petite erreur historique liée à la disponibilité de notre fusil d’assaut national, le Famas, qui n’est apparu chez nous qu’en 1973 alors que la dernière partie du jeu se déroule en 1970.
Comme tous les ans maintenant, il y a ceux qui distribuent leur dose de jeux de sport et ceux qui préfèrent assouvir les accros aux headshots bien sanglants. Activision fait partie de cette dernière catégorie et possède, avec Call of Duty, un soldat d'élite prêt à dynamiter au C4 les charts occidentaux. Année paire oblige, c'est la cuvée Treyarch que l'éditeur franco-américain nous ressort en cette fin 2010. On aurait presque tendance à l'oublier, mais il y a bien un mode solo et un scénario dans Call of Duty : Black Ops. S'il est vrai que la série ne gate pas les amateurs de plaisirs solitaires avec de longs ébats, elle a au moins le mérite de revendiquer sa marque de fabrique : du script et du grand spectacle à gogo. Ce septième épisode ne déroge pas à la règle et nous met dans la peau d'Alex Mason, un membre des SOG alors que son unité s'apprête à liquider Fidel Castro une bonne fois pour toute, à même son baldaquin cubain. Bien évidement, rien ne se passe comme prévu et le joueur se retrouve embarqué dans une histoire qui cède tout au grand spectacle, se déroulant dans les années 60. Treyarch abandonne ainsi un contexte historique pour un autre, même si la Guerre Froide est adaptée avec encore plus de libertés que la Seconde Guerre mondiale.
Call of Duty : Modern Warfare 2. Ce nom résonne encore dans le coeur des amateurs de FPS et l'arrivée de Treyarch aux commandes de son petit frère a fait naître de nombreuses railleries pourtant injustifiées dans le coeur des fans inconditionnels de COD. Parce qu'à défaut d'être le créateur de cette série, le studio américain est toujours debout, lui, et il est bien décidé à assurer la relève.Que cela soit bien clair, le FPS hollywoodien est de retour et il va vous faire vivre une infime partie de la guerre froide, une période sombre des Etats-Unis. Ainsi, nous avons choisi de vous présenter le mode solo de l'intérieur. Le but ? Eveiller votre intérêt au moyen de quelques scènes admirables qui se trouve dans ce FPS de nouvelle génération. Nous ne nous poserons qu'une question aujourd'hui : Treyarch peut-il enfin égaler voire dépasser Infinity Ward ? Réponse.Dossier NOVA 6. Pentagone, le 1er mars 196*. Mon nom est Mason. Alex Mason. Je fais parti du SOG, une unité d'élite experte dans les opérations spéciales. Pour faire simple, disons que nous sommes une poignée d'hommes issus de plusieurs services, comme les SEALs de la Navy, l'Air Force ou encore la CIA, pour ne citer qu'eux. Nos terrains de prédilection sont le Vietnam, l'URSS, le Laos et bons nombres d'autres endroits aux climats extrêmes.
Call of Duty, c’est surtout Infinity Ward. Cantonné au rôle de faire-valoir avec des épisodes En Marche vers Paris et World At War un bon cran en dessous des Modern Warfare, Treyarch avait pour ambition de rattraper son retard avec Black Ops. Budget, développeurs et communication revus à la hausse, abandon de la Seconde Guerre Mondiale pour un ambiance sixties et une Guerre Froide rafraîchissante pour le genre : on sent qu’un nouveau vent souffle du côté du studio californien. Est-ce suffisant pour en faire le meilleur Call of Duty ? Mason, le héros de Black Ops, c’est le genre « pas de bol man ». En bon soldat US tout ce qu’il y a de plus héroïque, avec la fâcheuse tendance à se lancer la tête la première dans le premier piège russe venu, il aura le temps de se faire capturer une bonne dizaine de fois en à peine six heures (en normal sur console, plutôt huit en hard et quelques semaines en Veteran, le temps de racheter des écrans rageusement éclatés sous le coup de la frustration). Notez l’habileté avec laquelle je désamorce d’entrée l’éventuel débat sur la durée de vie : Black Ops est dans la tranche basse des jeux du genre, donc bien court au final. Mason, disais-je donc avant de digresser, est du genre à passer son temps dans le camp ennemi, à se faire torturer comme à enchaîner les entailles à la crosse de son fusil.
Après le succès presque indécent de Modern Warfare 2 puis la grosse brouille entre son développeur Infinity Ward et son éditeur Activision, l'autre studio qui se charge de la série Call of Duty semble bien décidé à marquer les esprits et à vraiment s'approprier la licence. Sans doute fatigués d'être souvent considérés comme des seconds couteaux seulement capables de boucher les trous en attendant les « vrais » Call of Duty d'Infinity Ward, les petits gars de Treyarch ont finalement atteint leur vitesse de croisière, au point de faire jeu égal avec le maître... Autant ne pas se voiler la face, jusqu'à présent, nous n'avions jamais été vraiment emballés par les productions estampillées Treyarch. Sympathiques certes, efficaces sans aucun doute, les Call of Duty du studio manquaient pourtant d'ambition, se contentant souvent de copier la recette d'Infinity Ward sans jamais vraiment parvenir à en retrouver le souffle. Mais voilà, notre contact approfondi avec Black Ops nous a finalement poussés à ravaler notre méfiance et nos préjugés. De copies plus ou moins bien inspirées, Treyarch nous livre cette fois un FPS de haute volée, largement à la hauteur des titres des créateurs de la série, voire carrément supérieur.
Véritable enjeu pour Activision, la licence Call of Duty est depuis déjà quelques années dévolue à deux développeurs : Infinity Ward, son créateur, et Treyarch, qui s'occupe depuis 2006 des volets impairs de la série - les moins bons, en fait. Après quatre ans de garde partagée, le second couteau pourrait néanmoins enfin tenir sa chance avec Call of Duty : Black Ops, dont le lancement est accompagné d'une campagne marketing au moins équivalente à celle d'un épisode Infinity Ward. Surtout, le studio s'est enfin décidé à lâcher la Seconde Guerre mondiale et nous livre un épisode libéré de pas mal de contraintes historiques. Et ça se ressent... 17 avril 1961, baie des Cochons, Cuba. Infiltrés dans l'armée des mercenaires chargés de renverser le gouvernement castriste, des agents de la CIA s'apprêtent à pénétrer la demeure de Fidel Castro afin de mettre définitivement hors d'état de nuire le tout jeune Líder Máximo. Aussi ratée que le débarquement lui-même, l'opération se solde - dans des conditions assez rocambolesques - par la capture d'Alex Mason, qui sera malgré les apparences notre héros du jour.
Après la campagne solo, c'est au tour du mode multijoueur de Call of Duty Black Ops de faire parler de lui. Invités à découvrir en avant-première les quatre premières cartes et les nouveautés de gameplay à Los Angeles, notre envoyé spécial est revenu enchanté de ce premier contact avec ce qui s'annonce comme une référence ultime de FPS multijoueur. La relative déconvenue qualitative de l'épisode World at War a forcé le studio Treyarch à prendre plus au sérieux la licence Call of Duty afin d'égaler les productions signées Infinity Ward. Pour ce faire, exit les multiples projets menés de front, le studio californien a mis toutes ses forces dans le développement de Black Ops. Si le mode solo récemment présenté nous a rassurés quant à l'entreprise, la découverte du multi a provoqué l'effet d'une bombe au sein de la rédaction. Histoire de vous mettre un peu l'eau à la bouche avant de rentrer dans le vif du sujet, nous vous proposons une petite devinette. Qu'ont en commun GoldenEye sur Nintendo 64, Counter Strike, Battlefield et Call of Duty Modern Warfare (liste non exhaustive) ? Ils ont tous en leur temps révolutionné notre façon de jouer à un jeu de tir à la première personne à plusieurs.
Alors que ces dernières années, la vie était plutôt un long fleuve tranquille pour la licence , les récents événements chez Activision ainsi que la résurrection de constituent peut-être un tournant dans l'histoire de la série si lucrative. Il est en effet indéniable que, le prochain épisode développé par Treyarch, se doit d'être à la hauteur de ses prédécesseurs, voire même si possible d'offrir plus. En marge de l'E3 et de la gamescom, nous avons eu le droit à la présentation du blockbuster le plus attendu de cette fin d'année, dans une petite salle parisienne à l'écart de toute agitation malvenue.Si n'était pas jouable lors de cette première entrevue, deux niveaux nous ont été montrés, qui ont fait, il faut bien l'avouer, forte impression sur l'auditoire. Suivez-nous donc dans la jungle vietnamienne pour un décorticage en règle de ce que nous y avons vu.La première mission nous place donc en plein milieu d'une dense forêt hostile, remplie d'ennemis qui montent la garde dans leurs cabanes au fond du jardin. S'infiltrer dans ces véritables forteresses sur pilotis n'est pas forcément aisé et il faudra faire preuve d'une discrétion sans faille pour avancer sans se faire repérer.
De passage à Paris, les développeurs de Treyarch, responsables entre autres de Call of Duty World at War, nous ont présenté le mode solo de leur nouveau bébé à travers trois niveaux. L'occasion de constater que la recette Call of Duty continue d'être appliquée méthodiquement avec toutefois quelques petits changements plutôt intéressants... A la différence des épisodes précédents, Call of Duty Black Ops n'offre pas deux campagnes mais une seule qui se déroule pendant la guerre froide, des années 50 aux années 70. Le scénario suit ainsi la destinée d'un homme, Mason, membre de l'unité spéciale des Black Ops, qui est amené à guerroyer dans plusieurs pays comme le Vietnam, le Laos et la Russie. D'ailleurs, c'est dans les montagnes du Caucase que se situe la première mission révélée par les développeurs. La séquence d'introduction vous place dans un avion à réaction et vous permet de suivre sur un écran radar le déplacement d'une de vos équipes au sol qui s'apprête à infiltrer une installation soviétique. Quelques instants plus tard, vous voilà téléporté comme par magie dans la peau d'un membre de ce mini-commando de quatre hommes (tout au long du niveau, vous serez donc entouré de trois coéquipiers).
Gamekult
Ajouté le : 08/2010
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Comme tous les ans, Activision vient récolter la dime avec l'épisode annuel de Call of Duty, sous-titré en Black Ops cette fois-ci. Au programme, des opérations spéciales forcément explosives derrières les lignes ennemies pour un titre qui va sans aucun doute se vendre à la tonne lors de sa sortie à la fin de l'année. Plongée en pleine Guerre Froide pour faire la nique aux méchants communistes aux côtés des soldats d'élite de l'Oncle Sam, cette nouvelle présentation de Black Ops commençait par une petite promenade touristique (toujours réputée) au Vietnam. Partis enquêter sur des mouvements de troupes soviétiques dans le pays de la péninsule indochinoise, nos super bidasses sans peur et sans reproches étaient un peu embêtés lorsque leur hélicoptère se retrouvait attaqué, écrasé et à moitié coulé après une chute dans un lac. Pour éviter la noyade, notre héros s'affairait à défoncer la porte de l'hélicoptère déchu, pous se retrouver à dix mètres sous l'eau et finir au milieu d'une gigantesque fusillade comme Call of Duty a toujours su en faire. Ignorant les rafales ennemies par la puissance seule de son patriotisme, le dénommé Mason que l'on suivra dans Black Ops s'extirpait alors de l'eau pour utiliser un petit Vietnamien de passage comme un gilet pare-balle de fortune avant d'abattre les vils communistes présents dans les environs sans verser une goutte de sueur.
Après l'énorme succès de Modern Warfare 2 puis le litige entre son développeur Infinity Ward et son éditeur Activision, l'autre studio qui se charge de la série Call of Duty, Treyarch, s'est rappelé à notre bon souvenir en nous montrant deux niveaux du prochain volet de cette licence. Et ce que nous avons vu nous a rassurés quant à l'avenir de CoD. Rapport de mission... Au fil des volets de la licence Call of Duty qu'il a développée, Treyarch avait fait preuve d'une constance évidente : cantonner l'histoire dans le cadre de La Seconde Guerre mondiale. Pendant ce temps, chez Infinity Ward, l'autre studio se chargeant du développement des opus de la série, on avait quitté cette période pour s'intéresser aux conflits contemporains avec les deux Modern Warfare qui ont rencontré un indiscutable succès. Pour Call of Duty Black Ops, Treyarch va à son tour quitter la Guerre 39-45 pour avancer de quelques années dans le temps et installer son intrigue dans les années 60, entre Guerre Froide et Guerre du Vietnam. Dans le treillis d'un membre d'un commando envoyé par la CIA partout dans le monde pour préserver la démocratie en toute discrétion, vous allez voir du pays : l'Asie, Cuba ou le territoire de l'Union Soviétique.
Gamekult
Ajouté le : 05/2010
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Dans l'ombre des Modern Warfare, Call of Duty : World at War n'a pas totalement convaincu en son temps. Pas assez original, pas assez prenant, et globalement en dessous des productions d'Infinity Ward. Mais pour Call of Duty : Black Ops, Treyarch semble s'être retroussé les manches, comme l'a démontré la petite présentation du jeu à laquelle nous avons pu assister à Londres tout récemment. Premier coup d'oeil sur l'un des titres majeurs du catalogue d'Activision pour cette année 2010. Thème pour le moins redondant chez les FPS, la Seconde Guerre Mondiale fait partie du passé dans Call of Duty : Black Ops, un titre qui se concentrera sur la guerre froide, avec les changements de décors et d'atmosphères que cela implique. Ce dont personne ne se plaindra. La présentation à laquelle nous avons pu assister permettait de découvrir plusieurs aspects du titre, à défaut de pouvoir mettre les mains sur le pad, avec une version 360 déjà relativement bien avancée. Du concret donc, et de l'action. Beaucoup d'action même, dans une recette dont les principaux ingrédients semblent rester en phase avec la tradition de la série.
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