Bodycount
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Nous avons réuni 16 tests du Bodycount. Les experts notent Bodycount 4.1/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Bodycount et d'autres Jeux Playstation 3.
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Test Bodycount
Test Bodycount
Avec des anciens qui ont contribué à fournir un titre aussi bourrin que Black, certains amateurs de destruction se sont extasiés à l’annonce de Bodycount. Aujourd’hui, le jeu est enfin disponible sur nos consoles et nous allons voir ensemble s’il parvient à assumer cet héritage ou si au contraire il fonce droit dans le mur sans parvenir à le faire exploser. Pour ceux qui n’ont pas connu le fameux Black, il s’agit d’un FPS assimilé à Burnout. En effet, un simple fusil à pompe pouvait faire exploser une porte ou un poteau en béton. D’ailleurs, il n’existait aucun autre moyen d’ouvrir les portes dans ce titre. La seule façon d’avancer était de faire feu pour dégommer tout ce qui avait dans le paysage et créer un amas de poussière derrière nous. Dès les premières minutes dans Bodycount, nous nous rendons vite compte que la recette semble être la même. Sans trop savoir pourquoi, le jeu vous parachute en Afrique au milieu d’un combat qui oppose rebelles et militaires. Et au lieu de vous ranger d’un côté ou de l’autre comme dans tout conflit, vous avez pour mission de faire le ménage seul.
Test Bodycount
Il est clair que d'empiéter sur le marché des FPS avec une nouvelle licence n'est pas aisé, tant le volume et la qualité d'autres productions sont déjà bien présents. Toutefois, cela n'a pas empêché le studio Codemasters de bâtir Bodycount. Pour situer l'intérêt initial de la production, soulignons qu'elle est conçue par l'équipe à l'origine de Black, FPS plutôt impressionnant sorti il y a quelques années sur PS2 et Xbox. Aussi, certains amateurs de la première heure se sont largement intéressés à ce nouveau projet qui ne fait pas non plus dans la demi mesure. Dès les premiers instants de jeu, il est clairement ressenti que Bodycount cherche à proposer une ambiance FPS « old school » en se concentrant essentiellement sur l'action. En effet, le scénario du soft tient sur un timbre poste : vous incarnez un agent d'une organisation appelée le Network et votre objectif sera de calmer les guérillas dans les pays en crise. Le pitch vous met en avant comme LA solution pour mettre fin aux affrontements. FPS oblige, ce n'est pas en tant que grand diplomate que vous foulerez les terres d'Afrique ou d'Asie, mais bel et bien avec votre armement. En bref, vous n'êtes qu'un nettoyeur sans cervelle qui mitraille avant de passer aux négociations.
Test de Bodycount
Davantage réputé pour ses jeux de courses que ses FPS, Codemasters attaque tout de même la rentrée avec Bodycount. Une nouvelle licence, comme son nom l'indique, mais surtout un titre qui n'a guère su convaincre avec sa démo mise en ligne sur les services de téléchargement. La version finale de Bodycount s'en tire-t-elle mieux ? Autant le dire tout de suite, Bodycount n'est vraiment pas le FPS de l'année, ni même du mois. Trop peu de budget ou trop peu de travail de la part des développeurs, chacun choisira les raisons, mais force est de constater que le jeu de Codemasters ne manque pas de lacunes. A commencer par son histoire, inintéressante, dans laquelle deux organisations (le Network et la Target) se livrent secrètement bataille pendant que des peuples s'entre-déchirent à coups de guerre civile. S'il y avait sans doute moyen de faire quelque chose avec ce pitch, la mise en scène façon série B et l'absence totale de travail sur les personnages empêchent toute implication. Sans doute pas de quoi gêner les développeurs, tant Bodycount semble avoir été conçu pour du shoot décérébré et uniquement ceci. FPS de son état, il tire en effet la carte de l'arcade avec des points à récolter (pour faire augmenter une jauge de pouvoirs) et la possibilité de réaliser des combos en enchaînant les kills.
Bodycount
La plupart des jeux, même les plus violents, cherchent à vous fournir une excuse ou un semblant d'explication pour justifier les massacres que vous commettez. Bodycount n'est pas aussi hypocrite ! Il ne prend pas la peine de s'encombrer d'un scénario digne de ce nom et se contente de vous plonger la tête la première dans l'enfer de la guerre... Il ne faut malheureusement pas croire que cela suffise à en faire un bon jeu. Les créateurs de Bodycount n'en sont pas vraiment à leur coup d'essai en matière de FPS explosif. On leur doit en effet déjà un certain Black, un titre sorti en 2006 sur PS2 et Xbox et qui ne faisait pas dans la dentelle. Le jeu ne permettait par exemple pas d'ouvrir les portes autrement qu'en les détruisant... Il ne s'agissait certainement pas du titre du siècle mais il proposait un bon défouloir aux joueurs en mal d'adrénaline. On s'attendait logiquement à retrouver plus ou moins le même cocktail détonnant avec Bodycount. Le pitch de ce dernier est en soi prometteur : vous incarnez l'agent d'une organisation secrète qui défend la paix à travers le monde en détruisant tout sur son passage. En somme, il s'agit de faire la guerre à la guerre en tuant tous les participants, un point de départ tellement absurde qu'il pourrait être mis à profit pour nous faire rire.
Test Bodycount
De plus en plus gâtés au fil des mois, les amateurs de FPS doivent déjà avoir placé quelques croix dans les dernières pages de leur agenda 2011. Autant dire que pour espérer s'en sortir aujourd'hui, mieux vaut débarquer avec de sérieux arguments. Est-ce le cas pour Bodycount ? Voyons voir... Born red, born black, BORN DEAD ! Mi-agent secret, mi-mercenaire, le héros de Bodycount est un vrai poète des temps modernes, employé d'une corporation aussi secrète que puissante, le Network. En gros, en cas de crise un peu grave dans le monde (une guerre civile en Afrique occidentale, par exemple), il est envoyé seul sur le terrain pour bousiller les fauteurs de trouble et résoudre les différends à coups de fusil à pompe et de grenades à fragmentation. Un poète, on vous dit... Evidemment, avec un pitch pareil, on ne s'attend pas à ce que Bodycount fasse dans la dentelle et, en effet, le jeu s'inscrit totalement dans la tendance actuelle des FPS primaires et brutaux, avec en prime une petite tendance au scoring. Au final, le seul moment où l'on fait appel à notre cerveau reste pour choisir quelle arme on va utiliser. Le hic, c'est que Bodycount suit cette mode un peu trop au pied de la lettre et se contente de tirer grossièrement sur des ficelles vieilles comme le genre.
Bodycount
Se distinguer du lot commun, c'est essentiel. Surtout quand on ne manque pas de concurrents... Et c'est ainsi, sur cette idée simple, que je viens vous parler du tout nouveau jeu de tir en vue subjective de Codemasters Guilford. Alors ne perdons pas de temps et allons à l'essentiel : dans la jungle des FPS, Bodycount a-t-il une chance de survivre et de se rendre indispensable ? Vous aurez compris que le doute m'habite...Bodycount porte bien son nom. Vous n'êtes pas là pour tricoter, mais bel et bien pour dézinguer un maximum de méchants révolutionnaires dans un FPS musclé. En effet, appartenant au "Network", vous êtes un guerrier surentrainé dont le but est de rétablir la paix (par la force, il faut pas déconner non plus...) dans diverses zones de la planète. Un scénario bateau, qui va de paire avec la direction artistique, l'I.A., le rendu graphique et j'en passe... Extrêmement Arcade, Bodycount se laisse pourtant prendre en main facilement. Normal, il s'agit d'un défouloir dans lequel vous devez enchaîner les kills pour faire le ménage. En cela, le titre de Codemasters remplit globalement son office (mais ne lui en demandez surtout pas plus). D'autant que la plupart des décors sont destructibles. Percer des murs, exploser des portes, faire sauter des cabanes seront donc votre lot commun dans ce titre où l'action règne en maitre.
Test de Bodycount
Bodycount est la preuve parfaite de la saturation du marché en matière de FPS. Jeu de tir générique s’il en est, rien ne lui permet de se démarquer de sa rude concurrence. Son scénario par exemple, semble tout droit tiré d’un téléfilm du dimanche après-midi. Le joueur n’incarne pas Ice-T mais un agent du Network, organisation réputée pour mettre fin aux conflits dans des zones où même l’ONU est impuissante. Au fil de ses pérégrinations en Afrique et en Asie, il découvre qu’une organisation secrète ultra-moderne, nommée Target, tire les ficelles. Chaque mission, à l’objectif aussi palpitant que pirater un terminal, ou éliminer un général ennemi, est précédée d’un court briefing textuel. Pour une présentation spectaculaire, il faudra donc repasser. Et ce ne sont pas les deux ou trois cinématiques de quelques secondes éparpillées au cours de la campagne qui contribuent à la mise en scène. Et pendant ce court laps de temps tant les missions se suivent et se ressemblent. Il n’y a pas qu’au niveau du scénario que les développeurs de Bodycount n’étaient pas inspirés. En effet, le design du titre n’est pas des plus réjouissants. Comme ils n’arrivaient visiblement pas à choisir entre créer un FPS réaliste ou de science-fiction, ils ont fait un peu des deux.
Bodycount
Souvenez-vous c'était il y a cinq ans : les développeurs de Criterion Games, jusque-là connus pour leur excellente franchise Burnout, décidaient de transposer l'action débridée de leur jeu de voitures au genre FPS. En résultait un titre baptisé Black, à la réalisation superbe et au rythme effréné mais manquant quelque peu de profondeur. Visiblement ses créateurs n'ont pas tous été découragés puisqu'une partie d'entre eux oeuvre désormais pour Codemasters et nous offre aujourd'hui avec Bodycount le fils spirituel de Black.A l'instar de son aîné, Bodycount ne s'embarrasse pas d'un scénario très fouillé : vous incarnez un mercenaire anonyme oeuvrant pour une organisation connue sous le nom de Network, dont les activités consistent a priori à mettre un terme aux nombreux conflits qui éclatent à travers le monde. Seulement voilà, le Network découvre durant l'une de ses missions l'existence d'une organisation secrète baptisée Target, dont les desseins semblent bien moins avouables. Forcément vous êtes alors chargé d'enquêter sur les nouveaux venus afin de mieux cerner leurs intentions.Votre périple débute en Afrique de l'Ouest et vous amène par la suite en Asie.
Test Bodycount
Il est pourtant bien vrai que plusieurs membres du studio Codemasters Guildford ont pris part au développement du FPS de EA sorti sur PS2 et Xbox en 2006. En choisissant pour ce nouveau titre de s’orienter encore plus vers l’action incessante, ils n’ont cherché qu’un post-it pour y coucher un scénario. Agent d’une société secrète nommée « la Network », on est envoyé dans un pays fictif d’Afrique de l’Ouest pour contrer les agissements de la Target. Cette organisation criminelle semble responsable du contexte de guérilla urbaine qui s’y est installé, mettant aux prises plusieurs milices de la région. On découvrira bien vite que la Target possède des bases stratégiques partout sur le Globe, et qu’il nous faudra la détruire pour sauver le Monde. Notre seule alliée dans cette aventure correspond uniquement par radio avec nous et, qu’on se le dise, sur le terrain aucun allié n’est à signaler. Chaque être mouvant constitue une cible à abattre sans sommation. D'ailleurs, les deux seuls types d’objectifs confiés au début de chaque mission sont l’élimination d’un chef de milice ou le piratage d’un quelconque gadget électronique ; pas de quoi s’embrouiller donc.
Bodycount (Preview)
Le moins que l’on puisse dire, c’est que Bodycount ne fait pas dans la dentelle et dans la subtilité. À côté du titre de Codemasters, Call of Duty et Battlefield passeraient presque pour des modèles de finesse. Ici, on tape clairement dans les parties viriles du shooter survitaminé, un peu à la manière de Bulletstorm. Une honorable référence ? Certes, sauf qu'il ne parvient pas –pour le moment-, à se hisser au niveau de la production de People Can Fly. Il aurait plutôt tendance à délivrer des sensations très (trop) classiques, à peine soutenues par quelques bonnes idées. Est-il vraiment nécessaire de s’attarder sur le scénario ? En quelques mots : vous êtes un super soldat membre de l’organisation « Network ». Votre employeur vous envoie régulièrement régler une situation pourrie dans un coin reculé de la planète et c’est bien souvent en mode « seul contre tous » que vous affrontez les pires mercenaires. La preview mise à notre disposition offrait trois missions, dans des environnements à chaque fois très différents : village africain écrasé de soleil, base futuriste à l’ambiance glaciale ou encore zone de pêche nocturne en Asie. On ne peut donc pas se plaindre du manque de variété, mais est-ce pour autant une réussite visuelle ?
Gamekult
Ajouté le : 08/2011
Plus accessible...
Bodycount (Preview)
Déjà aperçu à l'E3, le prochain FPS de Codemasters Guildford s'est laissé essayé dans nos locaux pour une grosse démo d'une heure et demi. L'occasion de tâter un peu plus sérieusement ce titre résolument placé sous le signe de l'action pure et dure, quitte à faire fi de la moindre once de finesse mais également d'originalité. Impressions à quasiment un mois, jour pour jour, de sa sortie dans l'Hexagone. Bodycount's in the house Aux antipodes de la guerre tactique et de la gestion d'escouade, Bodycount placera le joueur dans la peau d'un agent d'une organisation secrète baptisée "Network" et qui, comme on va vite s'en rendre compte, n'a pas l'habitude de faire dans le social. Sympathique association de soldats surentrainés, celle-ci aurait plutôt tendance à régler les divers conflits qui éclatent à travers le monde par la manière forte. Comprenez par là que lorsque l'on se retrouve dès le début envoyé pour faire le ménage dans un pays d'Afrique de l'Ouest ravagé par la guerre, ce sont autant les soldats de l'armée régulière que les rebelles locaux qui vont en prendre plein les molaires. Pas d'alliés, pas de parti pris, Bodycount c'est l'histoire d'un mec contre le reste du monde.
Bodycount (Preview)
Les éditeurs ont souvent du mal à assumer le côté bourrin de leurs bébés. Le fait de démembrer ses ennemis devient une fonctionnalité tactique et vous êtes désormais prié de ne plus parler de hack'n slash mais de jeux de rôle orientés action... Heureusement, il reste quelques éditeurs qui ne se cachent pas derrière leur petit doigt quand il s'agit de communiquer sur les débordements de testostérone de leurs protégés. C'est justement le parti pris de Codemasters qui n'hésite pas à nous présenter Bodycount comme un FPS très brutal. Si Codemasters s'est surtout distingué en pondant des jeux de courses de qualité, l'éditeur est aussi derrière quelques FPS marquants tels que les différents opus de la série des Operation Flashpoint. Ne vous attendez toutefois pas à une approche aussi réaliste dans ce Bodycount. Le titre développé dans les studios de Guildford ne fait ni dans le vraisemblable ni dans la dentelle. D'ailleurs, il suffit de jeter un œil au curriculum vitae des équipes chargées de ce projet pour avoir un aperçu de ce qui nous attend. On retrouve en effet des anciens développeurs de Criterion et en particulier ceux qui avaient bossé sur Black.
Bodycount (Preview)
Spécialisé dans les jeux de courses, Codemasters a cette fois décidé de diversifier un peu son offre en développant en interne un FPS. Une décision finalement assez osée au regard de la concurrence acharnée à laquelle il faudra faire face dans le domaine. Mais avec Bodycount, le studio britannique espère rallier à sa cause les nombreux amateurs de jeux bourrins, ceux pour qui détruire un environnement compte plus que se cacher dans un fourré pour sniper un ennemi après 20 minutes d'attente. C'est à Guildford, dans la banlieue de Londres, à l'endroit même où les équipes de développement conçoivent le titre, que nous avons pu faire connaissance avec lui. Une rencontre... explosive ! A l'image de Bulletstorm, le FPS ultra sanglant développé par People Can Fly, prévu lui aussi pour l'année prochaine, Bodycount ne fait pas dans la dentelle. Les équipes de Codemasters ont cherché à prendre le contre-pied de la tendance actuelle qui consiste à procurer une expérience réaliste. Tout l'inverse d'un Call of Duty en somme. Du coup, l'attrait principal du jeu est qu'il permet de détruire une bonne partie des environnements.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 12/2010
Plus accessible...
Bodycount (Preview)
Bodycount, c'est l'histoire d'une suite qui n'en est pas une, développée par des anciens de Criterion Games pour le compte de Codemasters. Le jeu Black avait, en 2006, plutôt réussi son coup en offrant à la PS2 un jeu capable de sublimer ses capacités en termes de gestion de moteur physique. Les explosions et la tôle froissée, une spécialité pour Criterion Games. Une partie de l'équipe a ensuite décidé de poursuivre l'aventure FPS malgré le fait qu'EA reste propriétaire de la licence Black. Aujourd'hui, après moult péripéties (changement de directeur de studio, etc.), Bodycount veut assumer et assurer son héritage aux yeux des joueurs. Le titre désire surtout enterrer sa très mauvaise démonstration présentée lors du dernier E3. Il suffit parfois d'un concept très simple pour créer un jeu. Dans le cas de Bodycount, on surfe très clairement sur la vague de destruction massive des environnements. Une forme de réalisme exagéré où un mur en béton n'est évidemment pas indestructible, mais peut facilement céder une fois plombé à la mitrailleuse. C'est toute la tactique basique des jeux de tir qui prend un second coup derrière la nuque après celui infligé par Black.
Univers Consoles
Ajouté le : 06/2010
Plus accessible...
Bodycount (Preview)
Impossible pour tout joueur et canardeur virtuel passionné, qui plus est, de ne pas se souvenir de Black, véritable orgie de destruction, ode aux pétoires fumantes et bastos perdues. Bref, le Burnout du flingage en règle ! Et pourtant, à l'heure où les moteurs physiques font la loi sur le marché du FPS, le jeu de Stuart Black (hé, oui !) peut clairement se donner le rôle de messie de service, de shooteur d'avant-garde, de celui qui avait tout compris avant les autres, évidemment, après une telle réussite, nul besoin de s'étonner que le développeur, récemment embauché par Codemasters, remette son genre préféré, le FPS ! On le sait, Black, le développeur, n'est pas du genre à s'embarrasser d'une narration trop explicite. Et l'histoire de cette agence qui recrute le joueur pour éliminer des cibles précises au travers du globe ne risque pas de soulever les foules. Et ce, même si elle se veut proche des films et séries de J.J Abrams (Alias, Lost, Fringe), notamment dans sa construction en treize épisodes d'une quarantaine de minutes, ne lâchant ses révélations qu'au compte-gouttes... reste qu'elle a le mérite de pleinement justifier la boucherie à venir, ainsi que la présence d'interlocutrice audio pour indiquer au joueur les objectifs à attaquer.
Bodycount (Preview)
C'est à Guilford, dans la banlieue londonienne, que Codemasters nous a permis d'approcher en exclusivité Bodycount, son nouveau FPS. Un petit nouveau dans la gamme de l'éditeur et développeur mais qui se présente ni plus ni moins comme le fils spirituel de Black. D'ailleurs, les membres du studio ne s'en cachent pas, Bodycount est un Black à la sauce HD et donc, un concurrent direct de Call of Duty... En 2006, la PS2 se parait d'un FPS ultra arcade faisant office de vitrine technologique : Black. Effets visuels tape-à-l'œil, environnements hautement destructibles, grand spectacle à tous les étages... Autant d'éléments qui font que le jeu de Criterion n'était pas passé inaperçu en dépit d'un gameplay jugé à l'époque trop lisse, trop commun. Les petits gars de Criterion ou une partie d'entre eux tout du moins, ont rejoint Codemasters pour retenter l'aventure en utilisant le fameux EGO Engine, ce moteur utilisé à toutes les sauces (mais à bon escient). Bien qu'il ne s'agisse pas à proprement parler d'un Black 2, que ce soit dans l'univers ou dans l'histoire, le principe y ressemble fortement. Toutefois, nous nous garderons bien d'émettre quelques jugements ou de comparer déjà la bête aux nombreux FPS qui se partagent le riche marché du jeu de tir.
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