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Nous avons réuni 14 tests du Brütal Legend. Les experts notent Brütal Legend 7.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Brütal Legend et d'autres Jeux Playstation 3.
Une petite mise en garde avant de rentrer dans le vif du sujet… Brütal Legend est un soft qui sonne comme une véritable déclaration d’amour au heavy metal, le vrai, le pur et dur, celui qui fait bouger les cheveux, même si on a la boule à Z ! Par conséquent, et sans que cela enlève quoi que ce soit à la qualité intrinsèque de son gameplay, saches juste, ami lecteur, que si le métal n’est pas ton truc tu risque fort de ne pas accrocher à l’ambiance particulière du titre. Voilà, c’est dit. Et maintenant… Eddie Riggs est un roadie. Un très bon roadie. Peut être même bien le meilleur de tous en fait, car il n’a pas son pareil depuis des années pour organiser les gigs et réparer tout ce qui doit l’être sur scène. Hélas pour lui la grande époque du métal est bien loin et c’est au service de groupes qui ne ressemblent plus à rien qu’il apporte son savoir faire, tout en regrettant les beaux jours où la musique avait une âme. Mais toujours fidèle à l’esprit de la grande époque, roadie il est, roadie il reste. Un homme de l’ombre toujours présent mais jamais visible, car comme il le dit lui-même « un bon roadie, ça s’écrase ». Ironiquement c’est lors d’un concert et sur ces paroles que l’aventure débute, au moment où toute une partie de l’immense décor de Stonehenge reconstituée sur le set se détache malencontreusement et lui tombe sur la tronche, le blessant et provoquant une hémorragie.
Tim Schafer est bien connu pour porter un soin tout particulier à la narration de ses projets. Après avoir été pendant dix ans chez Lucas Arts, à l'époque des excellents et délirants point and clik comme et , il décide, en 2000, de créer sa propre société, Double Fine Productions. Après nous avoir offert un aussi génial que troublant, le studio revient sur le devant de la scène avec un projet atypique : . La démo disponible depuis quelques semaines nous avait présenté comme un Beat them all des plus classiques, toutefois emprunt d'un humour et d'une ambiance toute particulière. Si cela est en partie vraie, le jeu est bien loin de s'arrêter à ce seul élément de gameplay. Il devient même de plus en plus anecdotique au fur et à mesure de votre avancée, pour n'être par la suite qu'un élément parmi tant d'autres d'un titre multi-facettes. Vous incarnez donc Eddie Riggs, un roadie, un vrai, un de ceux qui ont connu la folie des années 80 et de la vague métal et qui sont aujourd'hui incrédules face à la tournure qu'a pris la scène Rock. Les groupes à midinettes constitués d'adolescents pré-pubères ne font plus rêver les vieux de la vieille et c'est résigné qu'Eddie effectue son travail de l'ombre tous les soirs.
Le Heavy Metal n’est pas un genre massivement représenté dans le monde des jeux vidéo, et on ne parle pas d’un Guitar Hero et autres Rock Band mais bien d’un jeu consacrée au métal. On se retrouve dans un jeu style beat’em all, stratégie. On retrouve aux manettes Tim Schafer et l’acteur Jack Black que l’on a pus voir dans “Soyez-sympa rembobine”. Le qui a attiré l’attention sur lui est t’il à la hauteur ? Le riff de Guitare n’en n’est que moins sur. Le jeu démarre avec un style et un charme personnel qui ressort lors des premières minutes du jeu. Roadie pour un groupe de métal très prisé par les jeunes filles en fleur, vous mourrez dans un incident de scène et paf c’est partie pour le monde du Métal. Intro un peu bancale, mais l’humour est présent du début à la fin du jeu. On regrettera le côté un peu lourdo de celui-ci. Les personnages sont caricaturés sympathiquement, hélas on a un se laisse envahir par l’idée que le jeu qui critique le métal ado … Va surtout attirer un public de cette tranche d’âge. L’aventure du jeu mélange des massacres à la hache et à la guitare électrique, une idée ingénieuse par ailleurs, et de la stratégie.
Alors que nous sommes habitués au traditionnel défilé des sorties de simulations de sport d'EA en cette fin d'année, l'éditeur nous revient aujourd'hui avec une nouvelle licence dont le développement a été confié au studio Double Fine. Pour ceux qui l'ignorent, Double Fine nous a déjà gratifiés de l'excellent Psychonauts sorti sur la précédente génération de consoles. Nous allons donc voir aujourd'hui si Brütal Legend est plus proche des artifices de Tokyo Hotel ou si le jeu deviendra une légende, à l'image de Marylin Manson. Tout d'abord, un petit rappel s'impose sur le chemin semé d'embûches qu'a dû parcourir le jeu pour enfin débarquer dans nos salons. En effet, à l'origine le titre était initialement édité par Sierra et a été laissé à l'abandon suite au rachat de l'éditeur par le géant Activision, qui a jugé que le jeu n'en valait sûrement pas la chandelle. C'est donc pour cela que nous retrouvons aujourd'hui Brütal Legend sur PS3 avec EA en sauveur de l'univers rock. Annoncé depuis longtemps comme un jeu à l'univers totalement dédié à la musique rock, Brütal Legend vous plonge dans la peau Eddie Riggs interprété par Jack Black, un roadie plutôt adroit de ses mains qui se retrouve malgré lui au service de l'un de ces nouveaux groupes sans saveur qui plaisent aux ados.
Les amplis sont chauds, les guitares bien accordées et le roadie a même pensé à la glacière de bières fraîches. L’épopée Métallique peut débuter, une aventure faite de fuel, de métal, d’odeur de tabac froid, mais aussi de larmes et de pas mal de démons belliqueux. Bienvenue dans Brütal Legend, dernière création de Tim Schafer. Avant d’entrer dans le vif du sujet, on se doit de retracer l’aventure pré-Brütal Legend, avec le curriculum vitae de monsieur Schafer, mais aussi avec quelques précisions sur le développement à rebondissements du jeu. Au commencement donc, il y avait le pixel. Puis vinrent le jeu et la grande ère des jeux d’aventure au début des années 90. A cet époque naquit vidéoludiquement parlant Tim Shafer, œuvrant tout d’abord sur les dialogues des deux premiers Monkey Island, participant au développement de Day of the Tentacle avant de s’engager avec le maître ès genre de l’époque, LucasArts (ou LucasFilm Games). Il engendra par la suite Full Throttle puis Grim Fandango, avant de quitter le navire en 2000 pour créer sa propre maison de développement : Double Fine Productions.
Parmi les choses qui ont bercé mon enfance et qui m'ont laissé des souvenirs impérissables, il y a les jeux de Tim Schafer et le heavy-metal. Bien que je ne sois pas particulièrement fier du dernier, il s'agit néanmoins d'une partie de mon existence que je ne peux pas renier. Du coup, lorsque l'annonce de Brütal Legend a été faite, j'étais bien évidemment excité comme un puce à l'idée de jouer à un titre réalisé par un de mes héros, qui tournerait autour de l'univers du métal à l'ancienne. Qu'on le veuille ou non, le heavy metal des années 70 et 80 est un genre qui restera dans la mémoire collective, pas tant pour la musique (bien que certains groupes soient fondamentaux) que pour l'imagerie et l'esprit qu'il a véhiculé. Les looks des musiciens comme le design des pochettes ou les sujets abordés dans les chansons sont bien particuliers et ont marqué leur époque. Tout était très cliché, façon sexe, drogues, rock'n'roll et démons, mais finalement très cohérent et régi par des codes assez précis pour que l'on puisse s'y retrouver assez facilement. Voilà pourquoi intégrer toute cette thématique dans le monde virtuel d'un jeu vidéo, n'est pas en fin de compte une idée si étonnante.
Envoyé par les dieux du métal et du hard rock, Brütal Legend est, depuis son annonce, le nouveau prophète pour tous les fans de beat’em all. Serait-il possible de dépoussiérer un genre aussi vieux et rudimentaire que ce dernier, à l’heure où les jeux se font de plus en plus riches et complexes ? C’est en tout cas le challenge qu’a souhaité relever le studio Double Fine Productions, après l’échec commercial du pourtant excellent Psychonauts. « Attention, ambiance unique ». La géniale scène d’introduction de Brütal Legend pourrait commencer par ces quelques mots tant il est inhabituel d’être accueilli de la sorte. Une petite poignée d’heures plus tard, lorsque le joueur boucle enfin l’aventure, force est d’admettre qu’elle n’est pourtant qu’à l’image de l’esprit jeu dans sa globalité, tout simplement renversant. Brütal Legend tourne ainsi autour d’Eddie Riggs, un roadie de génie capable de monter une scène de concert ou de réparer une guitare en un claquement de doigts. Malheureusement pour Eddie, le dernier concert du groupe dont il a la charge dégénère légèrement au point de l’envoyer dans un monde où le heavy métal fut autrefois roi.
Tim Schafer et Jack Black réunis autour d'un jeu inspiré par le Heavy Metal ? Que dire d'autre si ce n'est "bingo !" ? D'un côté nous avons Tim Schafer, créateur qui nous a habitués à des titres pleins d'humour et pourvus d'une identité forte, de l'autre monsieur Jack Black, acteur qui ne cache pas son affection pour le gros son et venu incarner Eddie Riggs, le héros de Brütal Legend. Roadie pour un groupe qu'il exècre, Eddie va se retrouver propulsé dans un autre monde, le monde du Metal dans lequel les Dieux du Metal ont depuis longtemps disparu, laissant les hommes aux mains d'une bande de démons qui les asservissent et les poussent à combattre les uns contre les autres, métalleux contre glam rockers ou gothiques. Le rôle d'Eddie sera de rassembler une armée et de libérer l'humanité du joug de l'infâme Doviculus. Une armée constituée de roadies au dos courbé, de headbangers bas du front et aux cous hypertrophiés et de groupies déchaînées. Dès les premières minutes, il sera difficile de rester insensible au charme de l'ambiance délirante de Brütal Legend, à son humour autour du monde du Metal et de la musique en général, une atmosphère bourrée de clins d'oeil qui profite du doublage de Jack Black et de l'intervention de quelques participants notables, comme Ozzy Osbourne pour ne citer que lui.
On avait laissé Tim Schafer sur un Psychonauts complètement déjanté mais perfectible sur plusieurs points, on le retrouve aujourd'hui avec Brütal Legend, délire métalleux disposant de quelques invités de marque, dont un Jack Black transformé en roadie choisi par le destin pour mener une véritable révolution dans un monde tombé sous le joug des démons. Initialement soutenu par Sierra, mis de côté par Activision et finalement repris non sans mal par Electronic Arts, le nouveau jeu de Double Fine Productions est-il bien légendaire ou simplement brutal ? "Un bon roadie, ça s'écrase." En l'occurrence, c'est ce qui arrive à Eddie Riggs, héros malgré lui de Brütal Legend qui se fait aplatir dès la première cut-scene par un élément de décor lors d'un concert. Alors que son sang coule sur sa boucle de ceinture, une bête de feu et de métal est invoquée sur scène et décapite le groupe de merdeux qui s'y produisait quelques minutes plus tôt, pendant que le public en redemande. A son réveil, Eddie se rend compte qu'il a changé d'époque et qu'on l'a choisi d'office pour le rôle du sacrifié dans une cérémonie occulte, au sommet d'une montagne de squelettes.
Le dernier jeu de Tim Schafer commence par l'apparition de Jack Black en personne, mais il ne commence vraiment que lorsqu’Eddie Riggs fait son entrée. Des craquements de cuir et une cigarette qui scintille dans l'obscurité, et voilà Eddie – comme tous les personnages noirs, il est à la fois curieux et désabusé, chaud comme un lapin et pourtant digne de confiance - qui vole la vedette, et c'est encore Eddie qui tient la baraque quand il devient évident que le jeu, comme un ruban déchiré par le milieu par des différences créatives, semble la plupart du temps vouloir se diriger dans deux directions à la fois. À certains égards, les ambitions particulières de Brutal Legend devraient conduire à une confusion inextricable, mais ce n'est pas le cas – et il faut remercier pour cela Schafer et Black : le concepteur expérimenté et souvent brillant, et la star agitée et charismatique, qui s'assemblent pour prendre la forme de Riggs, l'éternel homme de l'ombre, le roadie humble et imperturbable devenu héroïque. Brutal Legend raconte une histoire simple : Eddie Riggs, nostalgique de l'époque où la musique signifiait quelque chose (« les années 70 ? » « Non, plus tôt que ça.
Le nouveau jeu de Tim Schafer (Monkey Island, Psychonauts...) n'est pas un jeu d'aventure, mais bien un beat'em all. Et un beat'em all rudement prometteur d'après ce qu'on a pu voir pendant la présentation qui nous a été faite par le maître lui même ! C'est à un titre très ambitieux auquel on a affaire là. En effet, loin de reprendre les recettes éprouvées par les références du beat'em all comme God of War ou Devil May Cry, Brütal Legend compte bien innover et apporter sa pierre à l'édifice. Tout d'abord, c'est par son scénario déjanté que le soft se démarque de toute la production existante. Là, point de monde heroic fantasy ou futuriste. On y joue en effet Eddie, un roadie qui suit des groupes de métal en concert pour gérer la manutention du matériel. Amoureux de musique, Eddie est aussi musicien à ses heures. Un jour, un incident se produit sur scène et notre roadie se retrouve transporté dans un autre monde dans lequel les guitares peuvent servir d'arme et lancer des éclairs sur les ennemis. Une fonctionnalité bien utile lorsqu'on sait que ce cher Eddie va devoir faire face à une multitude d'ennemis qui visiblement veulent tout faire pour l'empêcher de réaliser une étrange prophétie qui fait de notre homme une sorte de leader de la résistance au pouvoir en place gouverné par l'Empereur Doviculus.
Après dix ans passés chez LucasArts, et un Psychonauts acclamé par ses pairs, Tim Schafer revient sur le devant de la scène vidéoludique avec un jeu barré, complètement barré même, pour notre plus grand plaisir. Le papa de Monkey Island et de Full Throttle a deux passions dans la vie : le heavy metal et les jeux vidéo. Brütal Legend est né de la rencontre entre ces deux univers. Le scénario est simple : le joueur incarnera un Eddie Riggs, un roadie aspiré par sa boucle de ceinture dans un monde onirique qui reprend tous les thèmes du heavy metal. Le terme roadie désigne un déménageur qui monte et démonte les scènes de spectacles d’un groupe de rock lors des tournées. Par extension, c’est aussi un touche-à-tout capable de régler tous les problèmes qu’un rock band peut avoir lors des concerts. C’est suite à la rencontre d’un roadie aux anecdotes croustillantes que Tim Schafer a décidé d’en faire le personnage principal de son prochain jeu.
Tout droit sorti de l’imagination de Tim Schafer, Brütal Legend occupe une place d’exception lors de l’EA Spring Showcase 09. Au même titre que Dragon Age : Origins et The Saboteur, le second titre de Double Fine Productions a eu le droit à toute notre attention. Et l’esprit ayant donné naissance à des petites perles comme Day of the Tentacle en 1993 ou plus récemment Psychonauts (2006) n’en mérite pas moins. Dans une salle plus sombre que le backstage d’un concert de heavy metal, le Creative Director lève un peu plus le voile sur son œuvre. Le joueur incarne Eddie Riggs (dont le nom semble être un clin d’œil à la mascotte d’Iron Maiden), un roadie (membre du staff sur les concerts) qui connaît son boulot et le fait bien. Un accident sur la scène survient bien vite et le sang du pauvre bonhomme se met à recouvrir son corps. Un heureux hasard voulait qu’Eddie porte une ancienne relique en guise de ceinture, qui ne tarde pas à s’activer grâce au sang de son porteur.
Gamekult
Ajouté le : 05/2009
Plus accessible...
Indissociable des grands jeux LucasArts des années 90, le légendaire Tim Schafer a décidé d'explorer de nouveaux domaines depuis la fondation de son propre studio, Double Fine Productions. Après la plate-forme dans Psychonauts, véritable succès critique, le créateur de Monkey Island et autres Grim Fandango concrétise un vieux rêve de fan de metal, celui de donner vie à un univers où guitares électriques et crânes de squelettes font bon ménage. Premiers pas dans le monde de Brütal Legend, l'un des gros titres EA de fin d'année. Imaginez un monde où toutes les pochettes des CD de Death Metal deviendraient réalité, un monde où l'humanité serait réduite à une bande de headbangers condamnés à miner un puits sans fond, en secouant leur tête pour l'éternité. Ce monde, c'est celui qui attend Eddie Riggs, le héros de Brütal Legend. Eddie est un roadie, comprendre un métalleux fou furieux qui accompagne les groupes de ses rêves sur leurs tournées, pour accorder les guitares et vivre sa passion à fond.
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