20 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
1
Je l'ai
1
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 20 tests du Call of Duty : Black Ops. Les experts notent Call of Duty : Black Ops 8.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Call of Duty : Black Ops et d'autres Jeux Xbox 360.
Utilisez votre souris pour découvrir les secrets que le gouvernement essaie de vous cacher. Garanti sans spoilers. Rapport confidentiel du 16 novembre 2010, opération Call of Duty 7, nom de code : Black Ops. valeur de la campagne solo réelle menace zombie intérêt des nouveautés du mode multijoueur évolution du travail du groupe opérationnel connu sous le nom de Treyarch La conclusion notera les points positifs et négatifs globaux, vous pourrez l'utiliser pour décider de votre participation ou non à cette opération, si ce n'est pas déjà fait. Xboxygen décline toute responsabilité dans l'addiction, l'impatience ou le rejet provoqué par la lecture de ce rapport secret-défense. 24 20 12 19 17 17 22 19 23 19 4… Ils sont au centre de l'intrigue développée dans ce nouvel opus deCall of Duty, Treyarch ayant pris le pari de changer des conflits modernes qui sont pourtant au centre de toutes les attentions depuis quelques années. Il est donc question ici d'une incursion directe et musclée dans les secrets les mieux gardés d'une époque très riche et pourtant sous-utilisée dans les jeux vidéo : la guerre froide entre les USA et l'URSS, période qui nous a -à notre connaissance- le plus approché d’un holocauste nucléaire.
Devenue réelle obsession de discussions ces dernières années, la série Call of Duty ne risque probablement pas de chuter dans les forums pour cause de discussions sérieuses ou de "trolls". Activision et Treyarch signent avec ce nouvel opus la fin d'un nouveau défi dont la diffusion et l'engouement médiatique (et surtout publicitaire) aura réalisé 360 millions de dollars le premier jour. Faisons le point sur ce "Black Ops" pour vérifier si ce dernier mérite bien tout ce raffut. Les Call of Duty sont connus pour leur aventure solo très courte malgré en général une réalisation très soignée. De nos jours Internet étant "répandu", les éditeurs et développeurs consacrent une grosse partie du budget à travailler sur l'aspect graphique et multijoueurs. Mais est-ce réellement dans l'intérêt (ou l'envie) des joueurs ? L'aventure de "Black Ops" prend part dans les années 60 pendant la guerre froide. Vous incarnez des forces spéciales (sinon cela ne serait pas "intéressant") qui vont vous faire partager des décors tels que Cuba, l'URSS ou même le Vietnam. Le scénario, sans s'étaler sur ce dernier (au risque de vous pourrir le peu d'heures solo), est plus facile à suivre que dans les derniers opus.
Très attendu, ce volet de la saga est à la hauteur et allie réalisation sans faille et bonne histoire. Une réussite. Après avoir été laissée essoufflée, essorée, suintante de testostérone et d'adrénaline par Modern Warfare 2 et sa surenchère hollywoodienne, la série Call of Duty repart sur un nouveau rythme plus intelligent, moins m'as-tu vu avec mon gros fusil mitrailleur. Par le choix de l'époque tout d'abord, la guerre froide, Treyarch s'offre toute une gamme de possibilités que ne lui permettait plus la seconde guerre mondiale. D'ailleurs, en remettant en scène le soldat russe Reznov, rencontré dans Call of Duty : World at War, Treyarch assume cette transition. Un passage de relais brillant, servi par une histoire pas forcément originale - encore que - mais vraiment bien goupillée. Suffisamment bien usinée en tout cas pour qu'on y croie de bout en bout et qu'on s'attache aux personnages. Ce qui n'était pas vraiment le cas dans Modern Warfare 2. Et pourtant, l'exercice à base de flashback était pour le moins périlleux. Mais, la fraîcheur de l'époque (sans jeu de mot), son contexte, la multiplicité des lieux où la CIA a pu opérer, la présence de méchants hérités de la seconde guerre mondiale, de l'Allemagne nazie et d'une Union Soviétique en reconstruction, tout concourt à donner à l'histoire un attrait bienvenu.
Univers Consoles
Ajouté le : 11/2010
Plus accessible...
Avec ce Black Ops, Treyarch semble enfin avoir trouvé le moyen de sortir de l'ombre d'Infinity Ward. Alors, Black Ops fera-t-il oublier son illustre prédécesseur ? Réponse dans ce test ! Cela fait plusieurs années que Treyarch écope du rôle d'éternel second derrière Infinity Ward, développeur de Modern Warfare et créateur de la saga Call of Duty. Avec Call of Duty 3 ou World at War, le développeur nous servait des bons COD mais toujours un poil en dessous de ceux d'Infinity Ward. Mais tandis que la déroute la plus totale règne chez Infinity Ward, Treyarch s'émancipe enfin avec ce Black Ops. Tout d'abord, adieu la Seconde Guerre Mondiale. En décidant de placer son jeu dans les années 60 en pleine Guerre froide, Treyarch s'offre un "setting" rafraîchissant mais surtout se paie une vraie liberté. Car sous couvert d'entraîner le joueur au coeur des Opérations spéciales, bras armé des services secrets, le jeu se permet toutes les folies : une scène à bord d'un avion furtif, une virée au Vietnam, une autre à Cuba ou au coeur des montagnes de Sibérie. Avec son Black Ops, Treayarch met un point d'honneur à offrir au joueur une vraie variété dans les lieux visités mais aussi dans les types de missions.
Call of Duty : Modern Warfare 2. Ce nom résonne encore dans le coeur des amateurs de FPS et l'arrivée de Treyarch aux commandes de son petit frère a fait naître de nombreuses railleries pourtant injustifiées dans le coeur des fans inconditionnels de COD. Parce qu'à défaut d'être le créateur de cette série, le studio américain est toujours debout, lui, et il est bien décidé à assurer la relève.Que cela soit bien clair, le FPS hollywoodien est de retour et il va vous faire vivre une infime partie de la guerre froide, une période sombre des Etats-Unis. Ainsi, nous avons choisi de vous présenter le mode solo de l'intérieur. Le but ? Eveiller votre intérêt au moyen de quelques scènes admirables qui se trouve dans ce FPS de nouvelle génération. Nous ne nous poserons qu'une question aujourd'hui : Treyarch peut-il enfin égaler voire dépasser Infinity Ward ? Réponse.Dossier NOVA 6. Pentagone, le 1er mars 196*. Mon nom est Mason. Alex Mason. Je fais parti du SOG, une unité d'élite experte dans les opérations spéciales. Pour faire simple, disons que nous sommes une poignée d'hommes issus de plusieurs services, comme les SEALs de la Navy, l'Air Force ou encore la CIA, pour ne citer qu'eux.
Comme tous les ans maintenant, il y a ceux qui distribuent leur dose de jeux de sport et ceux qui préfèrent assouvir les accros aux headshots bien sanglants. Activision fait partie de cette dernière catégorie et possède, avec Call of Duty, un soldat d'élite prêt à dynamiter au C4 les charts occidentaux. Année paire oblige, c'est la cuvée Treyarch que l'éditeur franco-américain nous ressort en cette fin 2010. On aurait presque tendance à l'oublier, mais il y a bien un mode solo et un scénario dans Call of Duty : Black Ops. S'il est vrai que la série ne gate pas les amateurs de plaisirs solitaires avec de longs ébats, elle a au moins le mérite de revendiquer sa marque de fabrique : du script et du grand spectacle à gogo. Ce septième épisode ne déroge pas à la règle et nous met dans la peau d'Alex Mason, un membre des SOG alors que son unité s'apprête à liquider Fidel Castro une bonne fois pour toute, à même son baldaquin cubain. Bien évidement, rien ne se passe comme prévu et le joueur se retrouve embarqué dans une histoire qui cède tout au grand spectacle, se déroulant dans les années 60. Treyarch abandonne ainsi un contexte historique pour un autre, même si la Guerre Froide est adaptée avec encore plus de libertés que la Seconde Guerre mondiale.
Après le succès presque indécent de Modern Warfare 2 puis la grosse brouille entre son développeur Infinity Ward et son éditeur Activision, l'autre studio qui se charge de la série Call of Duty semble bien décidé à marquer les esprits et à vraiment s'approprier la licence. Sans doute fatigués d'être souvent considérés comme des seconds couteaux seulement capables de boucher les trous en attendant les « vrais » Call of Duty d'Infinity Ward, les petits gars de Treyarch ont finalement atteint leur vitesse de croisière, au point de faire jeu égal avec le maître... Autant ne pas se voiler la face, jusqu'à présent, nous n'avions jamais été vraiment emballés par les productions estampillées Treyarch. Sympathiques certes, efficaces sans aucun doute, les Call of Duty du studio manquaient pourtant d'ambition, se contentant souvent de copier la recette d'Infinity Ward sans jamais vraiment parvenir à en retrouver le souffle. Mais voilà, notre contact approfondi avec Black Ops nous a finalement poussés à ravaler notre méfiance et nos préjugés. De copies plus ou moins bien inspirées, Treyarch nous livre cette fois un FPS de haute volée, largement à la hauteur des titres des créateurs de la série, voire carrément supérieur. Ce changement radical tient tout d'abord à la décision salvatrice d'en finir avec l'interminable Seconde Guerre mondiale.
Il y a tout juste une année et un jour, Infinity Ward a été largement récompensé pour son travail accompli sur Modern Warfare 2, un titre exceptionnel doté d'une impressionnante longévité et d'une mise en scène hollywoodienne. Le studio a été à l'origine de la renaissance de la licence qui à l'époque s'enfonçait peu à peu dans les méandres de la Seconde Guerre mondiale. Le studio américain a eu l'idée de faire table rase et d'introduire un nouveau contexte scénaristique plus moderne, bien lui en a pris. Aux dernières estimations, Modern Warfare 2 se serait vendu à plus de vingt millions d'exemplaires, une performance énorme pour un seul jeu vidéo. Mais entre temps, les responsables du studio se sont faits la belle emportant avec eux de nombreux responsables. Cette affaire a remis en cause toute la machinerie d'Activision qui pouvait autrefois compter sur un studio ayant largement fait ses preuves. En quête de reconnaissance, Treyarch est toujours resté dans l'ombre d'Infinity Ward malgré l'énorme succès du mode zombie de Call of Duty : World at War. Mais depuis l'affaire du Infinity Wardgate la donne a clairement changé.
Fin du suspense. Treyarch a passé le cap, c'est désormais un fait, et livre avec Call of Duty : Black Ops son meilleur CoD, et son meilleur jeu. L'Infinity Ward en débâcle ne sera peut-être plus la tête de proue de la série, mais une nouvelle a pris la place du studio créateur de la série. Le traditionnel Call Of de fin d'année est un bon cru, les amis, et peut-être même plus ! Débouchez le champagne, et faites chauffer les headshots.Les versions étant similaires, les tests le sont aussi. Depuis le temps qu'on le dit et qu'on l'écrit, je n'ai pas pu m'empêcher de poser la question aux développeurs : "vous n'en avez pas marre qu'on vous compare toujours à Infinity Ward en disant que vous n'arrivez pas à faire aussi bien ?" - loin d'être gêné, le léger sourire qu'on m'adresse en réponse semble plutôt trahir la confiance. A cet instant, avant d'avoir gobé la campagne solo, et exploré la richesse du multijoueurs de CoD : Black Ops, j'avoue que comme beaucoup, je m'attendais à un bon crû, sans oser croire qu'il pourrait surpasser le travail d'Infinity Ward. Treyarch a bel et bien tout donné. Depuis l'ouverture dans cette chambre de torture bardée d'écrans cathodiques bombés des années 60, qui précède le début de cette nouvelle histoire s'ouvrant à Cuba, jusqu'à la fin épique en haute mer, en passant par une multitude de petits moments typiques de ce qu'on attend d'un Call of Duty à grand spectacle, l'éternel cadet semble avoir rejoint l'aîné, en déployant une énergie phénoménale.
"Rappelez-vous, No Russian." Au bout du compte, Modern Warfare 2 se sera pris une volée de bois vert aussi retentissante de la part des critiques que des politiciens pour son très controversé affrontement avec des terroristes dans un terminal d'aéroport. Au lieu de cela, enfin libéré de l'ombre d'Infinity Ward, Call of Duty : Black Ops nous ramène aux années 60 à la naissance des US Special Forces. L'action suit plusieurs personnages, mais l'histoire est celle d'Alex Mason, un agent de la CIA qui a fini dans un camp de travail soviétique. Après le fiasco de la Baie des cochons, il a été capturé par Fidel Castro avant d'être remis entre les mains d'un sinistre méchant du nom de Nikita Dragovich. Au début de Black Ops, Mason se réveille ligoté à une chaise alors qu'il est soumis à une séance de torture. Au cours de son interrogatoire, vous revivez différents chapitres de ses aventures et de celles de son agent traitant, l'imperturbable Jason Hudson au regard masqué par des lunettes de soleil, auquel Ed Harris prête excellemment bien sa voix caverneuse. Les souvenirs de Mason vous emmènent de Cuba jusqu'à un centre spatial russe et dans tout l'est de l'Asie à la poursuite de Dragovich, tandis que le jeu révèle progressivement ses noirs desseins.
Véritable enjeu pour Activision, la licence Call of Duty est depuis déjà quelques années dévolue à deux développeurs : Infinity Ward, son créateur, et Treyarch, qui s'occupe depuis 2006 des volets impairs de la série - les moins bons, en fait. Après quatre ans de garde partagée, le second couteau pourrait néanmoins enfin tenir sa chance avec Call of Duty : Black Ops, dont le lancement est accompagné d'une campagne marketing au moins équivalente à celle d'un épisode Infinity Ward. Surtout, le studio s'est enfin décidé à lâcher la Seconde Guerre mondiale et nous livre un épisode libéré de pas mal de contraintes historiques. Et ça se ressent... 17 avril 1961, baie des Cochons, Cuba. Infiltrés dans l'armée des mercenaires chargés de renverser le gouvernement castriste, des agents de la CIA s'apprêtent à pénétrer la demeure de Fidel Castro afin de mettre définitivement hors d'état de nuire le tout jeune Líder Máximo. Aussi ratée que le débarquement lui-même, l'opération se solde - dans des conditions assez rocambolesques - par la capture d'Alex Mason, qui sera malgré les apparences notre héros du jour.
Après la campagne solo, c'est au tour du mode multijoueur de Call of Duty Black Ops de faire parler de lui. Invités à découvrir en avant-première les quatre premières cartes et les nouveautés de gameplay à Los Angeles, notre envoyé spécial est revenu enchanté de ce premier contact avec ce qui s'annonce comme une référence ultime de FPS multijoueur. La relative déconvenue qualitative de l'épisode World at War a forcé le studio Treyarch à prendre plus au sérieux la licence Call of Duty afin d'égaler les productions signées Infinity Ward. Pour ce faire, exit les multiples projets menés de front, le studio californien a mis toutes ses forces dans le développement de Black Ops. Si le mode solo récemment présenté nous a rassurés quant à l'entreprise, la découverte du multi a provoqué l'effet d'une bombe au sein de la rédaction. Histoire de vous mettre un peu l'eau à la bouche avant de rentrer dans le vif du sujet, nous vous proposons une petite devinette. Qu'ont en commun GoldenEye sur Nintendo 64, Counter Strike, Battlefield et Call of Duty Modern Warfare (liste non exhaustive) ?
Alors que ces dernières années, la vie était plutôt un long fleuve tranquille pour la licence , les récents événements chez Activision ainsi que la résurrection de constituent peut-être un tournant dans l'histoire de la série si lucrative. Il est en effet indéniable que, le prochain épisode développé par Treyarch, se doit d'être à la hauteur de ses prédécesseurs, voire même si possible d'offrir plus. En marge de l'E3 et de la gamescom, nous avons eu le droit à la présentation du blockbuster le plus attendu de cette fin d'année, dans une petite salle parisienne à l'écart de toute agitation malvenue.Si n'était pas jouable lors de cette première entrevue, deux niveaux nous ont été montrés, qui ont fait, il faut bien l'avouer, forte impression sur l'auditoire. Suivez-nous donc dans la jungle vietnamienne pour un décorticage en règle de ce que nous y avons vu.La première mission nous place donc en plein milieu d'une dense forêt hostile, remplie d'ennemis qui montent la garde dans leurs cabanes au fond du jardin. S'infiltrer dans ces véritables forteresses sur pilotis n'est pas forcément aisé et il faudra faire preuve d'une discrétion sans faille pour avancer sans se faire repérer.
De passage à Paris, les développeurs de Treyarch, responsables entre autres de Call of Duty World at War, nous ont présenté le mode solo de leur nouveau bébé à travers trois niveaux. L'occasion de constater que la recette Call of Duty continue d'être appliquée méthodiquement avec toutefois quelques petits changements plutôt intéressants... A la différence des épisodes précédents, Call of Duty Black Ops n'offre pas deux campagnes mais une seule qui se déroule pendant la guerre froide, des années 50 aux années 70. Le scénario suit ainsi la destinée d'un homme, Mason, membre de l'unité spéciale des Black Ops, qui est amené à guerroyer dans plusieurs pays comme le Vietnam, le Laos et la Russie. D'ailleurs, c'est dans les montagnes du Caucase que se situe la première mission révélée par les développeurs. La séquence d'introduction vous place dans un avion à réaction et vous permet de suivre sur un écran radar le déplacement d'une de vos équipes au sol qui s'apprête à infiltrer une installation soviétique. Quelques instants plus tard, vous voilà téléporté comme par magie dans la peau d'un membre de ce mini-commando de quatre hommes (tout au long du niveau, vous serez donc entouré de trois coéquipiers).
Univers Consoles
Ajouté le : 08/2010
Plus accessible...
Tous les deux ans, Infinity Ward propose le VRAI Call of Duty. Et si Treyarch réalisait l'exploit, avec Black Ops, de surpasser le maître et créateur de la série ? Pour la première fois, Treyarch ne se contente pas de suivre, mais innove. Pas de Seconde Guerre Mondiale ou de Modern Warfare pour ce nouveau Call of Duty. Non. Le studio californien sort des sentiers battus et pioche dans l'histoire moderne un background aussi riche que palpitant pour un FPS : la Guerre Froide. Et quoi de mieux que les opérations spéciales, les "Black Ops", pour ressentir l'importance du conflit américano-soviétique ? Ainsi, le jeu se propose de parcourir une période troublée derrière les lignes ennemies, à la tête de soldats d'élite américains prêts à risquer leur vie pour leur patrie. Oui, certaines choses ne changent pas. Mais l'avantage d'un contexte politique aussi instable et d'une période de temps si étendue, c'est de favoriser la naissance de héros. D'où croyez-vous que James Bond a tiré tout son prestige ? Cela dit, pas question de faire le loup solitaire sur les flancs de l'Oural. Le joueur incarne presque toujours le membre d'un commando. Mais, première nouveauté, il sera désormais le leader de son escouade. Je vous explique cette orientation un peu différente.
Gamekult
Ajouté le : 08/2010
Plus accessible...
Comme tous les ans, Activision vient récolter la dime avec l'épisode annuel de Call of Duty, sous-titré en Black Ops cette fois-ci. Au programme, des opérations spéciales forcément explosives derrières les lignes ennemies pour un titre qui va sans aucun doute se vendre à la tonne lors de sa sortie à la fin de l'année. Plongée en pleine Guerre Froide pour faire la nique aux méchants communistes aux côtés des soldats d'élite de l'Oncle Sam, cette nouvelle présentation de Black Ops commençait par une petite promenade touristique (toujours réputée) au Vietnam. Partis enquêter sur des mouvements de troupes soviétiques dans le pays de la péninsule indochinoise, nos super bidasses sans peur et sans reproches étaient un peu embêtés lorsque leur hélicoptère se retrouvait attaqué, écrasé et à moitié coulé après une chute dans un lac. Pour éviter la noyade, notre héros s'affairait à défoncer la porte de l'hélicoptère déchu, pous se retrouver à dix mètres sous l'eau et finir au milieu d'une gigantesque fusillade comme Call of Duty a toujours su en faire. Ignorant les rafales ennemies par la puissance seule de son patriotisme, le dénommé Mason que l'on suivra dans Black Ops s'extirpait alors de l'eau pour utiliser un petit Vietnamien de passage comme un gilet pare-balle de fortune avant d'abattre les vils communistes présents dans les environs sans verser une goutte de sueur.
Après la Seconde Guerre mondiale et les conflits contemporains fictifs, la plus que rentable série Call of Duty s'attaque à un nouveau front, celui de la Guerre Froide, période fort peu traitée par le jeu vidéo. A Los Angeles, Treyarch nous présente deux missions de son bébé. Bon, on peut le dire, ce n'est pas un secret, il y a deux Call of Duty, ceux qui viennent (ou venaient) d'Infinity Ward, et ceux qui devaient remplir les fins de mois en provenance de Treyarch. Si jusqu'à présent on était rarement très emballé par les productions de ce studio, Black Ops est parvenu à nous faire changer d'avis en se montrant tout à fait à la hauteur des titres des créateurs de la série. En premier lieu, le cadre choisi est franchement séduisant. La Guerre Froide offre une multitude de terrains de jeu et un contexte largement ignoré par le jeu vidéo. A l'occasion de cette présentation, Treyarch a choisi de nous emmener en Russie puis au Vietnam afin de faire la connaissance des héros de Black Ops, tout deux membres de la CIA et opérant dans l'ombre. Rappelons que ce volet s'inspire des opérations secrètes de l'armée américaine, celles qui officiellement n'ont jamais eu lieu.
Après les historiens, les concepteurs de jeux viennent de plus en plus souvent revisiter notre histoire récente. Surtout quand cette histoire est violente, et surtout si elle permet de proposer des systèmes de mise à couvert et divers modes de tir. Treyarch s'est penché sur les années 60. En fait, il s'est penché sur la Guerre froide en général, avec une intrigue qui s'étend sur des décennies où l'on voit la naissance et l'évolution des forces spéciales au travers d'une série d'opérations inavouables remplies de plans secrets et « d'armes non conventionnelles ». Lors de la conférence de presse donnée cette semaine par Activision, le développeur commence sa présentation en nous montrant une version complète de la bande-annonce - une bande-annonce qui laisse à penser qu'il a vu le film «l'échelle de Jacob», car les fusillades dans une jungle inondée de soleil alternent avec des images tremblotantes de ce qui ressemble à un hôpital militaire vu au travers d'une tonne de glycérine. Il y aura de la traîtrise, à en croire la voix off, car il y a des voix off, et ce sera même le premier COD où le personnage joueur aura des dialogues.
Après l'énorme succès de Modern Warfare 2 puis le litige entre son développeur Infinity Ward et son éditeur Activision, l'autre studio qui se charge de la série Call of Duty, Treyarch, s'est rappelé à notre bon souvenir en nous montrant deux niveaux du prochain volet de cette licence. Et ce que nous avons vu nous a rassurés quant à l'avenir de CoD. Rapport de mission... Au fil des volets de la licence Call of Duty qu'il a développée, Treyarch avait fait preuve d'une constance évidente : cantonner l'histoire dans le cadre de La Seconde Guerre mondiale. Pendant ce temps, chez Infinity Ward, l'autre studio se chargeant du développement des opus de la série, on avait quitté cette période pour s'intéresser aux conflits contemporains avec les deux Modern Warfare qui ont rencontré un indiscutable succès. Pour Call of Duty Black Ops, Treyarch va à son tour quitter la Guerre 39-45 pour avancer de quelques années dans le temps et installer son intrigue dans les années 60, entre Guerre Froide et Guerre du Vietnam. Dans le treillis d'un membre d'un commando envoyé par la CIA partout dans le monde pour préserver la démocratie en toute discrétion, vous allez voir du pays : l'Asie, Cuba ou le territoire de l'Union Soviétique.
Gamekult
Ajouté le : 05/2010
Plus accessible...
Dans l'ombre des Modern Warfare, Call of Duty : World at War n'a pas totalement convaincu en son temps. Pas assez original, pas assez prenant, et globalement en dessous des productions d'Infinity Ward. Mais pour Call of Duty : Black Ops, Treyarch semble s'être retroussé les manches, comme l'a démontré la petite présentation du jeu à laquelle nous avons pu assister à Londres tout récemment. Premier coup d'oeil sur l'un des titres majeurs du catalogue d'Activision pour cette année 2010. Thème pour le moins redondant chez les FPS, la Seconde Guerre Mondiale fait partie du passé dans Call of Duty : Black Ops, un titre qui se concentrera sur la guerre froide, avec les changements de décors et d'atmosphères que cela implique. Ce dont personne ne se plaindra. La présentation à laquelle nous avons pu assister permettait de découvrir plusieurs aspects du titre, à défaut de pouvoir mettre les mains sur le pad, avec une version 360 déjà relativement bien avancée. Du concret donc, et de l'action. Beaucoup d'action même, dans une recette dont les principaux ingrédients semblent rester en phase avec la tradition de la série.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Call of Duty : Black Ops. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Call of Duty : Black Ops.