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Nous avons réuni 15 tests du Castlevania : Lords of Shadow. Les experts notent Castlevania : Lords of Shadow 8.2/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Castlevania : Lords of Shadow et d'autres Jeux Xbox 360.
Après avoir siégé au panthéon du jeu vidéo pendant les années 90, la série Castlevania a doucement perdu de son souffle avec l'arrivée des épisodes 3D et ne s'en est jamais réellement remise. Cependant, tel un Belmont mal en point, elle n'a jamais baissé les bras, essayant de se relever afin de devenir plus forte et de retrouver son aura d'antan. Tirant un trait sur les épisodes 64, les volets sur PS2 proposaient un background intéressant et fouillé, digne de la licence, mais se heurtaient cependant à une prise en main trop brouillonne voire laborieuse. L'annonce d'un reboot de la série l'année dernière, développé par Mercury Steam, un studio espagnol pas forcément très connu a bien entendu divisé les foules, comme à chaque fois que l'on touche à un monstre sacré. Lords of Shadow étant à présent arrivé, il est temps d'effectuer un bilan définitif, sans aucun à priori ni aucune concession. La famille Belmont va-t-elle retrouver sa noblesse ou continuera-t-elle à évoluer dans l'ombre d'un passé trop lourd à porter ?L'histoire de ce Castlevania se veut plus grande et ambitieuse que celle de ses prédécesseurs. Gabriel Belmont, le héros que nous suivrons pendant toute l'histoire, est à la poursuite d'un but à priori impossible, qui sera en perpétuelle évolution au cours de son périple.
Il est des séries dont la qualité n’est plus à démontrer. Parmi elles, des sagas déchues qui ont connu l’engouement incontestable d’une communauté de fans, avant de voir le tableau s’assombrir. Après un douloureux passage à la 3D il y a plusieurs années de cela, la renommée de la série des Castlevania promettait un retour en force avec Lords and Shadow, vidéos impressionnantes à l’appui depuis déjà plus d’un an pour montrer que cet opus serait en rupture avec les autres épisodes. Avec la contribution du studio d’Hideo Kojima le père des Metal Gear Solid, les pieux espagnols de Mercurysteam auront-ils réussi à faire de cet opus un renouveau salvateur, comme le nom du héros semble le présager ? Dans l’Ancien et le Nouveau Testaments, l’archange Gabriel est connu pour son statut de messager de Dieu, son bras droit. Et ça tombe plutôt bien puisque c’est le nom du héros de ce Castlevania : Lords of Shadow, un membre d’un Ordre religieux qui cherche à éradiquer le mal qui sévit dans la région, rien que ça. Nous sommes en 1047, l’humanité fait face à la ruine et au désespoir ; les hauts pontes de l’Ordre choisissent Gabriel Belmont comme bras vengeur de l’Eglise qu’ils représentent, non pas parce que son prénom funky faisait super stylé dans le générique de fin, mais parce qu’il a récemment perdu sa femme Marie à cause de ce même fléau qui ravage toute l’Europe, et qu’il fera tout pour la ressusciter.
Castlevania débarque avec force galipettes et coups de chaîne. Seuls défauts, son manque d'originalité et sa répétitivité. Commençons par ce qui fâche. Avec son scénario peu original et ses multiples sources d'inspiration – God of War, Dante's Inferno, Devil May Cry, etc. –, Castlevania : Lords of Shadow n'incarne pas tout à fait le renouveau flamboyant de la licence qu'on attendait. Son identité est trop floue pour mériter l'appellation « Castlevania ». Pour autant, voici une renaissance plutôt plaisante. Dans la peau de Gabriel Belmont, jeune membre de la Confrérie de la lumière, vous partez en quête de la vérité sur le meurtre de votre femme. Vous vous retrouvez entraîné dans une aventure tout en cabrioles, combats, cinématiques et quick time events qui vous mène dans les domaines des Seigneurs noirs. Les Lords of Shadow menacent l'équilibre entre le bien et le mal, mais leurs pouvoirs conjugués pourraient, surtout, permettre à Gabriel de ramener sa compagne à la vie. Une bonne motivation pour notre héros qui va manger du loup-garou, du vampire et des gobelins pendant plus de 30 heures de jeu.
C'est sans doute avec beaucoup d'hésitation que les grands fans de la franchise Castlevania approcheront ce nouvel épisode. Si la série a connu un véritable succès à une époque, Castlevania n'a pourtant pas toujours bien vécu le poids des années. Après une succession de volets peu glorieux, Konami a décidé de se remettre au travail et d'offrir un renouveau à sa franchise. Confiant cette difficile tâche à un studio espagnol assez obscur, connu pour Clive Barker's Jericho, titre médiocre s'il en est qui ne doit sans doute pas refléter le travail des développeurs, Konami ose le pari de séduire à nouveau son public, voire au-delà. Les Belmont sont de retour, Gabriel en tête, et une quête épique s'apprête à s'ouvrir sous vos pas. Passons rapidement sur le scénario, l'un des aspects les plus fades du jeu. Gabriel vient de perdre son épouse, assassinée par les forces du mal, forces qui semblent vouloir s'accaparer le monde en y apportant la peur et la dévastation. Motivé par la vengeance, Gabriel se lance alors dans la quête d'un précieux artefact, qui sauvera le monde, mais aussi et surtout sa belle. Le beau ténébreux n'hésite donc pas une seconde à revêtir l'habit de la grande destinée et part, séance tenante, affronter tous monstres, toutes créatures, qui se poseront sur son chemin.
Au même titre que Mario, Zelda ou encore Metroid, Castlevania fait partie des licences cultes du monde du jeu vidéo. Débutée il y a environ une vingtaine d'années et après autant d'épisodes, la série phare de Konami a marqué à jamais une génération de joueurs. Pourtant, véritable bijou des jeux en 2D, la franchise n'a jamais réussi à se transposer en 3D et s'est contentée d'épisodes généralement fades, voire dénaturés n'apportant rien de plus à cet univers riche et captivant. Konami ne baisse pour autant pas les bras et a confié au petit studio espagnol Mercury Steam Entertainment, à qui l'ont doit le médiocre Clive Barker's Jericho, la lourde tâche de redonner un coup de fouet à la famille Belmont. Opération réussie ou nouvel épisode sans saveur ? Réponse après quelques gousses d'ail. Castlevania : Lords of Shadow reprend les grandes lignes classiques de la série. Le combat entre le bien et le mal fait toujours rage, et la famille Belmont est toujours la plus active dans la chasse aux vampires. Cette fois-ci c'est un certain Gabriel qui part à l'aventure, poussé par des motivations très personnelles puisque que sa dulcinée s'est faite occire par les forces du mal.
Lorsque Konami avait annoncé qu'un nouveau Castlevania verrait le jour, en 3D, cela en avait rendu sceptique plus d'un, étant donné le passif houleux avec les épisodes du genre. Mais lorsque Hideo Kojima s'est imbriqué dans le développement du nouveau titre de la franchise, c'est toute une génération de joueur qui a recouvré l'espoir de voir une digne suite, en plus de deux dimensions cette fois. Maintenant que l'on a enfin le jeu entre les mains, qu'en est-il vraiment de ce nouvel opus ? Petite tuerie ou pétard mouillé ?Le pitch de ce nouveau Castlevania n'est pas sans rappeler un certain Dante's Inferno. En effet, notre héros répondant au doux nom de Gabriel Belmont, vient de perdre sa femme, assassinée par les forces du Mal. Ne répondant plus qu'à son besoin de vengeance, il va tenter de sauver sa belle du monde obscur dans lequel la Faucheuse l'a mené. Il ira par la même occasion tirer au clair la rumeur qui voudrait que Dieu ait abandonné les humains à leur triste sort, pour laisser les forces de l'Ombre tout décimer sur leur passage et ne faire du monde qu'un vaste chaos.S'il faut avouer que le scénario reste assez classique dans le genre, la mise en scène ainsi que la narration s'avèrent diablement efficace.
Egalement disponible sur : A chaque annonce d'un nouveau Castlevania en 3D, la suspicion est de mise pour les joueurs. Après un Castlevania 64 qui n'est pas resté dans les annales, Konami avait su redresser la barre sur PlayStation 2 avec des épisodes plus réussis, sans pour autant se montrer incontournables. Pour remédier à cela, et marquer le passage sur les machines actuelles, Konami a décidé de tout reprendre à zéro avec Castlevania : Lords of Shadow. C'est donc en Espagne, dans les studios de Mercury Steam (Clive Barker's Jericho, c'est eux !) que le titre a été développé. Et afin d'assurer un meilleur résultat, c'est monsieur Hideo Kojima himself qui a chapeauté l'ensemble du projet. Compte-tenu du résultat final, le moins que l'on puisse dire, c'est que Konami a vu juste voire en plein dans le mille. Prenons notre croix et notre eau bénite, et allons donc charcuter du vampire !Le premier contact avec le jeu se fait pendant une nuit de l'année 1047, dans un petit village sous une pluie diluvienne. Juché sur sa monture, un homme habillé d'une tunique rouge un peu déchirée sort de l'ombre. Son objectif ? Mettre une bonne raclée à la flopée de loups-garous qui harcèlent les gentils villageois.
Des épisodes Nintendo 64 à Curse of Darkness, en passant par les projets avortés ou déjà oubliés, les tentatives d'adapter le gameplay Castlevania en 3D se sont toutes soldées sur des échecs. Aussi l'annonce d'un nouvel épisode Next Gen, confié qui plus est à un studio européen méconnu, avait de quoi laisser les fans dans l'expectative. Depuis, le label Kojima Productions est venu s'apposer au développement, et que cela ait un lien ou non, on peut désormais dire que Castlevania : Lords of Shadow signe l'une des plus belles surprises de ces dernières années. A quoi bon s'échiner à transposer une nouvelle fois la formule Metroidvania quand même les concepteurs des volets 2D s'y sont cassé les dents ? C'est sans doute la conclusion qu'ont tirée Mercury Steam et Konami, qui sont manifestement allés puiser leur inspiration chez God of War et Cie. Ce n'est pas une surprise si le système de jeu de Lords of Shadow évoque évidemment ses illustres aînés, à tel point qu'il suffirait de tondre Gabriel Belmont, le héros de cet épisode, pour le confondre avec Kratos. Décidé à ramener sa défunte épouse d'entre les morts, notre Croisé se défend avec une Croix de Combat, et non avec le fouet traditionnel.
De la série Castlevania, on se souvient avant tout de ses titres 2D, de Super Castlevania IV (Super Nintendo) à Symphony of the night (PS one) en passant par Circle of the Moon (GBA). Pourtant, il serait injuste d’affirmer que la 3D n’a jamais vraiment réussi à la saga de Konami. Certes, les déclinaisons N64 furent pour le moins malheureuses mais ce serait un peu trop rapidement oublié Lament of Innocence, sorti sur PlayStation 2, épisode soigné, mêlant habilement action et exploration. Depuis, il est vrai que la 3D n’a pas franchement souri à la licence avec un volet Xbox, Curse of Darkness, pour le moins raté dans sa volonté de transposer le mythique Symphony of the night en trois dimensions. Avec Castlevania : Lords of Shadow, il y aura dorénavant un avant et après, et l’on ne se remémorera plus seulement de la série par ses jeux en 2D. L’aventure débute par une nuit d’orage. Un homme, masqué par une capuche, chevauche sous la pluie en direction d’un village. A son arrivée, les villageois affolés semblent voir en lui un espoir. Poussé par la soif de vengeance et le désir de ressusciter sa bien-aimée, cet homme, c’est Gabriel Belmont, personnage massif membre de la Confrérie de la Lumière (un groupe de chevaliers saints qui protègent et défendent les innocents contre des êtres surnaturels).
Exceptés des épisodes DS qui tranchent vraiment avec le style Castlevania d'antan, on ne peut pas dire que le fan du clan Belmont ait eu grand-chose à se mettre sous la dent depuis Symphony Of The Night. Soucieux de réveiller l'ardeur qui sommeille en vous, Konami a décidé de confier le reboot de sa franchise à un jeune studio espagnol, Mercury Steam, sans oublier de faire chapeauter le projet par Hideo Kojima lui-même. Un mélange détonnant qui surprend, aguiche, extasie puis conquiert le joueur au fur et à mesure des heures de jeu : Lords of Shadow ne devrait pas vous laisser indifférent. Gabriel Belmont, comme tout bon héros de Beat'm All occidental des temps modernes, vient de perdre sa femme, assassinée par les forces du Mal jusqu'ici contenues par celles du Bien. L'équilibre n'est plus respecté, et il va falloir que Gabi s'y colle pour mettre leur raclée aux hordes de gobelins, vampires, trolls et autres titans qui trainent, tout ceci dans le but de tataner le Diable lui-même pour lui piquer ses pouvoirs. Un pitch on ne peut plus classique pour une intrigue qui ne l'est pas moins, entre la belle jeune fille et le vieux sage qui vous viendront en aide, les gros méchants sans scrupule qui font rien qu'à vous embêter et un héros pas si rose que ça dans l'affaire.
Continuant sa politique de délocalisation, Konami fait à nouveau confiance à un studio non japonais pour concevoir le futur d'une de ses grosses franchises. Ainsi, les Espagnols de MercurySteam Entertainment ont façonné à leur manière ce Castlevania : Lords of Shadow pour nous offrir un étonnant jeu d'action baignant dans une ambiance gothique. De fait, si de prime abord, on pourra voir ce titre comme une sorte d'évolution misant essentiellement sur le beat'em all pur et dur, le constat s'avère plus nuancé à mesure qu'on avance... Si les pt'its gars de Mercury nous avaient amusés avec leur Clive Barker's Jericho, autant dire qu'ils nous surprennent avec leur Castlevania : Lords of Shadow. Ainsi, dès le départ, on sera étonné par la technicité du jeu et surtout son éclectisme environnemental témoin de décors aussi nombreux que variés. Loin de nous l'idée d'émettre un jugement définitif sur l'oeuvre mais en l'état, après avoir arpenté une douzaine de niveaux, cette variété semble bel et bien se poursuivre à mesure que Gabriel Belmont met un pied devant l'autre. En somme, si on note pas mal d'aliasing, on aura tôt fait de se laisser happer par cette histoire passant allègrement d'une ambiance gothique à une plus exotique synonyme de pérégrinations dans des ruines aztèques, des cavernes insalubres, au sommet de montagnes enneigées, etc.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 08/2010
Plus accessible...
Castlevania a toujours lutté pour s'imposer en trois dimensions. Avec des épisodes toujours aussi agréables sur portable, on se disait que la série n'avait d'avenir que sur Nintendo DS. Et ce n'est certainement pas l'annonce de ce Lords of Shadow, développé par les espagnols de Mercury Steam (derrière le sympatoche Clive Barker's Jericho) en partenariat avec Kojima Productions , qui allait nous faire changer d'avis. Après quelques heures passées en compagnie du jeu, il est peut-être temps de réviser notre jugement. Gabriel est un membre de la Confrérie de la lumière, une organisation qui s'inquiète de récents évènements impliquant les forces des ténèbres, l'un d'entre eux ayant quand même conduit au décès de la femme du héros. Envoyé par sa guilde, mais aussi mu par un sentiment de vengeance bien compréhensible, Gaby va arpenter le monde de cet an de grâce 1047 pour trouver les réponses et accessoirement botter quelques culs. Limiter ce Castlevania à la simple séquence de gameplay vue et revue depuis l'E3 dernier serait une erreur bien grave. Car ce clone de God Of War (la femme morte, la vengeance, l'espèce de fouet) mâtiné de Dante's Inferno (la femme morte, la vengeance, la croix) a bien plus dans sa besace niveau gameplay que ce que ces premières minutes en montrent.
Non, la série Castlevania n’est pas condamnée à rester en 2D. La preuve une fois de plus avec cet épisode Lords of the Shadow qui s’annonce d’ores et déjà comme un grand cru, et qui devrait pouvoir réussir l’exploit de fédérer à sa cause même les plus réticents à l’idée de voir un Belmont évoluer dans un univers ouvert ! Autant le dire tout de suite : les minutes passées pad en main à découvrir ce Lords of the Shadow furent autant un plaisir qu’une épreuve. Un plaisir parce que le jeu est beau, qu’il dispose d’un univers sombre au possible (piochant dans le gothique, soit-dit en passant) et de possibilités de gameplay énormes. Mais une épreuve aussi donc, du fait que les développeurs n’ont visiblement pas décidé de changer le LEITMOTIV de la série, en conférant au soft une difficulté qui devrait en déstabiliser plus d’un. Enfin, de ce que nous avons pu apercevoir (une bataille entre Gabriel Belmont, un petit nouveau bien plus musclé que les autres membres de sa famille, et une horde de loups assoiffés de sang), le personnage principal se manie sans aucun problème, usant à la fois des classiques fouets, couteaux (au lancer) et que sais-je encore pour arriver à ses fins.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
Plus accessible...
En dépit de plusieurs essais ayant donné naissance à quelques idées intéressantes, la transposition de la formule Castlevania dans un jeu en 3D n'a jamais été une franche réussite, avouons-le. Quand le studio Mercury Steam a présenté pour la première fois un certain Lords of Shadow à la Games Convention 2008, il était difficile de ne pas y voir l'inspiration de la saga vampirique de Konami et pour cause : un an plus tard, le projet s'est effectivement révélé être un nouveau Castlevania commandé par l'éditeur japonais. Placé au passage sous la bonne étoile des équipes de Kojima Productions, ce titre inspiré des premières aventures de la série a enfin été présenté en version jouable lors de l'E3. Apportera-t-il du sang neuf à la franchise ? Très probablement. Quand des loups(-garous ?) géants attaquent un village quasiment sans défense, un héros musclé maniant un fouet caché dans une croix n'est jamais de trop pour rattraper la situation. Le sauveur en question est Gabriel Belmont, un membre de la Confrérie de la Lumière chassant les créatures surnaturelles et cherchant à mettre la main sur un masque divin pouvant en principe ressusciter sa bien-aimée.
Jeu particulièrement attendu sur le salon E3 2010, et dans le cœur des joueurs, Castlevania : Lords of Shadow sent bon le blockbuster sur PS3 et Xbox 360. Le titre de Konami, développé par Mercurysteam en collaboration avec Kojima Productions, était donc jouable et nous ne nous sommes pas fait prier pour nous emparer d'une manette et parcourir la démo de long et en large. Si nous étions déjà emballés par le titre avant de jouer, nous le sommes désormais encore plus ! Clarifions tout de suite les choses. Non, nous ne commencerons pas notre aperçu en nous demandant si Castlevania : Lords of Shadow marquera enfin le passage réussi de Castlevania à la 3D. D'abord, parce que c'est évident que le nouveau titre de Konami sera un bon jeu, ensuite parce que les deux épisodes 3D sortis sur Playstation 2 il y a quelques années (Lament of Innocence et Curse of Darkness) étaient déjà deux volets très réussis. Castlevania peut fonctionner en 3D, Konami l'a déjà prouvé. Il suffit juste de s'appliquer et il ne fait aucun doute que les équipes en charge de ce Lords of Shadow maîtrisent leur sujet puisque la version d'essai présentée à l'E3 porte déjà la marque d'un grand jeu.
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