Bodycount
9 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 9 tests du Bodycount. Les experts notent Bodycount 4.5/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Bodycount et d'autres Jeux Xbox 360.
- Ecrire un avis
- Démarrer une discussion
- Poser une question
- Demander de l'aide
Test Bodycount
Bodycount
Souvenez-vous c'était il y a cinq ans : les développeurs de Criterion Games, jusque-là connus pour leur excellente franchise Burnout, décidaient de transposer l'action débridée de leur jeu de voitures au genre FPS. En résultait un titre baptisé Black, à la réalisation superbe et au rythme effréné mais manquant quelque peu de profondeur. Visiblement ses créateurs n'ont pas tous été découragés puisqu'une partie d'entre eux oeuvre désormais pour Codemasters et nous offre aujourd'hui avec Bodycount le fils spirituel de Black.A l'instar de son aîné, Bodycount ne s'embarrasse pas d'un scénario très fouillé : vous incarnez un mercenaire anonyme oeuvrant pour une organisation connue sous le nom de Network, dont les activités consistent a priori à mettre un terme aux nombreux conflits qui éclatent à travers le monde. Seulement voilà, le Network découvre durant l'une de ses missions l'existence d'une organisation secrète baptisée Target, dont les desseins semblent bien moins avouables. Forcément vous êtes alors chargé d'enquêter sur les nouveaux venus afin de mieux cerner leurs intentions.Votre périple débute en Afrique de l'Ouest et vous amène par la suite en Asie.
Bodycount
Le FPS est un genre avec pas mal d'ancienneté et un nombre exceptionnel de titres, probablement celui qui est le plus représenté au monde. Et le FPS a évolué au fil des années. Tout d'abord bourrin, ne cherchant même pas à poser de questions après les tirs, ensuite un peu plus subtil, cherchant à adopter un léger angle stratégique (couvertures, contournements, gestion de la régénération de santé...). Quelques titres ont tiré leur épingle du jeu avec soit des concepts originaux (Mirror's Edge, Fallout 3...), d'autres y sont arrivés en sublimant l'aspect bourrin (Borderland...). Enfin, il reste ceux qui font leur job correctement, et les autres. Ceux qui n'auraient jamais dû exister. De quelle pierre va être fait Bodycount dans cette muraille de FPS ? Brisons de suite le suspens : Bodycount est un FPS qui va se cataloguer dans la catégorie archi-classiques. Vous êtes un agent du Network, envoyé pour éradiquer un conflit en Afrique qui a mystérieusement repris alors que les pourparlers de paix étaient en très bonne voie. Très classique comme trame. N'espérez pas avoir plus de scénario car ce serait comme essayer de finir un puzzle avec plein de pièces manquantes.
Bodycount
La plupart des jeux, même les plus violents, cherchent à vous fournir une excuse ou un semblant d'explication pour justifier les massacres que vous commettez. Bodycount n'est pas aussi hypocrite ! Il ne prend pas la peine de s'encombrer d'un scénario digne de ce nom et se contente de vous plonger la tête la première dans l'enfer de la guerre... Il ne faut malheureusement pas croire que cela suffise à en faire un bon jeu. Les créateurs de Bodycount n'en sont pas vraiment à leur coup d'essai en matière de FPS explosif. On leur doit en effet déjà un certain Black, un titre sorti en 2006 sur PS2 et Xbox et qui ne faisait pas dans la dentelle. Le jeu ne permettait par exemple pas d'ouvrir les portes autrement qu'en les détruisant... Il ne s'agissait certainement pas du titre du siècle mais il proposait un bon défouloir aux joueurs en mal d'adrénaline. On s'attendait logiquement à retrouver plus ou moins le même cocktail détonnant avec Bodycount. Le pitch de ce dernier est en soi prometteur : vous incarnez l'agent d'une organisation secrète qui défend la paix à travers le monde en détruisant tout sur son passage. En somme, il s'agit de faire la guerre à la guerre en tuant tous les participants, un point de départ tellement absurde qu'il pourrait être mis à profit pour nous faire rire.
Bodycount
Rares sont les jeux qui vous permettent de rajeunir, replonger dans un bain de nostalgie de jeux qui ont largement dépassé la DLC. Date Limite de Consommation et non pas le Downloadable Content. C'est avec une certaine émotion que l'on relance les Monkey Island, que l'on apprend que L'arche du capitaine Blood est repensée en ce moment même. La nostalgie a malheureusement ses limites. Je viens d'évoquer des expériences positives. On ne se souvient clairement que ce qui nous a plu. Or, des FPS, depuis que le genre existe, on a pu en essayer des dizaines. Oserai-je des centaines ? C'est pourtant très probable. Combien en avons-nous gardé en mémoire ? Quake, Duke Nukem, Half-Life, Doom, Battlefield, Call of Duty et toutes leurs suites resteront gravés. Après, individuellement, on se souviendra d'autres jeux, parce qu'on les a tests, ou terminés. Pour ma part, j'ai de bons souvenirs avec Redneck Rampage et les Dark Forces. Mais que sont devenus les Blood, Unreal, Sin, Shogo, Daikatana, Tekwar ? Tous oubliés, définitivement placés dans la case des jeux pour lesquels nos cerveaux ne décident pas de consacrer quelques neurones pour en faire des souvenirs. Je crois que c'est ce qui peut arriver de pire à un jeu, en plus du fait qu'il ne se vende pas. Imaginons une conversation, aux alentours de 2030.
Test Bodycount
Codemasters aura été plutôt discret en termes de communication sur son FPS. Mais ça n’empêche pas Bodycount de débarquer avec son gameplay éculé mais qui fait tout de même son petit effet. Dans ce jeu bourrin à souhait, il va falloir être précis pour faire le meilleur score possible. Dans Bodycount le joueur incarne un agent appartenant au Network. Il s’agit d’une agence spécialisée dans le règlement de conflits civils et de guérillas en tout genre. Face à elle se trouve une autre agence appelée la Target qui, elle, est spécialisée dans le déclenchement de coups d’état et de guerres civiles. Ces deux groupuscules ont donc l’habitude de s’affronter et disposent d’agents surentraînés et aux équipements de pointe. En plus de ses armes, le héros dispose d’un certain système BSA très pratique. En terminant les niveaux on débloque en effet diverses capacités comme l’adrénaline qui rend invincible, les balles explosives, le radar qui repère les ennemis derrière les murs ou encore la frappe aérienne tactique. Toutes sont très pratiques en fonction de la situation où vous vous trouvez mais elles s’utilisent avec parcimonie. En effet, elles réclament au préalable de remplir une jauge d’informations (c’est son nom).
Bodycount (Preview)
Les éditeurs ont souvent du mal à assumer le côté bourrin de leurs bébés. Le fait de démembrer ses ennemis devient une fonctionnalité tactique et vous êtes désormais prié de ne plus parler de hack'n slash mais de jeux de rôle orientés action... Heureusement, il reste quelques éditeurs qui ne se cachent pas derrière leur petit doigt quand il s'agit de communiquer sur les débordements de testostérone de leurs protégés. C'est justement le parti pris de Codemasters qui n'hésite pas à nous présenter Bodycount comme un FPS très brutal. Si Codemasters s'est surtout distingué en pondant des jeux de courses de qualité, l'éditeur est aussi derrière quelques FPS marquants tels que les différents opus de la série des Operation Flashpoint. Ne vous attendez toutefois pas à une approche aussi réaliste dans ce Bodycount. Le titre développé dans les studios de Guildford ne fait ni dans le vraisemblable ni dans la dentelle. D'ailleurs, il suffit de jeter un œil au curriculum vitae des équipes chargées de ce projet pour avoir un aperçu de ce qui nous attend. On retrouve en effet des anciens développeurs de Criterion et en particulier ceux qui avaient bossé sur Black. On se souvient que ce FPS sorti sur PS2 et Xbox en 2006 s'était surtout fait remarquer par son action intense et explosive.
Bodycount (Preview)
Spécialisé dans les jeux de courses, Codemasters a cette fois décidé de diversifier un peu son offre en développant en interne un FPS. Une décision finalement assez osée au regard de la concurrence acharnée à laquelle il faudra faire face dans le domaine. Mais avec Bodycount, le studio britannique espère rallier à sa cause les nombreux amateurs de jeux bourrins, ceux pour qui détruire un environnement compte plus que se cacher dans un fourré pour sniper un ennemi après 20 minutes d'attente. C'est à Guildford, dans la banlieue de Londres, à l'endroit même où les équipes de développement conçoivent le titre, que nous avons pu faire connaissance avec lui. Une rencontre... explosive ! A l'image de Bulletstorm, le FPS ultra sanglant développé par People Can Fly, prévu lui aussi pour l'année prochaine, Bodycount ne fait pas dans la dentelle. Les équipes de Codemasters ont cherché à prendre le contre-pied de la tendance actuelle qui consiste à procurer une expérience réaliste. Tout l'inverse d'un Call of Duty en somme. Du coup, l'attrait principal du jeu est qu'il permet de détruire une bonne partie des environnements.
Bodycount (Preview)
Bodycount approche le genre FPS un peu différemment des shooters ancrés dans la réalité dont nous avons été abreuvés ces derniers temps. En fait, comme le dit le directeur du jeu Andy Wilson, il y a une volonté délibérée de s'éloigner de ce qui est devenu une formule routinière. « Nous avons envie de vous voir jouer ce jeu avec le sourire, le même que celui qui illuminait le visage des gens quand ils jouaient aux vieux shooters d'arcades avec scrolling », explique-t-il. « La chose que nous avons envie de faire mieux que les autres, c'est de donner vraiment l'impression de tirer avec une arme et de traduire vraiment les dégâts que font ces tirs dans l'environnement, la façon dont ils les déchiquettent ». « C'est la raison pour laquelle nous avons construit un monde supportant le niveau de destructibilité le plus élevé possible. Nous voulons donner au joueur de nombreuses options tactiques, notamment dans les zones où les abris commencent à partir en lambeaux et qui se transforment progressivement en terrains ouverts, ce qui permet de tirer sur les cibles sous des angles très variés. » A de nombreux égards, Bodycount marque un retour en arrière à l'époque où les shooters s'attachaient plus à vous procurer la joie immédiate du carnage qu'une expérience cinématographique soigneusement scénarisée.
Bodycount (Preview)
C'est à Guilford, dans la banlieue londonienne, que Codemasters nous a permis d'approcher en exclusivité Bodycount, son nouveau FPS. Un petit nouveau dans la gamme de l'éditeur et développeur mais qui se présente ni plus ni moins comme le fils spirituel de Black. D'ailleurs, les membres du studio ne s'en cachent pas, Bodycount est un Black à la sauce HD et donc, un concurrent direct de Call of Duty... En 2006, la PS2 se parait d'un FPS ultra arcade faisant office de vitrine technologique : Black. Effets visuels tape-à-l'œil, environnements hautement destructibles, grand spectacle à tous les étages... Autant d'éléments qui font que le jeu de Criterion n'était pas passé inaperçu en dépit d'un gameplay jugé à l'époque trop lisse, trop commun. Les petits gars de Criterion ou une partie d'entre eux tout du moins, ont rejoint Codemasters pour retenter l'aventure en utilisant le fameux EGO Engine, ce moteur utilisé à toutes les sauces (mais à bon escient). Bien qu'il ne s'agisse pas à proprement parler d'un Black 2, que ce soit dans l'univers ou dans l'histoire, le principe y ressemble fortement. Toutefois, nous nous garderons bien d'émettre quelques jugements ou de comparer déjà la bête aux nombreux FPS qui se partagent le riche marché du jeu de tir.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Bodycount. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Bodycount.
À propos de nous | Presse | FAQ | Contact | © 2006-2021 TestMateriel.com