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Nous avons réuni 13 tests du Bulletstorm. Les experts notent Bulletstorm 7.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Bulletstorm et d'autres Jeux PC.
C'est un fait entendu depuis déjà quelques années : dans le monde impitoyable du FPS d'aujourd'hui, il faut développer une intrigue et scripter au maximum l'action pour s'imposer au box office - le succès proprement insolent du dernier Call of Duty est là pour convaincre les sceptiques. Ce constat, partagé par les développeurs de Bulletstorm, les a paradoxalement poussés à tenter de faire exactement l'inverse. Les créateurs de Painkiller, encouragés en cela par leur nouveau propriétaire Epic, ont en effet décidé de remettre au premier plan cet élément fondateur du FPS, hérité du temps où on l'appelait encore doom-like : le frag. Peu importe finalement de savoir "pourquoi" ; l'important va être de savoir "comment" trucider les hordes d'ennemis nous tombant sur le râble. Et quelques minutes de jeu suffiront à nous rassurer sur les ambitions du développeur : c'est certain, People Can Fly... Tempête de boulettes (géantes) Les intentions du studio bien comprises, on pourrait croire que dans Bulletstorm, l'heure ne fût pas au scénario. Ce serait mal connaître People Can Fly qui, dans Painkiller déjà, s'était senti obligé d'incruster de longues cinématiques un peu creuses entre les phases de carnage.
2011 est déjà prévue comme une année chargée en FPS. Le premier à ouvrir le bal n’est pas le moins attendu, puisqu’il s’agit de la dernière production en date de deux mastodontes du genre : People Can Fly (reconnu pour Painkiller) et Epic Games, qu’on ne présente plus. Bulletstorm, donc, a avant tout été mis en avant pour son mode solo qu’on nous annonçait skillé au point qu’il permettrait au genre de reprendre une bouffée d’air frais. Qu’en est-il réellement ? C’est étonnant de la part de People Can Fly, Bulletstorm possède un véritable scénario. On incarne donc un certain Grayson Hunt, l’ancien leader d’une escouade d’élite, la Dead Echo. Violent, alcoolique, vulgaire et dénué de toute morale, Grayson a été trahi quelques années plus tôt par son ancien chef, le colonel Victor Sarrano. Il erre depuis dans l’espace, recherché par les chasseurs de primes qui veulent décrocher le demi-milliard de crédits affiché au-dessus de sa tête. Le début de l’aventure commence alors que son vaisseau rencontre celui de son ancien patron. Après une escarmouche aussi stupide que rapide, les deux vaisseaux s’écrasent sur une planète inconnue regorgeant de gangs de mutants agressifs.
Bulletstorm est un jeu étonnamment intelligent caché dans un jeu délicieusement stupide. En surface, le jeu de People Can Fly ne semble être qu'un truc idiot destiné à vous faire éprouver en permanence ce que cela fait de vraiment donner des coups de pieds dans les roustons de quelqu'un. Pourtant, si l'on gratte un peu, il y a en dessous un jeu construit à partir des enseignements d'années passées à observer des gens jouer en dehors des règles dans d'autres shooters. C'est une révision adroite du genre qui emprunte intelligemment aux jeux d'énigmes, aux jeux de course et même, dans les modes où il faut battre les meilleurs scores, aux jeux sociaux en temps limité. C'est un jeu bourré d'astuces et de gimmicks, mais sa plus grande réussite est de parvenir à combiner en un ensemble harmonieux deux de ses aspects - son côté parcours de montagnes russes débile et son côté course au tableau d'honneur complexe. Ce faisant, le développeur fait des merveilles à partir d'une contradiction manifeste : c'est un shooter dans lequel abattre quelqu'un simplement vous donnera l'impression de mal jouer. Vous êtes un spationaute stupide et rouleur de mécaniques dont le vaisseau s'est écrasé sur une planète extraterrestre hostile.
Si 2010 a été une année “moyenne” en matière de FPS, 2011 s’annonce orgiaque. Après Guerilla et son dantesque Killzone 3, c’est au tour de People can fly et Epic de sortir l’artillerie lourde. Le premier est l’auteur de Painkiller, le second à l’origine de Gears of War et Unreal. Bref, des studios qui connaissent leur boulot et, pour le joueur, la garantie d’une grosse dose de testostérone. Car Bulletstorm transpire la virilité, les gros flingues et la vulgarité. Un trio gagnant, qui habille parfaitement une campagne solo pensée comme un grand huit en forme de majeur tendu vers la bienséance. Côté scénario, Bulletstorm vole dans les plus hautes cimes du nanar. Vous êtes Grayson Hunt, un mercenaire bourru et alcoolo, en fuite avec ses potes et traqué par un gouvernement à tendance fasciste. Leur ancien chef militaire, Sarrano, rêve de leur faire la peau et traque cette bande de gros bras à travers la galaxie. Lors d’un ultime affrontement dans l’espace, les vaisseaux des deux camps s’écrasent sur la planète Stygia, un ancien monde civilisé, désormais abandonné aux mains des pires rebuts du cosmos.
De Serious Sam à Painkiller, le shooter bourrin a toujours su s'offrir de beaux et fiers représentants. Bulletstorm en fait clairement partie, bourrin, drôle mais aussi capable de mettre votre créativité à l'épreuve. Un shoot bas du front qui s'assume mais qui n'a pourtant pas oublié d'être bête. Bulletstorm, c'est un peu le Minecraft du FPS. Il était une fois une jolie équipe de soldats de fortune baptisée Dead Echo au service d'un général pas très net. Voilà qu'un triste jour, ces malheureux et vaillants combattants sont contraints de se retourner contre leur maître et de partir en goguette dans l'espace. Une escapade en quête de vengeance qui les amène à s'écraser sur la planète Stygia, à l'origine joliment urbanisée mais à présent réduite à un champ de ruines peuplé par une bande de grands malades qui passent leur temps à s'écharper avec plus ou moins d'imagination. Pas de doute, Stygia n'est pas hospitalière, entre les gueux psychopathes, les bidules explosifs qui traînent dans tous les coins, les plantes carnivores géantes et la multitude d'objets idéalement placés pour s'empaler dessus, la déco est plutôt médiévale.
Grayson Hunt a tout du parfait anti-héros. Alcoolique, grossier et pas très finaud, ce mercenaire à la dérive parcourt l'espace à la poursuite de son ancien employeur, le général Serrano. Flanqué d'un acolyte à moitié androïde, et muni par là-même d'une double personnalité, il finit par échouer sur la planète Stygia. L'endroit n'a rien d'une terre d'asile puisque les deux compères devront y affronter à la fois les sauvages locaux et les troupes de Serrano, avant de croiser la route d'une nouvelle compagne d'infortune. Cette petite mise en bouche scénaristique a pour but de rassurer ceux qui craignaient que Bulletstorm ne soit qu'un jeu à score : nous avons bel et bien droit à une véritable campagne solo, qui propose son lot de personnages attachants et de rebondissements. Pas de monde ouvert à l'horizon, mais un voyage guidé par des scripts plus ou moins habiles et un level design aussi détaillé que fermé. Heureusement, l'effet couloir est atténue par la présence de quelques superbes points de vue. Les paysages qui bordent notre progression sont parfois magnifiques, et le travail sur les couleurs et la luminosité ambiante est réellement appréciable.
Gamekult
Ajouté le : 12/2010
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Déjà découvert en solo à l'E3 dernier, Bulletstorm s'est à nouveau laissé essayer lors d'un récent showcase britannique d'Electronic Arts. Cette fois-ci, il n'était plus question de mitrailler en solitaire mais plutôt de partager la baston en multijoueur coopératif. Big Guns Quatre joueurs, des gros flingues chargés à bloc et des vagues d'ennemis à défourailler en style : c'était le programme de cette longue session de Bulletstorm chez Electronic Arts. Le concept du mode de jeu essayé était relativement simple : il fallait exécuter tous les ennemis téléportés dans la petite arène dans laquelle on évoluait en prenant bien soin de dépasser le score qui nous était imposé en début de round. Chaque victoire se soldant par un petit passage par la case fiche de personnage pour améliorer nos compétences et/ou renouveler notre armement, avant de reprendre le carnage avec un nombre de points encore plus élevé à atteindre. Simple, mais efficace. Le jeu en équipe était évidemment encouragé pour arriver à faire sauter le compteur, puisque le système de skill shots de Bulletstorm se conjugue également au pluriel pour un résultat aussi sanglant qu'intéressant du côté du score.
Axé science-fiction, le scénario de Bulletstorm se déroule dans un futur peu enviable au sein duquel une organisation nommée Dead Echo est chargée de diverses missions de protection. Une tache qu'effectuent Grayson Hunt et Ichi Sato avant de découvrir la triste vérité derrière les agissements de leur groupe. Ces derniers entament donc une rébellion qui les conduira finalement à un exil forcé Plusieurs années après ces évènements, Grayson s'écrase sur une planète étrange alors qu'il exerçait son nouveau métier de pirate de l'espace. Une terre désolée où vivent d'innombrables parias relativement dangereux qui n'auront de cesse de vouloir tuer non seulement Grayson mais également Ichi Sato dont les retrouvailles avec son ancien collègue s'avèrent plutôt mouvementées. Un démarrage qui ne laisse donc que peu de latitudes à une histoire qui se résumera à tenter de fuir de la planète en un seul morceau, tout en tirant sur la moindre personne/créature/particule en mouvement. Un passe-temps qui malgré sa simplicité apparente se montre rapidement prenant.Exactement dans la lignée du Painkiller de People Can Fly, c'est à dire un FPS désinhibé et très efficace, Bulletstorm se fond encore plus dans le côté arcade avec un système de scoring à la base du gameplay.
Devant le flot de FPS aux ressorts classiques qui envahit le marché, People Can Fly et Epic Games ont décidé de proposer une alternative aux joueurs. Cette variante, c'est Bulletstorm, un jeu brutal, sanglant, virant même parfois au cruel mais qui ne se prend pas au sérieux. Armes délirantes, univers fantasque et humour gras sont au programme de ce gigantesque défouloir aux accents futuristes, dont nous avons pu tester récemment la partie multijoueur. Visiblement, People Can Fly aime à bousculer les habitudes des joueurs. Après avoir développé le violent et nerveux Painkiller, le studio polonais, qui appartient en partie à Epic Games, revient aux affaires avec un nouveau titre qui ne donne pas vraiment dans la finesse. A mille lieues des FPS sérieux qui pullulent sur le marché, Bulletstorm impose sa différence d'emblée. Le jeu ne s'embarrasse pas d'un quelconque contexte historique réel et propose une aventure rythmée, agrémentée d'un gameplay sanglant qui flatte les plus bas instincts des joueurs. Écarteler, décapiter, éviscérer... en un mot tuer, tel sera votre objectif premier. Mais là où le tout devient original, c'est que les développeurs vous encouragent à le faire avec talent. Et ce, que ce soit en solo ou en multi.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
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Connu des joueurs pour sa saga Painkiller, le studio People Can Fly présentait pour la première fois à cet E3 une version jouable de son prochain titre : Bulletstorm. L'occasion de découvrir plus en détails ce FPS à l'approche décalée puisque le leitmotiv du jeu est certes le frag, mais avec style. Explications. Au programme, cette démo E3 de Bulletstorm nous invitait à déambuler dans un univers exotique à la chasse aux ennemis humanoïdes, que l'on dézinguera à l'aide d'un arsenal composé de trois armes principales. La première était le PMC, pour Peace Maker Carbine, une mitrailleuse des plus classiques, mais à la dénomination qui laisse d'emblée peu de doute sur le second degré du jeu de People Can Fly. Les festivités se poursuivront avec le Flail gun, une arme à double canon envoyant à la face de nos ennemis des grenades reliées par une chaîne entourant tout et n'importe quoi, comme un bras ou une jambe. Enfin, la laisse permettait de s'emparer d'un ennemi et de l'envoyer valdinguer dans les airs pour mieux le défourailler. Voici pour les actions de base de Bulletstorm, auxquelles on rajoutera quand même le coup de pied à la Duke Nukem pour botter les fesses de la chair à canon environnante, ou encore une glissade assez stylée.
Développé par la bande de joyeux tarés responsable du bourrinissime Painkiller, Bulletstorm se présente d'ores et déjà comme une nouvelle ode à la violence gratuite. Titre original qui récompense le joueur pour sa créativité lorsqu'il éviscère l'adversaire en utilisant son environnement, le jeu pourrait bien devenir l'un des plus gros défouloirs vidéoludiques jamais créés. Aussi improbable que cela puisse paraître, Bulletstorm dispose bel et bien d'un scénario, ne serait-ce que parce que celui-ci permet d'introduire un terrain de jeu absolument unique. Le titre de People Can Fly nous entraîne en effet sur les traces de Grayson Hunt et Ishi Sato, deux membres d'une organisation paramilitaire oeuvrant pour une confédération futuriste baptisée Dead Echo. Persuadés de défendre la veuve et l'orphelin, les deux héros vont rapidement déchanter en s'apercevant que finalement, on leur a peut-être menti à l'insu de leur plein gré. Forcés à errer dans l'espace, Grayson et Ishi font finalement une mauvaise rencontre, voient leur vaisseau leur péter dans les doigts et échouent sur la planète Stygia. Ancien lieu de villégiature des plus grosses fortunes de la galaxie, les riches installations de ce monde paradis sont aujourd'hui à l'abandon et servent de domicile à d'étranges mutants.
Lorsqu’Epic Games confie son prochain gros jeu à un développeur polonais, ça éveille forcément l’attention. Et quand en plus ledit studio a déjà à son actif des titres comme Painkiller ou Gears of War version PC, on se dit que le FPS en question –car c’est est un- doit forcément être énorme. Ce futur bébé, c’est Bulletstorm. Grayson Hunt faisait partie de Dead Echo, un groupe chargé de conduire des missions secrètes pour protéger la paix fragile de l’univers. Mais à la suite de nombreuses dissensions, il a fini par devenir un pirate alcoolique qui arpente le vide spatial avec son équipage. Attaqué par un énorme croiseur galactique, Grayson parvient à endommager son adversaire et les deux vaisseaux s’écrasent sur une planète adjacente nommée Stygia. Stygia, c’est une sorte de gigantesque Club Med spatial. Une utopie déchue désertée depuis des années (encore une) où la nature a repris ses droits. Le problème, c’est que à l’image de Bioshock, l’endroit est loin d’être tranquille. Le luxueux complexe d’autrefois est maintenant infesté de mutants étranges et de plantes carnivores. Et comme si ça ne suffisait pas, les troupes du vaisseau ennemi ont-elles aussi pris possession des lieux.
Gamekult
Ajouté le : 05/2010
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Annoncé il y a quelques semaines à peine par Epic Games et People Can Fly, Bulletstorm nous était d'ores et déjà présenté par Electronic Arts lors d'un récent showcase londonien. Malheureusement pas jouable pour l'instant (il faudra attendre l'E3 pour cela), le FPS des créateurs de Painkiller a tout de même profité du feu des projecteurs pour se présenter en détails pour la toute première fois. Ancien super soldat de l'espace reconverti en pirate ivrogne, le héros de Bulletstorm n'hésitera pas à s'attaquer au vaisseau de ses anciens employeurs malgré le côté franchement suicidaire de l'assaut. Visiblement chanceux, le bonhomme arrivera tout de même à démolir les moteurs de l'engin avant de se crasher à l'unisson avec alliés et ennemis sur une planète adjacente. A la surface de l'astre en question, une ancienne mégalopole abandonnée, une flore mutante affamée, des gangs dégénérés et un paquet de gens à dézinguer. Tout un programme. Les développeurs de Bulletstorm ne s'en cachent pas, leur nouveau bébé ne cherche clairement pas la subtilité mais plutôt le fun à tout prix. C'est sans doute pour cela que l'on retrouve un héros surarmé mais également capable de jongler avec ses ennemis grâce à l'utilisation d'un coup de pied à la Duke Nukem, d'une glissade et d'un fouet énergétique multi-fonction.
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