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Nous avons réuni 11 tests du Brink. Les experts notent Brink 6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Brink et d'autres Jeux Playstation 3.
GamePro.fr
Ajouté le : 05/2011
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Soyons francs. De Brink, nous avions gardé en tête un vieux trailer dans lequel on découvrait un FPS acrobatique reprenant à son compte quelques pirouettes dont Faith, l'héroïne de Mirror's Edge, aurait été fière. Mais après nous être plongés dans le bain pour cette critique, il a vite fallu se rendre à l'évidence, outre la liberté de mouvement, le coeur du titre de Splash Damage est bel et bien le Team Play légendaire de leur Return to Castle Wolfenstein : Enemy Territory. Histoire de faire rentrer cela une bonne fois pour toute dans le crâne des fraggeurs les plus obstinés, le studio a même décidé de ne pas afficher de compteur d'activité (frags/deaths) pour chaque joueur. C'est clair, dans Brink, on est là pour jouer ensemble, et gagner ensemble – si possible. Il est un pur jeu online. N'espérez donc même pas vous amuser dans la « campagne solo » où son mises bout à bout les cartes du jeu avec quelques efforts de mise en scène. L'IA des bots est très mauvaise. Juste de quoi apprivoiser les commandes et peser le moins possible comme un boulet sur son équipe lors des premières manches en ligne. Comme dans Enemy Territory, il y a de toute manière toujours le système de Classes et d'Objectifs qui permettent de trouver défi à sa mesure à tous les niveaux (en tentant de s'occuper d'une tâche secondaire par exemple, ou en suivant la meute vers les objectifs principaux à prendre dans l'ordre).
Rêvons un peu ensemble. Imaginez un FPS multi basé sur un système d'objectifs dynamiques et progressifs dans lequel vous pourriez vous déplacer à toute allure et avec agilité. Imaginez la rencontre du teamplay d'un Enemy Territory et de la maniabilité d'un Mirror's Edge. Vous avez déjà l'eau à la bouche à l'idée de découvrir un tel jeu ? Vous pouvez ravaler votre salive, BRINK n'est malheureusement pas l'heureux élu. Les petits gars de Splash Damage se sont fait connaître des amateurs de FPS multijoueurs en pondant deux petits bijoux qui mettaient à l'honneur le sens de la camaraderie et du jeu en équipe. Leur premier coup d'essai, un certain Wolfenstein : Enemy Territory, proposait en effet déjà un système de classes de personnages et d'objectifs progressifs réellement bien pensé. On y incarnait les forces de l'Axe ou les Alliés, les deux camps se retrouvaient sur de vastes maps littéralement truffées d'objectifs plus ou moins importants, une équipe était dédiée à l'attaque tandis que la seconde tentait de défendre ses positions coûte que coûte. Cette recette était tellement bien rodée que les équipes de Splash Damage l'ont transposée dans un univers futuriste, plus précisément dans celui de Quake.
FPS délibérément orienté multi, Brink a subit un développement fait d’imprévus et de rebondissements, parfois inquiétants. Après avoir accumulé pas mal de retard, il a finalement réussi à débarquer sur les 3 principaux supports. A voir s’il n’a pas accusé d’un peu trop de dommages collatéraux… Brink aura décidément eu beaucoup de mal à arriver jusqu’à nous… Généralement, ce simple fait nous rend suspicieux. Autant être clair de suite, mon a priori de départ n’a été que confirmé au fur et à mesure que le temps pad en main passait. On a affaire ici à un FPS purement multi-joueur, se déroulant dans une ville flottante nommée l’Ark ou le peu d’habitants restant sur place se bat pour préserver son mode de vie. Les résistants d’un côté, essayent de s’évader de cette ville contrôlée d’une main de fer par les protecteurs. Passé le côté plaisant de cet environnement futuriste en partie à l’abandon, ma première interrogation porta rapidement sur l’absence d’un mode solo en bonne et due forme qui aurait pu creuser sur le pitch de départ. Las, ici, c’est le jeu en ligne qui prime. Quoiqu’il en soit, sans absolument vouloir passer du coq à l’âne, on se rend compte que la prise en main est assez rapide.
Nous avons répondu présent à l'invitation de Bethesda pour essayer le prochain titre des développeurs de Enemy Territory : Brink. Derniers détails et impressions à chaud, voilà ce que vous allez trouver dans cet aperçu. Si Brink est avant tout un jeu multijoueur, puisant son gameplay dans des jeux comme Enemy Territory ou encore Team Fortress 2, c'est au mode solo que l'on nous a proposé de jouer et sur console de surcroît. Mais ne vous y méprenez pas, même si les combats y sont un minimum introduits et scénarisés, le concept de jeu qui sous-tend la campagne solo vous place au cœur d'une armée de bots (soldats gérés par l'intelligence artificielle), face à une équipe du même acabit. En fait, sous couvert de campagne, il s'agit tout simplement d'un mode entraînement, visant à parfaire votre maîtrise des différentes classes de personnages que propose le titre. Au nombre de quatre, ces dernières offrent une palette variée d'actions pour une jouabilité d'équipe efficace et dynamique. Il y a le soldat qui mène l'assaut et ravitaille ses coéquipiers en munitions, l'ingénieur qui fabrique des tourelles, répare les objectifs et améliore les armes de son équipe, le médecin et enfin l'agent qui sabote les défenses adverses et s'immisce derrière les lignes ennemies.
Difficile de résumer Brink en quelques lignes mais voilà un FPS explosif, bruyant et incroyablement dynamique qui s'annonce déjà comme un des évènements du printemps 2011. D'autant qu'il propose une expérience de jeu tout simplement inédite. Le rendez-vous est fixé dans le sous-sol d'un grand hôtel londonien. Une salle que l'on croirait presque mise volontairement à l'abri des regards où huit écrans ont été placés dos à dos, quatre de chaque côté de la salle. La prise en main de Brink, le prochain FPS de l'éditeur Bethesda, s'annonce très encadrée pour la séance multijoueur qui va suivre, et les adversaires sont déjà dans la salle. Avant le match, l'équipe de développeurs de Splash Damage rappelle le contexte du jeu : l'Arche, une cité flottante futuriste construite pour faire face à la montée des eaux, accueille une population de réfugiés telle qu'une guerre civile finit par éclater entre nantis et indigents. Brink propose aux joueurs, en solo ou multi, d'intégrer une des deux factions du jeu : Sécurité ou Résistance. En guise de mise en bouche et sans plus de briefing, nous sommes jetés dans le jeu tels des poulets dans une fosse aux ours pour incarner des soldats de la faction Sécurité.
Sorte de croisement étonnant entre M.A.G., Killzone 2 et Borderlands, le titre de Splash Damage n'en affiche pas moins une véritable identité qui risque fort de séduire un maximum de joueurs. Nous pouvons d'ailleurs sans problème vous le confirmer puisque nous avons eu l'occasion de jouer à la version 360 en multi pendant une quarantaine de minutes... “Move more than shoot” (privilégiez le déplacement plutôt au tir) : voici la règle d'or de Brink. On la comprend mieux lorsqu'on a la manette en main. Car effectivement, il se passe tellement de choses lors d'une partie que mieux vaut rester en permanence en mouvements et se mettre à couvert pour prendre la bonne décision. Outre courir, tirer et sauter (votre personnage s'accroche automatiquement aux rebords des murs pour se hisser), il est possible de lancer des grenades, donner des coups au corps-à-corps, switcher entre les armes primaires et secondaires, viser précisément en mettant en joue l'ennemi, mais aussi et surtout choisir ses propres objectifs. Cette dernière action constitue le cœur de Brink et son originalité. Ainsi, en cours de jeu, si vous appuyez sur la touche LB, vous affichez à l'écran un cercle dans lequel s'inscrit une série d'objectifs que vous pouvez sélectionner à l'aide du joystick droit.
Brink ne sortira finalement qu'au printemps 2011. C'est un shooter en vue subjective basé sur des classes et qui se déroule dans les décombres épars de ce qui reste de la civilisation humaine. Il différencie le jeu hors ligne et en ligne en peuplant les missions de la campagne de ce dernier de camarades et d'adversaires humains, et il est actuellement en cours de réalisation chez Splash Damage par une équipe minutieusement formée grâce au soutien financier sans faille de l'ambitieux éditeur Bethesda Softworks. Nous nous sommes déjà penchés sur la suite d'outils de personnalisation , qui vous permet de créer un combattant des forces de la Sécurité, la faction qui détient le pouvoir, ou de la Résistance, avec leurs armures faites de plaques d'immatriculation de récupération, avec des morceaux de pneus comme rembourrages d'épaule, des sacs poubelles en guise de manche et des peintures de guerre toxiques. On nous a également parlé de la roue des objectifs, votre guide permanent pour vous indiquer quoi faire, et du SMART (acronyme anglais de « Smooth Movement Across Random Terrain » - mouvement fluide sur terrain aléatoire), un système au nom brillamment trouvé pour vous aider à sauter et à grimper.
Bonne surprise de l'E3 2009 relégué à une pauvre poignée de stations jouables sur le stand Bethesda Softworks cette année, Brink s'est enfin laissé approcher pour nous dévoiler ses secrets sur une version console que les développeurs de Splash Damage étaient bien désolés de présenter en lieu et place d'une mouture PC. L'occasion tout de même d'en apprendre plus sur la personnalisation de personnages prévue dans ce titre des créateurs d'Enemy Territory et de découvrir quelques premières missions particulièrement explosives. A une époque où les éléments de jeu de rôle s'infiltrent dans tous les genres possibles et imaginables, Brink plonge sans hésiter en nous proposant de créer notre personnage avant d'aller mitrailler tout ce qui passe. L'occasion pour la fashion victim qui se cache (parfois vraiment très bien) en chacun d'entre nous de s'exprimer en collant une multitude de tatouages, de vêtements plus ou moins expérimentaux et d'ornements en tous genres sur notre futur guerrier de la liberté. Pas exactement intuitif à la manette, ce système de création était tout de même relativement impressionnant - surtout pour un FPS - grâce à une patte artistique particulièrement réussie et originale.
Et si nous vous parlions d'un FPS survolté qui tente de mélanger expérience solo, coopération et multijoueur, tout en se basant sur un système de classes et d'objectifs à la carte ainsi que sur la faculté des combattants à grimper partout comme dans un Mirror's Edge ? Eh bien, aussi dingue que tout cela puisse sonner, c'est pourtant tout le propos de BRINK, un titre développé avec amour et talent par les petits gars de Splash Damage (Enemy Territory, Quake Wars). Avant de nous lancer corps et âme dans un généreux survol du gameplay de cet Objet Vidéoludique Non Identifié, prenons quelques secondes pour nous remémorer le contexte. L'action de BRINK se situe en 2035 au sein d'une cité flottante bâtie pour faire office de dernier refuge à l'humanité. En effet, la montée des océans, conséquence inévitable de l'échec du grenelle de l'environnement, a poussé les hommes à créer cette merveille technologique, une merveille censée accueillir une société utopique où tout le monde pourrait vivre en paix. Mais l'Homme étant ce qu'il est, la société de l'Arche (puisque c'est là le nom de la ville) s'est développée de façon inégalitaire, jusqu'à ce qu'évidemment, les graines de la discorde donnent naissance à un conflit armé.
Quand Splash Damage annonce un nouveau FPS, c'est forcément l'effervescence. Il faut dire que le studio londonien s'est taillé une solide réputation en la matière grâce à Enemy Territory, puis à Quake Wars. Mais ces deux titres restaient cantonnés à des affrontements multijoueurs. Tandis que le nouveau projet du développeur, BRINK, est beaucoup plus ambitieux, offrant une expérience unique à la croisée entre solo et multi. Qui dit solo dit scénario plus consistant. Celui de BRINK reste encore relativement obscur, mais voici ce que l'on sait à l'heure actuelle. Dans un futur proche, une cité idéale flottante a été construite : The Ark (l'Arche). Suite à la montée des océans, elle est devenue un refuge pour l'humanité. Totalement isolée du reste du monde (ou ce qu'il en reste), la société de l'Arche s'est développée de façon inégalitaire, jusqu'à atteindre un point de rupture.
Gamekult
Ajouté le : 06/2009
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Sorti de l'ombre il y a quelques jours à peine, le fameux projet Brink de Splash Damage et Bethesda Softworks s'exposait fièrement sous le feu des projecteurs à cet E3 2009 lors d'une présentation étonnamment longue et avancée pour un jeu encore en pleine pré-alpha. Dévoilé en petit comité par le CEO de Splash Damage en personne, ce FPS relativement discret pourrait bien être l'un des projets les plus prometteurs du salon californien cette année. Cité utopique flottant au dessus de l'océan en l'an de grâce 2035, The Ark perdra son statut de lieu de providence pour devenir un champ de bataille de tous les instants dans Brink lorsqu'elle se retrouvera coupée du reste du monde après un cataclysme. S'opposeront alors les forces de la Resistance et de la Security, dans un conflit qui devrait décider à terme du prochain occupant des lieux. Techniquement, cela veut dire que Splash Damage nous prépare un nouveau conflit opposant deux factions dans une campagne militaire blindée d'objectifs à remplir par des classes dédiées, sans pour autant se limiter à nous livrer un simple héritier au légendaire Return to Castle Wolfenstein : Enemy Territory.
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