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Nous avons réuni 13 tests du Batman : Arkham City. Les experts notent Batman : Arkham City 8.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Batman : Arkham City et d'autres Jeux Xbox 360.
En pleine campagne pour faire fermer ce gigantesque complexe pénitentiaire qui semble menacer la sécurité de Gotham City, Bruce va être kidnappé par le Docteur Strange et jeté parmi les centaines de malfrats qu'il a probablement tous coffrés sous les traits du Chevalier Noir. Bien sûr, comme tout super vilain qui se respecte, Strange va gentiment dévoiler les grandes lignes du plan diabolique projeté par lui et ses confrères, avant de sous-traiter l'exécution de notre héros à un petit groupe de psychopathes locaux. Après cette courte introduction, vous êtes livré à vous même. Rocksteady donne le ton d'entrée : libre comme l'air. Si ce préambule ne vous a pas donné envie de savoir ce qui se cache derrière votre premier objectif, il est d'ores et déjà possible de visiter Arkham City et balancer quelques gnons. Il ne faudra pas longtemps pour prendre ses repères si vous avez terminé Arkham Asylum : les mécaniques du précédent opus sont conservées quasiment trait pour trait. Elles sont cependant enrichies d'une poignée de nouveautés qui offrent un Chevalier Noir encore plus polyvalent aussi bien au niveau de ses déplacements que de ses techniques de combat ou d'infiltration. L'arsenal de Batman est ainsi élargi, et c'est désormais une quinzaine de gadgets qui seront à la disposition du joueur.
Si ces dernières années sont frappées par une certaine mode des super-héros, que cela soit aussi bien au cinéma que sur nos consoles de jeux, un certain personnage se démarque tout particulièrement. Avec l'opus Arkham Asylum sorti il y'a de cela deux ans, les développeurs de chez Rocksteady avaient prouvé à la Terre entière qu'il était possible de dépoussiérer une licence forte de la plus belle des manières. La réussite était telle que ce premier opus est encore considéré comme l'un des meilleurs jeux de cette décennie. Forcément, quand on nous promet une suite plus longue, plus grande, plus impressionnante, c'est avec une grande impatience que les joueurs attendaient cet épisode Arkham City. C'est désormais une réalité, le jeu est sorti, il est entre nos mains, il est donc temps pour nous de le passer au crible de manière définitive.L'histoire débute alors que Gotham subit de lourds changements au sein même de sa ville : toute une parcelle a en effet été réquisitionnée pour en faire une immense prison, dans laquelle les malfrats de la pire espèce peuvent s'entretuer à loisir... et bien pire encore.
Deux ans ! Deux ans d'attente insoutenable après un jeu qui a marqué les esprits de tous, débarquant de quasiment nulle part. Deux ans de torture psychologique à psychoter sur le contenu de la suite. Deux ans de jeux bouche trou pour attendre son arrivée. Deux ans ! C'est ainsi qu'a été attendu Batman Arkham City. Faisant suite à l'excellent Batman Arkham Asylum, la déception peut très vite arriver au tournant et pour plusieurs raisons. Et le tournant était plus attendu qu'un virage du Tour de France et la déception plus pesante que le soutien gorge de Pamela Anderson. Et c'est d'un simple souffle que Rocksteady enlève tous ces doutes à commencer par l'environnement. Vous êtes dans Arkham City, un complexe pénitencier créé dans un quartier de Gotham et entouré d'une muraille géante. C'est donc beaucoup d'extérieur à explorer, sans oublier des passages en intérieur, même si ces derniers sont moins nombreux que dans l'Asyle, ils en restent tout de même un peu plus complexes et variés. Si nous faisons référence au premier, Arkham Asylum, on pouvait noter quelques petits défauts qui ont été balayés eux aussi aisément à commencer par un casting de tout premier ordre : Joker, Two Face, Le Pingouin, Clayface, Le Chapelier Fou, Deadshot, Harley Quinn, L'Homme Mystère, Bane, Mr Freeze, Poison Ivy, Catwoman, Scarface, Victor Zsaz et bien d'autres.
Véritable réussite de l'année 2009, Batman : Arkham Asylum a su démontrer qu'il était possible de posséder une licence juteuse et d'en faire un excellent jeu vidéo. Gameplay léché mêlant habilement action et infiltration, ambiance incroyable et univers riche en total respect de la licence ont fait du jeu de Rocksteady Studios un incontournable pour les fans de l'homme chauve-souris. Un tel succès ne pouvait bien sûr pas rester sans lendemain et le studio anglais nous propose aujourd'hui la suite directe des aventures de Batman. En ayant conservé Paul Dini aux commandes et avec un casting de rêve, Batman : Arkham City a donc toutes les cartes en main pour frapper à nouveau un grand coup. A moins que Rocksteady Studios n'ait voulu trop en faire? Les derniers évènements de la prison de Gotham ayant mis à mal la politique carcérale de Quincy Sharp, le maire de la ville, c'est avec un certain opportunisme que Hugo Strange en a profité pour mettre en place son plan machiavélique. Avec un penchant pour l'expansion à outrance, le dangereux professeur a fait transformer tout le nord de la ville en une énorme prison à ciel ouvert, pour y enfermer les plus dangereux criminels de Gotham.
Après le succès hautement mérité du premier épisode, il est logique de voir arriver une suite aux aventures de Batman made in Rocksteady. Ainsi nait Batman : Arkham City. Un jeu qui se veut plus grand, plus fort, plus long, en un mot : meilleur. Le pari est osé tant le niveau de qualité de Arkham Asylum était élevé mais, impossible n’est pas Warner, ils y sont parvenus avec brio. A Gotham City, certains quartiers ne sont clairement pas faits pour les touristes. Pour preuve Arkham City. Il s’agit d’un morceau de ville entier qui a été transformé en prison de haute sécurité pour tous les criminels notoires de la ville. Les rues y sont forcément mal famées, les gardes se comptent sur les doigts d’une main, bref, c’est l’anarchie la plus totale. Le contrôle de ces rues échappe d’ailleurs aux notables de Gotham qui voit arriver en renfort Bruce Wayne. Désireux de se lancer dans la politique, le milliardaire patron de Wayne Enterprises se rend aux portes d’Arkham City pour y prononcer un discours. Mais les choses vont mal tourner et notre beau gosse plein de fric va se faire enlever au nez et à la barbe de son public. Un acte fomenté par le Dr Strange qui connait l’identité secrète de notre héros et qui compte bien en tirer profit.
Tonitruante claque pour tous les fans de super-héros, Batman : Arkham Asylum avait en 2009 marqué violemment les esprits avec son ambiance impeccable, son gameplay hybride bien pensé et sa réalisation impressionnante. Depuis lors, on guettait les moindres faits et gestes de son développeur Rocksteady, promu en un titre au rang des studios à surveiller. Nous voici donc, deux ans après, enfin prêt à enfiler le lourd costume de l'homme chauve-souris pour mettre de l'ordre dans Arkham City, l'incroyable terrain de jeu de cette suite tant espérée. Arkham, c'est ma came ! Depuis les derniers événements survenus à la prison d'Arkham Asylum, il est devenu évident que la politique carcérale de Gotham, entre naïveté et laxisme, devait être totalement remise en question. Profitant du drame, Hugo Strange, mystérieusement allié au nouveau maire Quincy Sharp, a pu exécuter un plan radical et transformer toute la partie nord de la métropole en prison à ciel ouvert. Entourée de murs immenses garnis de barbelés et sertis de miradors, cette immense zone est donc devenue une poubelle dans laquelle on jette sans discernement toute la vermine de Gotham, parmi laquelle quelques noms tristement prestigieux retiennent l'attention : le Pingouin, Double-Face, Catwoman et tant, tant d'autres.
Nous avons tous un rapport très particulier à Batman. Certains l’ont découvert à la télé via la série kitschissime des années 60 ou la magnifique série animée des 90’s. D’autres, de manière plus classique, ont connu le héros de Gotham via les bandes dessinées avec des œuvres majeures telles que le Dark Knight Returns de Franck Miller ou le Killing Joke d’Alan Moore. Ces dernières années, ce sont les deux films de Christopher Nolan qui ont intéressé un tout nouveau public aux exploits de Bruce Wayne / Batman. Enfin, dernière apparition en date remarquable du Dark Knight, le Batman : Arkham Asylum de Rocksteady a conquis bon nombre de joueurs, s’imposant de manière évidente comme un des meilleurs jeux de cette génération. Dès lors, la tâche de lui succéder n’avait rien d’une sinécure… En prenant le parti de placer cette nouvelle aventure de Batman dans un monde ouvert, Rocksteady a pris un gros risque : celui de briser une des forces du précédent volet : la fluidité de la narration. En effet, avec sa structure linéaire, Batman : Arkham Asylum pouvait progressivement introduire chaque personnage, chacun d'entre eux étant lié à un environnement.
Batman Arkham City, c'est un jeu de rôle, quand on y réfléchit bien. Pas seulement parce que vous gagnez de l'XP, que vous vous lancez dans une progression dans le combat que vous upgradez petit à petit. C'est littéralement un jeu de rôle, dans lequel vous finissez par vous incarner dans le personnage et voir à quoi ressemble la vie en combattant sur des toits ou en vous engouffrant dans des passages sinueux. Les animations, les déplacements, les combats, tout dans Batman Arkham City est fait pour que vous deveniez Batman.Et c'est un rôle facile à endosser, en partie parce qu'Arkham Asylum avait déjà posé de très bonnes bases, pas simplement grâce au à la puissance du Dark Knight mais plutôt au gameplay du jeu, passionnant. Mais également si, comme moi, vous êtes Batman en secret depuis l'école primaire.Pour vous, les caves et les greniers sont devenus un QG secret. Vous vous êtes promis de venger vos parents, même s'ils sont bel et bien vivants et en train de commenter les résultats des primaires socialistes dans la pièce d'à côté." Je dois être une créature de la nuit ", vous êtes-vous dit à dix ans en découvrant Batman avant de vous dire la même chose à quinze après avoir vu pour la première fois Le Rocky Horror Picture Show.
Nous y voilà. J'ai bien bouclé ce Batman Arkham City, et si le jeu est assez riche en suspens, je m'en vais briser celui du verdict dès à présent : Rocksteady s'est surpassé, Batman Arkham City est un nouveau prétendant au titre de jeu de l'année. Hé ouais, pif-paf, simple et funky direct comme un bat-crochet du gauche.N.B. : l'essentiel du test a été réalisé sur une version 360. Test sans spoilers. Alors que l'effet de surprise de l'original aurait pu amoindrir la perception de l'excellence du second (tant Arkham Asylum était déjà extraordinaire), il n'en est finalement rien. Tout en respectant au pied de la lettre les forces de Batman AA, Arkham City va plus loin dans presque tous les domaines. Plus ouvert, mieux scénarisé, plus varié, il est à l'image d'une poupée gigogne ou d'un oignon, bourré de surprises à chaque couche qu'on traverse. Essayons d'en faire le tour sans trop en dévoiler... Arkham Asylum fermé, tout un quartier de Gotham est devenu une plus vaste prison pour ses détenus : Arkham City. A vrai dire, il s'agit plus d'une zone de non-droit à la New York 1997, entourée de hauts murs de béton et de miradors.
En un jeu, Rocksteady aura redéfini les codes du super-héros de pixels. Mature, profond, splendide et profitant d'un gameplay souple et efficace, Batman Arkham Asylum aura révélé une société et transfiguré un super-héros de légende. De fait, dire qu'on attendait Batman Arkham City tient de l'euphémisme dans le sens où les développeurs n'ont pas cédé aux sirènes commerciales en sortant prestement leur bébé. Deux ans après le premier épisode, le second opus sort sur nos écrans (de télévision) et avec lui, une nouvelle page de la vie de Bruce Wayne se tourne... Quand il n'y a plus de place en Enfer, les malfrats reviennent sur Terre. Tel aurait pu être le leitmotiv de Gotham City après la fermeture de l'asile d'Arkham. C'était sans compter sur le plan ingénieux d'Hugo Strange, psychiatre de renom, et de Quincy Sharp récemment promu maire de ladite ville. Ainsi, les deux hommes ont l'idée d'enfermer la vermine grouillante dans une partie de la cité reconvertie en prison géante et renommée pour l'occasion Arkham City. Si la solution miracle semblait avoir été trouvée, certaines voix s'élèvent contre celle-ci à commencer par celle du milliardaire Bruce Wayne.
Je joue à Batman : Arkham City sur un écran de cinéma. C'est bien moi qui suis assis dans une rangée du milieu de la salle de projection privée de la Warner Bros., en compagnie de Dax Ginn, le représentant marketing de Rocksteady. Je dois avouer que j'ai connu des après-midi beaucoup plus désagréables. C'est un endroit idéal pour un jeu aux ambitions cinématographiques immenses, et cela montre de manière frappante à quel point les aspects artistiques et technologiques de ce support ont évolué - ce n'est désormais plus simplement au niveau des profits générés que le petit écran concurrence son grand frère. C'est aussi l'occasion de se faire une véritable idée du jeu, non seulement du point de vue de son héros principal, mais aussi de sa contrepartie jouable, Catwoman. Après le succès d'Arkham Asylum, on pourrait craindre que Batman : Arkham City est encore une de ces suites de jeux d'action au nom ronflant, cependant, Ginn insiste sur le fait qu'on ne peut pas l'accuser de jouer la facilité, en dépit du succès immense de la formule. « Le studio bouillonne absolument d'un immense désir d'innovation », nous dit-il.
Les adaptations de comics donnent rarement lieu à de très bons jeux vidéo mais cette règle d'or connait heureusement quelques jolies exceptions. C'était le cas de Batman Arkham Asylum qui avait littéralement comblé les fans de l'homme chauve-souris en 2009. Le héros de Gotham revient cet automne dans une suite qui s'annonce encore plus alléchante. On avait quitté Batman alors qu'il venait de mettre l'asile d'Arkham sens dessus-dessous pour déjouer les plans du Joker. On sait que notre héros préfère rester dans l'ombre, ce qui a permis à un autre de s'accaparer cette victoire. Quincy Sharp, le directeur d'Arkham, est ainsi passé pour le véritable sauveur de Gotham et a pu ensuite remporter les élections municipales haut la main. Ce maire fraîchement élu a un grand projet pour sa ville : il isole les bas quartiers pour les transformer en une prison à ciel ouvert. Cette fameuse Arkham City regroupe pêle-mêle des pensionnaires de l'ancien asile et du centre pénitentiaire de Blackgate. Cette faune bigarrée nous donnera l'occasion de croiser le Joker, Harley Quinn, Double-face, Mister Freeze ou le Pingouin. Heureusement, Batman ne sera pas tout à fait seul pour s'aventurer dans ce véritable nids de super-vilains, il pourra notamment compter sur l'aide de la talentueuse Catwoman...
Sans aucun doute, l'homme chauve-souris va frapper encore très fort dans cette nouvelle aventure dont nous avons pu découvrir trente minutes de gameplay particulièrement prometteur. Au programme : esthétique grandement améliorée, personnages encore plus charismatiques, baston désormais ultra dynamique, sans oublier davantage d'exploration et de mystères à résoudre... Tout d'abord, exit Arkham Asylum ! Désormais, l'histoire se déroule dans Arkham City, une section de la ville de Gotham dirigée par Hugo Strange, dans laquelle ont été placés les prisonniers de l'asile et du pénitencier de Blackgate. Ceux-ci ont organisé leurs propres lois et gèrent les lieux de manière quasi autonome. Le justicier masqué débute la démo en ces lieux et, du haut d'un immeuble, observe les environs. Bonne nouvelle : le super-héros commence avec la quasi-intégralité de son équipement et de ses gadgets, qui s'inscrivent sur la gauche de l'écran et qu'il est possible de sélectionner à l'aide du joystick. Toutefois, on s'aperçoit vite que certains d'entre eux ont été boostés. Ainsi, outre le Batarang radio-commandé que Batman possédait déjà dans le volet précédent, on découvre une nouvelle version du séquenceur cryptographique.
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