22 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 22 tests du Assassin's Creed : Revelations. Les experts notent Assassin's Creed : Revelations 8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Assassin's Creed : Revelations et d'autres Jeux Playstation 3.
Même si la licence a débuté à l’arrivée des consoles HD il y a seulement 5 ans, nous avons aujourd’hui droit à notre quatrième opus de la franchise Assassin’s Creed. Cette série initiée par Ubisoft et adulée par les fans à l’arrivée de chaque épisode, va-t-elle connaître le même destin que d’autres franchises en voulant sortir un nouvel épisode chaque année ? Nous allons vous en donner la réponse avec notre analyse d’Assassin’s Creed Revelations. Comme nous vous l’annoncions, il s’agit ici du quatrième opus de cette grande saga mettant en scène la vie de nombreux protagonistes. Afin de ne pas se priver d’un public qui n’aurait pas eu la curiosité d’acheter les premiers épisodes, le jeu nous propose, à l'aide d'une petite cinématique, de nous résumer rapidement la situation qui nous amène à l’histoire que nous allons vivre. L’histoire débute en nous proposant de vivre la scène directe qui suit la fin d’Assassin’s Creed Brotherhood avec un Desmond en piteux état. Il est perdu dans l’animus qui, grâce à son système de sécurité, parvient à le maintenir en vie contre toute attente. Votre but va donc être de sauver le personnage principal en tentant de lui faire retrouver tous ses esprits en allant explorer les séquences de mémoire de ses ancêtres.
Diablo. GTA. The Elder Scrolls. Quel rapport ? Sur la forme, pas grand-chose. Mais sur le fond, ces titres ont tous un point commun. Leurs développeurs respectifs ont tous su, à un moment donné, se poser et prendre le temps de penser à une suite. Et quand je dis "prendre le temps", ça ne signifie pas glander pendant deux ou trois réunions avant de se remettre au boulot dans l'urgence permanente. Tomb Raider. Need for Speed. Command and Conquer. Qu'ont ces jeux en commun ? Ils sont exactement l'inverse des jeux précités. Quel que soit le volet, le troisième, le dixième, le centième : c'est le volet de trop. On vient à peine d'en digérer un que le suivant est annoncé. Attention, cela ne signifie absolument pas que la suite d'un jeu qui sort juste un an après l'opus précédent est nécessairement mauvaise, loin de là. Par exemple, quand on a eu droit à trois Splinter Cell trois années de suite, j'ai été sidéré de me rendre compte que l'opus numéro 3 était en développement alors que le premier n'était pas encore en magasin. Je comprends la démarche. Je n'ai même pas grand-chose à reprocher au troisième opus. Mais l'aspect routinier a fini par me lasser.
Qu’on la juge bouleversante ou, inversement, un tantinet ridicule, il faut bien avouer que la conclusion d’Assassin’s Creed : Brotherhood nous avait enseveli sous un monceau de questions. Que va-t-il advenir de Desmond ? Allons-nous revoir Ezio ? Altaïr ? Où sont passés les autres fragments d’Eden ? Et d’où sort cette ancienne civilisation, bon sang de bois ? Clairement, depuis le premier volet, Ubisoft a su assaisonner son intrigue à la sauce Lost. Dans les deux cas, on retrouve en effet une série quelque peu dépassé par son succès, où le scénario semble s’écrire au jour le jour par une poignée d’auteurs hystériques à tendance transcendantale. Pourtant, dans les deux cas, . Pour deux d’entre eux, cet épisode Revelations augure d’ailleurs d’un clap de fin. Notamment pour Ezio Auditore, ce florentin découvert dans Assassin’s Creed II et dont on aura suivi, à travers une trilogie, plus de trente années de vie. Barbe grise, traits fatigués (et travail de fond sur la modélisation faciale), Ezio accuse le poids de ses années.
Les années se suivent et se ressemblent pour Ubisoft qui, pour la troisième année consécutive, nous livre un nouvel épisode d'Assassin's Creed. Difficile de laisser passer les fêtes de fin d'année avec une telle licence en poche, surtout quand les épisodes précédents ont soulevé de nombreuses interrogations en dévoilant un scénario ambitieux et risqué. Le studio de Montréal revient donc à la charge en ce mois de novembre avec Asssassin's Creed : Revelations qui, comme son nom l'indique, devrait apporter les réponses que tous les fans attendent avec impatience. Un quatrième opus qui représente cependant un pari osé, celui d'éviter la redite. Mission accomplie ? A l'aube du XVIème siècle, Ezio poursuit sa quête de vérité concernant l'ordre des assassins et la vie de son mentor Altaïr. Maintenant âgé d'une cinquantaine d'années, le fougueux italien a laissé place à un maitre assassin très charismatique, froid, posé et sûr de lui. Si le poids des ans a marqué de son indélébile empreinte le visage du héros, il n'a eu aucun impact sur la motivation de ce dernier, toujours décidé à retrouver la pomme d'Eden, cet artefact mystérieux qui semble être la clé de bien des mystères.
Quatre opus en quatre ans, sans compter les déclinaisons portables, une statistique qui suffit à illustrer l'impressionnante montée en puissance de la saga Assassin's Creed. Quelque peu chahuté par la critique après la sortie du premier épisode, Ubisoft Montréal a su corriger les défauts de jeunesse de son bébé et surtout capitaliser sur ses grandes forces. Alors quand le supposé point final de l'aventure arrive sur nos consoles, c'est avec fébrilité que l'on se lance une nouvelle fois à la poursuite des Templiers.C'est devenu une habitude dans la série, chaque nouvel Assassin's Creed débute avec un rapide résumé des épisodes précédents. Il faut dire que l'univers imaginé par les concepteurs s'est sérieusement enrichi au fil des différents opus, sans même parler des produits dérivés qui apportent eux aussi leur petite pierre à l'édifice. Bref, même si nous vous conseillons fortement de vivre les aventures de Desmond, Altaïr et Ezio depuis le début, Revelations tentera de vous mettre au parfum si vous avez raté ou oublié les évènements les plus importants.
Tenant le rythme de l'épisode annuel mis en place depuis le deuxième épisode, Assassin's Creed Revelations est un peu l'épisode de toutes les interrogations. D'abord, parce que son titre, qui promet des réponses aux nombreuses questions en suspens, prédit un épisode plus narratif que novateur sur le plan ludique. On pouvait craindre également que ce nouvel épisode paye enfin les frais d'un développement rushé, ce que Revelations évite de justesse sans pourtant renouveler la réussite de son prédécesseur : un sauvetage qu'il doit aux forces de son gameplay, intelligemment mis à jour, et à son effort constant de narration qui lui assurent tout de même de hautes vertus ludiques. Cet épisode commence par une première surprise - certes éventée par les annonces d'Ubisoft : celle de se retrouver aux commandes d'un Ezio cinquantenaire, aux portes de la vieillesse. Ainsi débarque-t-il à Constantinople, barbe blanche et traits vieillis, guidé par une sagesse et une sérénité de vieux maître. En quête d'identité notre homme part en chasse des clés de Masyaf, l'antique cité syrienne qui servait de domaine aux assassins pour y trouver la bibliothèque de feu Altaïr (héros du premier épisode)... une découverte que lui disputent les templiers, qui seront ses principaux ennemis.
Après avoir épaulé Ezio pendant deux épisodes, le temps de lui dire adieu est enfin venu. Renouant avec le passé d'Altaïr pour mieux comprendre son présent, l'Italien vogue vers Constantinople sur les traces de ses ancêtres. Une fois encore, le joueur sera le maître d'oeuvre de cette fresque temporelle et devra plus que jamais composer avec les errances mais aussi les qualités d'une série ne demandant qu'à évoluer en parallèle de la destinée de ses protagonistes. Poursuivant son étude des Templiers, Ubisoft nous emmène cette fois à Constantinople. Si la destination est nouvelle, le guide, lui, est connu de tous. En effet, pour la troisième fois, c'est Ezio Auditore qui se chargera de nous faire visiter les dessous mais aussi les dessus d'une cité tentaculaire s'étendant à perte de vue. Prônant l'exotisme tout en peaufinant un gameplay bien rodé, Revelations entend également nous conter la fin de l'épopée de l'Italien mais aussi de son proche parent, Altaïr. Néanmoins, tempérons nos ardeurs et faisons un point sur le scénario qui s'avère au final extrêmement décevant.
Il est enfin là ! L’épisode tant attendu par les fans se dévoile enfin pour nous révéler tout ce qu’on a toujours voulu savoir d’Ezio et d’Altaïr. Alors, cet Assassin’s Creed : Revelations, toujours aussi bon ? Pas sûr. En effet, les amateurs les plus ardents des meurtriers encapuchonnés risquent de grincer des dents. Explications. L’action de ce quatrième jeu estampillé Assassin’s Creed se déroule majoritairement à Constantinople appelée également Byzance lors de la période de l’Empire mais le peuple lui préfère le nom d’Istanbul. Quelle que soit votre préférence pour la dénomination du lieu, vous aurez à arpenter les rues et quartiers de cette ville pour venir à bout du scénario et des bonus proposés. Ce scénario parlons-en. Ezio Auditore, fort de ses soixante carats, se rend dans cette ville prospère en quête de réponses et d’un sens à sa vie d’assassin. Il s’est rendu au préalable à Masyaf, terre accueillant depuis des siècles la forteresse des assassins. Cette dernière est abandonnée depuis belle lurette mais Ezio apprend tout de même l’existence de la bibliothèque d’Altaïr, un lieu censé renfermer bien des secrets.
Alors que le quatrième épisode de la série ne sortira que demain, Ubisoft a décidé de ne pas perdre de temps en annonçant un nouvel Assassin's Creed pour 2012. Assassin's Creed Revelations ne signe donc pas la fin de la confrérie des Assassins, mais celui du combat qu'Altaïr et Ezio mènent face à l'Ordre des Templiers depuis quatre ans maintenant ; car le twist final est sans équivoque, et on voit mal comment les développeurs pourraient s'y prendre pour poursuivre l'aventure avec eux. Un crève-coeur tant les deux héros ont gagné en charisme au fil du temps, ce qui rend particulièrement fabuleux cet Assassin's Creed Revelations mieux fini que ses prédécesseurs, mais aussi nettement plus musclé avec des scènes d'action mémorables. Bref, à ne manquer sous aucun prétexte surtout pour les fans et on vous explique tout de suite pourquoi.Si Assassin's Creed Revelations est tant attendu par ceux qui vivent au rythme de la confrérie des Assassins, c'est tout simplement parce que l'on se demande ce qu'il est advenu de Desmond Miles et de Lucy Stillman, depuis le cliffhanger de malade d'Assassin's Creed : Brotherhood. Chut ! on n'en dira pas plus pour éviter de spoiler les joueurs qui explorent encore Rome et l'Italie de la Renaissance, même si, avec le recul, une poignée d'indices laissaient présager d'un tel dénouement.
Avec plus de trente millions d'exemplaires vendus tous épisodes confondus, Assassin's Creed est devenue une véritable locomotive pour Ubisoft en même temps qu'une des séries phares de cette génération de consoles. Difficile donc pour l'éditeur français d'imaginer un Noël sans assassin sous le sapin. Une fois n'est pas coutume, il n'aura fallu attendre qu'une seule année pour voir sortir la suite de la suite de la suite. Une fois n'est pas coutume, c'est Ezio qui repart au charbon pour, nous dit-on, un Revelations venu clore ce qui finalement aura été une trilogie démarrée il y a trois ans. L'histoire semble donc se répéter avec une constance presque inquiétante et, plus que jamais, la question de la pertinence de ce nouvel épisode se pose, même pour les fans acharnés. Tempus fugit Les années ont passé. Nous sommes désormais à l'aube du XVIème siècle. Cicatrices et rides ont eu raison de la gueule d'ange d'Ezio, désormais creusée et marquée à jamais des batailles passées. Mais, à 52 ans, celui qui est à présent un maître-assassin n'est pas encore prêt à raccrocher sa tunique à capuche. En quête de sens et de réponses, il est aujourd'hui sur les traces de son aïeul, Altaïr, et ce périple le mènera jusqu'à la glaciale forteresse de Masyaf, abandonnée depuis des décennies.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 10/2011
Plus accessible...
Ezio se prépare à nous emmener dans le dernier de ses voyages pour son troisième Assassin's Creed consécutif. Un épisode voulu par Ubisoft comme une réponse à toutes les interrogations amenées au fur et à mesure des trois premiers opus de la série. Le voile se lèvera sur nombre de mystères grâce à la présence d'Altaïr dans le jeu. Les souvenirs les plus importants de l’ancêtre de Desmond durant la croisade nous permettront de connaître une partie de la vérité et la destinée du clan des assassins. L'opportunité pour les joueurs de quitter enfin l'Italie et l'Europe pour une nouvelle contrée : Constantinople (l'actuelle Istanbul). Toutefois, Ezio a beau s'être assagi en ayant mis de côté toute soif de vengeance, il a encore des ennemis qui vont lui barrer la route pour s'accaparer le pouvoir politique de la cité turque. Contrairement aux années précédentes, Ubisoft ne nous a pas fait commencer cette longue démonstration par les premières minutes du jeu, mais directement depuis la seconde séquence lorsqu'Ezio arrive à Constantinople. Aucun prologue à se mettre sous la dent, probablement pour protéger quelques secrets entourant Desmond liés à la surprenante fin de Brotherhood.
Que l'on apprécie ou non Assassin's Creed, force est de reconnaître que la saga d'Ubisoft a su au fil des années se forger une véritable identité et séduire un public massif. Si bien qu'aujourd'hui, la suite des aventures du fantasque Ezio Auditore est attendue par des millions de fans impatients de découvrir le dernier épisode concluant la trilogie autour de l'assassin florentin. Cerise sur le gâteau, Ubisoft a promis que de nombreux secrets seraient levés dans le nouveau volet baptisé fort justement Revelations. Pour ce faire, outre un Ezio version quinquagénaire, le jeu mettra également en scène Altaïr dans des séquences forcément captivantes. Mais qu'on se le dise, cet Assassin's Creed possède bien d'autres atouts dans sa manche. La preuve ! 1511. Ezio Auditore da Firenze a quitté son Italie natale. Du haut de ses 52 ans, le fier assassin a décidé de se lancer un ultime défi. Longtemps guidé par une indéfectible envie de se venger, le Florentin souhaite cette fois trouver un sens à sa vie. Il part donc sur les traces de ses ancêtres, et notamment du plus célèbre d'entre eux, Altaïr, pour achever sa quête d'identité. Un voyage qui le conduit à laisser Rome derrière lui pour rallier Constantinople, l'un des noms adoptés par Istanbul au cours de l'histoire.
On vous aurait demandé de faire un exposé sur la secte des Assassins il y a encore quelques années, vous auriez sans doute décrit un groupe de dangereux fanatiques soumis par leur attachement à des paradis artificiels. La magie des jeux vidéo est passée par là et le nom de cette étrange guilde est désormais liée à un groupe de justiciers luttant dans l'ombre contre des forces obscures... Vous avez raté un épisode ? Le prochain volet d'Assassin's Creed réunit tous les protagonistes de la série pour vous permettre de découvrir les tenants et les aboutissants de cette lutte millénaire. S'il faut bien reconnaître que l'intrigue des Assassin's Creed est légèrement tirée par les cheveux, ceux qui ont touché de près ou de loin à la licence ne peuvent pas s'empêcher d'y revenir pour espérer découvrir le mot de la fin. C'est le principe même d'une bonne série qui vous conduit par le bout du nez même si elle emploie parfois d'énormes ficelles et qu'elle met en scène des retournements de situation plutôt exagérés. A ce niveau là, Assassin's Creed Brotherhood faisait plutôt fort en laissant artificiellement le joueur sur un suspens des plus intenses. Vous voulez enfin savoir ce qui attend notre brave Desmond qu'on avait laissé en mauvaise passe ?
Gamekult
Ajouté le : 08/2011
Plus accessible...
De Los Angeles à Annecy, nos tribulations nous ont déjà régulièrement mené à la rencontre d'Assassin's Creed Revelations, multi compris. Pour cette nouvelle édition de la gamescom, Ubisoft gardait dans sa manche quelques infos complémentaires sur le solo, à la faveur d'une démo en deux parties montrant tour à tour Ezio, à l'honneur depuis deux épisodes déjà, et Altair, le héros du volet original. Petit tour d'horizon. La première partie de la démo débutait sur une course-poursuite endiablée à cheval entre Ezio et Leandros, un Templier Noir vite rejoint par ses sbires, aux alentours d'une forteresse perdue dans les montagnes. Blessé dans sa chute mais pas manchot, Ezio avait à peine le temps de se débarrasser des hommes de main que déjà Leandros lui filait entre les doigts. L'occasion de revoir en action le système de combat, plus dynamique, de cet épisode. Diminué, et donc incapable de se livrer à ses acrobaties habituelles, notre héros-assassin devait alors redoubler de discrétion pour remonter jusqu'à sa trace. Grâce au Sens de l'Aigle, aiguisé, l'interface fait à présent apparaître des silhouettes et des traces de pas, autant d'indices pour trouver le repaire du maître des lieux.
A son annonce, il avait été raillé. On avait mis en doute son utilité, sa pertinence. On ne comprenait pas ce qu’un mode multijoueur venait faire dans Assassin’s Creed. Puis, Brotherhood est sorti et on a compris. Compris que les petits gars d’Ubisoft Annecy avaient eu une idée géniale au moment de toquer à la porte de leurs homologues de Montréal pour leur faire part de ce projet. Et ce qui s’annonçait comme un simple mode de jeu gadget est immédiatement devenu l’un des points forts non seulement du troisième épisode mais aussi de la licence toute entière. Mais avec le recul, il faut avouer que de nombreux éléments étaient perfectibles, notamment du côté de ce qu’on peut considérer comme l’enrobage du multijoueur. Le matchmaking, par exemple, était très crispant dans Brotherhood et il fallait parfois de longues minutes avant de trouver une session convenable. Ubisoft a donc tenu à nous rassurer d’entrée de jeu en affirmant que le nouveau système était autrement plus facile d’accès. Bien sûr, tout cela demeure à l’état de promesse et il faudra attendre la sortie du jeu pour constater les progrès… à moins qu’Assassin’s Creed : Revelations ne se dote d’une bêta comme Ubi l’avait fait avec son prédécesseur.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 08/2011
Plus accessible...
Assassin's Creed Brotherhood, complément d'histoire et de contenu à Assassin's Creed II, était le premier de la série à proposer un mode multijoueurs. Des sessions de jeu en ligne où la ruse, la patience et l'observation (tout ce qui constitue les rudiments de l'assassinat) sont récompensées. Cependant, il n'était pas exempt de tout reproche (challenge peu attractif à long terme, attente en ligne barbante, etc.). Avec l'arrivée prochaine d'Assassin's Creed Revelations, Ubisoft Annecy - le studio entièrement consacré au multijoueur pour Ubi - possède l'opportunité d'améliorer son concept, les mécanismes de jeu et d'apporter aux joueurs plusieurs nouveautés. Nous avons donc été conviés dans leurs locaux pendant toute une après-midi afin de mesurer les progrès accomplis. Le mode multijoueur de Brotherhood était introduit par une petite cinématique - se déroulant dans la salle des Animus du sous-sol d'Abstergo que l'on traverse au début du second opus - où l'on nous expliquait que, en tant que templier, nous sommes formés aux rudiments de l'assassinat via son Animus avec de nombreux autres membres de notre ordre. Dans Revelations, le multi est la suite de cet angle narratif : Vidic vient nous rencontrer en personne pour nous expliquer que nos résultats exceptionnels font de nous une recrue de choix.
De prime abord, le gameplay d'Assassin's Creed ne s'adaptait nullement au multijoueur. Pourtant, Ubisoft Annecy nous a prouvé de façon magistrale que si l'idée était parfaitement étudiée, on pouvait très facilement concevoir l'inconcevable. Le résultat, imparfait sur bien des points, a donc permis à Assassin's Creed Brotherhood d'asseoir sa légitimité quelque peu critiquée et souvent réduite à une capitalisation outrancière d'Ubisoft vis-à-vis d'une de ses plus grosses franchises. Ainsi, si Assassin's Creed Revelations risque de subir les mêmes critiques en mettant pour la troisième fois en scène le dénommé Ezio, le multijoueur devrait en toute logique servir de levier tant le travail effectué sur cet épisode s'avère conséquent. Bien qu'Ubisoft ne nous ait pas ouvert toutes les portes du multijoueur d'Assassin's Creed Revelations, nous en avons vu suffisamment pour clamer haut et fort que le tout devrait fort logiquement enterrer son prédécesseur. Pour autant, pas question de changer radicalement la donne d'autant que les développeurs ont tenu compte des retours des joueurs afin d'améliorer ce qu'il y avait à améliorer tout en gardant ce qui avait plu, à commencer par les modes de jeu.
Gamekult
Ajouté le : 08/2011
Plus accessible...
Assassin's Creed Revelations sera à n'en pas douter le titre phare d'Ubisoft pour cette fin d'année. Pour nous mettre en bouche, l'éditeur nous a invité à une nouvelle présentation de son projet, dans ses locaux d'Annecy, où une centaine de personnes travaillent uniquement sur le mode multi du titre. Après quelques heures passées sur le jeu, voici nos impressions. Aiguisé comme une lame S'il proposera bien entendu une longue et épique aventure dans sa partie solo, Assassin's Creed Revelations ne se résumera pas qu'aux aventures d'Ezio. Comme Assassin's Creed : Brotherhood, le jeu misera en effet aussi sur son aspect multijoueurs, avec un contenu encore plus riche cette fois. Nous avons pu découvrir confortablement les deux nouveaux modes qui seront proposés pour cette partie du jeu : le deathmatch et le capture the flag (ici rebaptisé Artifact Assault) qui viendront s'ajouter aux modes Manhunt et Wanted déjà présents dans la précédente version. Du match à mort et de la capture de drapeau en guise de nouveautés, voilà de quoi faire ricaner les plus sceptiques. Mais arriver à des conclusions hâtives serait sous-estimer le gameplay d'Assassin's Creed Revelations qui parvient réellement à nous faire redécouvrir des modes pratiqués depuis des lustres grâce à son approche si particulière du "frag".
Même si cette mise en bouche se déroulait en hands-off, les développeurs d'Ubisoft Montréal avaient scrupuleusement choisi les séquences chargées d'introduire en douceur Assassin's Creed : Revelations. L'histoire de celui-ci débute exactement là où Assassin's Creed : Brotherhood s'est arrêté. Pour éviter de spoiler ceux qui n'ont pas encore terminé le jeu, nous n'en dirons pas plus mais sachez que Desmond Miles se retouvera plongé dans une sorte de coma, et il devra alors incarner tour à tour Altaïr et Ezio afin de trouver toutes les réponses aux questions qu'il se pose depuis ses premiers pas dans l'Animus. Par ailleurs, on nous a également précisé que l'équipe de développement n'a jamais réellement considéré Assassin's Creed : Brotherhood et Assassin's Creed : Revelations comme les troisième et quatrième épisodes de la série, pour la simple et bonne raison qu'ils n'intègrent pas de nouveau héros. Toutefois, cela ne leur a pas empêché de réaliser un travail d'orfèvre et d'intégrer un certain nombre d'améliorations, tant au niveau du gameplay qu'au niveau du contenu. On pense bien évidemment aux parties à plusieurs qui feront leur grand retour dans Assassin's Creed : Revelations, avec des modes de jeu inédits qui seront annoncés durant cet été.
En seulement trois ans, Ubisoft aura réussi avec Assassin's Creed à développer un univers enchanteur et cohérent, enfin, dans la mesure où vivre par procuration la vie de ses ancêtres puisse avoir une certaine cohérence. Après avoir passé en revue la vie d'Altaïr et les frasques d'Ezio, voilà ti pas que nous retrouvons les deux compères réunis sous un même toit à l'occasion de ce quatrième volet. Si on peut légitimement être agacé par ce «recyclage», notons qu'Ubisoft nous promet moult révélations sur l'épopée de Desmond et de ses aïeuls. Une bonne occasion pour vérifier ces dires en déterrant une nouvelle fois les racines généalogiques des Assassins. S'il est écrit qu'Assassin's Creed perdurera encore longtemps dans notre microcosme vidéoludique, Revelations devrait mettre un terme aux aventures de Desmond et de ses ancêtres Altaïr et Ezio. De fait, il n'est donc pas étonnant d'apprendre que cet opus, à l'image de Brotherhood, réunira tous les éléments de la saga afin d'en tirer le meilleur pour former un tout plus solide que jamais. Si on aurait aimé pouvoir profiter d'une démonstration un peu plus longue lors de cet E3, ce premier contact nous aura rassurés sur les qualités intrinsèques de ce volet qui s'annonce ambitieux tout en apportant sa pierre à l'édifice de la franchise.
Gamekult
Ajouté le : 06/2011
Plus accessible...
Assassin's Creed Revelations est sans contestation possible l'un des gros morceaux du stand d'Ubisoft sur le showfloor de l'E3 2011. L'éditeur nous a conviés à une présentation rapide de son titre phare de fin d'année. L'occasion de vous en donner un petit aperçu. L'assassin à la peau lisse Assassin's Creed Revelations est une nouvelle aventure réservée aux fans d'Ezio, à tous ceux qui ont adoré Assassin's Creed II et Assassin's Creed : Brotherhood. Inutile de s'attendre à une révolution pour cette suite, donc. Une fois de plus, il s'agira de subtils ajustements, de quelques innovations de gameplay, le tout enrobé d'un superbe habillage comme la série nous y a habitués depuis quelques années maintenant. Sur les traces des secrets de son ancêtre Altaïr, notre tueur italien va traverser bien des dangers, mais aussi découvrir tout un tas de merveilles. Car c'est là que réside en grande partie le plaisir procuré par chaque nouvel épisode d'une telle série. Assassin's Creed fait partie de ces rares jeux qui vous donnent réellement l'impression de voyager, et la modélisation de Constantinople telle que nous avons pu l'admirer force le respect.
Et si on commençait à être fatigué d'Ezio ? Assassin's Creed est peut-être un jeu sur l'exploration du passé, mais il est vraiment temps qu'Ubisoft reporte son attention sur le futur. D'ailleurs, nous ne sommes pas certains que Desmond Miles puisse supporter une autre fin en forme de points de suspension. Il est déjà dans le coma.Malheureusement, Ubisoft n'est pas tout à fait prêt à faire tomber le rideau et à nous montrer ce qui se passe dans le monde réel. Par conséquent, Assassin's Creed Revelations, la version d'Assassin's Creed de cette année fait encore du sur place. Ezio est de retour, ainsi qu'un Desmond comateux et même le héros original Altair. Bien que le nom du jeu soit Revelations, il pourrait aussi bien s'appeler Fermeture pour tous ceux-ci. Si vous pensez malgré tout avoir assez vu Ezio, souvenez-vous que même s'il était le personnage principal des deux derniers jeux, les véritables vedettes étaient les villes. Florence, en particulier, et la Rome de l'année dernière étaient des reconstructions magnifiques et énormes de l'Italie de la Renaissance. Le succès de ces jeux tenait tout autant au parcours sur le labyrinthe des toits et aux plongées au coeur de ces villes qu'aux machinations d'Ezio.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Assassin's Creed : Revelations. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Assassin's Creed : Revelations.