Bayonetta
17 tests d’experts - 1 avis d'internautes
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Nous avons réuni 17 tests et 1 avis du Bayonetta. Les experts notent Bayonetta 8.9/10 et les internautes 8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Bayonetta et d'autres Jeux Xbox 360.
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Test Bayonetta
Bayonetta
En la croisant sous ses faux airs de gentille fille à lunette, on aurait pu la prendre pour une maitresse d'école. Mais détrompez-vous ! Bayonetta est une sorcière qui s'est réveillée amnésique après un long sommeil de plusieurs centaines d'années. Son but ? Survivre et accessoirement comprendre pourquoi des anges aussi moches que votre belle-mère essayent de la transformer en apericube. C'est ainsi que vous allez naviguer dans une histoire à première vue tirée par les cheveux, mais qui s'éclaircira au fur et à mesure de votre avancement (lisez d'ailleurs les documents que vous récupérez). L'aventure sera riche en nombreuses scènes totalement déjantées et en clin d'oeil au monde du jeu vidéo. Alors, préparez-vous à vivre une aventure. Le tout enrobé par une bande-son dynamique et des graphique de qualité malgré quelques ralentissements intempestifs. Je vous conseille fortement d'installer le jeu sur votre disque dur pour parer à ce léger désagrément. Car il est inutile de vous dire que vous aurez envie de recommencer le jeu dans des difficultés supérieures voir démentielles. Mais derrière cet univers qui fait finalement l'unanimité se cache un système de combat très riche tout en étant assez facile d'accès.
Bayonetta
Les gamers expérimentés que beaucoup d'entre nous sommes sont généralement bien plus facilement blasés par le côté trop "classique" d'un jeu. Si nous savons encore garder nos yeux d'enfant pour les jeux qui, sans révolutionner quoi que ce soit, font preuve d'une grande maîtrise d'un genre particulier (, , , pour ne citer qu'eux), les titres de qualité intermédiaire ne restent guère plus dans nos mémoires. n'est pas de ceux-là. Après avoir donné naissance à la folle série des , Kamiya-san et sa petite équipe ont quitté l'égide de Capcom pour tomber dans les bras de Sega, apparemment plus ouvert à leurs nouveaux projets... osés. Après un sur au succès pas si faiblard, c'est donc avec un nouveau beat'em all décalé que PlatinumGames vient titiller Familles de France. Si vous avez échappé à la campagne de communication de Sega, intelligemment axée sur l'héroïne du jeu, vous comprenez certainement le sens du mot "osé". Dans le grand n'importe quoi qu'est ce jeu, vous incarnez Bayonetta, dernière sorcière vivante après que leur espèce a été exterminée dans une guerre contre le Paradis, puis une campagne d'inquisition menée par les humains.
Bayonetta
Derrière Bayonetta se cache un jeu d'action qui frôle les sommets. Par le créateur des franchises comme Devil May Cry, Viewtiful Joe ou encore Ninja Gaiden, à quoi devait-on s'attendre ? Hideki Kamiya signe ici un chef d'oeuvre d'originalité, basé sur un gameplay incroyablement solide et qui dégage une aura séductrice des plus redoutables. Attention de ne pas s'approcher de trop près (quoique j'en connais certains qui n'y verraient pas d'inconvénient), car Bayonetta risquerait bien de vous mordre ! Test complet.Bayonetta est une sorcière. Autour d'elle s'accorde une histoire plutôt conventionnelle, opposant la lumière et les ténèbres. Conflit sempiternel qui prend bien évidemment ses racines il y a fort longtemps, faisant s'affronter les sages des Lumières et les sorcières de l'Umbra, chacun ayant une ribambelle d'alliés et de pouvoirs pour s'amuser : forces de la Lumière pour les uns, et forces des Ténèbres pour les autres. Malgré tout ce qui les oppose, les deux clans éprouvaient un profond respect l'un envers l'autre, jusqu'à un tragique événement qui déclencha une guerre sans pitié, à l'issue de laquelle une seule sorcière survécut : Bayonetta.
Bayonetta
Le premier grand jeu de 2010 est déjà là et il est signé Sega ! Cette sorcière va jeter un sort à votre console. Elle nous avait fait faux bond sous le sapin de Noël, cette coquine de Bayonetta, ce qui ne l'empêchait pas de se dévoiler sans pudeur en vidéo ces dernières semaines. Il faut dire qu'avec un physique comme le sien elle aurait bien tort de s'en priver et d'en priver les rétines avides de courbes gracieuses des tripoteurs de sticks analogiques. Un lapin posé par Sega pour des raisons de prudence : l'éditeur japonais voulait être sûr que sa petite bombe exploserait après la bataille de Noël et non pas en plein milieu de l'empoignade généralisée. Et on le comprend : ce serait dommage que Bayonetta se fasse rouler dessus dans l'indifférence générale, au milieu des treillis modernes et des assassins médiévaux, alors qu'elle a mille et une qualités à faire valoir, et pas seulement plastiques. Bayonetta, ou l'ange de la rédemption gamer descendu d'un ciel de pixels assez couvert pour un Sega en manque de peps et d'identité ces derniers mois et préférant faire de l'argent facile plutôt que de tenter le diable avec des jeux chtarbés mais qui ne se vendent pas.
Bayonetta
Remarqué dès son annonce pour le charisme 90D de son héroïne et l'illustre chef de projet (Hideki Kamiya, créateur de Devil May Cry) à ses commandes, Bayonetta aura mis près de deux ans avant d'arriver à terme. Le temps pour Platinum Games de nous concocter un beat'em all de haute volée, doté de tous les ingrédients aujourd'hui indispensables pour en mettre plein la vue aux joueurs. À la voir comme ça, se dandiner en tenue ultra-moulante et sucette en bouche, on pourrait la prendre pour une femme de petite vertu totalement paumée ; pas vraiment la tête de l'emploi pour une héroïne de jeux vidéo. Mais dès ce qui sert de prologue au jeu, Bayonetta se dévoile pleine de surprises, qu'il s'agisse de ses incontestables talents de sorcière ou de son côté doucement folle et irresponsable. Son goût prononcé pour les armes à feu, qui la pousse à en utiliser même avec les pieds, transforme très rapidement le jeu en un délire pour les sens, avec une Bayonetta qui s'en donne à coeur joie dans des cabrioles toutes plus improbables les unes que les autres. L'histoire cachée derrière ce personnage atypique, son amnésie et son don pour dégommer les anges, on la découvrira au fil de l'aventure, dans une mise en scène au moins aussi barrée que l'héroïne, quitte à se montrer parfois incompréhensible.
Test Bayonetta
Ce début d’année 2010 est sans conteste placé sous le signe de l’action à grand spectacle. Mais pour changer des grosses brutes façons War (Darksiders), on voit débarquer un jeu au personnage central bien plus svelte et sexy. Il s’agit bien sûr de Bayonetta qui tombe à point en cette période hivernale pour réchauffer votre console, et même plus si affinités. Sous les feux de la rampe nous rencontrons donc enfin la superbe sorcière Bayonetta. Voilà maintenant 20 ans que la belle s’est éveillée dans un cercueil immergé après cinq siècles de repos forcé. Durant les deux dernières décennies passées sur Terre, elle n’a eu de cesse que de rechercher ses souvenirs perdus après un si long exil. Si quelques flashback lui viennent de temps en temps, ils ne permettent pas de recomposer le puzzle de son passé. Mais les choses pourraient bien changer avec les nouveaux indices dont elles disposent. Aidée par Enzo et Rodin, ses compagnons, elle part pour l’Europe et la ville de Vigrid. Là, elle découvre d’anciennes ruines et des forces magiques visiblement peu enclines à la laisser vaquer librement. Rapidement, d’autres personnages, comme Jeanne, émergent de son passé pour lui mettre des bâtons dans les roues et la suivre dans son périple.
Test Bayonetta
Deuxième jeu issu des manufactures Platinum Games, Bayonetta est sans aucun doute celui qui aura attisé toutes les curiosités et par la même occasion attiré toutes les convoitises. Forcément, avec un certain Hideki Kamiya aux commandes, soit le créateur de la saga Devil May Cry, et une héroïne ultra sexy capable de renvoyer Lara Croft au premier couvent venu, difficile de rester de marbre face à un tel blockbuster. L'année 2009 s'est peut-être achevée de la plus belles des manières, mais 2010 ne pouvait vraiment pas mieux commencer.Jadis, dans des temps anciens, l'équilibre des choses était régit par deux clans, deux puissances : d'un côté, les sages de Lumen et de l'autre, les sorcières de Lumbra ; respectivement le monde de la Lumière et les forces des Ténèbres. Si les deux tribus ont toujours su se respecter jusqu'à un certain point, la soif de pouvoir de l'un d'entre eux fit basculer le monde dans le chaos le plus total, obligeant certaines personnes à se mettre à l'abri. Ce fut le cas de Bayonetta, sorcière parmi les sorcières, qui se réveille 500 ans après ce terrible conflit sans le moindre souvenir. Amnésique de son passé, notre héroïne a néanmoins conservé tous ses pouvoirs et ses capacités à abattre les anges avec une certaine classe et une bonne dose d'érotisme.
Bayonetta
Voilà déjà un peu plus d'un an que Sega nous fait baver devant les courbes de la belle Bayonetta. Cette sorcière aux formes généreuses ne manque certainement pas d'atouts pour faire vibrer de plaisir tout bon otaku qui se respecte. Il fallait tout de même attendre d'avoir le pad entre les mains pour savoir enfin ce qui se cache sous cette belle carrosserie. Notre patience est désormais récompensée : Platinum Games signe là l'un des beat'em all les plus intenses jamais conçus. Le studio Platinum Games a beau être relativement récent, les équipes à qui l'on doit ce fameux Bayonetta ne sont pas vraiment des nouvelles venues dans le monde du jeu vidéo. On retrouve en effet Hideki Kamiya aux manettes, un ancien du studio Clover qui a déjà signé des titres aussi prestigieux qu'Okami, Viewtiful Joe ou le premier Devil May Cry. On se souvient que celui-ci a eu quelques déboires avec Capcom et qu'il a ainsi fini par fonder sa propre enseigne. C'est ainsi qu'est né Platinum Games et le jeune studio n'a pas tardé à faire parler de lui avec un titre sanglant, drôle et stylisé répondant au doux nom de MadWorld. Il nous revient aujourd'hui avec un beat'em all qui pourrait paraître plus classique mais qui finalement surclasse largement ses petits camarades.
Bayonetta (Preview)
Imaginez une combattante aux courbes généreuses et en petite tenue qui massacre des hordes de messagers divins. Il faut bien avouer que l'affiche de Bayonetta ne laisse pas insensible mais ce jeu d'action survitaminé ne se contentera pas de miser sur la plastique de son héroïne pour vous épater. Bien que le début de l'année 2010 s'annonce déjà particulièrement riche en beat'em all de qualité, les amateurs du genre pourront difficilement faire l'impasse sur le prochain titre signé Platinum Games. Les équipes qui se cachent derrière le fameux Bayonetta ne manquent pas de références. On retrouve en effet Hideki Kamiya aux manettes, un ancien du studio Clover qui a déjà signé des titres aussi prestigieux qu'Okami, Viewtiful Joe, Resident Evil 2 ou le premier Devil May Cry. Le bougre ne s'est pas laissé abattre lorsque Capcom décida de dissoudre son équipe de développement en 2006 : il prit ses idées sous le coude, rassembla ses collaborateurs et ils fondèrent ensemble ce qui deviendra Platinum Games. Le nouveau studio n'a pas tardé à se faire un nom en accouchant d'un RPG ambitieux sur DS, Infinite Space, et d'un jeu d'action sur Wii particulièrement violent, tout en noir, blanc et rouge, le très controversé MadWorld.
Bayonetta (Preview)
Le jeu Japonais soit disant mort, restera dans les mémoires quoi qu'il en soit, si d'après certains développeurs, il n'y a plus grand chose à voir du coté du pays du soleil levant, un certain titre me fait dire, que la fougue propre à certains créateurs est toujours d'actualité, Kamiya et son nouveau Bébé Bayonetta reste la preuve la plus percutante qu'il m'est été donné de voir, depuis quelques temps ! Techniquement le jeu se veut propre, multipliant les effets à foison, en abreuvant le joueur d'une multitude de détails, tout en proposant des décors agréables. Une certaines confusion s'installant par moment à cause d'une surenchère voulu des développeurs, ça ne s'arrête jamais, entre les effets de lumières retranscrivant l'impact des coups, la représentation du pied de l'héroïne mais façon Golhiat, les coups qui pleuvent, les ennemis nombreux venant se joindre à la bataille et le tout avec une animation remarquable ! Un véritable régal de voir déambuler la secrétaire la plus classe du monde-vidéoludique (question de point de vue), tout en tranchant et en fusillant ses opposants, sans aucuns ralentissements venant perturber notre joyeuse boucherie !
Bayonetta (Preview)
Né de l'imagination débordante de quelques anciens de Capcom, Bayonetta se présente comme un condensé d'action et de jouissance made in Japan. Ultra rythmé, ultra bordélique, il n'en reste pas moins qu'il est difficile de ne pas éprouver des émotions fortes en parcourant ce titre. Ca tombe plutôt bien puisque nous avons pu l'essayer durant une vingtaine de minutes. Débutant sur un des premiers niveaux présentés à la presse, la démo du Tokyo Game Show nous aura permis de nous faire un avis plus précis sur ce futur killer 'ap de Platinum Games. D'entrée de jeu, on peut préciser que le titre, autant sur PS3 que Xbox 360, est parfaitement fluide. Etonnant surtout lorsqu'on voit ce qui est affiché à l'écran. Et pourtant, pas un seul ralentissement à l'horizon. D'ailleurs, on pourra reprocher aux développeurs d'avoir trop souvent versé dans le "too much" synonyme d'immense bordel visuel à l'écran. Entre les ennemis qui explosent, la pluie d'effets spéciaux aussi bien au premier qu'au second plan, on a parfois du mal à s'y retrouver surtout que les angles de caméra sont fixes. Du coup, il sera plus prudent d'opter dans un premier temps pour le mode Facile afin de profiter de son lock automatique et du spectacle son et lumière proprement bluffant de Bayonetta.
Bayonetta (Preview)
Bien qu'il ne sorte pas avant l'année prochaine, Bayonetta, le cousin germain de Devil May Cry, est l'un des quelques beat'm all présents à la gamescom. L'occasion pour nous de vous dévoiler nos impressions sur le titre qui permet aux petits gars de Platinum Games (anciens de Capcom) de montrer une nouvelle fois l'étendue de leur talent. Une première cinématique de quelques minutes dans laquelle le personnage (non jouable) de Luka nous est dévoilé... Un temps de chargement un peu longuet dans lequel il est possible de s'entraîner au contrôle de Bayonetta... Puis deux phases de jeu distinctes, l'une face à une salve d'ennemis, l'autre carrément contre l'un des boss du jeu... Voici à peu près le contenu de la présentation qui nous a été faite de ce beat'm all, concurrent direct de Dante's Inferno et God of War, notamment. Suffisamment pour se faire une idée assez précise de ce titre bourré de charme et abordant le genre d'une manière assez différente de la concurrence. Et malgré l'humour des cinématiques et le second degré régulièrement employé dans Bayonetta, voici là un titre tout à fait sérieux et que les amateurs de Devil May Cry peuvent d'ores-et-déjà surveiller avec grand intérêt.
Bayonetta (Preview)
Annoncé comme le DMC Killer par son géniteur, le génial Hideki Kamiya, Bayonetta nous avait déjà fait forte impression l'année passée. Cependant, nous n'avions pu assister qu'à une simple présentation par le staff de Platinum Games. Cette année, Sega a eu la bonne idée d'apporter dans ses valises des versions jouables du titre le plus attendu par votre serviteur pour cette année 2009. Et le moins que l'on puisse dire c'est que nous n'avons pas été déçus par le travail accompli depuis notre dernière rencontre avec le jeu. Sans conteste l'attraction phare du stand de Sega, Bayonetta a su immédiatement capter l'attention de tous les visiteurs passant à proximité des bornes de démonstration. Et comment aurait-il pu en être autrement quand le style inimitable de cette production resplendissait à ce point. Il aura donc fallu patienter un moment avant de pouvoir s'essayer pour la première fois à ce chef d'œuvre en devenir.
Bayonetta (Preview)
Bayonetta, le nouveau bébé du père de Devil May Cry, est de retour à l'E3 pour une piqûre de rappel. Comme s'il était possible d'oublier un tel défouloir. Difficile d'oublier Bayonetta lorsqu'on le voit pour la première fois. Que ce soit pour l'héroïne moulée dans une combinaison en cuir, pour l'armement de la belle (un flingue dans chaque main, deux autres accrochés aux chevilles et une chevelure diabolique) ou simplement pour le gameplay incroyablement nerveux, le nouveau jeu du créateur de Devil May Cry ne laisse généralement pas indifférent. Pour vous donner une idée, la présentation à laquelle nous avons assistée aujourd'hui comportait des journalistes visiblement pas encore familiers avec le titre. La démonstration se déroule, puis vient la traditionnelle session de questions/réponses. L'un des journalistes lève timidement la main et lance un "What the f… ?!!" que nous traduirons maladroitement par "Saperlipopette, mais qu'est-ce donc que cela ?"
Bayonetta (Preview)
A peine dévoilé, Bayonetta s'est vite imposé comme l'un des beat'em all à attendre comme une valeur sûre. Pour cet E3 2009, Sega et Platinum Games nous ont à nouveau montré leur prochain projet dans une version plus avancée. Et il faut reconnaître qu'il est diablement sexy. Si Bayonetta nous en a montré davantage depuis notre dernier contact, le constat reste finalement le même, à savoir que le titre de Platinum Games s'annonce comme un Devil May Cry-like suffisamment stylisé et bien réalisé pour s'affranchir sans aucun problème de ses similitudes avec les aventures de Dante. La redoutable sorcière dont on aura le contrôle est une véritable chaudière, il vaut mieux le savoir, et la mise en avant de ses charmes est de tous les instants. Déhanché provocateur, tenue ultra moulante, quand elle ne disparaît pas carrément : tout est fait pour régaler les yeux du jeune mâle émerveillé de voir une telle créature exploser des hordes d'ennemis avec une aisance déconcertante.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 07/2008
Plus accessible...
Bayonetta (Preview)
Annoncé il y a tout juste deux mois, Bayonetta était malgré tout présent sur le salon et fut l'objet de quelques présentations à l'abri des regards indiscrets. La preuve que Hideki Kamiya et son équipe n'ont pas chômé depuis la dissolution de Clover ! En effet, le titre faisait très bonne figure avec une version déjà bien avancée que son créateur jugeait d'ailleurs indigne de représenter la version finale du jeu. Après la claque encaissée, nous avons bien du mal à le croire ... et pour cause, le joueur dirige une charmante sorcière. Charmante, le mot est faible, puisque ce qui nous a d'abord frappé c'est l'indéniable classe de cette dernière. Toute vêtue de cuir et laissant deviner ses jolies formes, notre tueuse sait captiver son monde. Une démarche gracieuse, toute en déhanchés, et des acrobaties d'une souplesse surhumaine impose d'ores et déjà Bayonetta comme une rivale crédible à l'indéboulonable Dante. Nous serions d'ailleurs tenté d'annoncer la victoire de la belle sorcière sur le terrain du character design.
Gamekult
Ajouté le : 07/2008
Plus accessible...
Bayonetta, le talon à l'état pur (Preview)
Bien planquée tout au fond du stand Sega, loin des regards, la pièce réservée aux productions Platinum Games offrait une sobriété qui contrastait pour le moins avec les deux premiers jeux présentés par le studio japonais, MadWorld et Bayonetta. Ce dernier titre, chapeauté par Hideki Kamiya (Devil May Cry, Viewtiful Joe), se laissait entrevoir le temps d'un petit niveau, pour une présentation courte mais ô combien chargée en action. Impressions. D'emblée, à l'apparition de la sexy Bayonetta à l'écran, les bases sont posées et la description énoncée quelques secondes avant par le développeur (un stylish action game) se trouve amplement vérifiée : cette sorcière des temps modernes, engoncée dans une combinaison de cuir et le visage barré d'une paire de lunettes très fashion, possède en effet deux paires de flingues, l'une dans les mains comme tout le monde et l'autre attachée à ses chevilles, et on imagine qu'elle va très vite avoir à s'en servir.
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